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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(425 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "Medecin" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 201. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE CONSEILLER FIDELE. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi E_1_124.. Référence RIM : M0_764 ; cote locale : C_1_31. le 2013-07-24 08:55:13.

aussi bien que leur
deffaut : La compassion est criminelle quand elle est
iniuste, & c’est assez de l’estat ou nous sommes tous
reduits pour nous faire confesser qu’il est esgalement
dangereux de pardonner toutes les fautes, &
de n’en pardonner aucune. Le Medecin fait l’office
de bourreau quand il ne refuse rien à son malade, &
la charité du Chrestien deuient vn de ses pechez,
quand c’est par elle qu’il pretend aimer iusques aux
personnes qui sont en execration deuant Dieu qui
est la charité mesme selon

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Occurrence 202. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE CONSEILLER FIDELE. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi E_1_124.. Référence RIM : M0_764 ; cote locale : C_1_31. le 2013-07-24 08:55:13.

conduire auec des succez merueilleux,
selon l’opinion de cét Ancien, qui ne croyoit
pas qu’vn Estat fut plus heureux que quand il estoit
conduit par des Philosophes. Icy ie ne comprends pas ces Philosophes qui parlent de la Politique
comme certains Medecins parlent des Plantes dont
ils sçauent tous les noms sans en connoistre la vertu,
i’entends ces veritables Sages de qui le cœur respond
a la langue, qui raisonnent & qui executent,
qui se font admirer dans le combat aussi bien que
dans le Conseil, qui

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Occurrence 203. Demophile. DESCRIPTION DES VIES, MOEVRS, ET FACONS DE... (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore), Maucroy (Estienne) à Paris , 27 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi [M0_493] de 1650.. Référence RIM : M0_1059 ; cote locale : A_2_31. le 2013-11-20 03:45:03.

ces sortes de gens, mais
il leurs fit cette response iudicieuse, & salutaire, qu’il
estoit venu sur terre pour appeller à conversion ceux
qui avoient fait banqueroute à la vertu, & non les iustes,
ceux qui joüissoient de la santé n’ayans besoin de
medecin, mais les malades. Quant à moy ie les estimes
pires que l’ennemy commun de Dieu, & des
hommes: car il demande seulement l’ame, & eux
prennent, ou afin de dire mieux, font prendre (& encore
perdre) le corps, l’ame, & les biens presque

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Occurrence 204. Du Crest,?. LE SENEQVE MOVRANT, DECLARANT A SA MORT le... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3640 ; cote locale : B_16_19. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-11 13:50:30.

pas souffrir tant
d’exorde pour assouuir promptement le desir qu’elle
aura d’apprendre les seuls moyens de la Paix desirée de
tout le monde, sans pourtant qu’elle le vueille descendre
de sa situation, & de sa demeure. Si quelqu’vn est
malade, il a recours au Medecin ; il luy raconte sa maladie,
& le Medecin ne peut point donner d’Ordonnance,
qu’il n’entende les principes du mal, & qu’il ne
iuge quel est le remede opposé au venin de ce mal.
Ainsi qui voudra la Paix me feuillettera, & qui voudra
viure dans

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Occurrence 205. Du Crest,?. LE SENEQVE MOVRANT, DECLARANT A SA MORT le... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3640 ; cote locale : B_16_19. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-11 13:50:30.

le desir qu’elle
aura d’apprendre les seuls moyens de la Paix desirée de
tout le monde, sans pourtant qu’elle le vueille descendre
de sa situation, & de sa demeure. Si quelqu’vn est
malade, il a recours au Medecin ; il luy raconte sa maladie,
& le Medecin ne peut point donner d’Ordonnance,
qu’il n’entende les principes du mal, & qu’il ne
iuge quel est le remede opposé au venin de ce mal.
Ainsi qui voudra la Paix me feuillettera, & qui voudra
viure dans vn sang reprouué ne voudra pas prendre
cette

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Occurrence 206. Gondi, Jean-François Paul /... . HARANGVE FAITE AV ROY PAR MONSEIGNEVR LE... (1652) chez L'Angevin (Antoine) à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1594 ; cote locale : B_16_64. le 2013-01-13 00:49:44.

que par des mouuements
de discordes, elles se destruisent & perissent.
Ce qui doit necessiter tout le corps à la recherche
de la source & de la cause, auant qu’elle
tombe en ruine. Laquelle estant connue, il ne
sera non plus impossible de le guarir, qu’au
Medecin de guarantir son malade lors qu’il a
appris l’origine de la maladie de son patient. Or le plus grand danger, qu’il y ait, est
quand les mesmes parties en sont en debat,
comme quand deux Medecins consultent, &
sont d’auis contraires pour le remede

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Occurrence 207. Gondi, Jean-François Paul /... . HARANGVE FAITE AV ROY PAR MONSEIGNEVR LE... (1652) chez L'Angevin (Antoine) à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1594 ; cote locale : B_16_64. le 2013-01-13 00:49:44.

connue, il ne
sera non plus impossible de le guarir, qu’au
Medecin de guarantir son malade lors qu’il a
appris l’origine de la maladie de son patient. Or le plus grand danger, qu’il y ait, est
quand les mesmes parties en sont en debat,
comme quand deux Medecins consultent, &
sont d’auis contraires pour le remede necessaire
au malade. L’vn a ses raisons qu’il estime deuoir
suiure : l’autre a les siennes toutes contraires. Certainement les corps douez de qualitez
entierement contraires, ne

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Occurrence 208. L. G. [signé]. LE DONNEVR DAVIS AVX PARTISANS SORTANT DV... (1649) chez [s. n.] à Paris , 10 pages. Langue : français. Le titre devrait être "Le donneur d'avis", avec apostrophe.. Référence RIM : M0_1171 ; cote locale : C_7_61. Texte édité par Site Admin le 2013-07-20 08:09:05.

au reste des hommes en parle qui voudra, mais
dans le fonds ce n’est que moy a y pouuoir attaindre, & ie
veux que dans toutes les Biblioteques du monde mon nom
y soit en aussi grãde reuerence que si i’auois composé toute
la Philosophie la Iuris prudence la Medecine & la Theologie
ie suis l’honneur de ce temps le precepteur des foux
l’exemple & le guide de tous les feneants, mais apres auoir
par vn admirable nombre d’années arpenté le Pont neuf
la grand Sale du Palais, le Louure, & le Palais Royal, enfin

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Occurrence 209. Lemercier,? [?]. LE TOMBEAV GENERAL DE TOVTES LES PIECES DV... (1649) chez Remy (veuve de Jean) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission de la Chambre des dépêches, du 4 mars 1649, au colophon.. Référence RIM : M0_3786 ; cote locale : A_7_47. le 2013-12-29 09:47:23.

Monsieur de Longueville, laquelle arriuera
bien tost, mais pour luy il demeurera dans son
Gouuernement, pour maintenir les peuples en leur
deuoir, & conseruer vne Prouince au seruice du Roy,
qui est tres-puissante & de tres-grandes consideration,
comme vn excellent Medecin ne doit pas seulement
donner des remedes à la maladie presente,
mais aussi des preseruatifs pour empescher les maladies
qui pourroient arriuer. De mesme vn sage Gouuerneur
ne se contente pas que sa Prouince demeure
dans sa fidelité; mais aussi que les factieux,

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Occurrence 210. M. E. G. E. N. R. S.. LA VERITÉ DV ROYALISTE PRESENTÉE AV ROY,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 23 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3992 ; cote locale : B_17_24. le 2013-01-05 15:00:12.

que d’en vouloir douter, c’est douter si la clarté
du iour peut estre suiuie des tenebres de la nuit.
Bagoas fauory d’Ochus Roy de Sparthe, pour
enuahir l’authorité souueraine, treuua moyen de
faire mourir son maistre par l’entremise d’vn
Medecin qui le seruoit, lequel luy fit aualer du
poison, Tibere ayant fait Sejanus si grand, qu’on
l’estimoit son compagnon, fut en danger d’estre
par luy despoüillé de l’Empire : car Sejanus enflé
d’orgueil & remply de presomption commença
à mespriser

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Occurrence 211. M. L.. LE BOVCLIER ET L’ESPÉE DV PARLEMENT ET... (1649) chez [s. n.] à Paris , 23 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_599 ; cote locale : A_3_17. le 2013-06-15 11:13:06.

de faire, quand il a cherché le salut de la France. La teste doit
prendre soin
des autres
membres. Que s’il le faut prendre d’vne autre façon, ie diray
que quand la douleur nous presse la crainte de
mourir nous esueille, nous cherchons le Medecin
de toutes parts; Et si nous n’en pouuons pas trouuer
au mal qui nous tuë, la nature nous force de
faire de nous-mesmes tout ce que nous pouuons
pour nostre salut. En ces derniers temps il est arriué
à cét Estat vne maladie bien violente, & bien

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Occurrence 212. M. L.. LE BOVCLIER ET L’ESPÉE DV PARLEMENT ET... (1649) chez [s. n.] à Paris , 23 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_599 ; cote locale : A_3_17. le 2013-06-15 11:13:06.

les membres de cét Empire
soupirent sous l’oppression de la douleur.
L’vn apres l’autre ils tombent dans la defaillance;
Et enfin ce grand corps va bien tost mourir. Ce qui
est de plus deplorable en la maladie, & de plus à
plaindre au malade; C’est que les Medecins ou ne
connoissent pas le mal, ou du moins ne veulent pas
le guerir. Il y a long-temps qu’ils sont sollicitez
par l’affligé: Long-temps qu’ils entendent les clameurs
du pauure peuple oppressé, qui demande
auec des pleurs sanglants quelque remede à son

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Occurrence 213. M. L.. LE BOVCLIER ET L’ESPÉE DV PARLEMENT ET... (1649) chez [s. n.] à Paris , 23 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_599 ; cote locale : A_3_17. le 2013-06-15 11:13:06.

demande
auec des pleurs sanglants quelque remede à son
mal extreme: Et long-temps qu’ils ont vû cét
Estat à la mercy de son infortune, sans auoir eu pitié
de sa peine. Mais comme la necessité fait bien
souuent des miracles, cét Estat abandonné de ses
vrais Medecins, luy mesme a fait vn effort contre sa maladie, & luy mesme a trauaillé à la santé qu’il
auoit perduë.   Chacũ cherche
naturellement
son
salut. Vne humeur
estrangere
rend l’Estat
malade, & il
ne se

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Occurrence 214. M. L.. LE BOVCLIER ET L’ESPÉE DV PARLEMENT ET... (1649) chez [s. n.] à Paris , 23 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_599 ; cote locale : A_3_17. le 2013-06-15 11:13:06.

vn effort contre sa maladie, & luy mesme a trauaillé à la santé qu’il
auoit perduë.   Chacũ cherche
naturellement
son
salut. Vne humeur
estrangere
rend l’Estat
malade, & il
ne se trouue
point de
Medecin. Il a donc fallu
qu’il fit
luy mesme
vn effort
pour sa guerison. Ie dy luy mesme. Car puis que c’est le Parlement
qui a fait le genereux dessein d’vne si grande & si
necessaire cure, ie dy vray quand i’asseure que c’est

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Occurrence 215. Nervèze, Suzanne de [signé]. LE RIEVR DE LA COVR AVX BOVFONS, Satiriques,... (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Signature en page 4. Autre signature "D'Aubray", au colophon.. Référence RIM : M0_3549 ; cote locale : C_9_85. le 2013-12-09 13:33:12.

c’est ce que le presomptueux
ne veut pas, il est sot & meffiant, & comme les
grands personnages n’ont iamais de la crainte, les petits
esprits sont tousiours soupçonneux & sujets au premier
rapport, nous trouuons dans la vie d’Alexandre
que Philipe son Medecin luy portant vne medecine à
mesme temps que Parmenio son Conestable luy escriuoit
que son Medecin estoit gaigné par ses ennemis
pour l’empoisonner, Alexandre pour monstrer sa confiance
auale la medecine & donne la lettre à lire au Medecin
apprenez de là

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Occurrence 216. Nervèze, Suzanne de [signé]. LE RIEVR DE LA COVR AVX BOVFONS, Satiriques,... (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Signature en page 4. Autre signature "D'Aubray", au colophon.. Référence RIM : M0_3549 ; cote locale : C_9_85. le 2013-12-09 13:33:12.

ne veut pas, il est sot & meffiant, & comme les
grands personnages n’ont iamais de la crainte, les petits
esprits sont tousiours soupçonneux & sujets au premier
rapport, nous trouuons dans la vie d’Alexandre
que Philipe son Medecin luy portant vne medecine à
mesme temps que Parmenio son Conestable luy escriuoit
que son Medecin estoit gaigné par ses ennemis
pour l’empoisonner, Alexandre pour monstrer sa confiance
auale la medecine & donne la lettre à lire au Medecin
apprenez de là ames timides &

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Occurrence 217. Nervèze, Suzanne de [signé]. LE RIEVR DE LA COVR AVX BOVFONS, Satiriques,... (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Signature en page 4. Autre signature "D'Aubray", au colophon.. Référence RIM : M0_3549 ; cote locale : C_9_85. le 2013-12-09 13:33:12.

n’ont iamais de la crainte, les petits
esprits sont tousiours soupçonneux & sujets au premier
rapport, nous trouuons dans la vie d’Alexandre
que Philipe son Medecin luy portant vne medecine à
mesme temps que Parmenio son Conestable luy escriuoit
que son Medecin estoit gaigné par ses ennemis
pour l’empoisonner, Alexandre pour monstrer sa confiance
auale la medecine & donne la lettre à lire au Medecin
apprenez de là ames timides & soubçonneuses
qu’il n’y a que les foibles qui soit tousiours en garde, la

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Occurrence 218. Nervèze, Suzanne de [signé]. LE RIEVR DE LA COVR AVX BOVFONS, Satiriques,... (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Signature en page 4. Autre signature "D'Aubray", au colophon.. Référence RIM : M0_3549 ; cote locale : C_9_85. le 2013-12-09 13:33:12.

rapport, nous trouuons dans la vie d’Alexandre
que Philipe son Medecin luy portant vne medecine à
mesme temps que Parmenio son Conestable luy escriuoit
que son Medecin estoit gaigné par ses ennemis
pour l’empoisonner, Alexandre pour monstrer sa confiance
auale la medecine & donne la lettre à lire au Medecin
apprenez de là ames timides & soubçonneuses
qu’il n’y a que les foibles qui soit tousiours en garde, la
conscience cauterisée n’est iamais en seureté, les plus
grandes amitiés leur sont quelque fois suspectes, par

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Occurrence 219. Nervèze, Suzanne de [signé]. LE RIEVR DE LA COVR AVX BOVFONS, Satiriques,... (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Signature en page 4. Autre signature "D'Aubray", au colophon.. Référence RIM : M0_3549 ; cote locale : C_9_85. le 2013-12-09 13:33:12.

que Philipe son Medecin luy portant vne medecine à
mesme temps que Parmenio son Conestable luy escriuoit
que son Medecin estoit gaigné par ses ennemis
pour l’empoisonner, Alexandre pour monstrer sa confiance
auale la medecine & donne la lettre à lire au Medecin
apprenez de là ames timides & soubçonneuses
qu’il n’y a que les foibles qui soit tousiours en garde, la
conscience cauterisée n’est iamais en seureté, les plus
grandes amitiés leur sont quelque fois suspectes, par ce
que celuy qui n’aime rien, il ne

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Occurrence 220. Nervèze, Suzanne de [signé]. LE RIEVR DE LA COVR AVX BOVFONS, Satiriques,... (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Signature en page 4. Autre signature "D'Aubray", au colophon.. Référence RIM : M0_3549 ; cote locale : C_9_85. le 2013-12-09 13:33:12.

trouua ses bornes dans la fin de
leur authorité & de leur vie, Daniel seruiteur de Dieu,
descouurant le venin de ces detestables Iuges & l’innocence
de l’accusée, si bien que c’est du Ciel & de sa iustice
que nous deuons pretendre toutes nos joyes, le
Medecin guerit d’ordinaire nos maux par purgation,
nos ames peuuent prendre mesme remede, purgeons-nous
de toute mauuaise volonté pour nostre prochain,
voyons ses interests & sa conduitte sans passion ny animosité,
& nous aurons moins de repugnance à ses

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Occurrence 221. P. M. D. C. [signé] /... . LE COMETE ROYAL PRONOSTIQVANT A LA Reine vn... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M1_66 ; cote locale : B_4_2. le 2013-07-07 09:40:57.

d’y entretenir auec plus de soin les arbres qui
croissent naturellement sur les rochers, & dans les
precipices de l’Italie ; quoy que nous n’en receuions
que des fruits imparfaits & ingrats.   Charles le Chauue Roy de France & Empereur,
choisit vn Medecin Iuif Italianisé qui l’empoisonna
Blanche de Castille Reine de France,
mere de S. Louis, se seruit d’vn Cardinal Italien,
qui brouilla les affaires pendant la minorité de
son fils, & dont le mauuais traittement enuers les
doctes, donna sujet à quelque

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Occurrence 222. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anuers, "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi A_9_9 (partie 1). Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : D_1_14. le 2013-07-22 15:47:33.

ciuille
Vint de Monsieur de Longueville,
qu’il addressoit au Parlement,
Et qui n’estoit qu’vn compliment,
A qui fit aussi tost responce,
La Cour qui pese tout à l’once.
Or ce iour le Duc de Bouillon
Ayant pris congè du bouillon,
Des medecines. des clysteres,
Et des drogues d’Apotiquaires,
N’estant debout que de ce iour,
Releua la Mothe-Houdancour,
A Ville-Iuifue, où nostre armée
S’estoit desia bien enrhumée.   17. Mars. Le Duc
debouillon
fut

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Occurrence 223. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anvers; "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi D_1_14 (partie 1). Dans Choix II de Moreau.. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : A_9_9. le 2013-07-22 15:50:23.  

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Occurrence 224. Saint-Julien,? [?]. LE DOVZIESME COVRRIER FRANCOIS, TRADVIT... (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 10 pages. Langue : français. Partie 12 de 12. Voir Pièces de C_2_42_01 à C_2_42_12. Référence RIM : M0_2848 ; cote locale : C_2_42_12. le 2013-02-12 14:47:14.

pas
Aux ligues s’ils en ont aucune,
Sous couleur de cause commune,
Soit hors la France, soit dedans.    
Item, le Roy veut que nos gens
Soient purgez auec de la casse
Quoy que nul mal ne les menace,
Qui demande les Medecins,
A la reserue des plus sains,
Donc le Roy veut ses forces croistre,    
Item, que tous ceux mis en cloistre,
(Car ie confons cloistre & prison)
Retourneront en leur maison
Que le Roy la presente année
Et deuant

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Occurrence 225. Saint-Julien,? [?]. LE NEVFIESME COVRRIER FRANCOIS, TRADVIT... (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 11 pages. Langue : français. Partie 9 de 12. Voir Pièces de C_2_42_01 à C_2_42_12. Référence RIM : M0_2848 ; cote locale : C_2_42_09. le 2013-02-12 14:41:14.

coucher à leur giste
Dans leurs ordinaires quartiers,
Sur peine d’estre tous entiers
Et non d’vne seule partie
Hachez plus menu que charpie.    
Mercredy le Duc de Boüillon
Ayant pris congé du boüillon
Des medecines, des clysteres
De Messieurs les Apotiquaires
S’estant leué ce mesme iour,
Releua la Mothe-Houdancourt,
Dans le quartier de nostre armée
Ou la pluspart s’est enrhumée.    
Le mesme iour au Parlement
Fut apporté le

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Occurrence 226. Sandricourt,? de [?]. L’ESTAT PRESENT DE LA FORTVNE DE TOVS LES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1301 ; cote locale : B_2_24. le 2013-02-05 15:52:58.

Nous pouuons bien nous ranger à nostre lien,
& nous resoudre à baiser le baboüin, si nous en
pouuons estre quitte à si bon marché. Les Catalans. Nous tombons de fiévre en chaud mal. Les Habitans de Barcelone. Nous sommes abandonnez des Medecins, &
nous nous sommes mis la corde au col. Ceux de la Comté de Roussillon. Ce sera bien-tost à nous le dé. Les Portuguais. Il y a bien pour nous, garre le heurt, on
nous aura le poil apres les autres. Les Genois. Il faut bien

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Occurrence 227. A. D.. LES MOTIFS QVI ONT EMPESCHÉ LA PAIX jusques... (1652) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2508 ; cote locale : B_16_46. le 2014-02-19 15:26:36.

continuellement
l’esprit de vostre Majesté, s’efforce
de luy vouloir, peut estre, persuader
que ma franchise Chrestienne choquera son
authorité.   Il faut donc, SIRE, examiner les causes
de la maladie de vostre Estat, & à la mode des
bons Medecins, les purger, afin que les
mauuais effets qu’elles produisent viennent
à cesser. La premiere & principalle de ces causes
qui est la source de toute les autres, est la
ieunesse de vostre Majesté, qui ne peut estre
entierement purgée que par le temps,

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Occurrence 228. Anonyme. ADVIS AVX PARTISANS, MALTOTIERS, MONOPOLEVRS... (1650) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français. Voir aussi, avec une préface, [M0_1059] de 1649.. Référence RIM : M0_493 ; cote locale : A_9_30. le 2014-11-30 13:31:23.

ces sortes de gens, mais
il leur fit cette response iudicieuse, & salutaire, qu’il
estoit venu sur terre pour appeller à conversion ceux
qui auoient fait banqueroute à la vertu, & non les iustes,
ceux qui joüissoient de la santé n’ayans besoin de
Medecin, mais les malades. Quant à moy ie les estime
pires que l’ennemy commun de Dieu, & des
hommes: car il demande seulement l’ame, & eux
prennent, ou afin de dire mieux, font prendre (& encore
perdre) le corps, l’ame, & les biens presque toûjours

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Occurrence 229. Anonyme. ADVIS SINCERE AVX BOVRGEOIS DE PARIS. (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 46 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_543 ; cote locale : B_17_11. le 2014-11-26 16:16:53.

tous vos maux. C’estoit, disoient-ils, vn moyen d’establir le
commerce, de soulager les miserables, de faire naistre l’abondance
de toutes choses, d’establir la seureté publique ; en vn mot,
de vous faire voir vn siecle d’or. Mais ces Empiriques d’Estat,
ces Medecins non experimentez vous firent croire que vous estiez
malades, pour faire vne espreuue sur vous ; ou si vrayement
vous l’estiez, vous pristes de leurs mains des remedes plus forts,
plus violents, & plus dangereux que vostre maladie. Car quel suiet auiez-vous de

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Occurrence 230. Anonyme. ANTI-REFVTATION DE LA RESPONCE AV BANDEAV DE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_94 ; cote locale : A_2_27. le 2014-11-29 02:18:08. le
commun pour le faire) & vous trouuez extraordinaire
(qu’vn President ou vn Conseiller)
qui aura par exemple eu quelque honorable

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Occurrence 231. Anonyme. APOLOGIE CVRIEVSE POVR LES IVSTES PROCEDVRES... (1649) chez Besogne (Cardin) à Paris , 22 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_99 ; cote locale : A_2_1. le 2014-12-02 15:20:11.

menées du temps du Roy
François I. décheut aussi de faueur & courut pareille fortune, n’ayãt
esté relasché de prison que sur la crainte que le Roy auoit, que le Pape
s’offençast; il y mourut d’vne retention d’vrine, de laquelle il
fit croire à tous ses Medecins qu’il estoit malade beuuant son vrine,
sans que personne en peust rien decouurir. Le Cardinal d’Amboise estoit d’vne extraction tres-illustre &
d’vn genereux courage; Et neantmoins és negotiations d’Italie &
particulierement de Rome, sa qualité

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Occurrence 232. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 39 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_28. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : A_2_3. le 2014-12-06 14:58:02.

faute de leuer le bondon. Si le Roy de la Grand’Bretagne eust donné
air à ce sang renfermé dans vne Isle inaccessible, il n’eust pas esprouué les
mal heurs, sous lesquels il est accablé auiourd’huy. Le Casuiste. Vous estes donc, Monseigneur, de l’opinion des Medecins
de Paris, qui veulent tousiours saigner. Le Card. Vous comprenez ma pensée. La comparaison n’en est pas maumaise.
Car pour moy ie crois que la repletion tuë plus d’hommes que
l’espée. Ie pourrois adiouster que l’oisiueté est la mere de tous vices,

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Occurrence 233. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 39 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_28. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : A_2_3. le 2014-12-06 14:58:02.

Mais ces choses là sont passées, venons à l’affaire presente. Ie vous accorde
qu’vn grand Ministre doit rendre son Maistre le plus absolu qu’il peut, qu’il
doit auoir la Iustice & toutes les puissances de l’Estat à sa deuotion. Mais
tout ainsi que les Medecins regardent trois choses en vn mal, la saison, le
temperament du malade & sa maladie, aussi vn bon Politique doit auoir
trois considerations presque semblables dans les saignées & autres cures
qu’il fait sur le peuple. Vous auez donc à considerer Monseigneur, la

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Occurrence 234. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 39 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_28. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : A_2_3. le 2014-12-06 14:58:02.

du peuple, qui est le temperament; & la misere generale, qui est l’estat de la maladie.   Le Card. Mais cette comparaison n’est pas parfaite, parce que le Prince a
des forces en main, par lesquelles il peut contraindre le corps politique, ce
que le Medecin ne peut pas faire au corps naturel. Le Casuiste. Il est vray Monseigneur. Mais vous ne dites pas aussi que le
corps naturel tire par fois des secours non esperez de nature, qui repoussent
la maladie sans l’art & les remedes du Medecin, ce qui ne sçauroit arriuer

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Occurrence 235. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 39 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_28. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : A_2_3. le 2014-12-06 14:58:02.

le corps politique, ce
que le Medecin ne peut pas faire au corps naturel. Le Casuiste. Il est vray Monseigneur. Mais vous ne dites pas aussi que le
corps naturel tire par fois des secours non esperez de nature, qui repoussent
la maladie sans l’art & les remedes du Medecin, ce qui ne sçauroit arriuer
dans le corps Politique: parce que lors qu’vn peuple est pauure, il ne sçauroit
tirer de l’or de ses entrailles, & la force du Prince, comme vous disiez,
bien loing de soulager le mal, elle l’aggraue? Le Card. Comment se

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Occurrence 236. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 39 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_28. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : A_2_3. le 2014-12-06 14:58:02.

que c’estoit sa mort que de le saigner; & pour
le temperament, vous sçauez que dés l’hyuer passé sa bile s’emeut vn peu,
& aux barricades, il n’est pas que vous ne vous souueniez, qu’il en ietta
beaucoup par vne crise de trois iours. Il me semble qu’vn bon Medecin n’eust
pas aigri cette humeur là, qu’il eust vn peu laissé faire nature, car les iours
estoient critiques aussi bien que les humeurs, ie diray mesme les esprits. Le Card. Vous estes grand Medecin Monsieur. Mais vous auez cet aduantage
que la terre couure vos

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Occurrence 237. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 39 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_28. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : A_2_3. le 2014-12-06 14:58:02.

en ietta
beaucoup par vne crise de trois iours. Il me semble qu’vn bon Medecin n’eust
pas aigri cette humeur là, qu’il eust vn peu laissé faire nature, car les iours
estoient critiques aussi bien que les humeurs, ie diray mesme les esprits. Le Card. Vous estes grand Medecin Monsieur. Mais vous auez cet aduantage
que la terre couure vos fautes & vos malades. Pleust à Dieu qu’il en
fust de mesme dans la Politique. Le Casuiste. Il ne demeureroit gueres de monde en vie Monseigneur.
Mais c’est trop s’arrester sur vn point. Que

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Occurrence 238. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 20 pages. Langue : français. Première partie. Voir aussi A_2_3 (qui contient les deux parties).. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : C_5_28. le 2014-12-09 15:25:28.

faute
de leuer le bondon. Si le Roy de la Grand’Bretagne eust donné air à ce sang
renfermé dans vne Isle inaccessible, il n’eust pas esprouué les mal heurs,
sous lesquels il est accablé auiourd’huy. Le Casuiste. Vous estes donc, Monseigneur, de l’opinion des Medecins
de Paris, qui veulent tousiours saigner. Le Card. Vous comprenez ma pensée. La comparaison n’en est pas mauuaise.
Car pour moy ie crois que la repletion tuë plus d’hommes que l’espée.
Ie pourrois adjouster que l’oisiueté est la mere de tous vices,

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Occurrence 239. Anonyme. EXAMEN DES DIVERS SENTIMENS SVR L’ARREST... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1318 ; cote locale : B_15_15. le 2014-07-12 09:08:23.

doucement sur nos
chaisnes, quelle a entrepris vn vieux mal & employe
pour sa guerïson la conjuration le fer & feu,
qu’ils ont esteint & allumé à diuers temps iusques à
ce qu’ils l’ont enfin reduit en l’estat où nous les
voyons.   Vn Medecin s’est acquité de son deuoir lors
qu’il a traitré le Malade selon les reigles de l’Art.
La Cure & la guerison sont diferentes & les sages
loüent les plus belles entreprises plus tost
par elles mesmes que par leurs succez. Dire que
le Parlement a

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Occurrence 240. Anonyme. IVGEMENT ET CENSVRE DES TROIS LIBELLES... (1649) chez [s. n.] à Paris , 35 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1773 ; cote locale : C_7_60. le 2014-11-30 13:29:19.

de reprendre & de
corriger le vice : en la personne des vicieux, qui
est vne chose sainte, ne se donne pas aux chiens,
& moins encore aux impudens, aux foux & aux
impies. Cura te ipsum, dit vn des grands maistre
du temps, contre ceux de l’Escole en Medecine,
& puis, mais que tu sois au nombre des sanctifiez
en Dieu, tu pourras faire leur office : mais
iusques là c’est vn crime tres abominable, à quiconque
le voudra entreprendre. Et puis les
Saints, veu que ie suis en humeur de te faire encore
vne petite

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Occurrence 241. Anonyme. LE VERITABLE AMY SANS FLATERIE, A MESSIEVRS... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 14 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3918 ; cote locale : B_12_6. le 2014-01-04 15:14:14.

sur vos testes, vous menasse de
les écraser. Ayant troublé la forme du gouuernement
precedent de l’Estat sans en introduire vne
nouuelle, vous voulez que la France souffre vn
vuide, que la nature ne reçoit point ; & ne vous
souuenez pas que comme de mauuais Medecins
ayant émeu les humeurs d’vn corps sans les dissiper,
au lieu de la langeur qu’il sentoit auparauant,
vous n’auez manqué de luy causer vne maladie qui
le met en peril de mort. Les pointes de vostre ressentiment
ont picqué la France iusques au vif,

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Occurrence 242. Anonyme. LE VERITABLE CONTRE LE MENTEVR. Mentita est... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3926 ; cote locale : B_10_8. le 2014-01-04 15:21:42.

mesler la raillerie, & parle de ces Illustres prisonniers,
qu’il appelle tres grands Genies de
la Guerre, du Conseil, & de l’Eglise, pour
rendre leur emprisonnement plus celebre, &
l’Autheur de cét attentat plus insolent. Si son Mazarin estoit vn grand Medecin, ou
vn excellent Politique, nous n’aurions pas veu
de, si notables fautes que celles qu’il a faites ; &
les cruelles & inconsiderées seignées qu’il a fait
dans l’Estat, marquent assez qu’il n’est qu’vn
Charlatan, & vn Empirique ignorant,

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Occurrence 243. Anonyme. LE VERITABLE CONTRE LE MENTEVR. Mentita est... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3926 ; cote locale : B_10_8. le 2014-01-04 15:21:42.

que
puis qu’il a peine à donner à Dieu vn sacrifice de loüãge,
ce que les Princes, & les gens de bien ennemis
du Cardinal Mazarin, doiuent attendre de cette ame
venale. p. 32. Il poursuit en faisant l’Orateur, le Predicateur, le
le Prophete, le Medecin, & l’Astrologue ; & fait plûtost
vne montre de sa vanité, de laquelle son esprit
est tout boursouflé, que de la fidelité de laquelle vn
Escriuain doit estre remply : Et semble en apres estre
marry, de ce qu’il y a encor quelque coin en France,
qui

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Occurrence 244. Anonyme. LE VRAY POLYTIQVE OV L’HOMME D’ESTAT... (1649) chez Noël (François) à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_4073 ; cote locale : A_5_94. le 2014-01-06 10:25:33.

il se trouua si bien, que par son testament il exhorta son fils à suiure
le mesme chemin. S’il s’en éloigna, comme il fit tout aussitost
apres, on sçeut que pour s’estre seruy de plus de gens il n’en
fut pas mieux. Ce que ce Prince disoit autrefois de ses Medecins,
plusieurs autres le pourroient dire de la multitude de leurs
Conseillers, que c’est ce qui les a perdus.   S’il est mal-aisé de trouuer en vn homme seul, toutes les qualitez
necessaires au gouuernement d’vn Estat, comme en estoit pourueu
le feu

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Occurrence 245. Anonyme. LES ACTIONS DE GRACE DES BOVRGEOIS ET... (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_29 ; cote locale : A_3_7. le 2014-01-06 14:45:19.

leurs contraires
donc qu’il seroit necessaire de temperer & de moderer
nostre ioye par le souuenir de quelques vnes des
rencontres fascheuses suruenuës depuis l’absence de
sa Majesté ponr en augmenter dauantage la grandeur
& l’exceds. Mais comme les Medecins qui sont autant plus excellens
qu’aduisez que les Peintres, puisque par leur
diuine science ils sçauent conseruer dans vn estat sain & parfait le premier subiet, non seulement de la peinture,
mais aussi de toute la nature, à sçauoir l’homme,

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Occurrence 246. Anonyme. LES EMBLEMES POLITIQVES PRESENTE A SON... (1649) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Voir aussi C_7_66. Référence RIM : M0_1212 ; cote locale : A_3_37. le 2014-02-11 13:27:03.

que vous resuez, vous disray
je tout ce que i’en pense si vous en estes reduit à ce
point on doit si i’en suis cru, loger vne telle frenesie ou
dans vn lict aux Incurables, ou dans vne loge aux petites
Maisons. Ie ne croy pas que toutes les Facultez de
Medecine sachant inuenter vn remede pour vous guerir
ie n’en excepte pas mesme tous les Charlatans ny
tous les Chimistes de l’Italie. Salomon qui cognoissoit
les vertus de tous les simples qui nous sont cachez n’auoir
sceu guerir vne telle maladie. Ie voy bien que

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Occurrence 247. Anonyme. LES EMBLEMES POLITIQVES PRESENTÉ A SON... (1649) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Voir aussi A_3_37. Référence RIM : M0_1212 ; cote locale : C_7_66. le 2014-02-11 13:22:28.

que vous resuez, vous disray
je tout ce que i’en pense si vous en estes reduit à ce
point on doit si i’en suis cru, loger vne telle frenesie ou
dans vn lict aux lncurables, ou dans vne loge aux petites
Maisons. Ie ne croy pas que toutes les Facultez de
Medecine sachant inuenter vn remede pour vous guerir
ie n’en excepte pas mesme tous les Charlatans ny
tous les Chimistes de l’Italie. Salomon qui cognoissoit
les vertus de tous les simples qui nous sont cachez n’auoir
sceu guerir vne telle maladie. Ie voy bien que

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Occurrence 248. Anonyme. LES ENTRETIENS DE S. MAIGRIN ET DE MANZINI,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1251 ; cote locale : B_9_32. le 2014-02-11 16:18:32.

& la mort
toute cruelle qu’elle est, eut ce respect pour vostre
valeur, qu’en vous saisissant elle vous épargna l’horreur
de voir ce visage affreux qui la rend si redoutable
aux yeux des plus grands Heros ; du moins
vous n’auez point veu ce triste appareil de Medecins,
de pleureuses & de Confesseurs, enuironner vostre
lict, & n’auez point ouy prononcer vostre Sentence
de mort, par les pleurs & les souspirs de vos
meilleurs amis, dont la tendresse eust este capable
de vous faire souffrir d’autres morts que celles

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Occurrence 249. Anonyme. LES MESTIERS DE LA COVR. ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2465 ; cote locale : A_6_33. le 2014-02-19 14:52:56.

qu’il
luy falloit vn mestier ou il se seruit de la Riuiere.   Monsieur le Prince se faict Bahutier. Monsieur le Prince de Conty deuient Autheur,
& dit on qu’il est fort propre à commanter
les fables d’Esoppe. Monsieur d’Angoulesme sera Medecin
quand les maladies seront incurables. Monsieur de Longueville enseignera l’Allemand,
heureux d’auoir apporté ce mestier
de Meunster. Messieurs de Guise & d’Elbeuf attendront
le retour de Madame de Cheureuse, pour déliberer
auecque-elle,

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Occurrence 250. Anonyme. LES MOTIFS QVI ONT PORTÉ SON ALTESSE... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2509 ; cote locale : B_7_13. le 2014-02-22 10:12:29.

mettre vn Estranger, vn proscript
sur le throne. Mais s’il manquent à leur
deuoir nous sommes resolus de satisfaire au nostre,
& d’opposer la force à la violence, la generosité,
la constance à l’obstination & la prudence
à leur temerité. Les loix de la Medecine
ordonnent qu’aux maux desesperez il faut des
remedes extremes, & c’est ce qui iustifie ceux
dont nous vsons pour conseruer cet Estat, lequel
est à la veille de se perdre si nous n’vsons
de remedes puissants, bien qu’ils semblent facheux
& du

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Occurrence 251. Anonyme. LES NOVVELLES METAMORPHOSES DE L’ESPAGNOL. (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2560 ; cote locale : C_6_19. le 2014-02-22 10:36:58.

moins suiette à mouuement
& changement, qu’elle est lourde & pesante.
Mais combien qu’il soit de cette nature,
neantmoins il peut estre eschauffé & disposé au
changement par la chaleur moderée qui procede
d’vn bon & reglé vsage des choses que les Medecins
appellent nonnaturelles, au nombre desquelles
sont le vin, l’exercice & principalement
les affections de l’ame : comme le soucy, les inquietudes,
le chagrin, la cholere, l’amour, l’ambition
& autres passions moderées qui excitent au

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Occurrence 252. Anonyme. LES SENTIMENS D’ARISTIDE, Sur les affaires... (1649) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3647 ; cote locale : A_7_21. le 2014-02-25 14:36:25.

pẽsion, &c. le pauure Public se verra
bien-tost abandonné d’vne partie de ses Zelateurs plus ardans, qui se
prennent dans ces pieges, & qui payent tousiours la peine de leur
lascheté. Ce n’est pas que le changement d’aduis procede tousiours de
cette cause, vn Medecin expert, proposera vn remede, pour chasser le
mal qui luy est present; Que si la fiebure suruient, & qu’elle predomine,
on change les remedes, & on ne pense plus qu’à ce qui est le
plus à craindre. Vn bon Politique en fait ainsi: on quitte le soin d’vn

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Occurrence 253. Anonyme. LES SERVICES QVE LA MAISON DE CONDÉ A... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 30 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2.. Référence RIM : M0_3666 ; cote locale : C_11_30. le 2014-02-26 15:13:24.

tenus pour ennemis, par ce que toute la maison
Royalle leur estoit contraire, qu’on declaroit pour les criminels &
rebelles, & que le Cardinal à encor à present plus de volonté &
plus de pretexte de prendre que Monsieur le Prince son protecteur.
Semblable à ce Medecin vollant, que ces Comediens representoient
si facesieusement & par vne souplesse digne de sa nation sur
vne mesme Scene il contrefait le Charlatan qui promet au peuple
guerison de ses maux, il fait semblant d’y compatir & de les
plaindre, mais il reparoit

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Occurrence 254. Anonyme. LES TERREVRS DE MAZARIN, ET LE SECOVRS... (1649) chez Remy (Veuve de Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_3762 ; cote locale : C_10_28. le 2014-02-26 16:08:24.

conseruation, virent
que les forces de sou corps diminuoient à mesure que celles de l’Esprit se
peruertissoient, & que mesme il couroit fortune de la vie, si l’on le laissoit
plus longtemps dans cette humeur hipocondre, furent d’aduis d’y appeller
les plus habiles Medecins du Roy, qui trouuerent bon de luy donner
vn petit breuage d’Opium pour le faire dormir, esperans que le sommeil
calmeroit ceste émotion & remettroit cét esprit destraqué dans son assiette
ordinaire ; cela fut trouué tres à propos ; mais le succez ne

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Occurrence 255. Anonyme. LETTRE DE LA FRANCE EN L’AGONIE,... (1652) chez Beauplet (David) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_12_24. Référence RIM : M0_1939 ; cote locale : B_15_40. le 2014-05-24 16:10:48.

soit asseurée du mauvais traitement de la maladie,
laquelle d’ici à long-temps sera languissante :
si le dominateur des choses les plus redoutées, ne
prend compassion de mon cœur, je proteste mourir.
& je ne peux, ie veux guerir, il ne se trouve
Medecine, tout cela ne le peut sans vne puissante
main, SIRE, plaira-il à Vostre Majesté voir ma
Lettre & de donner autant de patience à mes yeux
qu’ils souffrent de feux & de cruauté, afin que tous
ses Poliques qui releuent de moy, puissent iuger de

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Occurrence 256. Anonyme. LETTRE DE LA FRANCE EN L’AGONIE,... (1652) chez Beauplet (David) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi B_15_40. Référence RIM : M0_1939 ; cote locale : C_12_24. le 2014-05-24 16:12:18.

soit asseurée du mauvais traitement de la maladie,
laquelle d’ici à long-temps sera languissante ;
si le dominateur des choses les plus redoutées, ne
prend compassion de mon cœur, je proteste moutir
& je ne peux, je veux guérir, il ne se trouve
Medecine ; tout celà ne le peut sans vne puissante
main, SIRE, plaira-il à Vostre Majesté voir ma
Lettre & de donner autant de patience à mes yeux
qu’ils souffrent de feux & de cruauté, afin que tous
ses Poliques qui releuent de moy, puissent iuger de

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Occurrence 257. Anonyme. LETTRE D’VN ASTROLOGVE à Monseigneur le... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 3 pages. Langue : français. Sans page de titre.. Référence RIM : M0_1850 ; cote locale : E_1_29. le 2014-05-06 15:07:47.

à l’admiration de sa sagesse ; & comme toutes
ont leurs aduantages & leurs bornes, il ne faut pas s’estonner
si l’homme par les lumieres qui luy ont esté liberalement
données, tasche d’obseruer leurs progrez & leur décadence.
Ainsi le Medecin a trouué la proprieté des simples, & les accidens
de la nature ; le Marinier l’vsage de la boussole, & la
cognoissance de la diuersité des vents ; l’Alchimiste les sels &
les mutations metaliques, & l’Astrologue trouue dans les
cours des Astres

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Occurrence 258. Anonyme. LETTRE D’VN BON PAVVRE ESCRITE A Madame la... (1649) chez Loyson (Guillaume), Loyson (Jean-Baptiste) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi C_3_81. Voir suite: A_5_45 et C_3_82 (M2_195). Référence RIM : M0_1851 ; cote locale : A_5_44. le 2014-05-06 15:25:06.

de relâche dans cette affliction, & les
offrir à Dieu ie pense que le sacrifice ne luy en sçauroit
estre agreable. Il faut remedier à ce qui n’est
pas incurable, vostre Altesse en ce poinct ne doit
pas s’en remettre au temps, puisque c’est vn trop
dangereux medecin pour des maladies pressantes;
Nous sommes en estat de voir des fleuues de sang,
si la rosee de la grace ne change point les émotions
& remuëmens funestes qui nous menassent.
Il y en a desia beaucoup de répandu, plaise à la diuine
bonté que ces pauures ames

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Occurrence 259. Anonyme. LETTRE D’VN BON PAVVRE ESCRITE A Madame la... (1649) chez Loyson (Guillaume), Loyson (Jean-Baptiste) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi A_5_44 (partie 1). La suite est M2_195, voir A_5_45 (suite) et C_3_82 (suite). . Référence RIM : M0_1851 ; cote locale : C_3_81. le 2014-05-06 15:29:36.

de relâche dans cette affliction, & les
offrir à Dieu ie pense que le sacrifice ne luy en sçauroit
estre agreable. Il faut remedier à ce qui n’est
pas incurable, vostre Altesse en ce poinct ne doit
pas s’en remettre au temps, puisque c’est vn trop
dangereux medecin pour des maladies pressantes ;
Nous sommes en estat de voir des fleuues de sang,
si la rosee de la grace ne change point les émotions
& remuemens funestes qui nous menassent.
Il y en a desia beaucoup de répandu, plaise à la diuine
bonté que ces pauures ames

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Occurrence 260. Anonyme. LETTRE ESCRITE A MONSIEVR LE COMTE DE... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi C_3_38. Référence RIM : M0_2209 ; cote locale : A_5_85. le 2014-06-15 01:10:53.

& de faire du progrez par la tolerance, & le
consentement, qui ne s’y soit pris quasi tousiours auec impunité.   A dire vray, comme cét Estat n’auoit point esté iusques
icy susceptible d’aucune grande reuolution, & que selon
l’Oracle de la Medecine, tout changement soudain est dangereux
dans vn corps; ie pensois fermement qu’il ne seroit
pas au pouuoir de ses Ministres d’arrester le cours de ces
mauuaises humeurs, ny d’entreprendre d’en émouuoir
quelqu’vne sans luy donner lieu de tuer auant que de

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Occurrence 261. Anonyme. LETTRE ESCRITE A MONSIEVR LE COMTE DE... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi A_5_85. Référence RIM : M0_2209 ; cote locale : C_3_38. le 2014-06-15 01:12:52.

& de faire du progrez par la tolerance, & le
consentement, qui ne s’y soit pris quasi tousiours auec impunité.   A dire vray, comme cét Estat n’auoit point esté iusques
icy susceptible d’aucune grande reuolution, & que selon
l’Oracle de la Medecine, tout changement soudain est dangereux
dans vn corps ; ie pensois fermement qu’il ne seroit
pas au pouuoir de ses Ministres d’arrester le cours de ces
mauuaises humeurs, ny d’entreprendre d’en émouuoir
quelqu’vne sans luy donner lieu de tuer auant que de

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Occurrence 262. Anonyme. LISTE GENERALE De tous les morts &... (1652) chez Leroy (Claude) à Paris , 7 pages. Langue : français. Dans le Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_2320 ; cote locale : B_13_60. le 2014-06-22 12:37:46.

Mazarin, tué. Le Vicaire de sainct Leu sainct Gilles, blessé
à la cuisse d’vn coup de mousquet. Vn Marchand de fer de la ruë sainct Martin
proche sainct Iulien le Menestrier, blessé. Plusieurs porte-fez, Charbonnier, & autres
gens trauaillans sur le port, y ont esté blessez. Monsieur Mathieu Medecin, demeurant
en la Montagne saincte Geneuiefue, blessé au
bras droit. Deux Colonels Mazarin y estant incognito,
l’vn blessé à la cuisse & l’autre au costé.

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Occurrence 263. Anonyme. MANVEL DV BON CITOYEN, OV BOVCLIER DE... (1649) chez Sara (Robert) à Paris , 24 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_6_7. Dans Choix I de Moreau. Une édition de Sainte-Geneviève porte la date du 23 mars. . Référence RIM : M0_2406 ; cote locale : C_6_5. le 2014-06-30 02:14:07.

suis
prest de l’entendre, & d’y adherer ; car dans cette necessité vrgente, si
nous ne déposons toute sorte de jalousie & d’attachement à nostre
propre sens, nous ne ferons rien qui vaille, & il nous arriuera comme
aux consultations où l’on appelle les Medecins des deux Facultez ;
pendant qu’ils contestent du poinct d’honneur, & refusent de passer
à l’aduis les vns des autres, le malade meurt entre leurs mains. Ne
vous souuenez-vous point des Estats de six-cens quatorze : leur deputation
cousta

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Occurrence 264. Anonyme. MANVEL DV BON CITOYEN, OV BOVCLIER DE... (1649) chez Sara (Robert) à Paris , 24 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_6_7. Dans Choix I de Moreau. Une édition de Sainte-Geneviève porte la date du 23 mars. . Référence RIM : M0_2406 ; cote locale : C_6_5. le 2014-06-30 02:14:07.

Nous auons ouy dire de fort bonne
part, que le feu Roy ayant esté trauaillé durant toute vne nuict d’vn
songe qui luy representa les détresses où estoit la Reyne sa Mere, &
les reproches qu’elle luy en faisoit : Il s’esueilla en sueur & en fiévre ;
dont son Medecin Bouuard ayant donné aduis au Cardinal de Richelieu,
on attitra les Bouffons, lesquels sur l’apresdisnée entretenant
ce trop credule Prince de differens sujets : L’vn d’entr’eux ayant
voulu faire le recit d’vn songe, qu’il feignoit d’auoir eu quelque

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Occurrence 265. Anonyme. MANVEL DV BON CITOYEN, OV BOVCLIER DE... (1649) chez Sara (Robert) à Paris , 24 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_6_7. Dans Choix I de Moreau. Une édition de Sainte-Geneviève porte la date du 23 mars. . Référence RIM : M0_2406 ; cote locale : C_6_5. le 2014-06-30 02:14:07.

ils exhortent de trauailler ceux de l’autre, s’il s’y trouuoit
quelque ame cõsciencieuse & genereuse. Mais est-il donc besoin
d’vne vertu extraordinaire & heroïque, pour porter vne parole de iustice
à l’oreille d’vne Reyne & de deux Princes ? est-ce vne medecine
si amere & si dégoustante que la proposition d’vn bon conseil ? Ne s’est-il
peû rencontrer aucune creature parmy tant de deuotes, qui aye osé
presenter cette potion, que la femme d’vn Apothicaire Espagnol ?
Quoy ? il s’est trouué assez de zele pour

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Occurrence 266. Anonyme. MANVEL DV BON CITOYEN, OV BOVCLIER DE... (1649) chez Sara (Robert) à Paris , 24 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_6_5. Dans Choix I de Moreau. Une édition de Sainte-Geneviève porte la date du 23 mars.. Référence RIM : M0_2406 ; cote locale : A_6_7. Texte édité par Patrick Rebollar le 2014-06-30 02:09:45.

ie suis
prest de l’entendre & d’y adherer; car dans cette necessité vrgente, si
nous ne deposons toute sorte de jalousie & d’attachement à nostre
propre sens, nous ne ferons rien qui vaille, & il nous arriuera comme
aux consultations où l’on appelle les Medecins des deux Facultez:
pendant qu’ils contestent du poinct d’honneur, & refusent de passer à
l’aduis les vns des autres, le malade meurt entre leurs mains. Ne
vous souuenez-vous point des Estats de six cens quatorze: leur deputation
cousta plusieurs

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Occurrence 267. Anonyme. MANVEL DV BON CITOYEN, OV BOVCLIER DE... (1649) chez Sara (Robert) à Paris , 24 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_6_5. Dans Choix I de Moreau. Une édition de Sainte-Geneviève porte la date du 23 mars.. Référence RIM : M0_2406 ; cote locale : A_6_7. Texte édité par Patrick Rebollar le 2014-06-30 02:09:45.

Nous auons ouy dire de fort bonne
part, que le feu Roy ayant esté trauaillé durant toute vne nuict d’vn
songe qui luy representa les detresses où estoit la Reyne sa Mere, &
les reproches qu’elle luy en faisoit: Il s’esueilla en sueur & en fiévre;
dont son Medecin Bouuard ayant donné aduis au Cardinal de Richelieu,
on attitra les Bouffons, lesquels sur l’apresdisnée entretenant
ce trop credule Prince de differens sujets: L’vn d’entr’eux ayant
voulu faire le recit d’vn songe, qu’il feignoit d’auoir eu quelque
nuict

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Occurrence 268. Anonyme. MANVEL DV BON CITOYEN, OV BOVCLIER DE... (1649) chez Sara (Robert) à Paris , 24 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_6_5. Dans Choix I de Moreau. Une édition de Sainte-Geneviève porte la date du 23 mars.. Référence RIM : M0_2406 ; cote locale : A_6_7. Texte édité par Patrick Rebollar le 2014-06-30 02:09:45.

ils exhortent de trauailler ceux de l’autre, s’il s’y trouuoit
quelque ame cõscientieuse & genereuse Mais est-il donc besoin
d’vne vertu extraordinaire & heroïque, pour porter vne parole de iustice
à l’oreille d’vne Reyne & de deux Princes? est-ce vne medecine
si amere & si dégoustante que la proposition d’vn bon conseil? Ne s’est-il
peû rencontrer aucune creature parmy tant de deuotes, qui aye osé
presenter cette potion, que la femme d’vn Apothicaire Espagnol?
Quoy? il s’est trouué assez de zele pour

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Occurrence 269. Anonyme. OBSERVATIONS VERITABLES ET DES-INTERESSEES,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 160 pages. Langue : français, latin. Table des matières en pages 5-6; avertissement de l'imprimeur au lecteur en page 8. Notre page 9 est numérotée 1 dans l'original (cet écart de 8 se maintient jusqu'à la fin de la pièce).. Référence RIM : M0_2574 ; cote locale : B_11_23. le 2014-07-08 14:38:18.

de
l’Eglise Gallic.
tom. 2.
fol. 122. François I. fit emprisonner le Cardinal du Prat accusé d’auoir
intelligence auec les ennemis de l’Estat ; Qui pour faciliter
sa liberté beuuoit tous les iours son vrine afin de persuader
à ce Prince, & aux Medecins qui le traitoient, qu’il estoit malade
à l’extremité, & puissamment affligé d’vne retention d’vrine,
qui tres-assurément le feroit mourir, si on le tenoit dauantage
enfermé ; Ce qui toucha tellement la pieté de ce bon
Roy, qu’il luy fit donner la

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Occurrence 270. Anonyme. OBSERVATIONS VERITABLES ET DES-INTERESSEES,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 160 pages. Langue : français, latin. Table des matières en pages 5-6; avertissement de l'imprimeur au lecteur en page 8. Notre page 9 est numérotée 1 dans l'original (cet écart de 8 se maintient jusqu'à la fin de la pièce).. Référence RIM : M0_2574 ; cote locale : B_11_23. le 2014-07-08 14:38:18.

En l’an 1648. Le parlement de paris fit le procés criminel
à l’Abbé de Croisilles Prestre, accusé d’estre marié ; Son Apologie
contient toute cette Histoire funeste & tragique. Iuuenal des Vrsins raconte, que comme l’on cherchoit de
toutes parts quelque Medecin expert pour guerir le Roy
Charles VI. qui estoit malade en l’an 1397. deux Moines Augustins
se presenterent pour l’entreprendre en qualité d’excellens
Medecins ; Mais au lieu de le soulager, ayans pensé le faire
mourir, le Duc de Bourgogne les fit prendre comme

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Occurrence 271. Anonyme. OBSERVATIONS VERITABLES ET DES-INTERESSEES,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 160 pages. Langue : français, latin. Table des matières en pages 5-6; avertissement de l'imprimeur au lecteur en page 8. Notre page 9 est numérotée 1 dans l'original (cet écart de 8 se maintient jusqu'à la fin de la pièce).. Référence RIM : M0_2574 ; cote locale : B_11_23. le 2014-07-08 14:38:18.

funeste & tragique. Iuuenal des Vrsins raconte, que comme l’on cherchoit de
toutes parts quelque Medecin expert pour guerir le Roy
Charles VI. qui estoit malade en l’an 1397. deux Moines Augustins
se presenterent pour l’entreprendre en qualité d’excellens
Medecins ; Mais au lieu de le soulager, ayans pensé le faire
mourir, le Duc de Bourgogne les fit prendre comme deux
charlatans, & les enuoya aux Iuges royaux qui le condamnerent
à estre pendus & estranglés, apres que l’Euesque de Paris
les eut degradé

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Occurrence 272. Anonyme. OBSERVATIONS VERITABLES ET DES-INTERESSEES,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 160 pages. Langue : français, latin. Table des matières en pages 5-6; avertissement de l'imprimeur au lecteur en page 8. Notre page 9 est numérotée 1 dans l'original (cet écart de 8 se maintient jusqu'à la fin de la pièce).. Référence RIM : M0_2574 ; cote locale : B_11_23. le 2014-07-08 14:38:18.

authorité ; Si pluris omnes faciat,
quam vnum, & si cunctis inuisum vel demittat, vel iustitiæ se
purgandum relinquat.   Lipse Polit. François Guichardin dit en quelque endroit de son Histoire,
que de mesme qu’vn malade ne doit pas estre traitté par vn Medecin
au quel il n’a point de creance, ou qu’il tient pour suspect,
ainsi vn Estat, & sur tout quand il est en trouble, ne doit point
estre gouuerné n’y manié par vn Ministre suspect, ou odieux au
peuple. Toutes les medecines de leur nature sont salutaires,

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Occurrence 273. Anonyme. OBSERVATIONS VERITABLES ET DES-INTERESSEES,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 160 pages. Langue : français, latin. Table des matières en pages 5-6; avertissement de l'imprimeur au lecteur en page 8. Notre page 9 est numérotée 1 dans l'original (cet écart de 8 se maintient jusqu'à la fin de la pièce).. Référence RIM : M0_2574 ; cote locale : B_11_23. le 2014-07-08 14:38:18.

qu’vn malade ne doit pas estre traitté par vn Medecin
au quel il n’a point de creance, ou qu’il tient pour suspect,
ainsi vn Estat, & sur tout quand il est en trouble, ne doit point
estre gouuerné n’y manié par vn Ministre suspect, ou odieux au
peuple. Toutes les medecines de leur nature sont salutaires,
estans prises neantmoins à contretemps, ou en trop grande
abondance, elles sont plustost des poisons que des remedes vtiles,
& des medicamens necessaires. Les crimes du Mazarin & sa mauuaise conduite l’ayant rendu

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Occurrence 274. Anonyme. OBSERVATIONS VERITABLES ET DES-INTERESSEES,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 160 pages. Langue : français, latin. Table des matières en pages 5-6; avertissement de l'imprimeur au lecteur en page 8. Notre page 9 est numérotée 1 dans l'original (cet écart de 8 se maintient jusqu'à la fin de la pièce).. Référence RIM : M0_2574 ; cote locale : B_11_23. le 2014-07-08 14:38:18.

le mauuais gouuernement du Mazarin ; Si
vous n’auez que des paroles pour nous guerir, rengainez ie vous
prie vostre Eloquence, nous connoissons les remedes dont nous
auons besoin, & puis que nous sçauons la cause de nos maux, il
n’y a qu’vn meschant & cruel medecin comme vous qui puisse
nous conseiller de l’entretenir & de la flatter, au lieu de la couper
& d’y mettre le fer. Il seroit à souhaitter pour la consolation
des gens de bien ; que vous ayez à faire à vn Prince comme estoit
Alphonse Roy d’Arragon, qui

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Occurrence 275. Anonyme. OBSERVATIONS VERITABLES ET DES-INTERESSEES,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 160 pages. Langue : français, latin. Table des matières en pages 5-6; avertissement de l'imprimeur au lecteur en page 8. Notre page 9 est numérotée 1 dans l'original (cet écart de 8 se maintient jusqu'à la fin de la pièce).. Référence RIM : M0_2574 ; cote locale : B_11_23. le 2014-07-08 14:38:18.

nous conseiller de l’entretenir & de la flatter, au lieu de la couper
& d’y mettre le fer. Il seroit à souhaitter pour la consolation
des gens de bien ; que vous ayez à faire à vn Prince comme estoit
Alphonse Roy d’Arragon, qui ayant retiré dãs ses Estats vn Medecin
François qui s’y fit Aduocat voyant que la Medecine ne
luy apportoit aucun profit, & ce auec tant d’heur & tant de
succez, qu’il gagnoit toutes sortes de causes par la subtilité de
ses raisons, ce qui fit que personne n’osoit plus playder contre

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Occurrence 276. Anonyme. OBSERVATIONS VERITABLES ET DES-INTERESSEES,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 160 pages. Langue : français, latin. Table des matières en pages 5-6; avertissement de l'imprimeur au lecteur en page 8. Notre page 9 est numérotée 1 dans l'original (cet écart de 8 se maintient jusqu'à la fin de la pièce).. Référence RIM : M0_2574 ; cote locale : B_11_23. le 2014-07-08 14:38:18.

au lieu de la couper
& d’y mettre le fer. Il seroit à souhaitter pour la consolation
des gens de bien ; que vous ayez à faire à vn Prince comme estoit
Alphonse Roy d’Arragon, qui ayant retiré dãs ses Estats vn Medecin
François qui s’y fit Aduocat voyant que la Medecine ne
luy apportoit aucun profit, & ce auec tant d’heur & tant de
succez, qu’il gagnoit toutes sortes de causes par la subtilité de
ses raisons, ce qui fit que personne n’osoit plus playder contre luy ; & fut contraint ce sage Roy de faire

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Occurrence 277. Anonyme. OVIDE PARLANT A TIESTE, Luy monstrant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 44 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_12_36. Référence RIM : M0_2637 ; cote locale : B_18_37. le 2014-07-10 16:05:03.

de l’vn & de l’autre party. C’est vn
nombre, si c’est nombre qui n’auroit pas grand
moyen de nous troubler. Mais toute cette autre
presse, où va-t’elle ? sous quelle enseigne se iette-t’elle
à quartier ? Il aduient de la leur, comme des autres
medecines foibles & mal appliquées : les humeurs
qu’elle vouloit purger en nous, elle les a eschauffées,
exasperées & aigries par le conflit, & si nous est demeurée
dans le corps. Elle n’a sceu nous purger par
sa foiblesse, & nous a cependant affoiblis,

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Occurrence 278. Anonyme. OVIDE PARLANT A TIESTE, Luy monstrant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 44 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_12_36. Référence RIM : M0_2637 ; cote locale : B_18_37. le 2014-07-10 16:05:03.

mourir que viure en cette misere,
d’auoir à se garder non de ses ennemis seulement,
mais aussi de ses amis. Ce qu’Alexandre representa
bien plus viuement par effet, & plus roidement,
quand ayant eu aduis par vne lettre de Parmenion,
que Philippus son plus cher medecin estoit corrõpu
par l’argent de Darius pour l’empoisonner ; en mesme
temps qu’il donnoit à lire sa lettre à Philippus, il auala ce breuuage qu’il luy auoit presenté Fut-ce
pas exprimer cette resolution, que si ses amis le vouloient
tuer, il

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Occurrence 279. Anonyme. OVIDE PARLANT A TIESTE, Luy monstrant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 44 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_12_36. Référence RIM : M0_2637 ; cote locale : B_18_37. le 2014-07-10 16:05:03.

de hanter mauuaise compagnie. Il n’en
rien si dissociable & sociable que l’homme : l’vn par
son vice, l’autre par sa nature. Et Antisthenes ne
me semble auoit satisfait à celuy, qui luy reprochoit
sa conuersation auec les meschans, en disant, que
les Medecins viuent bien entre les malades. Car s’ils
seruent à la santé des malades, ils deteriorent la leur,
par la contagion, la veuë continuelle, & pratique
des maladies. Or la fin, ce crois je, en est tout vne,
d’en viure plus à loisir & à son aise. Mais on

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Occurrence 280. Anonyme. OVIDE PARLANT A TIESTE, Luy monstrant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 44 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_18_37. Référence RIM : M0_2637 ; cote locale : C_12_36. le 2014-07-10 16:13:06.

de l’vn & de l’autre party. C’est vn
nombre, si c’est nombre qui n’auroit pas grand
moyen de nous troubler. Mais toute cette autre
presse, où va-t’elle ? sous quelle enseigne se iette t’elle
à quartier ? Il aduient de la leur, comme des autres
medecines foibles & mal appliquées : les humeurs
qu’elle vouloit purger en nous, elle les a eschauffées,
exasperées & aigries par le conflit, & si nous est demeurée
dans le corps. Elle n’a sceu nous purger par
sa foiblesse, & nous a cependant affoiblis,

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Occurrence 281. Anonyme. OVIDE PARLANT A TIESTE, Luy monstrant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 44 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_18_37. Référence RIM : M0_2637 ; cote locale : C_12_36. le 2014-07-10 16:13:06.

mourir que viure en cette misere,
d’auoir à se garder non de ses ennemis seulement,
mais aussi de ses amis. Ce qu’Alexandre representa
bien plus viuement par effet, & plus roidement,
quand ayant eu aduis par vne lettre de Parmenion,
que Philippus son plus cher medecin estoit corrõpu
par l’argent de Darius pour l’empoisonner ; en mesme
temps qu’il donnoit à lire sa lettre à Philippus, il auala ce breuuage qu’il luy auoit presenté. Fut-ce
pas exprimer cette resolution, que si ses amis le vouloient
tuer, il

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Occurrence 282. Anonyme. OVIDE PARLANT A TIESTE, Luy monstrant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 44 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_18_37. Référence RIM : M0_2637 ; cote locale : C_12_36. le 2014-07-10 16:13:06.

de hanter mauuaise compagnie. Il n’en
rien si dissociable & sociable que l’homme : l’vn par
son vice, l’autre par sa nature. Et Antisthenes ne
me semble auoit satisfait à celuy, qui luy reprochoit
sa conuersation auec les meschans, en disant, que
les Medecins viuent bien entre les malades. Car s’ils
seruent à la santé des malades, ils deteriorent la leur,
par la contagion, la veuë continuelle, & pratique
des maladies. Or la fin, ce crois je, en est tout vne,
d’en viure plus à loisir & à son aise. Mais on

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Occurrence 283. Anonyme. REFLEXIONS CHRESTIENNES, MORALES ET... (1649) chez [s. n.] à Paris , 14 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_8_8 et C_9_17. Référence RIM : M0_3060 ; cote locale : E_1_73. le 2014-11-27 09:02:28.

apprit vniuersellement à tous les
hommes, que celuy qui detracteroit de son prochain, &
qui n’adiousteroit pas foy à ses paroles, fust plus griefuement
puny que tous les Sodomites ensembles.   Num. 12. 10. Heb. 4.
Heb. 2.
Matth. 10. Les Medecins & les Naturalistes iugent de la santé ou
de la maladie de la personne, par sa langue : & nos paroles
sont les vrais indices des qualitez de nos ames. Par tes paroles
tu seras iustifié, & par tes paroles tu receuras vne condamnation sans appel

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Occurrence 284. Anonyme. REFLEXIONS CHRESTIENNES, MORALES ET... (1649) chez [s. n.] à Paris , 14 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_8_8 et E_1_73. Référence RIM : M0_3060 ; cote locale : C_9_17. le 2014-08-11 15:48:58.

apprit vniuersellement à tous les
hommes, que celuy qui detracteroit de son prochain, &
qui n’adiousteroit pas foy à ses paroles, fust plus griefuement
puny que tous les Sodomites ensembles.   Num. 12. 10 Heb. 4.
Heb. 2.
Matth. 10. Les Medecins & les Naturalistes iugent de la santé ou
de la maladie de la personne, par sa langue : & nos paroles
sont les vrais indices des qualitez de nos ames. Par tes paroles
tu seras iustifié, & par tes paroles tu receuras vne condamnation sans appel

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Occurrence 285. Anonyme. REFLEXIONS CHRESTIENNES, MORALES ET... (1649) chez [s. n.] à Paris , 14 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_9_17 et E_1_73. Référence RIM : M0_3060 ; cote locale : A_8_8. le 2014-08-11 15:56:55.

apprit vniuersellement à tous les
hommes, que celuy qui detracteroit de son prochain, &
qui n’adiousteroit pas foy à ses paroles, fust plus griefuement
puny que tous les Sodomites ensembles.   Num. 12. 10. Heb. 4.
Heb. 2.
Matth. 10. Les Medecins & les Naturalistes iugent de la santé ou
de la maladie de la personne, par sa langue: & nos paroles
sont les vrais indices des qualitez de nos ames. Par tes paroles
tu seras iustifié, & par tes paroles tu receuras vne condamnation sans appel

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Occurrence 286. Anonyme. REGRETS HEROIQVES DV SOLDAT AMOVREVX, RESOLV... (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore) et Maucroy (Estienne) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission datée du 30 avril 1649 au colophon.. Référence RIM : M0_3089 ; cote locale : C_8_46. le 2014-08-12 04:23:46.

pour ne reculer pas,
Et voir tomber le coup qui porte le trespas ;
Mes yeux seront sans pleurs, & ma bouche sans plainte,
Mon corps sans tremblement, & mon ame sans crainte,
Ne crois pas que le temps qui tarist tous les pleurs,
Cét heureux Medecin de toutes les douleurs,
Luy de qui tant d’amans ont senty le remede,
En apporte iamais au mal qui me possede :
En vain tout l’Vniuers me voudroit secourir,
Toy seule as dans tes mains ce qui le peut guerir,
Et pour te faire voir comme il est

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Occurrence 287. Anonyme. RELATION VERITABLE DE LA NAISSANCE D’VNE... (1649) chez Durand (Claude) à Paris , 6 pages. Langue : français. Référence RIM : Mx ; cote locale : A_8_9. le 2014-08-14 15:33:26.

Neantmoins comme cela est hors le cours ordinaire, aussi arriuent-ils rarement, C’est pourquoy il cause de
l’admiration & de l’estonnement à ceux qui le voyent &
entendent parler.   Les Philosophes, comme Aristote & Pline, & les Medecins,
comme Hypocrates, Galien, Auicennes & autres
n’ont pas peu trauaillé pour en sçauoir les causes & la raison
de telles naissances monstrueuses: les vns en ont escrit
d’vne façon, & les autres d’vne autre auec diuerses oppinions
&

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Occurrence 288. Anonyme. RELATION VERITABLE DE LA NAISSANCE D’VNE... (1649) chez Durand (Claude) à Paris , 6 pages. Langue : français. Référence RIM : Mx ; cote locale : A_8_9. le 2014-08-14 15:33:26.

affreux, monstrueux & horrible. De tout le voisinage & de plus de quatre lieuës à la ronde
s’y firent de grandes visites par personnes de toutes qualitez,
estat & condition, sur le grand bruit qui couruit
d’vne telle nouueauté. Les Medecins & les Chirurgiens mesmes tant de la ville
de Sainct Fargeau que de Mezil & d’autres lieux proches
dudit bourg de Sept-fons ne plaignirent pas leurs peines,
pour y aller & voir la naissance si monstrueuse de cet enfant,
& consulter par ensemble des

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Occurrence 289. Anonyme. RELATION VERITABLE, CONTENANT Tout ce qui... (1652) chez Brunet (Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3193 ; cote locale : B_8_28. le 2014-08-15 17:14:23.

luy fait
accroire qu’il n’est pas malade,
quand il est sur le point d’expirer
d’vne fievre lente, qui le meneroit
insensiblement dans le tombeau, sans le
secours de ceux qui le veulent desabuser de cét
enchantement, & qui luy donnent les veritables
medecines pour se garantir de cette maladie.
Les Mazarins faisoient croire au Roy que
les bons Bourgeois de Paris ne demandoient
pas mieux que de receuoir Sa Majesté auec l’Eminence,
& qu’il n’y auoit que la canaille pour
les Princes, qui estoit payée pour crier

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Occurrence 290. Anonyme. REMERCIMENT AV ROY, PAR MESSIERS LES... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 18 pages. Langue : français. Voir aussi A_8_80. Référence RIM : M0_3286 ; cote locale : C_9_35. le 2014-08-24 08:02:34.

merueilles,
se portans vertueusement au bien & à la verité
en leurs conseils, ce seroit en vain : car les Procureurs
qui ont les leurs à part ne feront tousiours que ce que
bon leur semblera. Tellement qu’il faut dire en matiere
de procés, ce que le Prince des Medecins Hypocrate
dict és maladies. (Ce n’est assez que le Medecin face
de bonnes ordonnances, si le malade, & ceux qui le
gouuernent ne font leur deuoir de les executer.) C’est vne cruelle chose, SIRE, qu’apres qu’vn ieune
homme a faict ses estudes, &

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Occurrence 291. Anonyme. REMERCIMENT AV ROY, PAR MESSIERS LES... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 18 pages. Langue : français. Voir aussi A_8_80. Référence RIM : M0_3286 ; cote locale : C_9_35. le 2014-08-24 08:02:34.

en leurs conseils, ce seroit en vain : car les Procureurs
qui ont les leurs à part ne feront tousiours que ce que
bon leur semblera. Tellement qu’il faut dire en matiere
de procés, ce que le Prince des Medecins Hypocrate
dict és maladies. (Ce n’est assez que le Medecin face
de bonnes ordonnances, si le malade, & ceux qui le
gouuernent ne font leur deuoir de les executer.) C’est vne cruelle chose, SIRE, qu’apres qu’vn ieune
homme a faict ses estudes, & que ses parens se sont promis
luy auoir acquis vn heritage &

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Occurrence 292. Anonyme. REMERCIMENT AV ROY, PAR MESSIERS LES... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 18 pages. Langue : français. Voir aussi C_9_35. Référence RIM : M0_3286 ; cote locale : A_8_80. le 2014-08-24 08:06:12.

merueilles,
se portans vertueusement au bien & à la verité
en leurs conseils, ce seroit en vain: car les Procureurs
qui ont les leurs à part ne feront tousiours que ce que
bon leur semblera. Tellement qu’il faut dire en matiere
de procés, ce que le Prince des Medecins Hypocrate
dict és maladies. (Ce n’est assez que le Medecin face
de bonnes ordonnances, si le malade, & ceux qui le
gouuernent ne font leur deuoir de les executer.) C’est vne cruelle chose, SIRE, qu’apres qu’vn ieune
homme a faict ses estudes, &

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Occurrence 293. Anonyme. REMERCIMENT AV ROY, PAR MESSIERS LES... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 18 pages. Langue : français. Voir aussi C_9_35. Référence RIM : M0_3286 ; cote locale : A_8_80. le 2014-08-24 08:06:12.

en leurs conseils, ce seroit en vain: car les Procureurs
qui ont les leurs à part ne feront tousiours que ce que
bon leur semblera. Tellement qu’il faut dire en matiere
de procés, ce que le Prince des Medecins Hypocrate
dict és maladies. (Ce n’est assez que le Medecin face
de bonnes ordonnances, si le malade, & ceux qui le
gouuernent ne font leur deuoir de les executer.) C’est vne cruelle chose, SIRE, qu’apres qu’vn ieune
homme a faict ses estudes, & que ses parens se sont promis
luy auoir acquis vn heritage &

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Occurrence 294. Anonyme. REMERCIMENT DE PARIS A MONSEIGNEVR LE DVC... (1649) chez Langlois (Denis) à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3275 ; cote locale : C_8_47. le 2014-08-24 14:46:44.

la faim & l’impatience
N’employoient leur plus beau Latin
Qu’à pester contre le Destin :
Themis en mauuaise posture
S’en alloit dans la sepulture.
Les Procureurs estoient perclus,
Les Aduocats ne causoient plus :
La Medecine en grand desordre
Ne trouuoit desia plus où mordre,
Et ses Valets tous grands Saigneurs
Ne faisoient plus tant les Monsieurs,
(Car on saignoit en abondance
Sans argent & sans ordonnance.)
Ainsi dans vn temps si peruers
Tout estoit icy

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Occurrence 295. Anonyme. REMERCIMENT FAIT AV ROY PAR MADAME LA... (1651) chez [s. n.] à Paris , 19 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_3284 ; cote locale : B_6_28. le 2014-08-24 15:18:36.

pas atteindre au Conseil des Dieux, que les
Subiets ne peuuent pas pareillement aussi penetrer dãs
les secrets de leur Prince, mais comme il est quelquefois
necessaire que les parties les plus nobles d’vn
corps, quoy que fort saines, souffrent les violens efforts
de la Medecine qu’il a prise pour se remettre en
sa premiere santé, il est pareillement aussi quelquefois
necessaires que les plus grands d’vn Estat souffrent
quelque chose pour le restablir, ou pour le rendre plus
florissant qu’il ne souloit estre,  

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Occurrence 296. Anonyme. REMONSTRANCE AV PRETENDV PARLEMENT DE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3294 ; cote locale : B_15_24. le 2014-08-24 15:42:31.

sur vos testes, vous menasse de
les écraser. Ayant troublé la forme du gouuernement
precedent de l’Estat sans en introduire vne
nouuelle, vous voulez que la France souffre vn
vuide, que la nature ne reçoit point ; & ne vous
souuenez pas que comme de mauuais Medecins
ayant émeu les humeurs d’vn corps sans les dissiper,
au lieu de la langeur qu’il sentoit auparauant,
vous n’auez manqué de luy causer vne maladie qui
le met en peril de mort. Les pointes de vostre ressentiment
ont picqué la France iusques au vif,

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Occurrence 297. Anonyme. REMONSTRANCE DV ROY LOVIS XII. AV ROY LOVIS... (1649) chez [s. n.] à Paris , 14 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3322 ; cote locale : C_9_41. le 2014-08-28 17:01:34.

qui oserent vous annoncer
la mort, puis que le seul nom vous estoit
tellement en horreur, que vous auiez fait tres-expresses
deffences de le proferer en vostre presence
aux dernieres periodes de vostre vie. Les
dix-mil escus que vous donniez chasque mois
à vostre Medecin Coetier, n’eussent pas esté mal
employez s’il eust eu le pouuoir de prolonger vos
iours, mais vous & moy auons enfilé la route de
toute la terre, & auons experimenté la vanité de
nostre condition. Dieu ma fait tousiours la grace
de recognoistre que

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Occurrence 298. Anonyme. REMONSTRANCES TRES-HVMBLES A LA REYNE MERE... (1650) chez Dupont (Pierre) à Paris , 23 pages. Langue : français. Avec permission. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3343 ; cote locale : B_4_24. le 2014-08-28 17:45:10.

supris de l’orage, de
s’opposer à la fureur des flots & des vents pour faire surgir
son nauire à bon port. Ainsi deuez-vous pendant le calme
auquel nous nous retrouuons, penser aux remuement, qui
peuuent naistre dedans & dehors le Royaume, & y donner
la medecine propre pour empescher leurs cours, & vous
roidir fortement contre les efforts de ceux qui voudrons
troubler cét Estat, pour le sauuer du naufrage euident, auquel
sans le droict maniement du timon il peut tomber.
Pour moy i’ay creu que faisant part & portion

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Occurrence 299. Anonyme. REMONSTRANCES TRES-HVMBLES A LA REYNE MERE... (1650) chez Dupont (Pierre) à Paris , 23 pages. Langue : français. Avec permission. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3343 ; cote locale : B_4_24. le 2014-08-28 17:45:10.

foible de
nostre Roy, quelqu’vn sera si temeraire, de vouloir remuer
ses sujets, ou sous pretexte de la Religion, ou du bien public,
pour s’auantager au desauantage de nostre Roy. Tout
ainsi qu’vne petite maladie croist & destruit le corps, si
d’heure le medecin n’y applique le remede propre : aussi en
ce premier mouuement, de remuemens, si vous n’y apportez
la force & l’authorité pour arrester le cours d’vn
tel mal-heur, il embrasera les quatre coins & le milieu de
la France. La medecine premiere sortira des

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Occurrence 300. Anonyme. REMONSTRANCES TRES-HVMBLES A LA REYNE MERE... (1650) chez Dupont (Pierre) à Paris , 23 pages. Langue : français. Avec permission. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3343 ; cote locale : B_4_24. le 2014-08-28 17:45:10.

le corps, si
d’heure le medecin n’y applique le remede propre : aussi en
ce premier mouuement, de remuemens, si vous n’y apportez
la force & l’authorité pour arrester le cours d’vn
tel mal-heur, il embrasera les quatre coins & le milieu de
la France. La medecine premiere sortira des Cours Souueraines,
& c’est enquoy vous cognoistrez de quel poix & necessité
elles sont, par l’arrest desquelles, celuy-là sera declaré
crimineux de leze Majesté, & tout d’vne suitte donnerez
la force pour l’executer auec le

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