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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(425 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "Medecin" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 26. Anonyme. L'HERACLITE FRANÇOIS, PARLANT I. Au Roy, de... (1652) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1622 ; cote locale : B_2_8. le 2012-11-09 03:20:56.

sa premiere vigueur, la où si
plus il demeure elle deuiendra comme
vne Raze Campagne, au moins les Mazarins
y font tous leur efforts, il est temps
d’apliquer le remede à la playe, si on n'étanche
son sang, elle sera mortelle, SIRE,
soyez son charitable Medecin sa guerison
dépend de vous, ne la luy refusez pas
puisque qu’apres Dieu sa santé est en vos
mains: Bref il n’est point de meilleur
moyen pour mettre vostre Royaume en
Paix, que d’en bannir celuy qui a semé le
trouble. Quand la mauuaise herbe est

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Occurrence 27. Anonyme. LA CAPTVRE DE DEVX COVRTISANES ITALIENNES,... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_627 ; cote locale : C_1_4. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-09 09:36:25.

le sont pas
moins dans leurs inuentions. L’Amour
est vn argument qui tire mille consequences,
auec des charmes qui attirent les sens, &
qui se saisit de la place la plus forte & la plus noble,
qui est le cœur ; aussi au dire d’Aristote & de tous
les Medecins, il est le premier viuant & le dernier
mourant ; il est fecond en pensées, & tousiours agissant,
il a des yeux tres clairs & tres purs, & plus
susceptibles & penetrez que ceux du corps ; ce sont
eux qui enuisagent les beautez de la terre auec

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Occurrence 28. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

le siecle d’or, il faut chasser le Parlement ; exterminer ces gens de chicane, comme vne troupe de seditieux :
& si tu peux en venir à bout, comme ie n’en doute point,
pourueu que tu employes de la bonne ancre, ie te promets de
donner à tes deux enfans Medecins, les deux premieres charges
de premier Medecin du Roy & de la Reyne, quelque bonne mine
que ie fasse a Vautier, & au troisiesme vne charge de President au
Mortier, où à la Chambre des Comptes, à ton chois ou au sien, &
cela foy de Prince par naissance, de

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Occurrence 29. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

exterminer ces gens de chicane, comme vne troupe de seditieux :
& si tu peux en venir à bout, comme ie n’en doute point,
pourueu que tu employes de la bonne ancre, ie te promets de
donner à tes deux enfans Medecins, les deux premieres charges
de premier Medecin du Roy & de la Reyne, quelque bonne mine
que ie fasse a Vautier, & au troisiesme vne charge de President au
Mortier, où à la Chambre des Comptes, à ton chois ou au sien, &
cela foy de Prince par naissance, de fauory sans égal, & de Sicilien
sans

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Occurrence 30. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

dont neantmoins ils n’estoient pas a blasmer, sur tout
il ne falloit nommer personne, & encore moins parler d’aucun interest
en particulier. Lors qu’on veut mentir adroitement il faut
tousiours parler en general, & à la façon des Oracles, & de vous
autres Medecins ; en sorte que quoy qu’il arriue vos parolles se
trouvent veritables. Le sujet des baricades estoit encore trop auant
dans l’esprit des Bourgeois, pour entreprendre de dire du mal de
Broussel, ny de Blanmeny : Le Coadjuteur est en trop bonne estime
pour luy

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Occurrence 31. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

de gens
desirent, parce que ie ne les ay pas traittez comme ils le meritoient,
& selon la verité de mes Gazettes, & que ie n’ay composées que
pour satisfaire aux Ministres & aux fauoris. Or pour l’intelligence
de cette prophetie, V. E. doit sçauoir, que les Medecins de Paris m’ont tousiours fait la guerre, & n’ont iamais voulu souffrir que
ie fisse la Medecine dans la Ville, tant à cause que ie ne suis pas
Docteur de leur Faculté, ny capable de l’estre, qu’à cause de la
profession de Gazettier, qui

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Occurrence 32. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

& que ie n’ay composées que
pour satisfaire aux Ministres & aux fauoris. Or pour l’intelligence
de cette prophetie, V. E. doit sçauoir, que les Medecins de Paris m’ont tousiours fait la guerre, & n’ont iamais voulu souffrir que
ie fisse la Medecine dans la Ville, tant à cause que ie ne suis pas
Docteur de leur Faculté, ny capable de l’estre, qu’à cause de la
profession de Gazettier, qui n’est pas plus honorable que celle de
Courtier d’amour. A cette fin il y eut grand procez entre nous
qui demeura

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Occurrence 33. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

capable de l’estre, qu’à cause de la
profession de Gazettier, qui n’est pas plus honorable que celle de
Courtier d’amour. A cette fin il y eut grand procez entre nous
qui demeura indecis par la faueur de Monseigneur le Cardinal, car
tant qu’il vescut, ie pratiquay la Medecine, en faisant la nique aux
Medecins, souz son authorité ; mais il ne fut pas si tost passé, que
ces Messieurs reprennent leurs brisées ; il fallut playder à la grand’
Chambre, où (quoy que le sieur Bataille mon Aduocat, sceust dire
en ma faueur, & des

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Occurrence 34. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

la
profession de Gazettier, qui n’est pas plus honorable que celle de
Courtier d’amour. A cette fin il y eut grand procez entre nous
qui demeura indecis par la faueur de Monseigneur le Cardinal, car
tant qu’il vescut, ie pratiquay la Medecine, en faisant la nique aux
Medecins, souz son authorité ; mais il ne fut pas si tost passé, que
ces Messieurs reprennent leurs brisées ; il fallut playder à la grand’
Chambre, où (quoy que le sieur Bataille mon Aduocat, sceust dire
en ma faueur, & des seruices que ie rendois au public, à

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Occurrence 35. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

à la grand’
Chambre, où (quoy que le sieur Bataille mon Aduocat, sceust dire
en ma faueur, & des seruices que ie rendois au public, à l’occasion
de mon Bureau de rencontre.) Monsieur Talon Aduocat General
ne se contenta pas de conclurre contre moy en faueur des Medecins :
mais encore remonstrant l’impieté de mon Mont de Pieté, &
l’vsure abominable que i’exerçois sous le pretexte des prests & ventes
à gage, il demanda qu’il me fust interdit sous de griéves peines
de n’en plus vser à l’aduenir : & ses

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Occurrence 36. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

abominable que i’exerçois sous le pretexte des prests & ventes
à gage, il demanda qu’il me fust interdit sous de griéves peines
de n’en plus vser à l’aduenir : & ses conclusions suiuies de point en
point, Ie me vis en vn moment priué de l’exercice de la Medecine,
dont ie ne me souciois pas beaucoup, mais encore de celuy des
prests sur gages, dont ie tirois plus de profit en vne semaine, que
trois Courtiers de change en vn mois, des inuentions dont ils se seruent
dans leur mestier. Or que V. E. voye maintenant si la

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Occurrence 37. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

il me dit venir du costé d’Aquilon,
parce que Loudun, lieu de ma naissance, est Aquilonaire à l’égard
de Marseille, où Nostrodamus faisoit sa demeure : Et pour les autres
deux vers, on ne sçauroit exprimer plus clairement les vains
efforts du sieur Bataille contre les Medecins, sous le nom d’Esculape,
ny la playe que me fit Monsieur Talon, par ses conclusions à la
gloire de mes ennemis, & à mon grand dommage & regret tout ensemble.
Par là, V. E. peut voir si ie n’ay pas suiet d’apprehender le
succez de seconde prophetie, par

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Occurrence 38. Anonyme. LA CONFERENCE DV CARDINAL MAZARIN, AVEC LE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. "Jouxte la copie imprimée à Bruxelles". Voir aussi C_1_19. Référence RIM : M0_742 ; cote locale : B_11_34. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-10 08:35:15.

vous qui par vne tyrannie autant
sourcilleuse que Sicilienne, l’auez tousiours empeschée, & l’empeschez
encore. Vous sçauez bien, outres les gazettes qui m’auroient
fait rougir, si i’auois eu de la pudeur, & si ie n’estois plus
docte en effronterie qu’en Medecine, la querelle que i’ay euë à
demesler sur ce sujet, auec le gazetier de Cologne ? N’estoit-ce pas le
fort de son ataque, de dire que vous esloignez la paix ? & le prouuoit
si fortement, parce que c’est la verité, & quelle prenant tousiours
sur le

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Occurrence 39. Anonyme. LA CONIVRATION ITALIENNE CONTRE LA FRANCE,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 39 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_758 ; cote locale : B_20_46. le 2012-11-12 03:19:54. autrefois de la multitude de ses Medecins, plusieurs
autres le pourroient dire du trop grand
nombre de leurs Conseillers, les raisons en sont
éuidente : S’il est mal-aisé, comme certainement
il l’est, de trouuer vn homme pourueu de
toutes les qualitez necessaires au gouuernement
d’vn Estat,

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Occurrence 40. Anonyme. LA DISGRACE DV CARDINAL MAZARIN ARRIVEE... (1649) chez Musnier (veuve d'André) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_2_38. Référence RIM : M0_1156 ; cote locale : C_7_55. le 2012-11-18 14:26:03.

si la quantité des
miserables les rendoit moins infortunez. Ie ne
sçay pas si cet axiome est tousiours infaillible : mais
ie sçay bien qu’il est indubitable en ce rencontre,
c’est à dire que vostre mal sera beaucoup allegé,
s’il n’est entierement guery par la medecine que ie vous presente : & de vray qui pourra estre si outré
de douleur qui n’oublie son mal à la veuë de l’affliction
de son plus grand ennemy De moy ie ne puis
croire que les plus desesperez ne reuiennent en
conualescence, sçachant que

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Occurrence 41. Anonyme. LA DISGRACE DV CARDINAL MAZARIN ARRIVEE... (1649) chez Musnier (veuve d'André) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_7_55.. Référence RIM : M0_1156 ; cote locale : A_2_38. le 2012-11-18 14:29:21.

si la quantité des
miserables les rendoit moins infortunez. Ie ne
sçay pas si cet axiome est tousiours infaillible: mais
ie sçay bien qu’il est indubitable en ce rencontre,
c’est à dire que vostre mal sera beaucoup allegé,
s’il n’est entierement guery par la medecine que ie vous presente: & de vray qui pourra estre si outté
de douleur qui n’oublie son mal à la veuë de l’affliction
de son plus grand ennemy De moy ie ne puis
croire que les plus desesperez ne reuiennent en
conualescence, sçachant que

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Occurrence 42. Anonyme. LA FIEVRE DE MAZARIN, SVR LA VICTOIRE DE... (1652) chez Lerrein (François) à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1393 ; cote locale : B_12_15. le 2012-11-19 05:20:14.

que les Armes sont iournalieres, & que
souuent ceux qui perdent au commencement
gaignent beaucoup sur la fin, se sont
les artifices dont ses Amis se seruent pour
le rasseurer, mais il connoist bien que se
qu’ils en font ce n’est que pour flater sa douleur,
les Medecins ne peuuent rien à son
mal, il est impossible de guerir vn homme
de la peur, sa Fiévre redouble de plus
en plus, il tombe souuent en crise, il a des
conuulssions quelquefois & en éhargie, &
reuenant à soy ce n’est que rencrer dans la
crainte, il

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Occurrence 43. Anonyme. LA FRANCE PAISIBLE, OV LA PAIX MIRACVLEVSE.... (1649) chez [s. n.] à Paris , 14 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1434 ; cote locale : C_4_19. le 2012-11-23 13:53:25.

te faut
Il faut se releuer plus haut,
De sa cheute comme vn anthée,
N’escoute point ces vains soucis
Que tes maux ne sont qu’adoucis,
Non pas tranchez par la racine,
Croy-moy tout ira bien, & tu dois presumer,
Parfaite guerison par vne medecine
Qui conserue à ton goust quelque chose d’amer.    
Et toy la premiere des villes,
Pour r’enfermer dans ton pourpris
De grands cœurs, & de beaux esprits,
Des ames franches, & ciuiles
O Paris pour le faire court,

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Occurrence 44. Anonyme. LA FRANCE PAISIBLE, OV LA PAIX MIRACVLEVSE.... (1649) chez [s. n.] à Paris , 14 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1434 ; cote locale : C_4_19. le 2012-11-23 13:53:25.

de cét Empire,
Par vn clin de vos yeux vous me le permettez.    
Sus donc, ô France fidelle,
France amoureuse de ton Roy,
Et qui veux faire de sa Loy
De tes actïons le modelle,
N’escoute point ces vains soucis,
Que tes maux ne sont qu’adoucis
Non pas tranchez par la racine,
Croy-moy tout ira bien, & tu dois presumer
Parfaite guerison par vne medecine,
Qui conserue à ton goust quelque chose d’amer.  

FIN.

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Occurrence 45. Anonyme. LA FRANCE VICTORIEVSE AV ROY, OV... (1649) chez Dupont (Pierre) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_1446 ; cote locale : C_5_20. le 2012-11-25 13:58:29.

plongez dans l’aueuglement, & les tenebres d’vne
mauuaise conduite, les a priuez des moyens d’alterer ma
bonne disposition, & les venins qu’ils me preparoient se
sont tournez en antidotes souuerains, qui n’ont fait
qu’augmenter ma santé : Ce sont des Medecins malades,
qui se meslent d’ordonner des remedes à ceux qui n’en
ont aucune necessité, & qui ne les prennent pas pour eux-mesmes,
ou plustost des Epicuriens qui se mocquent de la
Prouidence diuine, & veulent que toutes choses roulent à
l’auanture

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Occurrence 46. Anonyme. LA GENEALOGIE DV PRINCE. ET COMME TOVS CEVX... (1650) chez Charles (N.) à Paris , 6 pages. Langue : français. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon. Voir aussi A_9_36. Référence RIM : M0_1477 ; cote locale : D_2_32. le 2012-11-26 07:06:39.

& des malheurs qu’il causoit en France.
Si bien que malgré tous les antidotes dont il se pût
seruir, il mourut six mois apres qu’elle luy eut fait
aualer du poison pour s’en deffaire. Et pour punir
vne action si equitable, ceux de la Rochelle condamnerent
le Medecin & le Cuisinier à mort, à
cause qu’ils auoient seruy de moyen pour arriuer
à vne fin si glorieuse ; & la Princesse à vne prison
perpetuelle, qui estoit S. Iean d’Angely, où elle
accoucha de Henry, dit le Bourbon, pere de celuy-cy,
treize ou quatorze

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Occurrence 47. Anonyme. LA GENEALOGIE DV PRINCE. ET COMME TOVS CEVX... (1650) chez Charles (N.) à Paris , 6 pages. Langue : français. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon. Voir aussi D_2_32. Référence RIM : M0_1477 ; cote locale : A_9_36. le 2012-11-26 07:10:20.

& des malheurs qu’il causoit en France.
Si bien que malgré tous les antidotes dont il se pût
seruir, il mourut six mois aprés qu’elle luy eut fait
aualer du poison pour s’en deffaire. Et pour punir
vne action si equitable, ceux de la Rochelle condamnerent
le Medecin & le Cuisinier à mort, à
cause qu’ils auoient seruy de moyen pour arriuer
à vne fin si glorieuse; & la Princesse à vne prison
perpetuelle, qui estoit S. Iean d’Angely, où elle
accoucha de Henry, dit de Bourbon, pere de celuy-cy,
treize ou quatorze

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Occurrence 48. Anonyme. LA GVEVSERIE DE LA COVR. (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 16 pages. Langue : français, latin. Pièce 35 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1533 ; cote locale : C_5_33. le 2012-11-30 10:39:19.

mort de contagion, ayant laissé vaillant
1000000 liures. La Pauureté, la Gueuserie, ou
faute d’argent sont des maladies tellement contagieuses
cette année que de populaires elles
sont deuenuës, pour ainsi dire, Royalles. Le
tres-docte & tres-plaisant railleur Medecin,
Chancelier de l’Vniuersité de Montpelier a
bien remarqué dans son Almanach perpetuel
que la maladie qu’il nomme faute d’argent auroit
cours cette année cy-aussi biẽ que plusieurs
causées par beaucoup d’Eclypses de Soleil & de Lune,

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Occurrence 49. Anonyme. LA GVYENNE AVX PIEDS DV ROY, QVI SE PLAINT... (1649) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français. Voir aussi A_3_76. Référence RIM : M0_1536 ; cote locale : C_5_34. le 2012-11-30 10:50:35.

pas de guerir, & qui ne pense qu’à déchirer
la playe, & à l’aigrir par le remede qu’elle propose ?
Son fer, son rasoüer & sa sie, ne seruent d’autre
chose que d’auancer la mort du malade, & l’accompagner
de tourment à l’exemple de ce premier Medecin,
qui du Peloponese vint à Rome, & que les Romains
nommerent le Blesseur ou Faiseur de playes, à cause de sa
cruauté à coupper & brusler les malades. Pourquoy
cette grande Ville de Bourdeaux, & d’autres ébranlées
en leur deuoir ? Pourquoy tant de

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Occurrence 50. Anonyme. LA GVYENNE AVX PIEDS DV ROY, QVI SE PLAINT... (1649) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_34. Référence RIM : M0_1536 ; cote locale : A_3_76. le 2012-11-30 10:46:51.

pas de guerir, & qui ne pense qu’à déchirer
la playe, & à l’aigrir par le remede qu’elle propose?
Son fer, son rasoüer & sa sie, ne seruent d’autre
chose que d’auancer la mort du malade, & l’accompagner
de tourment à l’exemple de ce premier Medecin,
qui du Peloponese vint à Rome, & que les Romains
nommerent le Blesseur ou Faiseur de playes, à cause de sa
cruauté à coupper & brusler les malades. Pourquoy
cette grande Ville de Bourdeaux, & d’autres ébranlées
en leur deuoir? Pourquoy tant de

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Occurrence 51. Anonyme. LA PARFAITE D’ESCRIPTION DV COQVIN DV... (1649 [?]) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2689 ; cote locale : C_2_33. le 2012-12-17 15:01:11.

sans dire que veut-on ?
Ingrat aux plus ciuils, sourd aux belles paroles,
Sensible seulement à l’esclat des pistoles.
Vous souhaittez le voir : Monsieur ne se void pas ;
Hier il veilla trop tard, il s’en trouue encor las,
Il gardera le lict, il a pris medecine.
Monsieur a compagnie ; il est à table ; il dîne,
Demain vous reuiendrez : mais peut estre demain
Aussi bien qu’auiourd’huy vous reuiendrez en vain,
Importune rigueur, accueil insupportable !
Vn honneste homme attend, vn coquin à la table,

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Occurrence 52. Anonyme. LA POVRPRE ENSANGLANTEE. (1649) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français. Voir aussi C_6_61. Référence RIM : M0_2836 ; cote locale : A_6_73. le 2012-12-23 07:44:38.

mon desespoir,
car ce qui me sert maintenant d’obiet
pour me faire plaindre & souspirer iustement,
c’est que i’apperçois sur d’autres espaules
vne pourpre plus riche & plus esclatante,
qui doit quelque iour seruir à nous
soulager. Et comme dans la medecine bien
souuent ce qui nous a fait le mal, sert à nous
guerir, aussi peut-on croire auec vne assez
iuste raison qu’vne pourpre incomparablement
plus benigne que celle cy n’est nuisible,
doit apporter du soulagement à nos
maux, & par vne antipatie

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Occurrence 53. Anonyme. LA POVRPRE ENSANGLANTEE. (1649) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français. Voir aussi A_6_73. Référence RIM : M0_2836 ; cote locale : C_6_61. le 2012-12-23 07:46:15.

mon desespoir,
car ce qui me sert maintenant d’obiet
pour me faire plaindre & souspirer iustement,
c’est que i’apperçois sur d’autres espaules
vne pourpre plus riche & plus esclatante,
qui doit quelque iour seruir à nous
soulager. Et comme dans la medecine bien
souuent ce qui nous a fait le mal, sert à nous
guerir, aussi peut-on croire auec vne assez
iuste raison qu’vne pourpre incomparablement
plus benigne que celle cy n’est nuisible,
doit apporter du soulagement à nos
maux, & par vne antipatie

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Occurrence 54. Anonyme. LA REMONSTRANCE FAITE A LA REYNE PAR LES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3323 ; cote locale : B_4_23. le 2012-12-25 02:54:12.

comme
vn sanglier dedans vne vigne, son Royaume tres-Chrestien,
& dont il a iuré la ruine, plus que l’Espagnol
mesme.   La France est elle pas bien malheureuse d’estre tombée
en de si mauuaises mains, & la pauure Sion, pour
tous consolateurs & Medecins spirituels, qui la preseruent,
ou plûtost qui la releuent de l’extreme desolation,
où elle est reduite ? Ce malheur de n’auoir pas de Prelats,
de Prestres, & personnes Religieuses, plus gens
de bien & plus vertueux, pour la consoler, ou interceder

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Occurrence 55. Anonyme. LA REMONSTRANCE FAITE A LA REYNE PAR LES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3323 ; cote locale : B_4_23. le 2012-12-25 02:54:12.

punis &
chastiés seuerement des cruautés & tyrannies, que le
Peuple de Dieu en souffre & ses Temples sacrés, sa Religion,
& ses Prestres ? Personne pourtant ne se plaint
d’eux ! Aucun iusqu’à present n’a dit mot & parlé contre
eux ! Pas vn Medecin n’a, ou descouuert, ou osé declarer
cette cause & source fatale de tous nos maux &
calamitez ! Les Peuples mesmes qui en portent la peine, & souffrent les malheurs, auront peine à le croire, & à
se persuader que ces Moynes de Cour soient

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Occurrence 56. Anonyme. LA RENCONTRE DES ESPRITS DV DVC DE... (1649) chez Sara (Henri) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi C_9_58. Référence RIM : M0_3347 ; cote locale : A_8_51. le 2012-12-25 15:17:03.

Souuerain: mais lors qu’il est prest de succomber sous le poids de
cette charge, il assemble ce qui luy reste de forces pour secoüer cet
insupportable fardeau; pour cet effet il conjure le Parlement son
protecteur de le deliurer de cette seruitude, qui comme vn sage
Medecin employe d’abord les remedes lenitifs, crainte d’irriter le
mal; mais ce procedé plein de douceur est reconnu de la part des
Ministres par mille rigoureux traittemens. Le peuple voyant le peril
où son interest engage ce Corps celebre, se resout d’armer le Bras

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Occurrence 57. Anonyme. LA RENCONTRE DES ESPRITS DV DVC DE... (1649) chez Sara (Henri) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi A_8_51. Référence RIM : M0_3347 ; cote locale : C_9_58. Texte édité par Site Admin le 2012-12-25 15:19:02.

Souuerain : mais lors qu’il est prest de succomber sous le poids de
cette charge, il assemble ce qui luy reste de forces pour secoüer cet
insupportable fardeau ; pour cet effet il conjure le Parlement son
protecteur de le deliurer de cette seruitude, qui comme vn sage
Medecin employe d’abord les remedes lenitifs, crainte d’irriter le
mal ; mais ce procedé plein de douceur est reconnu de la part des
Ministres par mille rigoureux traittemens. Le peuple voyant le peril
où, son interest engage ce Corps celebre, se resout d’armer le Bras

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Occurrence 58. Anonyme. LA RESPONSE DES BOVRGEOIS DE PARIS, A LA... (1649) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Signé: "Les bourgeois de Paris", au colophon.Voir aussi A_8_48. Référence RIM : M0_3415 ; cote locale : C_3_56. le 2012-12-27 03:14:26.

de l’Estat, & en vn mot les plus
iudicieux craignent vn hyuer beaucoup plus rigoureux que n’a
esté le passé. A cela nous vous respondrons que c’est le plus souuent
aller audeuant du mal que de luy preparer des remedes auant
qu’il aye paru, nous aduoüons que le Medecin qui empesche que
la maladie n’arriue, merite plus de gloire que celuy qui la chasse
quand elle est venuë, mais aussi comme la gloire en est plus grande,
l’addresse en est bien plus difficile, Et puis qu’il y a pouuoir
de remedier à ces desordres qui est celuy

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Occurrence 59. Anonyme. LA RESPONSE DES BOVRGEOIS DE PARIS, A LA... (1649) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Signé: "Les bourgeois de Paris", au colophon.Voir aussi C_3_56. Référence RIM : M0_3415 ; cote locale : A_8_48. Texte édité par Site Admin le 2012-12-27 03:13:42.

de l’Estat, & en vn mot les plus
iudicieux craignent vn hyuer beaucoup plus rigoureux que n’a
esté le passé. A cela nous vous respondrons que c’est le plus souuent
aller audeuant du mal que deluy preparer des remedes auant
qu’il aye paru, nous aduoüons que le Medecin qui empesche que
la maladie n’arriue, merite plus de gloire que celuy qui la chasse
quand elle est venuë, mais aussi comme la gloire en est plus grande,
l’addresse en est bien plus difficile, Et puis qu’il y a pouuoir
de remedier à ces desordre qui est celuy

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Occurrence 60. Anonyme. LA REVNION DES ESPRITS (1649) chez Noël (François) à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_9_84. Référence RIM : M0_3535 ; cote locale : A_8_3. le 2012-12-28 13:44:43.

à persuader. Pourrois-ie
voir la France dans l’Estat pitoyable où elle
est, sans dire à tous ses enfans, qu’elle va
perir, s’ils refusent de la sauuer. Ie ne pretens
pas d’estre la triste Cassandre, qui luy annonce
ses mal-heurs; mais bien vn charitable
Medecin, qui luy en montre les remedes.
Que ie ne sois qu’vne foible voix, i’ayme
mieux me dissiper dans l’air, que de m’étouffer
dans son tombeau; en preuenant sa ruine
ie ne seray pas contraint de la voir & de là
pleurer. Mais qui de tous les

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Occurrence 61. Anonyme. LA REVNION DES ESPRITS (1649) chez Noël (François) à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_9_84. Référence RIM : M0_3535 ; cote locale : A_8_3. le 2012-12-28 13:44:43.

Le Sage ne
souhaitte iamais auec impatience sa Patrie,
quand il en est esloigné; le genereux ne l’abandonne
point, lors qu’il la void affligée:
plus elle souffre de miseres, plus il a de charité.
Le grand & heroïque amour, naist de la
misericorde; la medecine guerit les maladies
vulgaires, le miracle n’est que pour les desesperez.
Dieu mesme attend nostre extreme
desolation, pour nous donner son assistance;
& quoy qu’infiniment bon, il a souffert la
derniere ruine du genre humain, pour auoir
la gloire

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Occurrence 62. Anonyme. LA REVNION DES ESPRITS. (1649) chez Noël (François) à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_8_3. Référence RIM : M0_3535 ; cote locale : C_9_84. le 2012-12-28 13:46:23.

à persuader. Pourrois-ie
voir la France dans l’Estat pitoyable où elle
est, sans dire à tous ses enfans, qu’elle va
perir, s’ils refusent de la sauuer. Ie ne pretens
pas d’estre la triste Cassandre, qui luy annonce
ses mal-heurs ; mais bien vn charitable
Medecin, qui luy en montre les remedes.
Que ie ne sois qu’vne foible voix, i’ayme
mieux me dissiper dans l’air, que de m’étouffer
dans son tombeau ; en preuenant sa ruine
ie ne seray pas contraint de la voir & de la
pleurer. Mais qui de tous les

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Occurrence 63. Anonyme. LA REVNION DES ESPRITS. (1649) chez Noël (François) à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_8_3. Référence RIM : M0_3535 ; cote locale : C_9_84. le 2012-12-28 13:46:23.

Le Sage ne
souhaitte iamais auec impatience sa Patrie,
quand il en est esloigné ; le genereux ne l’abandonne
point, lors qu’il la void affligée :
plus elle souffre de miseres, plus il a de charité.
Le grand & heroïque amour, naist de la
misericorde ; la medecine guerit les maladies
vulgaires, le miracle n’est que pour les desesperez.
Dieu mesme attend nostre extreme
desolation, pour nous donner son assistance ;
& quoy qu’infiniment bon, il a souffert la
derniere ruine du genre humain, pour auoir
la gloire

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Occurrence 64. Anonyme. LA RVADE D’VN POVLAIN QVI A FAICT TREMBLER... (1651) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3564 ; cote locale : C_11_29. Texte édité par Site Admin le 2012-12-29 08:09:26.

fois vn party y en ayant beaucoup
dans la deuotion mesme de veritable aussi bien que
de voix differentes pour arriuer à la Saincteté, à peine
pourra il changer ses brisées, vn guide tout seul n’est pas propre pour tant de chemins & dans les maladies Corporelles,
si la pratique est bonne de prendre la consulte
de plusieurs Medecins dans les Spirituelles beaucoup
plus importantes, si cela n’est pas encore plus necessaire,
ie vous en faits les Iuges.  

FIN.

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Occurrence 65. Anonyme. LA RVINE DV MAL NOMMÉ, OV LE FOVDROYEMENT... (1649) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Voir aussi C_7_58. Référence RIM : M0_3567 ; cote locale : A_8_44. le 2012-12-29 08:39:16.

de crier victoire dés les premieres desmarches, il
dit que nostre auant garde nous cause vne telle & si grande desroute, que le cœur nous en manquant
auec Spasme, le reste demeure à l’abandon.
Voila vn homme qui entend bien les termes de la
medecine de dire que le Spasme vient du manquement
de cœur, & c’est au contraire: car l’espasme
est vn retirement de nerfs, qui cause vne conuulsion
de membres, & des deffauts de cœur: ou si ie
ne me trompe, il dit, que le cœur nous en manque
auec spasme,

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Occurrence 66. Anonyme. LA RVINE DV MAL NOMMÉ, OV LE FOVDROYEMENT... (1649) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Voir aussi A_8_44. Référence RIM : M0_3567 ; cote locale : C_7_58. le 2012-12-29 08:47:16.

de crier victoire dés les premieres desmarches, il
dit que nostre auant garde nous cause vne telle & si grande desroute, que le cœur nous en manquant
auec Spasme, le reste demeure à l’abandon.
Voila vn homme qui entend bien les termes de la
medecine de dire que le Spasme vient du manquement
de cœur, & c’est au contraire : car l’espasme
est vn retirement de nerfs, qui cause vne conuulsion
de membres, & des deffauts de cœur : ou si ie
ne me trompe, il dit, que le cœur nous en manque
auec Spasme,

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Occurrence 67. Anonyme. LA VERITABLE CONDVITE DV COVRTISAN GENEREVX. (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 14 pages. Langue : français. Voir aussi A_5_107. Référence RIM : M0_3925 ; cote locale : C_1_18. le 2012-12-31 15:55:17.

cesse en action, & s’oppose directement aux decrets de sa
Sagesse comme de sa Prouidence, qui ordonna le trauail à
l’homme aussi-tost qu’il fut né, & ne le mist dans le Paradis
terrestre que pour en cultiuer les fruicts. D’ailleurs il est
constant que comme le Medecin expert & qui cognoist parfaitement
la necessité des membres qui sont au corps humain,
a beaucoup plus de soin de l’œil, du cœur ou de la teste, que
des autres parties moins nobles, ou moins considerables :
Qu’ainsi le genereux Courtisan qui considere son

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Occurrence 68. Anonyme. LA VERITABLE CONDVITE DV COVRTISAN GENEREVX. (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 14 pages. Langue : français. Voir aussi C_1_18. Référence RIM : M0_3925 ; cote locale : A_5_107. le 2012-12-31 15:56:38.

cesse en action, & s’oppose directement aux decrets de sa
Sagesse comme de sa Prouidence, qui ordonna le trauail à
l’homme aussi-tost qu’il fut né, & ne le mist dans le Paradis
terrestre que pour en cultiuer les fruicts. D’ailleurs il est
constant que comme le Medecin expert & qui cognoist parfaitement
la necessité des membres qui sont au corps humain,
a beaucoup plus de soin de l’œil, du cœur ou de la teste que
des autres parties moins nobles, ou moins considerables:
Qu’ainsi le genereux Courtisan qui considere son Prince

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Occurrence 69. Anonyme. LE CHEVALIER CHRESTIEN PARLANT DES MISERES... (1649) chez Noël (François) à Paris , 23 pages. Langue : français. Voir aussi C_1_14. Référence RIM : M0_696 ; cote locale : E_1_122. le 2012-09-03 14:43:01.

la place qu’elle tient
dans la France ; elle y est la Lieutenante d’vn Dieu-homme,
affin qu’elle y gouuerne auec douceur les Peuples
qu’il a commis à vostre conduitte. Il est des agitations
d’vn estat, comme des symptomes d’vn malade ;
vn sage Medecin ne s’oppose pas tousiours opiniâtrement
à ses inclinatiõs, il cede quelques fois à ses appetits,
quoy qu’ils soient contraires aux regles de son art, & s’il
cognoist que la seuerité de la medecine alteroit trop
notablemẽt son repos, il ne craint pas de

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Occurrence 70. Anonyme. LE CHEVALIER CHRESTIEN PARLANT DES MISERES... (1649) chez Noël (François) à Paris , 23 pages. Langue : français. Voir aussi C_1_14. Référence RIM : M0_696 ; cote locale : E_1_122. le 2012-09-03 14:43:01.

d’vn estat, comme des symptomes d’vn malade ;
vn sage Medecin ne s’oppose pas tousiours opiniâtrement
à ses inclinatiõs, il cede quelques fois à ses appetits,
quoy qu’ils soient contraires aux regles de son art, & s’il
cognoist que la seuerité de la medecine alteroit trop
notablemẽt son repos, il ne craint pas de condescendre à
sa foiblesse, par quelque relache d’vn rude regime. I’accorde
que les peuples ne sont pas tousiours entierement
sains, c’est l’office des Princes d’entreprendre leur cure,
mais elle

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Occurrence 71. Anonyme. LE CHEVALIER CHRESTIEN PARLANT DES MISERES... (1649) chez Noël (François) à Paris , 23 pages. Langue : français. Voir aussi C_1_14. Référence RIM : M0_696 ; cote locale : E_1_122. le 2012-09-03 14:43:01.

les peuples ne sont pas tousiours entierement
sains, c’est l’office des Princes d’entreprendre leur cure,
mais elle doit estre quelques fois accommodante à leur
foiblesse, si principalemẽt la rigueur est capable d’aigrir
vn mal qui s’irrité souuent par de fortes medecines : les
souleuemens qu’on croit justes, sont de cette nature ; ils
s’augmentent par opposition, & on les assoupit plustost
par la clemence que par la colere. C’est ce que Paris attend
de vostre bonté, MADAME, on ne pourroit pas dire,
que cette grande

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Occurrence 72. Carneau [signé]. LA PIECE DE CABINET, Dediée aux Poëtes du... (1649) chez Paslé (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission (dont texte au colophon, signé "Daubray" et daté du 14 mai 1648). Épître dédicatoire signée "Carneau" (nom repris dans la permission d'imprimer).. Référence RIM : M4_63 ; cote locale : C_8_24. le 2012-12-18 14:50:22.

ne suis que la gaine où ce glaiue liquide
Recele sa valeur & cache sa beauté :
Tant qu’il loge chez moy, i’ay de la vanité ;
Lors qu’il en sort, ie pleure, & deuiens toute aride.    
Ie porte en le portant, poison, & medecine,
Selon que l’abus regne, ou la discretion ;
Debitant le remede, & la corruption,
I’offense, & ie gueris la teste & la poitrine.    
C’est par luy qu’on me loüe, & que l’on me caresse ;
Luy seul fait que mon

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Occurrence 73. Carneau [signé]. LA PIECE DE CABINET, Dediée aux Poëtes du... (1649) chez Paslé (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission (dont texte au colophon, signé "Daubray" et daté du 14 mai 1648). Épître dédicatoire signée "Carneau" (nom repris dans la permission d'imprimer).. Référence RIM : M4_63 ; cote locale : C_8_24. le 2012-12-18 14:50:22.

enrichy sa veine ?    
Si tost que son esprit sentoit la pituite
Offusquer tant soit peu ses nobles fonctions,
I’accourois au secours de ses conceptions,
Dont il m’attribuoit la gloire & le merite.    
Fuyant la medecins, & ses plus sçauans Maistres
Qui m’esloignoient de luy pour conseruer ses yeux,
Il iugeoit leurs auis, sots & pernicieux
De nuire au bastiment pour sauuer les fenestres.    
Le copieux Ronsard, l’industrieux

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Occurrence 74. I. A. D.. IMPORTANTES VERITEZ POVR LES PARLEMENS.... (1649) chez Villery (Jacques) à Paris , 107 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_1686 ; cote locale : C_5_59. le 2012-11-06 08:58:24.

par nos Edits & Ordonnances, ny iuger
en dernier ressort ny souuerainement aucun
procés, quelques lettres attributiues de iurisdiction
& renuoy qui leur puisse estre fait, le tout à peine
de nullité.   LES Anciens qui ont rapporté l’inuention de la
Medecine aux Dieux, pour attribuer l’Art de conseruer
les hommes à la mesme puissance qui les auoit
produits, ont dit qu’Apollon le Pere & l’Autheur
de cette science Celeste, auoit engendré deux Enfans,
Esculape pour la Medecine des particuliers, &
Platon

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Occurrence 75. I. A. D.. IMPORTANTES VERITEZ POVR LES PARLEMENS.... (1649) chez Villery (Jacques) à Paris , 107 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_1686 ; cote locale : C_5_59. le 2012-11-06 08:58:24.

qui ont rapporté l’inuention de la
Medecine aux Dieux, pour attribuer l’Art de conseruer
les hommes à la mesme puissance qui les auoit
produits, ont dit qu’Apollon le Pere & l’Autheur
de cette science Celeste, auoit engendré deux Enfans,
Esculape pour la Medecine des particuliers, &
Platon pour celle des Estats & des Republiques, parce
que ce diuin Philosophe estoit grandement versé
dans la Politique, qu’il auoit apprise de Socrate
ce grand Maistre de l’ancienne sagesse, luy duquel
on disoit, qu’ayant trouué

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Occurrence 76. I. A. D.. IMPORTANTES VERITEZ POVR LES PARLEMENS.... (1649) chez Villery (Jacques) à Paris , 107 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_1686 ; cote locale : C_5_59. le 2012-11-06 08:58:24.

quoy les Atheniens ont obserué,
que Platon estoit né le mesme iour qu’on celebroit
parmy eux la Feste de la naissance d’Apollon,
& pretendoient ne faire point d’iniure à cette
Diuinité, de ioindre la naissance du plus grand Politique,
auec celle du Pere de la Medecine, parce que
tous les beaux discours de sa Philosophie ne tendoient
qu’à conseruer & maintenir les Royaumes,
les Prouinces & les Citez. Aussi ayant remarqué dés
l’entrée que le Parlement est né auec la Monarchie,
ie ne crois point faire iniure à la

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Occurrence 77. L. G. [signé]. LA RESPONSE DES PARTISANS A LEVR CATALOGVE.... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Signé et daté du 22 avril 1651, au colophon.. Référence RIM : M0_3420 ; cote locale : D_1_48. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-12-27 14:37:48.

au reste des hommes
en parle qui voudra, mais dans le fonds
ce n’est que moy a y pouuoir atteindre, & ie
veux que dans toutes les Biblioteques du
monde mon nom y soit en aussi grande reuerence
que si i’auois composé toute la Philosophie
la Iuris prudence la medecine & la
Theologie ie suis l’honneur de ce temps le
precepteur des foux l’exemple & le guide de
tous les feneants, mais apres auoir par vn admirable
nombre d’années arpenté le Pont
neuf la grande Sale du Palais, le Louure, & le

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Occurrence 78. Lanauze,? [signé]. LA LEVÉE DV SIEGE DE VILLENEVVE... (1652) chez Vivenay (Nicolas) à Paris , 7 pages. Langue : français. Sur un imprimé à Bordeaux. Signé au colophon.. Référence RIM : M0_2298 ; cote locale : B_14_37. le 2012-12-09 06:32:12.

que celle de tous leurs biens, & des coups plus
rudes que ceux des Canons de Monsieur le Comte
d’Harcour. Mais tout de bon, rien n’estoit
capable de les ébranler ; Le siege ne fut pas si-tost
posé deuant cette Ville, qu’il commença de se
bien porter ; Les Medecins de ce pays, bien informez
de la constitution & du bon temperament
des Assiegez, asseurerent deslors qu’il se leueroit
bien-tost. Et certes il ne falloit pas estre fort sçauant
pour faire ces pronostics ; Il n’y eut que Monsieur
le Comte d’Harcour de

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Occurrence 79. Loret, Jean [?]. LA CINQVIESME GAZETTE DV TEMPS. EN VERS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français. Partie 5 sur 8. Ensemble de B_18_23 à B_18_30.. Référence RIM : M0_1471 ; cote locale : B_18_27. le 2012-11-03 15:20:04.

pas dauantage,    
Dans Paris, grand & vaste corps
Si remply d’infames discords
La fievre ardante & continuë
Aucunement ne diminuë
Elle regne quasi par tout
Et pousse plusieurs gens a bout    
Les medecins font bien leur orges
Car les maux de teste & de gorges
Sont en nombre presque Infiny
Madame mesme de Rosny
Au grand regret de sa famille
Et sur tout de sa chere fille    
Qu’on ne sçauroit aymer assez

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Occurrence 80. Morgues, Mathieu de [?]. BONS ADVIS SVR PLVSIEVRS MAVVAIS ADVIS. ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_594 ; cote locale : A_9_13. le 2012-05-20 08:09:53.

raison: Nous
dirons à ces Messieurs ce que Ciceron écriuoit à son
amy. Vous voulez que la republique perisse, non seulement
par ses playes que vous découurez: mais par les emplastres
que vous y appliquez; & ne voyez pas que le
malade mourra certainement, si les Medecins empoisonnent
les remedes. Le venin qu’on y mesle
vient de la vengeance, du faux zele, de l’interest particulier,
de la corruption, des sottes complaisances &
foles amitiez, qui forment les conspirations, & sont
les ennemies mortelles des fideles &

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Occurrence 81. P. D. B. D. P. [signé]. HARANGVE EN PROVERBES, FAITE A LA REINE, Par... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1562 ; cote locale : B_15_41. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-10-27 10:08:51.

cet Estat luy sembloient prester la main pour le
conduire : comme il ne demandoit pas de meilleur
pays, il ne s’en fit pas long-temps tirer l’oreille
ny prier deux fois, & ramassa tout ce
qu’il pût trouuer en ce païs, de vauriens, & de
gens abandonnez des Medecins comme luy, il
prit soudain ses jambes à son col, & s’en reuint
icy comme Diable à vieux moulin, plus gay que
Perrot, plus resolu que Bartole, & plus affilé
qu’vne dague de plomb. Il esperoit bien à son retour
faire comme on dit, monts

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Occurrence 82. P. D. P. P., Carigny (sieur... . LA VERITABLE APPARITION D’HORTENSIA... (1649) chez Sara (Robert) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi B_13_67 et C_10_44. Référence RIM : M0_3919 ; cote locale : A_5_102. le 2012-12-31 15:50:35.

de l’auertissement de Solon
que lors qu’il se vid sur le buscher. Il est tres-certain que le
plus grand de tes malheurs est de n’auoir aucun commerce
auec les belles lettres, & de n’auoir point appris que comme
la trop grande santé des Athletes est suspecte aux Medecins,
le plus haut poinct de la felicité est suspect au Sage. Pour
moy ie ne m’estonne pas de ton malheur, car ie sçay que tu as
tousiours suiuy la mauuaise pente de la nature, & que tu n’as
iamais presté l’oreille aux conseils de ta mere. C’est faire

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Occurrence 83. P. D. P. P., Carigny (sieur... . LA VERITABLE APPARITION D’HORTENSIA... (1649) chez Sara (Robert) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi A_5_102 et C_10_44. Référence RIM : M0_3919 ; cote locale : B_13_67. le 2012-12-31 15:52:36.

de l’auertissement de Solon
que lors qu’il se vid sur le buscher. Il est tres-certain que le
plus grand de tes malheurs est de n’auoit aucun commerce
auec les belles lettres, & de n’auoir point appris que comme
la trop grande santé des Athletes est suspecte aux Medecins,
le plus haut poinct de la felicité est suspect au Sage. Pour
moy ie ne m’estonne pas de ton malheur, car ie sçay que tu as
tousiours suiuy la mauuaise pente de la nature, & que tu n’as
iamais presté l’oreille aux conseils de ta mere. C’est faire

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Occurrence 84. P. D. P. P., Carigny (sieur... . LA VERITABLE APPARITION D’HORTENSIA... (1649) chez Sara (Robert) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi A_5_102 et B_13_67. Référence RIM : M0_3919 ; cote locale : C_10_44. Texte édité par Site Admin le 2012-12-31 15:51:10.

de l’auertissement de Solon
que lors qu’il se vid sur le buscher. Il est tres-certain que le
plus grand de tes malheurs est de n’auoir aucun commerce
auec les belles lettres, & de n’auoir point appris que comme
la trop grande santé des Athletes est suspecte aux Medecins,
le plus haut poinct de la felicité est suspect au Sage. Pour
moy ie ne m’estonne pas de ton malheur, car ie sçay que tuas
tousiours suiuy la mauuaise pente de la nature, & que tu n’as
iamais presté l’oreille aux conseils de ta mere. C’est faire tout

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Occurrence 85. Pellaut, Philippe [signé]. CODICILLE ET SVITE DV TESTAMENT de... (1651) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_705 ; cote locale : B_6_3. le 2012-05-20 08:08:01.

nommé & nomme la personne de Monsieur
le President de Nesmond, lequel elle prie
de vouloir prendre la peine. Car ainsi &c.
promettante, renonçante, presence de Me.
Iean de Ferrier Docteur en Theologie, Seigneur
de Cambray, noble homme Paul
Dubé Docteur en Medecine, & venerable
& discrete personne Monsieur Iacques Marchandon
Prestre, Chantre & curé dudit
Chastillon, tesmoins à ce appellez, lesquels
auec madite Dame Princesse, ont signé la
minutte des presentes auec ledit Curé suiuant
l’ordre. Signé

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Occurrence 86. Pellaut, Philippe [signé]. CODICILLE ET SVITE DV TESTAMENT de... (1651) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_705 ; cote locale : B_6_3. le 2012-05-20 08:08:01.

les ans pour l’entretien
de la Charité de Chantilly establie
par madite Dame Princesse, mil liures par
an, à prendre sur le reuenu de ladite terre,
pour l’entretien, nourriture, & soulagement
des pauures. Plus madite Dame donne au sieur Guenault
son Medecin pour &c. la somme de
trois mil liures. Laquelle augmentation a esté leuë, & releuë
à madite Dame Princesse, ensemble le
testament cy-dessus, lesquels elle a dit auoir
bien entendu estre sa volonté, declarant qu’elle nomme ledit

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Occurrence 87. Anonyme. LA VERITABLE LEVEE DV SIEGE D’ESTAMPES,... (1652) chez Brunet (Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_3940bis ; cote locale : B_19_41. le 2013-01-01 02:50:04.

de la
Ferté Senneterre, afin qu’il luy enuoyast diligemment
le plus de gens qu’il luy seroit possible. Et vn troisiesme à Monsieur le Duc de Vendosme,
pour qu’il hastast le secours qu’il luy a
promis, mais ie croy que ce sera apres la mort le
Medecin : car l’armée du Duc de Loraine qui a
passé la riuiere, comme tout le monde sçait, va
se camper vers Iuuisy, pour attendre celle de
Monsieur le Comte de Tauanes, & apres leur
ionction marcher droit vers l’armée.   Ils font courrir vn bruit de la

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Occurrence 88. Anonyme. LA VERITÉ PRONONÇANT SES ORACLES sans... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Première partie. Voir aussi B_17_19 (2e partie). Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_3998 ; cote locale : B_17_18. le 2013-01-05 06:06:55.

au pont au Change, estoit sans doute quelque
bastard d’Angleterre ; l’Estat ayme son Roy, & ne
veut point changer de gouuernement. Il est vray
qu’il a bon besoin d’estre purgé, mais pour se guerir
il n’est pas besoin qu’il fasse corps nouueau. Le Medecin
qui luy ordonneroit des remedes pour ce
changement, auroit luy mesme besoin de sa recepte. L’Estat se remettra s’il veut se reünir, La reünion
ne peut estre causée que par l’esloignement de ceux
ou celles qui le diuisent ? Que faut il faire pour

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Occurrence 89. Anonyme. LA VICTOIRE DE PALLAS, ET LE TRIOMPHE DES... (1649) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_4024 ; cote locale : C_10_47. le 2013-01-07 14:43:57.

victoires, les limites de leur domination,
les mœurs, les coustumes, les viandes,
les loix, leur façon d’habillemens, leur
Religiõ, leurs ceremonies, leurs exercices, sinõ
par l’organe de ceux qui en ont escrit, & qui
ont frequenté ces pays. Nos plus habilles Medecins
seroient peut estre ignorans sans les
Liures Dypocrate & de Gallien : Nos plus
grands Iurisconsuls auroient peine à resoudre
d’vn poinct de Droict sans la connoissance de
Cujas : Et les vns comme les autres, ne sont
pas estimés s’ils ne sçauent

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Occurrence 90. Anonyme. LA VISION PROPHETIQVE DE STE GENEVIEFVE,... (1649) chez Dupont (Pierre) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_4037 ; cote locale : A_5_105. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-01-07 15:20:12.

de la Ville de Paris, cuidemment
accomplie dans l’Estat des affaires
presentes. Ab incursu & dæmonio meridiano. Qv’il est bien vray! que Dieu Tout-puissant & tout
bon a des maximes bien differentes de celles des
hommes; si vous considerez les Medecins visitans
quelque malade, vous leur verrez à la verité prendre
assez de peine à soulager la violence de son mal, tant qu’il
iugeront que les remedes pourront encore faire quelque effect;
mais dés aussi-tost que la fiebure ou la douleur qui domine s’irrite

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Occurrence 91. Anonyme. LA VISION PROPHETIQVE DE STE GENEVIEFVE,... (1649) chez Dupont (Pierre) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_4037 ; cote locale : A_5_105. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-01-07 15:20:12.

n’ont esté faits qu’en faueur des miserables infirmes, qui ne pouuoient
esperer aucun secours des hommes, l’Aueugle-né, le Paralytique,
la fame affligée du flux de sang, le Lepreux, & le malade
de la Piscine n’estoient pas des pratiques propres pour les
Medecins: Mais si nous considerons la resurrection du Lazare,
qui surpasse tous les autres miracles, nous admirerons que le
pouuant bien secourir dans sa maladie, il voulut temporiser iusques
à sa mort, & permit mesme que la pourriture s’emparast de
son corps, afin de

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Occurrence 92. Anonyme. LA VISION PROPHETIQVE DE STE GENEVIEFVE,... (1649) chez Dupont (Pierre) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_4037 ; cote locale : A_5_105. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-01-07 15:20:12.

rendre grace à cette
Saincte si zelé à sa Protection, puisque les miracles qu’elle a fait
apres sa mort, cõme la guarison de tant de fievres pestilentieuses,
les salubritez de l’air obtenuës pour les biens de la terre, & cette
fameuse guarison dés Ardans, ou les Medecins pour en ignorer la
cause, ne pouuoient apporter de remedes, nous tesmoignent assez
quelle nous ayant laissé sa Chasse pour arres de son affection,
nous ne deuons iamais desesperer de son secours, quand nos miseres
seroient entierement desesperées. Mais comme

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Occurrence 93. Anonyme. LE BON BOVRGEOIS DE LA PARROISSE DES SAINCTS... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 11 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_584 ; cote locale : B_17_7. le 2013-06-11 15:04:05.

mode, que les Chartreux iugeassent
les procez en dernier ressort, que les Sergents
du Chastelet passassent les Docteurs en Theologie ; Que les Curez & simples Prestres fussent autant que
les Euesques & Cardinaux ; Que les Mareschaux fissent
les Medecins, les Apoticaires les Escuyers, & les Nottaires
les Maistres d’escrime ; En vn mot, afin que tous Estats
depuis le plus grand iusques au plus petit, se ressentissent
de ma belle reformation ; ie serois d’aduis
que chacun changeant de robbe vos bons amys

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Occurrence 94. Anonyme. LE BON FRANÇOIS AV VERITABLE MAZARIN... (1651) chez Vivenay (Nicolas) à Paris , 19 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_588 ; cote locale : B_20_22. le 2013-02-09 02:12:06.

malheur qui
puisse arriuer dans vn Estat ; Et si aujourd’huy
nous ressentons les suittes d’vn obstacle si peu
raisonnable ; Condemnera t’on le Parlement, &
tous les gens de bien qui ont simplement proposé
le mal, afin qu’il pleust au Roy d’en estre le
Medecin pour iustifier le Cardinal qui a voulu
authoriser la continuation des desordres, dont
on se plaignoit par des violances que nos mœurs
ne peuuent souffrir, & qui n’ont iamais esté receuës
dans des Monarchies temperées, & particulierement
dans la

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Occurrence 95. Anonyme. LE BON-HEVR DE LA FRANCE, EN LA MORT DE... ([s. d.]) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_595 ; cote locale : A_3_8. le 2013-06-15 11:11:38.

sorte de compagnie, au lieu qu’vn homme infame en
est honteusement chassé; D’où vient qu’anciennement les
Romains ayant interdit aux meschans la conuersation des
gens de bien, on les fuyoit par tout comme le feu & l’eau: le
contraire n’est permis qu’aux Medecins, qui seuls ont la liberté
de conuerser auec les malades. La 3. raison, c’est que l’honneur nous donne le moyen de
seruir le prochain: Pour le voir, remarquez qu’il y a de deux
sortes de graces, l’vne est iustifiante, & l’autre gratuite; la

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Occurrence 96. Anonyme. LE CAMOVFLET DONNÉ A LA VILLE DE PARIS,... (1652 [?]) chez [s. n.] à Paris , 18 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_620 ; cote locale : B_14_10. le 2013-06-24 07:53:28.

DONNÉ A LA VILLE
DE PARIS,
pour la réveiller de sa
LETHARGIE.

A PARIS Le Camouflet donné à la Ville
de Paris, pour la réveiller
de sa Lethargie. SVrge qui dormis & exurge à mortuis, La
Medecine m’apprend qu’autant qu’vn
sommeil moderé est necessaire pour
maintenir la santé de l’homme, autant
la Lethargie est dommageable à sa conseruation ;
car si le sommeil met tous les sens dans vn repos
agreable, si c’est le remede de nos douleurs &

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Occurrence 97. Anonyme. LE CHEVALIER CHRESTIEN PARLANT DES MISERES... (1649) chez Noël (François) à Paris , 23 pages. Langue : français. Voir aussi E_1_122. Référence RIM : M0_696 ; cote locale : C_1_14. le 2013-06-30 17:05:30.

la place qu’elle tient
dans la France ; elle y est la Lieutenante d’vn Dieu-homme,
affin qu’elle y gouuerne auec douceur les Peuples
qu’il a commis à vostre conduitte. Il est des agitations
d’vn estat, comme des symptomes d’vn malade ;
vn sage Medecin ne s’oppose pas tousiours opiniâtrement
à ses inclinatiõs, il cede quelques fois à ses appetits,
quoy qu’ils soient contraires aux regles de son art, & s’il
cognoist que la seuerité de la medecine alteroit trop
notablemẽt son repos, il ne craint pas de

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Occurrence 98. Anonyme. LE CHEVALIER CHRESTIEN PARLANT DES MISERES... (1649) chez Noël (François) à Paris , 23 pages. Langue : français. Voir aussi E_1_122. Référence RIM : M0_696 ; cote locale : C_1_14. le 2013-06-30 17:05:30.

d’vn estat, comme des symptomes d’vn malade ;
vn sage Medecin ne s’oppose pas tousiours opiniâtrement
à ses inclinatiõs, il cede quelques fois à ses appetits,
quoy qu’ils soient contraires aux regles de son art, & s’il
cognoist que la seuerité de la medecine alteroit trop
notablemẽt son repos, il ne craint pas de condescendre à
sa foiblesse, par quelque relache d’vn rude regime. I’accorde
que les peuples ne sont pas tousiours entierement
sains, c’est l’office des Princes d’entreprendre leur cure,
mais elle

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Occurrence 99. Anonyme. LE CHEVALIER CHRESTIEN PARLANT DES MISERES... (1649) chez Noël (François) à Paris , 23 pages. Langue : français. Voir aussi E_1_122. Référence RIM : M0_696 ; cote locale : C_1_14. le 2013-06-30 17:05:30.

que les peuples ne sont pas tousiours entierement
sains, c’est l’office des Princes d’entreprendre leur cure,
mais elle doit estre quelquesfois accommodante à leur
foiblesse, si principalemẽt la rigueur est capable d’aigrir
vn mal qui s’irrite souuent par de fortes medecines : les
souleuemens qu’on croit justes, sont de cette nature ; ils
s’augmentent par opposition, & on les assoupit plustost
par la clemence que par la colere. C’est ce que Paris attend
de vostre bonté, MADAME, on ne pourroit pas dire,
que cette grande

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Occurrence 100. Anonyme. LE COVRIER DE LA COVR Apportant les... (1649) chez Musnier (veuve d'André) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Il s'agit de la seconde partie, la première étant intitulée avec les dates du 15 au 22 mars 1649.. Référence RIM : M1_76 ; cote locale : C_2_41. le 2013-07-08 09:16:55.

VERS BVRLESQVES.  
DANS le Lundy vingt deuxiesme
La Reyne à cause du Caresme,
Demeura malade en son lict
Ainsi que mon amy m’écrit,
Toute la Cour fut bien troublée,
Mais à l’instant fut consolée
Par le discours d’vn Medecin
Qui fit entendre au Mazarin
Que dans demain la bonne Reyne
Seroit hors de mal & de peine,
Il quitta bien-tost le rancœur
Qu’il auoit conceu dans son cœur,
Ce Medecin fut bon Prophete,
La Reyne ce iour-là fut preste
De faire sa

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Occurrence 101. Anonyme. LE COVRIER DE LA COVR Apportant les... (1649) chez Musnier (veuve d'André) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Il s'agit de la seconde partie, la première étant intitulée avec les dates du 15 au 22 mars 1649.. Référence RIM : M1_76 ; cote locale : C_2_41. le 2013-07-08 09:16:55.

troublée,
Mais à l’instant fut consolée
Par le discours d’vn Medecin
Qui fit entendre au Mazarin
Que dans demain la bonne Reyne
Seroit hors de mal & de peine,
Il quitta bien-tost le rancœur
Qu’il auoit conceu dans son cœur,
Ce Medecin fut bon Prophete,
La Reyne ce iour-là fut preste
De faire sa deuotion
Ne sentant plus d’affliction,
Elle a mortit vne querelle
Qui bien souuent se renouuelle
Entre son Ministre Italien,
Et la riuiere qui n’a rien
Que

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Occurrence 102. Anonyme. LE COVRRIER BOVRDELOIS, APPORTANT LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Voir aussi C_1_44 (parties 1 à 3). Référence RIM : M0_811 ; cote locale : B_6_37. le 2013-02-09 09:44:59.

Madame
la Princesse;
Et celles de l’Estat des Affaires
de la Guyenne. De Bordeaux le 26. Septemb. 1652. LA nuict du 19. au 20. de ce mois dans
l’Archeuesché de cette Ville, Madame
la Princesse accoucha heureusement
d’vn enfant masle, que les Medecins, quoy
qu’ils le iugent n’estre que de sept mois,
croyent estre de vie. Nos Habitans ont témoigné
par les Feux de loye qu’ils ont fait
sur les Fossez de l’Hostel de Ville, & dans les
Ruës, celle que leur donne la naissance de ce Prince

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Occurrence 103. Anonyme. LE DONNEZ-VOVS GARDE DV TEMPS QVI COVRT. (1652) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1172 ; cote locale : B_20_50. le 2013-07-20 08:10:43.

peu de Stations
Paules, Marcelles, Fabioles
Et de semblable Christicoles
De Saincts Hierosme encor moins :
Chassons encor tous faux tesmoins
Tous examents signez sans lire
Le Pescheur qui à toute main
Prend tout poisson auec son ain,
Les Medecins qui sont trop riches
Les Pharmacopoles trop chiches
Les Chirurgiens trop piteux
Les Pages qui sont trop honteux
Vne Nourrice trop songearde
Vne Nonain trop fretillarde
Vn Confesseur trop indulgent
Vn Connestable negligent
Vn

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Occurrence 104. Anonyme. LE DVEIL DE PARIS SVR L’ELOIGNEMENT du... (1649) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Le titre est imprimé avec l'orthographe "DVEIL".. Référence RIM : M0_1064 ; cote locale : C_2_54. le 2013-07-20 09:40:57.

sans fin tes immenses Estats.    
Ces chers restaurateurs de la santé perduë,
Dont l’art nous la conserue, ou nous la restituë,
Eux à qui la Nature ouure tous ses tresors,
Et qui du corps humain voyent tous les ressors :
Ces diuins Medecins qui consument leur vie
A rendre de nos iours la durée infinie,
Pour conseruer les tiens des rigueurs du tombeau,
Tacheront à trouuer quelque secret nouueau.    
Le Peintre glorieux de nous donner l’image
D’vn Ange humanisé, sur

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Occurrence 105. Anonyme. LE FIDELE EMPIRIQVE OV LE PVISSANT HELLEBORE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1387 ; cote locale : B_18_33. le 2013-07-20 11:06:53.

sang, &c. Qu’est il de faire la dessus ? voila de bien beaux pretextes ;
voila bien des maux dans l’Estat : les laissera-on inueterer ?
& se rendre incurables ? C’est vn chancre, qui deuorera
le Royaume, s’il n’y est pourueu. Voila des excellens
Medecins qui se presentent ; ils ne requierent que vostre
assistance, & vous verrez les bons effects de leur industrie,
& de la bonte de leur medicamens. Il ne faut point
laisser eschapper vne si belle occasion Le mal presse, & si
on n’y met bien tost la main, il

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Occurrence 106. Anonyme. LE FIDELE EMPIRIQVE OV LE PVISSANT HELLEBORE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1387 ; cote locale : B_18_33. le 2013-07-20 11:06:53.

les fautes
de ceux qui gouuernent, & s’ils ont erré en la moindre
chose, il en fait des horreurs : Il leur attribuë tous des
maux que la caducité d’vn Estat, ses humeurs corrompuës,
& sa mauuaise disposition ont accoustumé de former :
Il impute au medecin les fautes du malade, sa desobeyssance,
son déreglement, & sa mauuaise constitution.
Et n’en demeure point là, car s’il n’y a point de mal, il en
suppose. Il fait bien pis : Car les meilleures actions, il les
fait iuger mauuaises par ses cauillations &

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Occurrence 107. Anonyme. LE FILS DE L’IMPVDIQVE; ET LE PERFIDE... (1649) chez Langlois (Denis) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_10. Référence RIM : M0_1394 ; cote locale : A_3_60. le 2013-07-20 11:31:50.

Royale ne fût dauantage
foulée aux pieds par ces ministres de Satan, & les obliger de
reuenir à eux, & à la raison. Mais tant s’en faut que ces
Dieux sur la terre ayent operé à la conuersion de ce malheureux,
au contraire, il a changé la medecine en poison,
& par ses factions tres-dangereuses, a mis toutes choses dãs
vne combustion & desordre si grand, que pour y apporter
remede, cét Auguste Senat, dont il a tant de fois éprouué la
misericorde, est obligé d’y proceder dans les voyes de la

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Occurrence 108. Anonyme. LE FILS DE L’IMPVDIQVE ; ET LE PERFIDE... (1649) chez Langlois (Denis) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi A_3_60. Référence RIM : M0_1394 ; cote locale : C_5_10. le 2013-07-20 11:33:33.

Royale ne fût dauantage
foulée aux pieds par ces ministres de Satan, & les obliger de
reuenir à eux, & à la raison. Mais tant s’en faut que ces
Dieux sur la terre ayent operé à la conuersion de ce malheureux,
au contraire, il a changé la medecine en poison,
& par ses factions tres-dangereuses, a mis toutes choses dãs
vne combustion & desordre si grand, que pour y apporter
remede, cét Auguste Senat, dont il a tant de fois éprouué la
misericorde, est obligé d’y proceder dans les voyes de la

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Occurrence 109. Anonyme. LE FLAMBEAV D’ESTAT, AVEC LEQVEL TOVS LES... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 43 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1397 ; cote locale : B_11_17. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-07-20 11:39:58.

il faut tout autant qu’il vous sera possible, tascher
de le surmonter par vne vertu qui luy soit
absolument contraire, si vous voulez vaincre
l’ennemy qui vous persecute : Contraria contrariis curantur, dit le Prince des Philosophes en son
Traitté de la Medecine Scholastique. Et certes
si les Israëlites ne se fussent pas fait iustice eux-mesmes,
& qu’ils l’eussent attenduë de Roboam
de son conseil, ou finalement de ses Iuges ; ces
peuples n’auroient ils pas esté continuellement
dans vne estrange tyrannie ?

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Occurrence 110. Anonyme. LE FORT ET PVISSANT BOVCLIER DV PARLEMENT,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Datée, au colophon, du 23 mars 1649.. Référence RIM : M0_1402 ; cote locale : A_3_64. le 2013-07-20 16:50:53.

la poitrine descouuerte dans la sincerité de ses intentions, il la porte
desarmée resistant à ses aduersaires sans aucune alteration; car sçachant,
comme dit Seneque, au liure de la clemence, que les massacres
& les carnages sont aussi honteux au Prince que le sont au Medecin
les funerailles & les obseques; Tam turpe est principi multa supplicia
quam Medico multa funera, estant de l’humeur de Scipion, qui aymoit
mieux sauuer vn Citoyen que perdre mille ennemis, & voulant
se faire reconnoistre par leur douceur (qui est l’appanage,

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Occurrence 111. Anonyme. LE FOVRRIER DESTAT, MARQVANT LE LOGIS d’vn... (1652) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1407 ; cote locale : B_14_36. le 2013-07-20 17:18:56.

cy il y a des Montaignes, des Riuieres, des Mers,
des Campagnes, des Animaux, des Hommes,
des Villes, & par consequent des Estats Lunatiques.
Cette opinion a esté Premierement soustenuë
dans Rome iusques au feu exclusiue par
Galilej. I’ay conneu vn sçauant Medecin dans la
ville qui prenoit grand peine à me demonstrer
l’vniformité de nostre terre acec la Lune, & ce
grand Docteur Prouancal, Monsieur Cassandi
ne trauailloit pas moins dans le College Royal,
en sorte qu’il se demit vne jambe descendant de
sa chaire

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Occurrence 112. Anonyme. LE FOVRRIER DESTAT, MARQVANT LE LOGIS d’vn... (1652) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1407 ; cote locale : B_14_36. le 2013-07-20 17:18:56.

de trois Figures qui representẽt Louy ; 13. La Reine
& Louys 14 cettuy cy tient vn Sceptre abbaissé
de quoy l’autre semble estre faché, & la Reine
mettant la main sur sa poitrine veut dire que
c’est par sa faute.   Par ordonnance des Medecins Politiques, la
France doit changer d’air autrement demeurer
aux Incurables. Le Roy, ne peut auoir de demeure fixe qu’a S.
Denys, le Duc d’Anjou, à S. Cloud. La Reine, à Mont-martre. Le Mazarin, à Monfauçon Le Conseil au quinze-vingts,

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Occurrence 113. Anonyme. LE FRANC BOVRGEOIS DE PARIS, Monstrant les... (1652) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1408 ; cote locale : B_17_2. le 2013-07-24 07:58:51.

ce qui regarde les abus & excez extraordinaires
des meusniers & boulangers, ils allegueront
sans doute, que les changemens des
moindres choses, quoy que dommageables, sont quelquefois de dangereuse consequence, ce qu’ils
appuyeront du precepte des Medecins, notamment
d’Hypocrate, qui dit, que si des corps malades
sont accoustumez à viures d’alimens mauuais,
& mal-sains, bien que par l’vsage d’iceux le
mal s’augmente, il vaut mieux les laisser dans l’vsage
des mauuais alimens ausquels ils sont

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Occurrence 114. Anonyme. LE FRANC BOVRGEOIS DE PARIS, Monstrant les... (1652) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1408 ; cote locale : B_17_2. le 2013-07-24 07:58:51.

ces considerations s’empescher de les appliquer,
& si l’application s’en peut faire en vn
temps plus fauorable, que lors que le malade
connoissant & estant pressé de son mal, demande
luy mesme & est prest & resolu de souffrir la
plus dure cure que le Medecin voudra luy ordonner.   Iamais il n’a esté plus necessaire, & ny la conjoncture
plus fauorable pour faire vn bon reglement
contre les abus & excez des Meusniers & Boulangers, que maintenant que tout le peuple
en connoissant &

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Occurrence 115. Anonyme. LE GEANT SICILIEN TERRASSÉ PAR LES BONS... (1649) chez Vigne (Nicolas de La) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Avec permission. Voir aussi A_3_70. Référence RIM : M0_1473 ; cote locale : C_5_26. le 2013-07-24 16:05:37.

qui contenoient
les proprietez de tout ce qui est icy bas, si bien que ces
fables peuuent à bon droit estre nommez l’escole de
tous les arts & de toutes les sciences du monde. Les
vns cachoient adroitement la Theologie, les autres la
Philosophie, la Morale, ou la Medecine, mais celles-là
sur tous les autres ont eu plus de cours qui enseignoient à regler les mœurs. De sorte qu’on les a tousiours estimé
les plus necessaires pour la conuersation de la vie :
Plusieurs grands personnages de l’antiquité nous les
ont

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Occurrence 116. Anonyme. LE GEANT SICILIEN TERRASSÉ PAR LES BONS... (1649) chez Vigne (Nicolas de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_26. Référence RIM : M0_1473 ; cote locale : A_3_70. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-07-24 16:08:27.

qui contenoient
les proprietez de tout ce qui est icy bas, si bien que ces
fables peuuent à bon droit estre nommez l’escole de
tous les arts & de toutes les sciences du monde. Les
vns cachoient adroitement la Theologie, les autres la
Philosophie, la Morale, ou la Medecine, mais celles-là
sur tous les autres ont eu plus de cours qui enseignoient à regler les mœurs. De sorte qu’on les a tousiours estimé
les plus necessaires pour la conuersation de la vie:
Plusieurs grands personnages de l’antiquité nous les
ont

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Occurrence 117. Anonyme. LE GOVVERNEMENT DE L’ESTAT PRESENT, Où... (1652) chez [s. n.] à Paris , 13 pages. Langue : français. Voir aussi B_12_27. Référence RIM : M0_1502 ; cote locale : B_13_32. le 2013-07-27 15:53:31.

politique,
Est que tout vice estant égal
L’adultere est vn petit mal :
Mais pour punir cette coquette
Il luy rend ce qu’elle luy preste.
Si tu demandes des Herauts
Qui nous deliurent de nos maux,
Les Brezay & les Meslerayes
Sont les Medecins de nos playes ?
Si tu veux des foudres de Mars
Qui seruent de viuans rempars,
Coeslin dans la plaine campagne
Sert plus qu’vne haute montagne,
Courlay dans l’empire des flots
Fait vn grand rocher de son dos ;
Ces deux bosses preseruent

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Occurrence 118. Anonyme. LE GOVVERNEMENT DE L’ESTAT PRESENT, Où... (1652) chez [s. n.] à Paris , 13 pages. Langue : français. Voir aussi B_13_32. Référence RIM : M0_1502 ; cote locale : B_12_27. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-07-27 09:34:14.

politique,
Est que tout vice estant égal
L’adultere est vn petit mal
Mais pour punir cette coquette
Il luy rend ce qu’elle luy preste.
Si tu demandes des Herauts
Qui nous deliurent de nos maux,
Les Brezay & les Meslerayes
Sont les Medecins de nos playes ?
Si tu veux des foudres de Mars
Qui seruent de viuans rempars ;
Coeslin dans la plaine campagne
Sert plus qu’vne haute montagne,
Courlay dans l’empire des flots
Fait vn grand rocher de son dos ;
Ces deux bosses

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Occurrence 119. Anonyme. LE GOVVERNEMENT PRESENT, OV ELOGE DE SON... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1503 ; cote locale : C_4_27. le 2013-07-27 16:15:50.

qu’elle luy preste.
Voila les Ieannis, les Sullys,
Les Villeroy, les Sylleris,
Dont ce fier Tyran de la France
Consulte la rare prudence :
Si tu demande des Heraus,
Qui nous desliurent de nos maux,
Les Brezay & les Meillerayes
Sont les Medecins de nos playes :
Si tu veux des foudres de Mars,
Qui seruent de viuants rempars,
Coëslin dans la plaine campaigne
Sert plus qu’vne haute montaigne,
Courlay dans l’Empire des flots,
Faict vn grand rocher de son dos,
Ces deux bosses

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Occurrence 120. Anonyme. LE GRAND COMBAT DV PARLEMENT, ET DV CONSEIL... (1652) chez Ricard (Le Bossu) à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1506 ; cote locale : B_10_15. le 2013-07-27 16:32:24.

les secondent, sous l’autorité de Son Altesse Royalle la nature nous
force de faire de nous mesmes, tout ce que nous pouuons
pour nostre salut : en ces derniers temps, il est
arriué à cét Estat, vne maladie bien violente, &
bien dangereuse, dont les Medecins ne connoissent
pas la douleur, ou du moin ne veulent pas la guerir.
Il y a long temps qu’ils entendent la clameur du pauure
peuple oppressé, il y a long temps qu’ils ont veu
cét Estat à la mercy de son infortune : Car puis que
c’est le Parlement qui fait

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Occurrence 121. Anonyme. LE GVERRIER POLITIQVE; DISCOVRS QVI POVRRA... (1649) chez [s. n.] à Paris , 30 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1532 ; cote locale : A_3_74. le 2013-08-10 05:11:24.

DC. XLIX. LETTRE
DE MONSIEVR M. S. D. S. A.
A MONSIEVR
D. L. B. MONSIEVR, Ie m’jmaginois
qu’il estoit beaucoup
plus difficile de trouuer vn jeune
homme intelligent dans la Politique, que
dans la Medecine: Mais les remarques que i’ay faites sur toutes vos actions & vostre
conduitte, pendant le temps que nous
auons vescu ensemble m’ont tiré de
ceste erreur, & m’ont fait connoistre
que ceste Philosophie qui vous est si naturelle,
&

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Occurrence 122. Anonyme. LE GVIDE AV CHEMIN DE LA LIBERTÉ FAISANT... (1652) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Pièce 27 sur les 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1534 ; cote locale : B_3_23. le 2013-08-10 06:30:50.

& mesme de nostre
temps chez nos voisins.   Iam proximus ardet,
Vlcalegon. Il seroit bien difficile, quelque changement
qui suruint au nostre, qu’il nous arriuast encore
pire, nos maux estant paruenus à la derniere periode
de leur violence, que les Medecins appellent
acmé. Si nous iettõs les yeux hors du Royaume,
nous verrons par quelle sorte de gouuernement
les peuples viuent heureux & mal heureux,
& ie m’asseure qu’vn chacun pourra dire, Video meliora proboque,
Deteriora

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Occurrence 123. Anonyme. LE IVGEMENT DONNÉ CONTRE LES TRAITTANS,... (1649) chez Cotinet (Arnould) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_1771 ; cote locale : C_5_71. le 2013-09-03 16:12:45.

par le Procureur desdits accusez, pour estre exoniez
à cause de leur maladie & grande indisposition causée
d’apprehension & de crainte, & pour raison de quoy ils
se sont absentez promptement sur la desroute de leurs
affaires, suiuant l’attestation des Medecins employez
à faire la cure des maux qu’ils ont faits : ladite Requeste
par nous ordonnée estre iointe au procez, pour en
iugeant y auoir tel esgard que de raison : conclusions
ciuiles desdits demandeurs deuëment signifiées aux accusez
au domicile de leur

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Occurrence 124. Anonyme. LE MATHOIS OV MARCHAND MESLE PROPRE A TOVT... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_2420 ; cote locale : C_4_51. le 2013-09-21 05:13:46.

seaux vne ance
Arracher dents sans doleance ;
Bon Mathois qui sçay faire tout
Mettre la piece aupres du trou,
Mesurer bled, orge, & auayne,
Sans Barbier ie saigne la veine,
Et guaris les chats de la toux.
Ie sçay prendre les Lougaroux,
Medeciner cheuaux & mules,
Et n’est de medecines nulles
Dont ie n’aye l’experiment.
Ie sçay compter, or & argent
Mieux qu’autre qui soit en la France.
Ie guaris femmes de la dance
Auecq’herbe qui croist au boys,
I’oste bien aux

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Occurrence 125. Anonyme. LE MATHOIS OV MARCHAND MESLE PROPRE A TOVT... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_2420 ; cote locale : C_4_51. le 2013-09-21 05:13:46.


Bon Mathois qui sçay faire tout
Mettre la piece aupres du trou,
Mesurer bled, orge, & auayne,
Sans Barbier ie saigne la veine,
Et guaris les chats de la toux.
Ie sçay prendre les Lougaroux,
Medeciner cheuaux & mules,
Et n’est de medecines nulles
Dont ie n’aye l’experiment.
Ie sçay compter, or & argent
Mieux qu’autre qui soit en la France.
Ie guaris femmes de la dance
Auecq’herbe qui croist au boys,
I’oste bien aux chiens les aboys,
En leurs frottant les reins

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Occurrence 126. Anonyme. LE MEDECIN POLITIQVE, QVI DONNE VN souuerain... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 60 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2439 ; cote locale : B_18_6. le 2013-02-09 14:52:14.

LE
MEDECIN
POLITIQVE,
QVI DONNE VN
souuerain Remede, pour
guerir la France malade
à l’extremité. Honora medicum propter necessitatem.

M. DC. LII. LE
MEDECIN
POLITIQVE,
QVI DONNE VN

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Occurrence 127. Anonyme. LE MEDECIN POLITIQVE, QVI DONNE VN souuerain... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 60 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2439 ; cote locale : B_18_6. le 2013-02-09 14:52:14.

LE
MEDECIN
POLITIQVE,
QVI DONNE VN
souuerain Remede, pour
guerir la France malade
à l’extremité. Honora medicum propter necessitatem.

M. DC. LII. LE
MEDECIN
POLITIQVE,
QVI DONNE VN SOVVERAIN
Remede, pour guerir la France
malade à l’extremité. Honora medicum propter necessitatem.  
IE ne fais point le grand Phebus
Pour remplir le monde d’abus,
Et faire valoir ma science,

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Occurrence 128. Anonyme. LE MEDECIN POLITIQVE, QVI DONNE VN souuerain... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 60 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2439 ; cote locale : B_18_6. le 2013-02-09 14:52:14.


L’Hippocrate, ou le Galien,
Pour gagner finement du bien,
Et le suis suffisament riche,
Sans auoir mis iamais d’affiche,
Ny iamais fait le Charlatan ;
N’en deplaise à l’Oruiotan,
Cardelin, Dupas, Carmeline,
Auec toute leur Medecine ;
Ie sçauons c’en que ie sçauons ;
Tous leurs remedes ne sont bons
Qu’à guerir vn mal ordinaire,
Et souuent d’vn Visionaire
Qui dans vn grand lict fait le veau,
Sans auoir du mal qu’au cerueau.
Enfin leurs drogues ne sont

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Occurrence 129. Anonyme. LE MEDECIN POLITIQVE, QVI DONNE VN souuerain... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 60 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2439 ; cote locale : B_18_6. le 2013-02-09 14:52:14.

ce n’est à peu de personnes,
Et souuent (ce qu’on craint le plus)
Font les Cimetieres bossus ;
Ou bien plustost (chose certaine)
C’est de l’onguent miton mitaine
Qui sur le corps d’vn animal,
Ne fait iamais ny bien ny mal :
Mais moy Medecin Politique
Ie possede vn Art autentique
Qui ne doit rien au grand Vallot,
Quoy qu’il soit le Royal falot
De l’Illustre Pharmacopée,
Dont il fait bien la Chrysopée.
Oüy c’est moy qui possede vn Art
Pour atraper vn fin Renard

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Occurrence 130. Anonyme. LE MEDECIN POLITIQVE, QVI DONNE VN souuerain... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 60 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2439 ; cote locale : B_18_6. le 2013-02-09 14:52:14.

cesse
Le beau sein de nostre Princesse :
mais empeschons le de manger,
Et tachons tous de soulager
Cette Reine en son lict captiue,
Qui paroist plus morte que viue
Ie ne fus iamais Escolier
Dans Paris, ny dans Montpelier,
Pour apprendre la Medecine,
Qu’on croit du monde la plus fine :
Mais pour guerir ce mal icy
Ie m’y connois bien Dieu mercy,
Vous iugerez de ma science
Par cette belle experience,
Fy de liures a fueilleter
I’en sçay plus qu’eux sans me vanter,

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Occurrence 131. Anonyme. LE MEDECIN POLITIQVE, QVI DONNE VN souuerain... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 60 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2439 ; cote locale : B_18_6. le 2013-02-09 14:52:14.

froter de la mesme sorte
Tous ces Chãcreaux & Chancrillons
Qui sont nés comme champignons,
En vne nuict, de cette tige,
Qu’on n’en laisse point de vestige
Ny du pere ny des enfans,
Des petits nonplus que des grands,
Il faut suiuant la Medecine
En oster toute la racine
De peur qu’on ne vid quelque iour
Le gros Chancre encor de retour,
Apres quoy, i’ay bonne esperance,
Que nostre malheureuse France
Recouurera tost la santé,
Et par consequent sa beauté.
On

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Occurrence 132. Anonyme. LE MEDECIN POLITIQVE, QVI DONNE VN souuerain... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 60 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2439 ; cote locale : B_18_6. le 2013-02-09 14:52:14.

illustre Princesse
A d’appas de force, & d’adresse,
Voila les merueilleux Effets,
Que mon Ordonnances aura faits,
Voila mon Souuerain Remede,
Paris, il est temps qu’on s’en ayde,
Il ne faut plus faire le fin.
Pour moy, i’ay fait le Medecin,
Maintenant (sans que ie m’en pique)
Ie vay faire le Politique,
Car c’est la double qualité,
Que i’ay prise sans vanité.
Puis qu’il faut que ie parle encore,
Parlons clair & sans Metaphore,
Pour que mon franc cœur soit

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Occurrence 133. Anonyme. LE MERCVRE DE LA COVR, OV HISTOIRE COMIQVE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Partie 5 sur 5. Ensemble de B_18_1 à B_18_5. Dans Choix I de Moreau. Référence RIM : M0_2452 ; cote locale : B_18_5. Texte édité par Site Admin le 2013-02-09 16:06:17.

ils estoient intitulez ainsi :   Sur la maladie des deux Parlemens,
par vn Bourgeois de Paris.  
Deux Parlemens, chose notoire,
Ont bien le Mazarin trompé,
Celuy de Pontoise a la foire,
L’autre à Paris est constipé.
Le Medecin, sage personne,
Pour tous deux mesme chose ordonne,
Et prononce ainsi sagement,
Selon la methode Françoise,
L’vn à besoin de lauement,
Pour le faire aller à Pontoise,
Et l’autre en a besoin aussi,
Mais pour le reserrer icy.

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Occurrence 134. Anonyme. LE MIROIR A DEVX-VISAGES OPPOSEZ, L’VN... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 16 pages. Langue : français. Coquille de date: "1644". Voir aussi A_6_15. Référence RIM : M0_2477 ; cote locale : C_6_23. le 2013-09-21 08:10:46.

de telle consequẽce fust-elle, qu’il ne
luy en eust declaré le secret : aussi le voyant mort, il en eut
vn tel ressentiment de douleur, qu’il fit tondre tous ses
cheuaux & mulets, fit ruiner & abbatre tous les plus hauts
edifices des villes, commanda que son Medecin pour ne
luy auoir sauué la vie fust crucifié ; deffẽdit que par vn lõg
temps il ne fust oüy dans ses armées aucun son de trompette
ny de tambours, comme aussi tant de concerts de
voix & d’instrumens de musique en ses Palais, & employa
dix mille

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Occurrence 135. Anonyme. LE MIROIR A DEVX-VISAGES OPPOSEZ, L’VN... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 16 pages. Langue : français. Coquille de date: "1644". Voir aussi C_6_23. Référence RIM : M0_2477 ; cote locale : A_6_15. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-09-21 08:07:05.

de telle consequence fust-elle, qu’il ne
luy en eust declaré le secret: aussi le voyant mort, il en eut
vn tel ressentiment de douleur, qu’il fit tondre tous ses
cheuaux & mulets, fit ruiner & abbatre tous les plus hauts
edifices des villes, commanda que son Medecin pour ne
luy auoir sauué la vie fust crucifier; deffendit que par vn lõg
temps il ne fust oüy dans ses armées aucun son de trompette
ny de tambours, comme aussi tant de concerts de
voix & d’instrumens de musique en ses Palais, & employa
dix mille

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Occurrence 136. Anonyme. LE MIROIR DES SOVVERAINS OV SE VOID L’ART... (1649) chez Noël (François) à Paris , 50 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2478 ; cote locale : C_6_21. Texte édité par Site Admin le 2013-09-21 15:31:57.

qu’ils ne donnent pas tout à fait au
milieu du but où ils visent ; pourueu qu’ils suiuent
l’ordre qui leur a esté prescrit par la mesme
iustice, ils ne sçauroient estre équitablemẽt
blasmez de personne. Le maistre Pilote transporté
par la tempeste, & le Medecin vaincu
par la maladie, ne sont pas moins à estimer, si
l’vn a bien gouuerné son vaisseau, & si l’autre a
bien conduit son malade. Ceux qui sont appuyez
de la vertu du Seigneur, ne perdent iamais
courage ; ils souffrent genereusement
tous les reuers

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Occurrence 137. Anonyme. LE MIROIR FRANÇOIS REPRESENTANT LA FACE DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2480 ; cote locale : C_6_22. le 2013-09-21 15:43:02.

Et si ie pati, si i’endure
vne extréme necessité, pourquoy ne me plaindray-ie pas en mes trauaux :
Pensez-vous que pour vous estre inferieur en authorite, i’aye
moins de cognoissance de vos fautes ? Croyez que le malade iuge mieux
que tout autre de la suffisance de son medecin, & la vertu du Soleil se cognoist mieux sous la Zone temperee que fous la Torride.   Cecy seruira de response aussi à ce grand homme de guerre, qui vouloit
que les yeux & la bouche close, ie souffrisse toutes les indignitez
de ses compagnons,

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Occurrence 138. Anonyme. LE MONOPOLEVR RENDANT GORGE. (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore) et Maucroy (Estienne) à Paris , 7 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_2491 ; cote locale : A_6_23. le 2013-09-21 16:00:03.

GORGE.

A PARIS,
Chez la Veufue THEOD, PEPINGVÉ, & EST.
MAVCROY, ruë de la Harpe, vis à vis
la ruë des Mathurins.

M. DC. XLIX. LE
MONOPOLEVR
RENDANT GORGE. LE pere de la Medecine Hypocrate, semble auoir
reduit tout cet art en deux points, à sçauoir à adjouster
au corps humain les choses bõnes qui luy manquent,
& oster les mauuaises qui luy nuisent. Il traite
de toutes en general, suiuant cette methode, & en patticulier
parlant

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Occurrence 139. Anonyme. LE MONOPOLEVR RENDANT GORGE. (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore) et Maucroy (Estienne) à Paris , 7 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_2491 ; cote locale : A_6_23. le 2013-09-21 16:00:03.

ont du ressentiment les vnes pour les autres, il y
a vn commerce tout particulier entre le cerueau, la langue,
& le ventricule, qui fait que leurs affections sont communes,
& de là vient que ceux qui ont la fievre, ont pour l’ordinaire
mal de teste, & le Medecin fait tirer la langue à son malade
pour descouurir par sa couleur, ou par l’humeur dont elle
est chargée celle qui est dans le ventricule. Pour cette mesme
cause l’yurognerie attaque tousiours ces trois parties; l’vne
ne se sent pas plustost des accidens du vin,

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Occurrence 140. Anonyme. LE MONOPOLEVR RENDANT GORGE. (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore) et Maucroy (Estienne) à Paris , 7 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_2491 ; cote locale : A_6_23. le 2013-09-21 16:00:03.

& faire
quites des humeurs qui les chargent, & si elles ont assez
de force pour les mettre dehors, les voila hors de danger,
sinon les conuulsions continuent, & à la fin la mort arriue. Escoutez moy donc, Monopoleurs, car ie suis cousin germain
du Medecin Charitable, & frere du Politique; si vous
ne rendez gorge, vous estes morts. Et si vous ne sçauriez esuiter
deux genres de mort, à sçauoir la mort premiere, qui
est, comme dit Aristote, la desunion de l’ame auec le corps,
& la mort seconde, que Sainct Iean

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Occurrence 141. Anonyme. LE MORT DE TERRE OV LE BRAS HORS DE TERRE,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2493 ; cote locale : C_4_61. le 2013-09-21 16:02:40.

autres le voila,
Ie ne serois pas à l’Escrire
S’il l’eust recaché sans rien dire,
Mais puis qu’il nous la dit ainsi
I’ay bien voulu l’Escrire aussi,
Chacun en parle & en raisonne
La cloche de Sorbonne en sonne,
Et l’Escole des Medecins
A veu consulter les plus fins,
Et rechercher quelque remede
Pour vn mort qui crioit à l aide,
Car plusieurs l’ont ouy crier
Et pour luy sont venu prier,
Quelqu’vn qui le vit, & qui iure
Que sa main battoit la mesure,
Vn luy

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Occurrence 142. Anonyme. LE NOVVEAV FOVRRIER DE LA COVR, Reformant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2536 ; cote locale : B_14_42. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-24 16:26:48.

le Geant
Antée. Le Prince de Conty au Moissonneur, & aux trauaux
d’Vlysse. Monsieur le Duc de Beaufort, au Franc Gaulois,
sans immutation de son logement au cœur de Paris. Madame la Duchesse d’Orleans, à la Sage femme. Mademoiselle à la bonne Medecine, & à la Ville
de Bruxelles. L’Archiduc au Glaneur, à la Pucelle d’Orleans,
& au tres-bien Venu. Tous les Parlemens vnis auec celuy de Paris, à la
bonne Foy, & à l’ancre. Monsieur de Bruxelle, au Phenix & au Fidelle. Le

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Occurrence 143. Anonyme. LE PACIFIQVE OV L’ENTRETIEN D’ARISTE... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 15 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_2641 ; cote locale : A_7_1. Texte édité par Site Admin le 2013-09-29 03:06:50.

veritable (& il ne l’est que trop) ie
demande aux plus moderez, & à toy-mesme, si ce grand corps
est en estat de souffrir tout à coup vn changement general? Si
le malade qui commande & qui veut estre obeï dans ses plus
dangereux accez, ne rend pas cruel le Medecin qui le traitte?
Si la multitude ne domine pas tousiours auec orgueil, lors
qu’elle n’est point conduite dans la soumission & dans l’obeissance?
Ne faut-il pas auoüer, que laissant à part les habiles meschans,
qui causent ou qui fomentent les desordres, le

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Occurrence 144. Anonyme. LE POVR ET CONTRE DE LA MAIORITÉ DES ROYS,... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 36 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2834 ; cote locale : B_1_7. le 2013-10-18 15:29:36.

contre la loy Salique. Cette qualité de femme & d’estranger n’a
iamais esté rebutée dans le gouuernement
des Estats que par les factieux, que par
les mauuais politiques. Quand l’Estat est malade
peut-on trouuer estrange qu’on luy choisisse
vn bon medecin pour le remettre en sa
premiere santé. Si Galien qui estoit de Perganeville
d’Asie : & Hippocrate natif de Lisle
de Chio en Grece estoient viuans & qu’ils fussent à Paris, qui sont les malades de ce pays icy
qui ne se voudroient pas seruir

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Occurrence 145. Anonyme. LE PRINCE VENDV, OV CONTRACT DE VENTE DE LA... (1643) chez Paslé (Jean) à Paris , 39 pages. Langue : français. Avec privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : C_6_66. le 2013-10-18 16:33:18.

de Dieu
mesme ? Iesus-Christ dit qu’il ne faut pas craindre
ceux qui peuuent tuer le corps, & non pas
l’ame. Cependant la cruauté veut icy outrepasser
les bornes de son pouuoir, & gesner l’esprit aussi
bien que le corps. Elle esloigne d’Edoüard le
Medecin naturel de son ame, pour luy en donner
vn Estranger : En vn mot, on contraint ce
Prince à dire les secrets de son interieur à vn
Espagnol aussi franchement qu’à vn Portugais ?
A quoy sert cette innouation. Il ne faut pas couurir
la malice sous l’apparence

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Occurrence 146. Anonyme. LE PROPHETE FRANÇOIS, OV LES SENTIMENS... (1649) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_6_78. Référence RIM : M0_2907 ; cote locale : C_6_71. le 2013-10-20 08:21:32.

ceux qui
saccagent la France, & qui sans aucun veritable
ny legitime pretexte continuent vne guerre scandaleuse
& fatale à la Chrestienté, qui est dans vne
desolation si extreme qu’on peut veritablement
dire qu’elle est aux abois, puis que ces pernicieux
Medecins ont reduit sa bouche à perdre la parole, & son cœur à n’oser tesmoigner son mal par ses
souspirs languissans.   Que si dans ces desordres & miseres Chrestiennes
les François ont eu en apparence quelques aduantages
contre leurs

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Occurrence 147. Anonyme. LE PROPHETE FRANÇOIS, OV LES SENTIMENS... (1649) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_6_71. Référence RIM : M0_2907 ; cote locale : A_6_78. le 2013-10-20 08:22:57.

ceux qui
saccagent la France, & qui sans aucun veritable
ny legitime pretexte continuent vne guerre scandaleuse
& fatale à la Chrestienté, qui est dans vne
desolation si extreme qu’on peut veritablement
dire qu’elle est aux abois, puis que ces pernicieux
Medecins ont reduit sa bouche à perdre la parole, & son cœur à n’oser tesmoigner son mal par ses
souspirs languissans.   Que si dans ces desordres & miseres Chrestiennes
les François ont eu en apparence quelques aduantages
contre leurs

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Occurrence 148. Anonyme. LE PROPHETE VERITABLE DE MESSIEVRS DE PARIS,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 6 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2908 ; cote locale : B_4_10. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-20 08:25:24.

perdre le Royaume
& nostre Roy; N’auez-vous pas de honte, lors
que l’on vous couchera dans l’Histoire, pour vne desolatrice,
& non pas subernatrice des François? Il est
temps que vous songiez à ses choses, le mal est en sa
plus forte cryse; & le Medecin ne trouue plus de remedes
propres pour son soulagement, qu’vne entiere
irreuerence que vos suiets vous pourront faire. Le
iour ne luyt que foiblement sur nostre Horison, &
semble desia que les horreurs d’vne nuict perpetuelle
vienne nous

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Occurrence 149. Anonyme. LE QVENDIRA-T’ON DE MAZARIN BVRLESQVES. (1649) chez Quenet (Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_2942 ; cote locale : C_8_39. le 2013-10-20 10:27:33.

 
Allemans & Polonois,
Vous volez par trop de fois,
Iurans, pour toute harangue,
On vous percera la langue,
C’est l’Edict de nos bons Rois ;
Qu’on a publié cent fois.    
Parlement on vous honore,
Et vous Medecins encore,
On vuida par vous procez,
Vos fiévres sont nos accez,
Et ainsi quelque autre chose,
On le diroit, mais on n’ose.    
Bref, on sçait tout, on dit tout,
On crie Mazarin, par tout,
Quoy qu’on fasse, quoy qu’on

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Occurrence 150. Anonyme. LE RAISONNABLE PLAINTIF, SVR LA DERNIERE... (1652) chez Bellé (Jacques) à Paris , 14 pages. Langue : français, latin. Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_2969 ; cote locale : B_14_11. le 2013-10-20 15:25:36.

a requise
en la creation des premiers Rois, lors qu’on les a esleus.
Deus iudicium tuum Regi da ; c’est celle qu’on demande
pour les Rois successifs, & iustiti m tuam filio Regis.   On peut dire à present de la Polique ce qu’Hipocrate
a dit de la Medecine, à sçauoir que de tous les arts il
n’en est point de si illustre que celuy qui enseigne à procurer
la santé des hommes ; mais que par l’ignorance
de plusieurs qui l’ont voulu pratiquer sans en auoir eu
la connoissance, leur mauuais succez ont ietté dans

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Occurrence 151. Anonyme. LE SECRET A L’OREILLE D’VN DOMESTIQVE DE... (1649) chez Musnier (veuve d'André) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_3623 ; cote locale : A_7_34. le 2013-12-14 15:35:11.

que vous
resués. Vous disray-je tout ce que j’en pẽse,
si vous en estés reduit à ce point, on doit
si j’en suis crû, loger vne telle frenesie ou
dans vn lict aux Incurables, ou dans vne loge
des petites Maisons. Ie ne croy pas que
toutes les facultez de Medecine sçachent inuenter
vn remede propre pour vous guerir,
je n’en excepte pas mesme tous les Charlatans
ny tous les chimistes de l’Italie. Salomon
qui connoissoit les Vertus de tous les
simples, qui nous sont cachées n’auroit sçeu
guerir vne pareille

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Occurrence 152. Anonyme. LE SECRET DV VOYAGE DV ROY, ET DE LA ROVTE... (1651) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3630 ; cote locale : B_1_19. le 2013-12-15 10:00:14.

les autres
dans les tenebres & la sterilité. Quant aux autres, ie m’estonne qu’ayant quelques
connoissances des affaires d’Estas, ils ignorent cette belle maxime, qui veut que le Prince pouruoye
à la guarison du corps politique, ainsi que le
Medecin à celle du naturel, qui bien souuent laisse
prendre cours aux maladies exterieures, pour trauailler
à déraciner les humeurs corrompuës qui sont
au dedans: I'auoüe que la presence du Roy en Picardie
romproit non seulement les desseins des ennemis,
mais encore

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Occurrence 153. Anonyme. LE SIEGE MIS DEVANT LE Catelet par le Comte... (1650) chez Bureau d'adresse à Paris , 12 pages. Langue : français. Sans page de titre. Sans doute extraite d'un recueil, la pièce porte le n° 84, une pagination de 737 à 748 et, au colophon, la mention: "À Paris, du Bureau d'Adresse aux Galleries du Louvre, devans S.Thomas, le 17 juin 1650. Avec priv.". Référence RIM : Mx ; cote locale : A_9_19. le 2013-12-27 11:15:04.

raportẽt
que nos gens de guerre n’ont point esté il y a
long-temps en meilleur estat, plus lestes &
plus résolus de combattre les ennemis qu’ils
sont à présent. Aussi voyent-ils, que, comme c’est aux jours
qui devancent les crises que les meilleurs Médecins
apportent plus de considération à la
conduite des maladies, ainsi cette année, qui
précéde immédiatement celle de la majorité
du Roy, laquelle doit terminer le mal & les
symptomes de cet Estat, rendra plus considérables
que toutes les

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Occurrence 154. Anonyme. LE STRATAGESME OV LE POVR ET CONTRE DV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3720 ; cote locale : B_12_59. le 2013-12-28 09:29:02.

donnant d’estoc & de pointe
A vos escadrons se fust iointe ;
Au lieu que pleine de douleur
Elle a rengaigné son ardeur,
Scachant que vous n’auiez enuie
De guerir nostre maladie,
Et que ne tendant qu’à nos fins
Vous n’estes nos vrais Medecins,
C’est ce qui fait auec adresse
Chacun se tire de la presse
En attendant qu’vn autre eschec
Mette les mazarins à sec,
Que n’auez vous en cette guerre
Mis dix mille traitans par terre,
Et destruit ces Interessez

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Occurrence 155. Anonyme. LE SYNDIC DV PEVPLE FRANÇOIS, ESLEV PAR... (1652) chez [s. n.] à Paris , 38 pages. Langue : français. Avec un "Avis au lecteur" en dernière page.. Référence RIM : M0_3742 ; cote locale : B_11_36. le 2013-12-28 10:13:48.

est de preter l’oreille à ceux qui luy donneront
des aduis salutaires concernants le bien
du Public, & qui par Conseil s’efforceront de
corriger les deffauts qui se rencontrent au gouuernement
general de vostre Estat : si le malade
refuse l’ordonnance de son Medecin on desespere
de sa santé. Si le Prince reiette le Conseil
des gens de bien, qui poussez d’vn zele &
d’vne affection particuliere s’offrent pour estayer
l’Estat qui panche à sa ruyne, il ne doit rien
moins esperer que sa perte : Il n’est pas

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Occurrence 156. Anonyme. LE SYNDIC DV PEVPLE FRANÇOIS, ESLEV PAR... (1652) chez [s. n.] à Paris , 38 pages. Langue : français. Avec un "Avis au lecteur" en dernière page.. Référence RIM : M0_3742 ; cote locale : B_11_36. le 2013-12-28 10:13:48.

  Ce seroit prendre les choses trop à la rigueur,
que la coulpe fust suiuie de la peine, ainsi que
le bien fait doit estre de la recompense, encore
que ce soit deux expediens propres pour maintenir
vne Monarchie en sa splendeur & en son
lustre : Le bon Medecin desire plustost apporter
guerison au patient par remedes doux &
lenitifs, que par medecines corrosiues : souuentesfois
par moyens contraires on arriue à vne
pareille fin. Ce peintre, qui pour n’auoir pû
viuement representer l’escume d’vn Cheual,

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Occurrence 157. Anonyme. LE SYNDIC DV PEVPLE FRANÇOIS, ESLEV PAR... (1652) chez [s. n.] à Paris , 38 pages. Langue : français. Avec un "Avis au lecteur" en dernière page.. Référence RIM : M0_3742 ; cote locale : B_11_36. le 2013-12-28 10:13:48.

ainsi que
le bien fait doit estre de la recompense, encore
que ce soit deux expediens propres pour maintenir
vne Monarchie en sa splendeur & en son
lustre : Le bon Medecin desire plustost apporter
guerison au patient par remedes doux &
lenitifs, que par medecines corrosiues : souuentesfois
par moyens contraires on arriue à vne
pareille fin. Ce peintre, qui pour n’auoir pû
viuement representer l’escume d’vn Cheual,
vouloit effacer son ouurage, le hazard luy donna
ce que son art & son industrie luy auoient

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Occurrence 158. Anonyme. LE SYNDIC DV PEVPLE FRANÇOIS, ESLEV PAR... (1652) chez [s. n.] à Paris , 38 pages. Langue : français. Avec un "Avis au lecteur" en dernière page.. Référence RIM : M0_3742 ; cote locale : B_11_36. le 2013-12-28 10:13:48.

eut vn corps si infect & si
sale, que de produire des vers aussi gros
& aussi longs deux fois que les doigts,
& prodigieusement velus, auecque des
testes qui leuoient plustost du monstre,
que d’aucune autre figure qui eust iamais
esté veuë. Ce que les Medecins ont iugé
eux mesmes, comme ie l’ay ouy dire à vn
des plus fameux de ceux qui furent appellez
à vne consultation que l’on fit sur cette
maladie inouye & espouuantable. Disons
donc que le Mazarin sans doute s’est
seruy de quelqu’vne

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Occurrence 159. Anonyme. LE SYNDICQ DV PEVPLE ENVOYE AV ROY. Pour... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3741 ; cote locale : B_2_6. le 2013-12-28 10:25:21.

est de prester l’oreille
à ceux qui luy donneront des aduis Salutaires
concernant le bien du public, & qui par
conseil s’efforceront de corriger les deffauts
qui si rencontre au gouuernement general
de vostre Estat: Si le malade refuse l’ordonnance
de son Medecin, on desespere de sa
santé; si le Prince rejette le Conseil des gens
de bien, qui poussez d’vn zelle & d’vne affection
particuliere s’offrent pour raffermir
l’Estat qui panche a sa ruyne, il ne doit rien
moins esperer que sa perte, il n’est

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Occurrence 160. Anonyme. LE SYNDICQ DV PEVPLE ENVOYE AV ROY. Pour... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3741 ; cote locale : B_2_6. le 2013-12-28 10:25:21.

donner à vos sujets plus de crainte
que d’amour, qui est vne chose fort dangereuse
pour reigner librement & paisiblemẽt,
il suffit a vn Prince qu’il a pour vanger, SIRE
en traittant vostre Peuple humainement cela
aura plus de forces que vos Armes. Le bon Medecin desire plutost apporter
guerison au patien par remedes doux & lenitifs
que par medecines corrosiues, souuentefois
par moyens contraires on arriue à
vne mesme fin. Ce Peintre qui pour n’auoir
peu viuement representer l’escume d’vn cheual
vouloit

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Occurrence 161. Anonyme. LE SYNDICQ DV PEVPLE ENVOYE AV ROY. Pour... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3741 ; cote locale : B_2_6. le 2013-12-28 10:25:21.

reigner librement & paisiblemẽt,
il suffit a vn Prince qu’il a pour vanger, SIRE
en traittant vostre Peuple humainement cela
aura plus de forces que vos Armes. Le bon Medecin desire plutost apporter
guerison au patien par remedes doux & lenitifs
que par medecines corrosiues, souuentefois
par moyens contraires on arriue à
vne mesme fin. Ce Peintre qui pour n’auoir
peu viuement representer l’escume d’vn cheual
vouloit effacer son ouurage; le hazard luy donna ce que son Art & son industrie lui

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Occurrence 162. Anonyme. LE TEMPERAMENT AMPHIBOLOGIQVE DES TESTICVLES... (1651) chez [s. n.] à Cologne , 8 pages. Langue : français, latin. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3758 ; cote locale : E_1_42. le 2013-12-28 14:17:53.

LE TEMPERAMENT AMPHIBOLOGIQVE
DES
TESTICVLES
DE
MAZARIN
AVEC SA MEDECINE.

Par Maistre IAN CHAPOLI, son Medecin
Ordinaire. Tales sumus ex quibus nutrimur.  
QVi croiroit cette verité,
Que mon Maistre, Messire Iules,
Aye acquis son Authorité
Par l’effet de ses Testicules ?
On le

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Occurrence 163. Anonyme. LE TEMPERAMENT AMPHIBOLOGIQVE DES TESTICVLES... (1651) chez [s. n.] à Cologne , 8 pages. Langue : français, latin. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3758 ; cote locale : E_1_42. le 2013-12-28 14:17:53.

LE TEMPERAMENT AMPHIBOLOGIQVE
DES
TESTICVLES
DE
MAZARIN
AVEC SA MEDECINE.

Par Maistre IAN CHAPOLI, son Medecin
Ordinaire. Tales sumus ex quibus nutrimur.  
QVi croiroit cette verité,
Que mon Maistre, Messire Iules,
Aye acquis son Authorité
Par l’effet de ses Testicules ?
On le doit bien certainement,
Puis qu’on a veu vostre

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Occurrence 164. Anonyme. LE TEMPERAMENT AMPHIBOLOGIQVE DES TESTICVLES... (1651) chez [s. n.] à Cologne , 8 pages. Langue : français, latin. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3758 ; cote locale : E_1_42. le 2013-12-28 14:17:53.


Les perles qu’on n’ose nommer :
Ha ! quel art, quel secret, quel mestier est le vostre,
Qu’on vous juge plutost faux Prophete qu’Apostre.    
Chacun veut sçauoir ce Secret,
Chacun m’en demande la cause,
Mais comme Medecin discret,
Sans vostre authorité, ie n’ose ;
Mais puisque c’est le bien de Tous,
Et qu’ardamment on le desire,
Ie trouue à propos de le dire,
Pour mieux faire parler de vous :
L’on voit bien sans difficulté, que tous vos huiles sont

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Occurrence 165. Anonyme. LE TEMPERAMENT AMPHIBOLOGIQVE DES TESTICVLES... (1651) chez [s. n.] à Cologne , 8 pages. Langue : français, latin. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3758 ; cote locale : E_1_42. le 2013-12-28 14:17:53.

en pompes honorables
Encévely à tous les diables,
Comme vous auez nos Tresors :
Ce magnifique Enterrement, plus à souhaiter qu’il n’est à plaindre,
Réjoüiroit tous les François, d’vn retour qu’ils pourroient bien craindre.   MEDECINE POVR MESSIRE IVLE
MAZARIN, Ordonnée par Maistre IAN CHAPOLI
son Medecin ordinaire, ce 24. May 1651. MON TRES-CHER MAISTRE, Ayant eu l’honneur d’auoir esté depuis Mil six cens
Dix, vostre Medecin ordinaire ; Il ne m’est pas à present
difficile

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Occurrence 166. Anonyme. LE TEMPERAMENT AMPHIBOLOGIQVE DES TESTICVLES... (1651) chez [s. n.] à Cologne , 8 pages. Langue : français, latin. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3758 ; cote locale : E_1_42. le 2013-12-28 14:17:53.

nos Tresors :
Ce magnifique Enterrement, plus à souhaiter qu’il n’est à plaindre,
Réjoüiroit tous les François, d’vn retour qu’ils pourroient bien craindre.   MEDECINE POVR MESSIRE IVLE
MAZARIN, Ordonnée par Maistre IAN CHAPOLI
son Medecin ordinaire, ce 24. May 1651. MON TRES-CHER MAISTRE, Ayant eu l’honneur d’auoir esté depuis Mil six cens
Dix, vostre Medecin ordinaire ; Il ne m’est pas à present
difficile (par la longue experiẽce que i’ay de vostre Tẽperament)
de connoistre la

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Occurrence 167. Anonyme. LE TEMPERAMENT AMPHIBOLOGIQVE DES TESTICVLES... (1651) chez [s. n.] à Cologne , 8 pages. Langue : français, latin. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3758 ; cote locale : E_1_42. le 2013-12-28 14:17:53.

qu’ils pourroient bien craindre.   MEDECINE POVR MESSIRE IVLE
MAZARIN, Ordonnée par Maistre IAN CHAPOLI
son Medecin ordinaire, ce 24. May 1651. MON TRES-CHER MAISTRE, Ayant eu l’honneur d’auoir esté depuis Mil six cens
Dix, vostre Medecin ordinaire ; Il ne m’est pas à present
difficile (par la longue experiẽce que i’ay de vostre Tẽperament)
de connoistre la cause de vostre maladie ; que
i’ay jugé ne pouuoir proceder d’autre part, que de l’excessiue
inflammation de vos prostrates, &

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Occurrence 168. Anonyme. LE TOMBEAV DES MONOPOLEVRS, auec leur... (1649) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi C_10_34. Référence RIM : M0_3783 ; cote locale : A_7_50. le 2013-12-29 08:08:59.

la Profane, qu’ordinairement les persecuteurs des innocens
ont esté punis du supplice qu’ils leur auoient
preparé, ie croy qu’ils sont morts de faim, non pas à
la verité de celle dont ils nous vouloient faire mourir;
mais d’vne autre bien plus estrange, que les Medecins
appellent faim canine, qui n’abandonne iamais
celuy qu’elle a saisi, & dont on ne se sçauroit
deffendre auec l’abondance des viures; au contraire
elle est semblable à la soif des hydropiques, & à tous
ces maux qui s’irritent & se rengregent

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Occurrence 169. Anonyme. LE TOMBEAV DES MONOPOLEVRS, auec leur... (1649) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi A_7_50. Référence RIM : M0_3783 ; cote locale : C_10_34. le 2013-12-29 08:11:34.

la Profane, qu’ordinairement les persecuteurs des innocens
ont esté punis du supplice qu’ils leur auoient
preparé, ie croy qu’ils sont morts de faim, non pas à
la verité de celle dont ils nous vouloient faire mourir ;
mais d’vne autre bien plus estrange, que les Medecins
appellent faim canine, qui n’abandonne iamais
celuy qu’elle a saisi, & dont on ne se sçauroit
deffendre auec l’abondance des viures ; au contraire
elle est semblable à la soif des hydropiques, & à tous
ces maux qui s’irritent & se rengregent

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Occurrence 170. Anonyme. LES DEVX COMBATS DONNEZ entre la flote... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 12 pages. Langue : français. Sans page de titre. Mention au colophon: jouxte la copie imprimée à Bordeaux.. Référence RIM : M0_1065 ; cote locale : A_9_5. le 2013-02-15 03:36:04.

saison. Ce qui n’empescha pas que ce Comte, au
premier rapport que ledit sieur de Chamrenault
luy fit le 25. dessein du Duc d’Espernon,
ne commandast de leuer les anchres pour monter la riuiere, & sans vouloir rien differer
aux remõstrances du Medecin qu’il le traitoit
d’vne fiévre continuë, donc il estoit fort trauaillé
depuis quelques-iours, ne fist voile en
personne. Mais estant suruenu sur ceste riuiere
vn broüillar si épois que l’on ne se pouuoit
voir d’vn bout à l’autre du vaisseau, il falut

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Occurrence 171. Anonyme. LES SENTIMENS D’VN FIDELLE SVIET DV ROY,... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 48 pages. Langue : français, latin. Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_3648 ; cote locale : B_11_22. le 2013-02-15 14:15:22.

qui toutes choses ont esté faites, a bien voulu se rendre seruiteur de personnes
indignes & infames, s’il a prié pour ceux qui le crucifioient &
le faisoient mourir auec vne haine & vne fureur extrême ; & s’il est
venu dans le monde, pour leur seruir de medecin, puis que les medecins,
quoy qu’ils vaillent mieux que les malades qu’ils traittent, &
qu’ils ayent plus de suffisance & de santé qu’eux, ne laissent pas auec
tout cela d’estre considerez, comme leurs seruiteurs ; combien plus vn
homme ne doit-il pas

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Occurrence 172. Anonyme. LES SENTIMENS D’VN FIDELLE SVIET DV ROY,... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 48 pages. Langue : français, latin. Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_3648 ; cote locale : B_11_22. le 2013-02-15 14:15:22.

ont esté faites, a bien voulu se rendre seruiteur de personnes
indignes & infames, s’il a prié pour ceux qui le crucifioient &
le faisoient mourir auec vne haine & vne fureur extrême ; & s’il est
venu dans le monde, pour leur seruir de medecin, puis que les medecins,
quoy qu’ils vaillent mieux que les malades qu’ils traittent, &
qu’ils ayent plus de suffisance & de santé qu’eux, ne laissent pas auec
tout cela d’estre considerez, comme leurs seruiteurs ; combien plus vn
homme ne doit-il pas dédaigner, de se

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Occurrence 173. Anonyme. L’ALLIANCE DES ARMES ET DES LETTRES DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 79 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_60 ; cote locale : B_7_18. Texte édité par Site Admin le 2013-01-22 15:21:43.

en sa Cour pour compagnie ordinaire les escrits des Philosophes
& grands Historiens, en la lecture desquels (sur
tout de Tite Liue) il se recreoit tellement, qu’vn sien puissant
ennemy luy ayant enuoyé les escrits de cét Autheur
richement reliés, contre l’auis de ses Medecins ; qui apprehendoient
qu’on y eust meslé quelque poison si subtil qu’il
en peust estre offensé, ouurit sans crainte, & feüilleta le
present qu’on luy auoit enuoye, disant que Dieu maintenoit
les Roys, & les preseruoit de telles embusches. Vne

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Occurrence 174. Anonyme. L’ALLIANCE DES ARMES ET DES LETTRES DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 79 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_60 ; cote locale : B_7_18. Texte édité par Site Admin le 2013-01-22 15:21:43.

les soldats semblables à des Lyons, toutesfois il la
faut conduire auec retenuë & iugement au milieu du combat.   Que si quelque mouuement extraordinaire arriue en l’armée,
le Capitaine eloquent le pacifie par son addresse, &
beaucoup plus aisément que les Medecins ne guerissent les
playes ; il adoucit les inconueniens, & restablit l’ordre : Il faut
du temps au Medecin pour remettre le malade en santé, &
le Capitaine qui parle bien peut en vn moment appaiser le
soldat prest à s’émouuoir & faire sedition,

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Occurrence 175. Anonyme. L’ALLIANCE DES ARMES ET DES LETTRES DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 79 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_60 ; cote locale : B_7_18. Texte édité par Site Admin le 2013-01-22 15:21:43.

  Que si quelque mouuement extraordinaire arriue en l’armée,
le Capitaine eloquent le pacifie par son addresse, &
beaucoup plus aisément que les Medecins ne guerissent les
playes ; il adoucit les inconueniens, & restablit l’ordre : Il faut
du temps au Medecin pour remettre le malade en santé, &
le Capitaine qui parle bien peut en vn moment appaiser le
soldat prest à s’émouuoir & faire sedition, enflammer son
courage, & porter son ambition aux plus hautes entreprises.
Le Capitaine qui est capable de

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Occurrence 176. Anonyme. L’ARRIVEE DES AMBASSADEVRS DV ROYAVME DE... (1649) chez Remy (veuve de Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_390 ; cote locale : A_3_3. le 2013-02-02 08:39:33.

myrrhe
& toutes sortes de fleurs odoriferantes, rendent
vne odeur suaue dans les Iardins. Le Laurier espais de
fueilles garanty les hommes des ardeurs du Soleil,
Ces plantes ont vne telle vertu, qu’elle guerissent les
playes in curables, & n’y a aucune regle de Medecin
si souueraine. On fait courir le bruict en cét admirable
Royaume, que Mazarin y veut venir, pour faire
la recolte de tous nos reuenus, ayant perdu son
credit dans ce vaste Royaume de France, & moissonné
tous ces biens. Mais il sera le mal venu; car nous

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Occurrence 177. Anonyme. L’ASNE ROVGE, DÉPEINT AVEC TOVS ses... (1652) chez Hardouin (Louis) à Paris , 20 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir aussi B_12_57 (partie 2). Référence RIM : M0_85 ; cote locale : B_12_56. le 2013-02-02 08:56:03.

par cét Asne Rouge, que d’en laisser la
conduite à ceux qui estoient nourris dans les sciences diuines & politiques.   L’ignorance des affaires domestiques & estrangeres,
n’est pas moins honteuse à l’homme d’Estat,
que celle du Medecin, qui ne cognoist le
temperament du corps humain, ignorance qui
porte les Princes à de ruineux desseins auec tel
aueuglement, qu’ils font souuent la guerre à
ceux ausquels ils doiuent demander la paix, Maz.
ne sçait que donner des conseils extrémes &

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Occurrence 178. Anonyme. L’AVANT-COVRRIER INFAILLIBLE DE LA PAIX. (1649) chez Colombel (Matthieu) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_441 ; cote locale : A_3_50. le 2013-02-02 09:17:09.

DE
LA PAIX. CE sont des axiomes aussi vieux que la
Philosophie, que la generation de l’vn
est la corruption de l’autre, ou que la priuation
d’vne forme est vn des principes
de sa naissance, & ce sont des aphorismes
aussi vieux que la Medecine, que les maladies
se guerissent par des remedes contraires, & que les
éuacuations qui affoiblissent effectiuement le malade
sont necessaires pour le fortifier. Enfin toutes
choses prennent leur origine de celles qui les destruisent,
& les quatre ennemis

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Occurrence 179. Anonyme. L’AVTHORITÉ DES ROYS, DES PRINCES, DES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_434 ; cote locale : B_15_27. Texte édité par Site Admin le 2013-02-02 10:21:20.

Feste à Dieu, auquel seul elle appartient,
& qui l’a instituée en son Eglise, pour l’honnorer,
prier, adorer, & recognoistre, sans faire aucun
œuure pour l’homme, sinon en la pratique des œuures
de misericorde, qui consistent à visiter les malades &
medeciner, deliurer les prisonniers, consoler les affligez,
rechercher les pauures honteux & leur faire aumosne.
Ce que i’ay dit, pour monstrer que la premiere
iustice consiste, en l’obseruation des commandemens
de Dieu, l’autre n’estant que accessoire, & en

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Occurrence 180. Anonyme. L’AVTHORITÉ DES ROYS, DES PRINCES, DES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_434 ; cote locale : B_15_27. Texte édité par Site Admin le 2013-02-02 10:21:20.

la connoistre &
la dire : vostre guerison & remede doit commencer par
ce cautere, lequel il faut que vous enduriez Chrestiennement,
& en esprit de mansuetude, & ne faut pas
que cela vous endurcisse & irrite, non plus que le malade
ne doit pas hayr le Medecin & Chirurgien, lesquels
(pour le guerir) luy font quelque douleur. Il n’y
a, disoit Ciceron, remedes plus salutaires aux playes,
que ceux qui font quelque douleur. Le Prouerbe dict,
que verité engendre hayne, mais cela s’entend des
meschans, endurcis au mal,

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Occurrence 181. Anonyme. L’AVTHORITÉ DES ROYS, DES PRINCES, DES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_434 ; cote locale : B_15_27. Texte édité par Site Admin le 2013-02-02 10:21:20.

iamais, iusques à ce
que vous y aportiez les faciles remedes, que Dieu
a mis sous vostre puissance : la pluspart desquels, ie
vous ay deduits, cy-deuant. Mais pour y paruenir
plus aisément, & ramener à guerison ce corps si malade,
il faut comme vn bon & fidelle medecin, que
vous ayez la volonté & le sir d’y apporter le salutaire
medicament : Et que par vne bonne & saincte
priere, vous impetriez de ce grand Roy des Rois,
nostre Dieu, qu’il vous donne sincerité de cœur, &
qu’il purifie vostre ame, pour

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Occurrence 182. Anonyme. L’ENTREE MAGNIFIQVE ET TRIOMPHANTE DE... (1650) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1228 ; cote locale : C_7_69. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-02-03 16:53:50.

de vendre dés maintenant leurs
chaudrons pour auoir à boire, & pour dignement nous receuoir selon
nos intentions, sur peine d’estre foüettez par tous les carrefours
de nos vieilles ma querelles. 19. Bannissons hors de nos Prouinces pour ces trois iours tous
Medecins, Apoticaires, faiseurs de bierre, & autres, veu qu’il ne sera
pas de besoin de leurs potions & medicamens, puis que nos pillules
sont propres tant pour vomitoires, que sommitoires, & ferons des
purgations merueilleusement rares dans tout le corps humain

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Occurrence 183. Anonyme. L’ESPAGNE AFFLIGÉE ET EN TROVBLE, DE VOIR... (1649) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Le mot "que" est redoublé dans le titre imprimé.. Référence RIM : M0_1274 ; cote locale : A_3_55. le 2013-02-05 05:55:38.

de mains que parmy nous. Que l’on voye
leurs Histoires depuis cent ou six vingts ans en
ça; à peine se trouuera-t’il durant tout ce tẽpslà
plus de Ministres que de Rois. Il ne faut pas
s’estonner de ce que François I. disoit autrefois
de la multitude de ses Medecins, plusieurs autres
Princes le pourroient dire de la multitude
de leurs Conseillers, que c’est ce qui les a perdus.
Les raisons en sont euidentes. S’il est malaisé,
comme il l’est certainement, de trouuer
en vn homme seul toutes les qualitez necessaires

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Occurrence 184. Anonyme. L’ESPRIT DV FEV ROY LOVIS XIII. A SON FILS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 49 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2. Pièce 28 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1287 ; cote locale : B_3_3. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-02-05 14:39:43.

font faire naufrage aux plus experts :
Mais puis qu’il n’en va pas de l’vn comme de l’autre,
& que les troubles qui naissent dans les
Estats, ne procedent pas de causes difficiles à reconnoistre
comme les rumatismes, & les orages
de mer, (outre que les Medecins & les Matelots,
tiennent des remedes preparez contre les vns &;
les autres) qu’il confesse que nos malheurs ne
sont arriuez que par le defaut de sa preuoyance
& de sa conduite, ou que plustost il a contraint
les François à force d’outrages, de

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Occurrence 185. Anonyme. L’ESPRIT DV FEV ROY LOVIS XIII. A SON FILS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 49 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2. Pièce 28 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1287 ; cote locale : B_3_3. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-02-05 14:39:43.

ne deuoit-il pas encor encherir
sur sa conduite, puisque rien n’est parfait
en son commencement, où consiste cependant
la plus grande difficulté qui se rencontre dans
nos desseins. Il deuoit sans doute entreprenant
de regir la France, la regarder, comme vn nouueau
Medecin d’vn Prince regarde sa personne,
dont il veut entretenir la santé, ou chasser les
dispositions qui la tiennent engagée à de differentes
maladies. Connoissant l’inanition du
peuple, & la repletion des Financiers & des Partisans,
il deuoit corriger

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Occurrence 186. Anonyme. L’ESTONNEMENT DE LA COVR, DE L’ESPRIT... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 16 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1306 ; cote locale : B_1_15. Texte édité par Site Admin le 2013-02-06 01:39:33. en Agrippa en son Iiure de
Arte rapiendi Autres diront, est-ce la raison que les Estrangers
soient assis à table, qu’ils

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Occurrence 187. Anonyme. L’HONNEVR DV MINISTRE ESTRANGER, ENSEVELY... (1649) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_1662 ; cote locale : A_3_78. le 2013-04-26 15:39:05.

eux aucun vœu public, les faisant passer pour
des excommuniez. En effet le bonheur ne se rencontre pas
entre vn homme de bien, & vn méchant homme, il faut
que les bons conuersent auec les bons, pour viure heureux
& en repos, & le contraire n’est permis qu’aux Medecins,
qui seuls ont la liberté de conuerser auec les malades. La troisiesme raison c’est que l’honneur nous donne le
moyen de seruir le prochain. Pour vous la faire conceuoir il faut remarquer qu’il y a
de deux sorte de graces l’vne est iustifiante, &

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Occurrence 188. Anonyme. L’INCONNV A LA REYNE. Où elle est... (1652) chez Beley (Martin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1693 ; cote locale : B_16_25. le 2013-06-08 07:07:17.

firent la Guerre continuellement en
France, l’espace de quatre cens ans : Si les Guerres Ciuiles
continuent, il est à apprehender que le mesme n’arriue, &
nous verrions renouueller parmy nous, ce qui fait horreur
à la memoire.   Vn excellent Medecin du temps passé, ayant trouué à
vn malade, vn emplastre mis par vn Chirurgien sur la main,
il l’osta, & l’appliqua sur la nucque, qui ne sentoit aucune
douleur, à dessein que la force du medicament placé en cét
endroit ; Lequel est la source des nerfs qui

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Occurrence 189. Anonyme. L’OBIET DE LA HAINE PVBLIQVE OV LA HONTE... (1649) chez Musnier (François) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi C_6_38. Référence RIM : M0_2564 ; cote locale : A_6_84. le 2013-06-09 09:47:37.

tirans qui se plaisent à voir des
supplices. Vn bel esprit dit fort à propos sur ce suiet
qu’il faut épargner le sang des hommes pour
ce que le grand nombre des supplices n’apporte
pas moins de des-honneur à vn Prince, que fait le
grand nombre de funerailles à vn Medecin. C’est
donc auec raison que l’on mettra desormais le Mazarin
au rang des demons qui ne sont capables
que du mal, & peut estre aussi que comme eux il
porte son enfer dedans le sein. S’il luy reste quelque
peu de conscience elle doit estre dechirée par

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Occurrence 190. Anonyme. L’OBIET DE LA HAINE PVBLIQVE OV LA HONTE... (1649) chez Musnier (François) à Paris , 8 pages. Langue : français. Page de titre en page 2. Voir aussi A_6_84. Référence RIM : M0_2564 ; cote locale : C_6_38. le 2013-06-09 09:51:11.

tirans qui se plaisent à voir des
supplices. Vn bel esprit dit fort à propos sur ce suiet
qu’il faut épargner le sang des hommes pour
ce que le grand nombre des supplices n’apporte
pas moins de des-honneur à vn Prince, que fait le
grand nombre de funerailles à vn Medecin. C’est
donc auec raison que l’on mettra desormais le Mazarin
au rang des demons qui ne sont capables
que du mal, & peut estre aussi que comme eux il
porte son enfer dedans le sein. S’il luy reste quelque
peu de conscience elle doit estre dechirée par

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Occurrence 191. Anonyme. L’VNION DE LA PROVINCE DE NORMANDIE AVEC... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 14 pages. Langue : français. Signé au colophon: les députes de Normandie.. Référence RIM : M0_3907 ; cote locale : B_5_26. le 2013-06-10 08:55:39.

elle a
appris que plusieurs s’emparoient de vostre authorité,
& que de francs & libres qu’estoient vos
subjets, on s’estudioit à les rendre esclaues & miserables:
tellement qu’à present elle se presente
à vostre Majesté comme vn malade au Medecin,
& c’est d’elle qu’elle attend sa guerison, apres luy
auoir découuert son mal: SIRE, vous estes le Maistre
& le Pere du peuple, non pas pour l’auoir acquis
ny conquis: mais parce qu’il s’est donné à
vous pour le deffendre & le proteger;

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Occurrence 192. Anonyme. L’VNION DE LA PROVINCE DE NORMANDIE AVEC... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 14 pages. Langue : français. Signé au colophon: les députes de Normandie.. Référence RIM : M0_3907 ; cote locale : B_5_26. le 2013-06-10 08:55:39.

perdre pour tousiours.   Vn malade gissant dans le lit de la mort,
doit faire tout ce qu’il peut pour sortir hors de
sõ mal & si haut & puissant qu’il sçauroit estre
en condition & qualité, il est obligé pour le
bien de sa santé de croire en son Medecin &
luy obeyr en quelque façon, puisque c’est luy
qui ordonne & qui commande; Vostre Estat,
Sire, est dans l’infirmité de la mort, & ce grand
Corps mistique composé de differentes humeurs,
agité de differends mouuements, est au

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Occurrence 193. Anonyme. L’VNION DE LA PROVINCE DE NORMANDIE AVEC... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 14 pages. Langue : français. Signé au colophon: les députes de Normandie.. Référence RIM : M0_3907 ; cote locale : B_5_26. le 2013-06-10 08:55:39.

de la mort, & ce grand
Corps mistique composé de differentes humeurs,
agité de differends mouuements, est au hazard de se perdre entierement: ce peuple
fidelle vous conjure d’entrer vn moment
dans l’examen de vostre interieur, pour dire
aux Medecins de l’Estat, (Messieurs les bons
Princes) le sujet de ces mal-heurs publics, &
vous vertez sans doute que vous estes seduit,
& publierez par tout que vous n’auez iamais
eu le dessein de tourmenter vostre peuple.   En effet à quel propos ces

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Occurrence 194. Anonyme. L’VNION DES TROIS PARLEMENS DE THOLOZE,... (1649) chez [s. n.] à Toulouse , 8 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3911 ; cote locale : C_10_55. le 2013-02-21 14:02:05.

conserue les Estats, les rend puissants & redoutables,
au lieu que la diuision les destruit, les ruine &
renuerse de fonds en comble Encore que la contrarieté
des principes soit du tout necessaire à la production
des choses. Et que mesmes selon la maxime
des Medecins, la maladie ne peut estre guerie, que
par l’opposition & contrarieté du remede auec elle
ou auec sa cause : neantmoins on demeure d’accord
que l’estre des choses procede le l’vnion, de la matiere
& de la forme, & que les mixtes subsistent

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Occurrence 195. Anonyme. QVATRIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. Partie 4. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_32 (partie 3). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_33. Texte édité par Site Admin le 2013-10-06 17:27:15.

S. Paul ; & presque par tous les sacrez Cayers de
sa sainte & sacrée Parole, contre laquelle il n’y a
point de repit ny d’appel, ny recusation à faire,
ny en ce monde ny en l’autre. L’admonition
franche, libre, & cordiale est vne tres-excellente
medecine. C’est t’aymer parfaitement que de
t’aduertir de ton salut deuant que tu ailles en vn
pays où il n’y a point de satisfaction à faire qui
ne soit éternelle. Prends donc bien garde à toy,
abominable vsurpateur du bien d’autruy, auant
de quitter cette

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Occurrence 196. Anonyme. SECONDE PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Partie 2. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_32 (partie 3) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_31. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-06 17:17:46.

à la necessité du temps, & il n’y a
rien tel que de se mettre à couuert des malheurs
dont on nous veut accabler, deuant que
la violence de la tempeste nous entraine.   François Guichardin dit en son Histoire,
qu’vn malade ne doit pas estre traité par vn Medecin
auquel il n’a point de creance : ainsi vn
Estat ne doit pas estre gouuerné par vn Ministre
suspect, estranger, & odieux à tous les peuples
de France. tous les pays estrangers sont
indiferens à vn estranger, si quelque grande
fortune ne i’y

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Occurrence 197. Anonyme. TESTAMENT DE MONSIEVR LE DVC D’ESPERNON. (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3763 ; cote locale : D_1_27. Texte édité par Site Admin le 2013-03-08 20:56:26.

que l’vn & l’autre sorte en sou plain & entier effet en tous
ses points & clauses : Car tel est son plaisir. Fait à Angen ce I. de Iuin 1650.
dans le logis de son A. Serenessime, la quelle elle est sur le point de quitter, pour
obeyr à l’ordonnance de ses Medecins, qui ont iugé que l’air de la Prouince de
Guyenne luy est tres mal sein & qu’il faut qu’elle s’en esloigne, si elle se veut
sauuer, ez presences des tesmoins appellez & requis, qui ont signé à la cede de
ces presentes auec le Prince Codicillant. Le

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Occurrence 198. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’HOROSCOPE DV ROY. DONNANT A CONNOISTRE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français, latin. Signature à la page 9.. Référence RIM : M0_1666 ; cote locale : B_2_28. Texte édité par Site Admin le 2013-04-27 15:49:29.

Monsieur de Vendosme ne fut-il pas supplier
tres-humblement le Roy Henry IV. surnommé le Grand,
à cause de ses grands exploits, de ne pas sortir le iour qu’il
fut malheureusement assassiné par le plus abominable de
tous les hommes ; suiuant l’aduis que la Brosse, Medecin, &
tres-expert en la science Astronomique, luy en auoit donné,
& que ce genereux Prince mesprisa, comme vne chose
fabuleuse, ce qui fut cause de sa perte ? Et cét illustre Nostradamus, de qui nous lisons encore
tous les iours ces merueilleuses

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Occurrence 199. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE CONSEILLER FIDELE. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_1_31.. Référence RIM : M0_764 ; cote locale : E_1_124. le 2013-07-24 08:54:42.

aussi bien que leur
deffaut : La compassion est criminelle quand elle est
iniuste, & c’est assez de l’estat ou nous sommes tous
reduits pour nous faire confesser qu’il est esgalement
dangereux de pardonner toutes les fautes, &
de n’en pardonner aucune. Le Medecin fait l’office
de bourreau quand il ne refuse rien à son malade, &
la charité du Chrestien deuient vn de ses pechez,
quand c’est par elle qu’il pretend aimer iusques aux
personnes qui sont en execration deuant Dieu qui
est la charité mesme selon

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Occurrence 200. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE CONSEILLER FIDELE. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_1_31.. Référence RIM : M0_764 ; cote locale : E_1_124. le 2013-07-24 08:54:42.

conduire auec des succez merueilleux,
selon l’opinion de cét Ancien, qui ne croyoit
pas qu’vn Estat fut plus heureux que quand il estoit
conduit par des Philosophes. Icy ie ne comprends pas ces Philosophes qui parlent de la Politique
comme certains Medecins parlent des Plantes dont
ils sçauent tous les noms sans en connoistre la vertu,
i’entends ces veritables Sages de qui le cœur respond
a la langue, qui raisonnent & qui executent,
qui se font admirer dans le combat aussi bien que
dans le Conseil, qui

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