LE MEDECIN POLITIQVE, QVI DONNE VN souuerain Remede, pour guerir la France malade à l’extremité. Honora medicum propter necessitatem.

Auteur
Anonyme
Éditeur
[s. n.]
Date d'édition
1652
Lieu d'édtion
[s. l.]
Langue
français
Nombre de pages
60
Référence Moreau
M0_2439
Cote locale
B_18_6
Note
Dernière modification
2013-02-09 14:52:14
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Commentaires

Commentaire de : Patrick Rebollar, créé le 2013-02-09 14:50:13.
Notice Moreau : Rare. Imitation en vers burlesques de la pièce qui précède : [M0_2438]. L'auteur fait l'éloge de la "France en travail" [M0_1427], de Sandricourt, du "Diable Mazarin" (exorcisme du D. Mazarin, etc.) [M0_1331], des "Maximes véritables (Véritables maximes) du gouvernement de la France" [M0_3969], de la "Décadence visible de la royauté" [M0_866], du "Tu autem" [M0_3900], du "Coup de partie" [M0_806], du "Contre-coup du Coup de partie" [M0_786], de la "Franche Marguerite" [M0_1447], qui « Parle un peu trop franchement, / Comme en parla le Parlement ; » du "Point de l'ovale" [M0_2808] : « Point qui ne parait point / Un point coupable au dernier point. » On sait que ces deux dernières pièces avaient été condamnées, par arrêt du Parlement, à être brûlées par la main du bourreau.

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