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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(17 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "breton|bretons|bretonne" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 1. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

dis-je, ne distinguant pas ces
deux Estendarts. Car Gilles de Montigny porta, non
l’Oriflamme, mais la Banniere, l’Estendart Royal,
parsemé de Fleurs-de-Lis. Rigordus, Signum Regale,
vexillum scilicet floribus lilij distinctum, ferebat Gilo de
Montiniaco. Guillaume le Breton.  
Ante tamen Regem signum Regale ferebat,
Montiniacensis vir fortis corpore Galo.   Guiart mesme, parlant de la bataille de Bouines.  
Galon de Montigny porta,
Ou la Chronique faux m’enseigne,
De fin azur luisant

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Occurrence 2. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

à quatre Fleurs-de-Lis,
dont parle Alain Chartier, cy-dessus touché. Mais
comme nous voyons en la Iournée de Bouines, l’Estendart
de Fleurs-de-Lis, porté par Gilles sieur de
Montigny, recommandé par sa valeur, Miles fortissimus
dans Rigordus, dans Guillaume le Breton. Cornette-blanche,
& Banniere
de
Fleurs-de-Lis. Montiniacensis vir fortis corpore Galo. Aussi la Cornette-blanche, qui a succedé à la Banniere,
a tousiours esté commise à des personnages
recommandables ; & certainement auec raison :

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Occurrence 3. Anonyme. LA FARCE DES COVRTISANS DE PLVTON, ET LEVR... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. La pièce commence en page 2.. Référence RIM : M0_1372 ; cote locale : C_4_11. le 2012-11-18 15:44:41.


Il faut faire au besoin des fleches de tout bois,
Prenez Italiens, des Normans, des François,
Armez si vous pouuez toute la Picardie,
C’est bien des nations toute la plus hardie,
Faites vn Regiment de Prestres Hibernois,
D’allobroges, Lorains, Bas-Bretons, Albanois,
Et ayant ramasse tant de braues Gens-d’armes
Vous mettrez dans Paris de cruelles allarmes,
Vous les affamerez, & dedans peu de temps
Vous le verrez sousmis à tous vos combattans.   Nirazam.  
Il est bien vray,

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Occurrence 4. Anactofile [signé]. L’OYSEAV DE RIVIERE, OV LE TOVRNOY NAVAL.... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 40 pages. Langue : français, latin. En 88 pièces en 9 vers burlesques.. Référence RIM : M0_2587 ; cote locale : C_8_13. Texte édité par Site Admin le 2013-06-10 08:50:02.

les yeux au lieu de rire ;
Et ne se peût tenir de dire ;
La Peste, qu’ils ont les reims forts :
Ce pendant RODOMONT se peine,
De brosser par l’humide plaine ;
Et d’vn longissime Baston,
Au bon ASTOLFE dans la Seine,
Fait faire le saut de Breton.  

XLV.  
De Iousteur deuenu Poisson,
Si par dépit il bat le fleuue,
C’est qu’il est le premier, qu’on treuue,
Auoir moüillé son Calleçon :
Auec luy sa Lance est peschée,
Qui sembloit

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Occurrence 5. Anonyme. LE MERCVRE DE LA COVR, CONTENANT La Harangue... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Partie 3 sur 5. Ensemble de B_18_1 à B_18_5. Dans Choix I de Moreau. Référence RIM : M0_2452 ; cote locale : B_18_3. Texte édité par Site Admin le 2013-02-09 16:01:40.

commença de parler de la sorte.   Monseigneur, prenez courage, toutes nos affaires
vont bien, les Princes ne sçauent plus là où ils
en sont, vous leur auez donné là vn morceau à digerer
qui est bien dur, & Monsieur le Coadjuteur
leur a donné le saut de Breton. Monsieur le Duc
d’Orleans est en grande colere, & Monsieur le
Prince court tantost deça tantost de là, pour poster
son armée, il la mise partie à sainct Cloud & Suresne,
& l’autre partie à Poissy, pourtant il ne desespere
pas, il a tousiours bon

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Occurrence 6. Anonyme. LE NOVVEAV FOVRRIER DE LA COVR, Reformant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2536 ; cote locale : B_14_42. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-24 16:26:48.

aux
vrais amis. Le Clergé, au vieux Resveur, au ratelier d’or &
à la creche. La Noblesse, à l’eschauguette. Les Messieurs de Ville, aux Rauisez. Les Peuples, ou le tiers Estat, à l’Esperance & à
la besace. Les Bretons, à l’asseurance. Les Normans, au Cube, & au vray Secours. Les Gascons, au monde renuersé & au petit Angleterre. Les Picards, Champenois & Villageois d’alentour
de Paris, à la Visitation & à l’Ecce Homo. Nous auions oublié le

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Occurrence 7. Anonyme. LE RENDEZ-VOVS D’VN SOLDAT CONGEDIÉ. Et... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3349 ; cote locale : C_8_54. le 2013-11-13 12:52:10.


Le pot au vin tout au milieu.    
Le festin n’estoit pas de viande
Trop delicate ny friande,
C’estoit de teste de mouton,
Des pieds de bœuf, & force trippes,
Tant rosties, fricassées que frittes,
Faites à la sauce du Breton.    
Mon appetit me sollicite,
Et d’autre part il se despite
Voulant, & ne pouuant manger ;
Car autant l’extreme froidure,
Que la salleté & l’ordure
De la table me font ranger.    
Deux

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Occurrence 8. Mengau, Jacques. SECOND ADVERTISSEMENT A MESSIEVRS LES... (1651 [?]) chez Bouchet (J.) à Paris , 24 pages. Langue : français. Extrait du privilège (mentionnant le nom de l'auteur) du roi en page 2. Partie 2. Référence RIM : M0_446 ; cote locale : D_1_37. le 2013-03-03 18:36:39.

auec les Flamens, les repousseront jusques bien
prés de Roüane. C’est ce que l’Oracle à remarqué
dans la Centurie troisiesme quatrain neufiesme.    
Bordeaux, Roüen & la Rochelle ioints,
Tiendront autour la grand Mer Oceane,
Anglois, Bretons, & les Flamans conioints,
Les chasseront iusques au prés de Roüane.   Ce quatrain estant de soy assez intellible, nous ne
nous y arresterons pas ayant à faire plus long chemin
pour aller au deuant du Roy, & le prier de ne s’exposer
pas,

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Occurrence 9. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649 [?]) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 3 de 13, pages numérotées de 17 à 24. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_03. le 2013-08-30 10:07:35.

de Conseil, comme de compagnon
Nous auons trop dequoy loüer la Normandie
Puis qu’elle a à ce coup nostre force agrandie :
Nous auons du sujet d’adorer ses Autels
Puis qu’ils peuuent sauuer quantité de mortels
De la mort : Mais voyons la Noblesse Bretonne
Sa posture & façon ; si elle est leste & bonne ;
Si ils pourront finir nos plus fascheux trauaux
Et sur tout si ils ont monté de bons cheuaux :
Il n’en faut point douter ; ils ont trop de courage
Pour ne pas empescher le cours de cét

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Occurrence 10. Anonyme. LES RESVERIES DE MAZARIN A SA SORTIE DE LA... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 19 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3544 ; cote locale : B_12_34. le 2014-02-25 14:00:37.

éperdu de frayeur par vn prejugé
qu’il fait d’vn mauuais euenement à ses affaires.
Il estoit vn de ces derniers iours si morne
& si pensif, qu il sembloit estre vn corps priué
de vie, & comme il estoit en cét estat, il fut
abordé par vn vieux Gentil-homme Breton
appellé le sieur des Forests, qui confera auec
luy quelque temps, & luy dit d’abord,   MONSIEVR, D’où vient que vostre
Eminence paroist si troublée, ie vous
trouue grandement changé, que vous peut-il
estre suruenu qui vous fait auoir l’esprit

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Occurrence 11. Anonyme. PARIS DEBLOQVÉ, OV LES PASSAGES OVVERTS. EN... (1649) chez Huot (Claude) à Paris , 10 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_2692 ; cote locale : C_8_17. le 2014-07-12 07:47:43.


Et croit-on aussi que ces troupes
N’en vuideront pas moins les coupes.
I’entens aussi dire que Tours
Nous veut habiller de velours
Où puisque le temps nous échauffe
De quelque plus legere estoffe,
Les Prouençaux, & les Bretons
Donneront soldats & testons,
Pour nos braues mangeurs de pommes
Ils nous fournissent dix mille hommes,
Ce sont certes nos bons voisins
Qui valent mieux que des cousins.
Et sans eux ie croy qu’en ce siege
Nous eussions moins pesé que

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Occurrence 12. Anonyme. RECVEIL GENERAL, De toutes les Chansons... (1649) chez [s. n.] à Paris , 27 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3055 ; cote locale : C_8_44. le 2014-08-11 06:14:59.

bis
Ne le manquez-pas.    
Dedans Rheims, & dans Chaalon,
C’est tout de bon, c’est tout de bon,
Qui coupprons ses genitoires
Helas ! ces Faudres de Guerre,
Ne le menquez-pas.    
Dans Renne tous les Bretons,
Bons Compagnons, bons Compagnõs
Le tuëront à coups de pierres
Helas ! Generaux de Guerre, bis.
Tué-donc ce Iudas.    
Et pour ceux-là de Lyon,
Et de Dijon, & de Dijon,
Le reduiront en poussiere,
Helas !

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Occurrence 13. Anonyme. TESTAMENT DE LA TRES-VERTVEVSE REYNE MERE DV... (1643) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_2. le 2014-10-12 04:41:37.

x.
mil liures. A Henry Guiller Tapissier xii. mil liures, A Iean Cocquet chef de fruiterie & seruãt de Menuissier vi m. l. A Charles Guiller porte chaire & chef de fruiterie. x mil liures. A Iacques Guyor porte faix de la Chambre. iii. mil liures. A Iean Breton chef d’eschansonnerie & sommier de fruiterie.
vi. mil liures A Pierre Bertrand Ayde d’eschansonnerie, bouche.
vi. mil liures. A Roger du Pairier à qui la Reyne à donné
vne charge de sommier de pannetrie de bouche, iii. mil liures. A Michel Pilon bouche. vi.

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Occurrence 14. Anonyme. TESTAMENT DE LA TRES-VERTVEVSE REYNE MERE DV... (1643) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_2. le 2014-10-12 04:41:37.

& sommier de fruiterie.
vi. mil liures A Pierre Bertrand Ayde d’eschansonnerie, bouche.
vi. mil liures. A Roger du Pairier à qui la Reyne à donné
vne charge de sommier de pannetrie de bouche, iii. mil liures. A Michel Pilon bouche. vi. mil liures. A Henry Breton
enfant de cuisine faisant la charge de Mademoiselle Yeux, bouche. vi. m. li. A Dominique parquin & Pierre Gerar sommier,
bouche, chacun. vi. mil liures A René Deshayes patieier, 8.
mil liures. A Robert Deshayes à qui ladite Dame a donné vne
charge

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Occurrence 15. Gio. Battista Lucrino [signé]. LETTRE DECHIFFRÉE D’VN MAZARINISTE A... (1649) chez Cottinet (Arnould) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission. Prétendument traduite de l'italien. Voir aussi C_3_27. Référence RIM : M0_2067 ; cote locale : A_5_75. le 2014-06-01 10:24:10.

ne sont pas maintenant à s’en repentir. Ie les ay veu mener
comme des Espousées à l’Hostel de Ville militairement garrottez
de mesche; & ie crains fort, si iamais ils en sortent, que ceux
qui des fenestres de ce magnifique Palais ne leur verront pas
faire le saut de Breton, ne fassent encherir les lunettes d’approche.
C’est vn spectacle duquel on a frustré l’esperãce du peuple,
qui n’en eust pas tiré moins de diuertissement, que des mommeries
dont l’a priué l’absence du Roy que vous auez enleué.
Ce n’est pas que l’on

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Occurrence 16. Gio. Battista Lucrino [signé]. LETTRE DECHIFFRÉE D’VN MAZARINISTE A... (1649) chez Cottinet (Arnould) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission. Prétendument traduite de l'italien. Voir aussi A_5_75. Référence RIM : M0_2067 ; cote locale : C_3_27. le 2014-06-01 10:26:17.

sont pas maintenant à s’en repentir. Ie les ay veu mener
comme des Espousées à l’Hostel de Ville militairement garrottez
de mesche ; & ie crains fort, si iamais ils en sortent, que ceux
qui des fenestres de ce magnifique Palais ne leur verront pas
faire le saut de Breton, ne fassent encherir les lunettes d’approche.
C’est vn spectacle duquel on a frustré l’esperãce du peuple,
qui n’en eust pas tiré moins de diuertissement, que des mommeries
dont l’a priué l’absence du Roy que vous auez enleué.
Ce n’est pas que l’on

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Occurrence 17. Laffemas, abbé Laurent de [?]. L’ENFER BVRLESQVE, OV LE SIXIESME DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 48 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anvers.. Référence RIM : M0_1216 ; cote locale : C_4_3. le 2016-07-30 07:33:24.

trouppes viendrõt en lesse,
Et mesme vn Parlement de Grece.
Qui destruisit vostre Ilion,
Demandera la ionction :
Cette vnion inopinée,
Vous sauuera Monsieur Enée.    
Ainsi l’Oracle ce dit-on,
Aux Troyens parloit bas Breton,
Et meslant au vray quelque doute,
Faisoit que nul n’y voyoit goutte.
La Diablesse dans son caucau,
Recommençoit tout de plus beau,
Et sans Apollon qui l’arreste,
Elle alloit faire encore la beste ;
Enfin son courroux appaisé,
Et

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