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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(844 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "Créance" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 401. Anonyme. PROCEZ VERBAL, DE LA CONFERENCE FAICTE A... (1649) chez Colombel (Matthieu) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Sur l'imprimé à Paris. Voir aussi A_1_65. Référence RIM : M0_2892 ; cote locale : D_2_28. le 2013-02-23 01:00:31.

sieur de
la Roussiere aussi tost son arriuée auoit eu des Gardes, qu’il n’auoit
peu déposer la creance qu’il auoit vers le Parlement & qu’il l’auoit
fait loger chez Mr. le Tellier, il a esté trouué a propos de demander
qu’il eut liberté de venir exposer sa Créance, de faire plainte
de ce qu’il auoit esté arresté. Ledit sieur Tellier a dit que ledit
sieur de la Roussiére estant homme de condition, pouuoit estre venu
pour négotier autre choses que le faict de simple lettres, & que
c’estoit la façon d’en vser ainsi

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Occurrence 402. Anonyme. PROCEZ VERBAL, DE LA CONFERENCE FAICTE A... (1649) chez Colombel (Matthieu) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Sur l'imprimé à Paris. Voir aussi A_1_65. Référence RIM : M0_2892 ; cote locale : D_2_28. le 2013-02-23 01:00:31.

à peine d’estre traittez comme rebelles. 5. LA Cour de parlement renoncera à toutes Ligues, associations
& traittez qu’elle pourroit auoir faits contre le seruice du Roy,
tant dedans le Royaume qu’auec les ennemis de cette Couronne,
& sera la Lettre de creance, ensemble la creance de l’envoyé de la
part de l’Archiduc Leopold, tirée des Registres de ladite Cour de
Parlement, & mises és mains de sa Majesté. 6. TOVS les deniers meubles, vaisselle d’argent, & papiers pris
& enleuez aux particuliers, où qui

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Occurrence 403. Anonyme. PROCEZ VERBAL, DE LA CONFERENCE FAICTE A... (1649) chez Colombel (Matthieu) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Sur l'imprimé à Paris. Voir aussi A_1_65. Référence RIM : M0_2892 ; cote locale : D_2_28. le 2013-02-23 01:00:31.

traittez comme rebelles. 5. LA Cour de parlement renoncera à toutes Ligues, associations
& traittez qu’elle pourroit auoir faits contre le seruice du Roy,
tant dedans le Royaume qu’auec les ennemis de cette Couronne,
& sera la Lettre de creance, ensemble la creance de l’envoyé de la
part de l’Archiduc Leopold, tirée des Registres de ladite Cour de
Parlement, & mises és mains de sa Majesté. 6. TOVS les deniers meubles, vaisselle d’argent, & papiers pris
& enleuez aux particuliers, où qui auront esté vendus,

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Occurrence 404. Anonyme. QVATRIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. Partie 4. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_32 (partie 3). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_33. Texte édité par Site Admin le 2013-10-06 17:27:15.

y en a, de tous les desordres du Royaume, qu’ils
disent estre mal cõduit, & sous pretexte de quelque
occasion qui semble auoir quelque apparence
de verité, fait quelque fois que le pauure
peuple qui ne sçait pas la verité des affaires, donne
librement sa creance à toutes les choses qu’õ
luy persuade. Cest pourquoy ceux qui n’a prouuent
pas les Estats, parlent plus pour leur interest,
que pour l’interest du Prince & du peuple.
Ce sont ceux qui veulent gouuerner tous les affaires
du Royaume à leur mode ; ou qui

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Occurrence 405. Anonyme. RECIT EXACT ET FIDEL DE CE QVI S’EST... (1649) chez Bessin (Nicolas) à Paris , 43 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_2996 ; cote locale : E_1_19. le 2013-02-23 14:17:49.

pour la seance, qu’il
alloit assembler Messieurs les Deputez de toutes les Compagnies
pour en deliberer ; ce qu’ayant esté fait à l’instant, il fut resolu qu’on
diroit audit sieur de Sainctot que la Compagnie ne pouuoit entrer
estant retourné, & fait entendre sa creance, rapporta à la Compagnie,
que la Reyne desiroit qu’il y fust, & que l’ayant choisi pour Deputé,
le Parlement ne deuoit le trouuer mauuais, puis que l’on
n’empeschoit pas que tous ses Deputez ne fussent à la Conference,
& que ce n’estoit point aux

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Occurrence 406. Anonyme. RECIT EXACT ET FIDEL DE CE QVI S’EST... (1649) chez Bessin (Nicolas) à Paris , 43 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_2996 ; cote locale : E_1_19. le 2013-02-23 14:17:49.

passé tout d’vne voix que l’on n’y
pouuoit entendre ; & cette response a esté ainsi portée aux Deputez
de son A. R. Auant que de se retirer il a esté dit, que le Sieur de la
Roussiere aussi-tost son arriuée, auoit eu des gardes, qu’il n’auoit pû
déposer la creance qu’il auoit vers le Parlement, & que l’on l’auoit
fait loger chez Monsieur le Tellier, il a esté trouué à propos de demander
qu’il eust liberté de venir exposer sa creance, de faire plainte
de ce qu’il auoit esté arresté : ledit Sieur le Tellier a dit,

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Occurrence 407. Anonyme. RECIT EXACT ET FIDEL DE CE QVI S’EST... (1649) chez Bessin (Nicolas) à Paris , 43 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_2996 ; cote locale : E_1_19. le 2013-02-23 14:17:49.

Roussiere aussi-tost son arriuée, auoit eu des gardes, qu’il n’auoit pû
déposer la creance qu’il auoit vers le Parlement, & que l’on l’auoit
fait loger chez Monsieur le Tellier, il a esté trouué à propos de demander
qu’il eust liberté de venir exposer sa creance, de faire plainte
de ce qu’il auoit esté arresté : ledit Sieur le Tellier a dit, que ledit
Sieur de la Roussiere estant homme de condition pouuoit estre venu
pour negocier autre chose que le fait de simples lettres, & que c’estoit
la façon d’en vser ainsi

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Occurrence 408. Anonyme. RECIT EXACT ET FIDEL DE CE QVI S’EST... (1649) chez Bessin (Nicolas) à Paris , 43 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_2996 ; cote locale : E_1_19. le 2013-02-23 14:17:49.

peine d’estre
traittez comme rebelles. La Cour de Parlement de Paris renoncera à toutes ligues, associations
& traittez qu’elle pourroit auoir fait contre le seruice du Roy
tant dedans le Royaume qu’auec les ennemis de cette Couronne, &
sera la lettre de creance, ensemble la creance de l’Enuoyé de la
part de l’Archiduc Leopold tirée des registres de ladite Cour de Parlement,
& mise entre les mains de sadite Majesté. Tous les deniers, meubles, vaisselle d’argent & papiers pris & enleuez
aux particuliers, ou

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Occurrence 409. Anonyme. RECIT EXACT ET FIDEL DE CE QVI S’EST... (1649) chez Bessin (Nicolas) à Paris , 43 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_2996 ; cote locale : E_1_19. le 2013-02-23 14:17:49.

traittez comme rebelles. La Cour de Parlement de Paris renoncera à toutes ligues, associations
& traittez qu’elle pourroit auoir fait contre le seruice du Roy
tant dedans le Royaume qu’auec les ennemis de cette Couronne, &
sera la lettre de creance, ensemble la creance de l’Enuoyé de la
part de l’Archiduc Leopold tirée des registres de ladite Cour de Parlement,
& mise entre les mains de sadite Majesté. Tous les deniers, meubles, vaisselle d’argent & papiers pris & enleuez
aux particuliers, ou qui auront esté

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Occurrence 410. Anonyme. SECONDE PARTIE DV MERCVRE DE LA COVR,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français, latin. Partie 2 sur 5. Ensemble de B_18_1 à B_18_5. Dans Choix I de Moreau. Référence RIM : M0_2452 ; cote locale : B_18_2. le 2013-02-09 15:59:30.

perche io luy imprestato tutti il mio
quadrini per adiutarloan in questa maledetta guerra Mazarina
Alors il fut console par le sieur F. qui luy dit,
mon bon amy vous n’y perdrez rien, voila Mon’
sieur Mazarin remonte sur sa beste, il pourra satisfaire
à tous ses creanciers, mais dequoy est-il malade,
d’vna Kolica vn aliri chiamate miserere il
n’estoit pas encore bien gueri d’vne autre maladie
qui nous a bien donne de la peine, que l’on appelle,
Nolime tangere qui luy prit à la nouuelle qu’il
eut que sa teste estoit

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Occurrence 411. Anonyme. SECONDE PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Partie 2. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_32 (partie 3) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_31. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-06 17:17:46.

a
rien tel que de se mettre à couuert des malheurs
dont on nous veut accabler, deuant que
la violence de la tempeste nous entraine.   François Guichardin dit en son Histoire,
qu’vn malade ne doit pas estre traité par vn Medecin
auquel il n’a point de creance : ainsi vn
Estat ne doit pas estre gouuerné par vn Ministre
suspect, estranger, & odieux à tous les peuples
de France. tous les pays estrangers sont
indiferens à vn estranger, si quelque grande
fortune ne i’y attache ; c’est pourquoy il ne

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Occurrence 412. Anonyme. SECONDE PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Partie 2. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_32 (partie 3) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_31. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-06 17:17:46.

où nous
sommes nés, pour n’auoir pas ce sentiment. Et
si nous deuons beaucoup à tout ce qui a contribué
quelque chose du sien en la formation
de l’estre que nous possedons, le pays où nous
naissons, est le plus ancien & le plus priuilegié
de tous les creanciers que nous ayons en ce
monde ; & en cas de concurrence, le droit veut
que tous les autres luy cedent la preeminence.
Ainsi à cause de cette passion que cet estranger
a beaucoup plus pour sa patrie que pour celle des autres, il ne cherche qu’à

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Occurrence 413. Anonyme. SVITTE ET NEVFIESME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 9 de 12, de C_1_40_01 à C_1_40_12. Voir aussi E_1_126 (partie 3). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : C_1_40_09. Texte édité par Site Admin le 2013-03-06 01:05:10.

d’empescher le transport desdits bleds à la Halle,
ny de piller les charettes à peine de la vie, auec injonction aux Bourgeois
de l’empescher, & courir sus à ceux qui voudroient ce faire. Le mesme iour vn Gentil homme est venu en Parlement, auec Lettre
de creance de Monsieur le Duc de la Trimoüille, qui a rapporté à
la Cour, que mondit sieur le Duc de la Trimoüille ayant fait depuis
quelque temps des leuées de gens du guerre dans la Prouince de Poictou,
& autres circonuoisines pour le secours de la Ville de Paris, auoit

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Occurrence 414. Anonyme. SVITTE ET SIXIEME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Partie 6 de 12, de C_1_40_01 à C_1_40_12. Voir aussi E_1_126 (partie 3). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : C_1_40_06. le 2013-03-06 01:17:18.

par la deposition
mesme de nos ennemis : Ce qui est assez verifié, par l’arriuée de l’Agent de
l’Archiduc Leopold Lieutenant general du Roy d’Espagne au Pays bas,
qui le mesme iour dix neufiesme Febvrier se presenta en l’assemblée du Parlement,
auec lettre de creance de son Maistre, dattée à Bruxelles du 10.
iour de ce mois, qui fit entendre que le pouuoir qui luy estoit donné, estoit
d’offrir de la part du Roy Catholique & de son Altesse Imperiale, la Paix,
& dire, qu’ils mettoient entre les mains de Messieurs du Parlement

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Occurrence 415. Anonyme. TESTAMENT DE MONSIEVR LE DVC D’ESPERNON. (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3763 ; cote locale : D_1_27. Texte édité par Site Admin le 2013-03-08 20:56:26.

comme
s’ensuit PREMIEREMENT il dit & declare, que suiuant l’ordre & la
coustume de tous les Testateurs, il recommanderoit son ame à
Dieu s’il y croyoit. Mais puis que toutes les actions de sa vie ont
assez tesmoigné qu’il n’a iamais vescu en cette creance, il estime
qu’il doit leuer le masque maintenant qu’il est proche de sa
mort, la quelle ne souffre point de feintise. Que s’il a parlé de
Dieu cy deuant, il aduouë que ç’a esté sans y penser, & des leures
seulement & paracquist, & que cela n’a

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Occurrence 416. Anonyme. TESTAMENT DE MONSIEVR LE DVC D’ESPERNON. (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3763 ; cote locale : D_1_27. Texte édité par Site Admin le 2013-03-08 20:56:26.

quelques Dames voisines de Verdelais
& qu’il auoit proiectè auec quelques Gentils-hommes Hugunots
de quitter le froc, & de conuoler en premieres nopces. Le
mesme Seigneur Prince Testateur declare pareilement, qu’il a esté enfin confirmé en sa susdite creance, par la genereuse resolution
de la pluspart du Clergé de Bourdeaux, qui luy ont fait
l’honneur de ne vouloir iamais denoncer excommunié & Anathematisé,
& sur vn d’entr’eux, qui chasque fois qu’on luy est
allé faire des plaintes des Sacrileges que son

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Occurrence 417. Anonyme. VERITABLES RAISONS DE L’VNION DV PARLEMENT... (1651) chez Court (Guillaume de La) à Bordeaux , 15 pages. Langue : français. Page de titre en page 2. Voir aussi D_1_57. Référence RIM : M0_3977 ; cote locale : C_11_19. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 09:49:16.

de
ce nouueau Ministre, & l’establissement du Ministere,
& le restablissement du Cardinal. On ne
doit pas s’étonner apres cela si Monsieur le Prince
a pris des ombrages qu’on semble luy auoir donné
à dessein, & si nous auons adjousté quelque
creance au rapport qu’il nous en a fait : il faudra
s’estonner plustost, si toute la France n’entre pas
dans ces mesmes soupçons & dans nostre creance.
Certes il suffiroit de dire que ce Prince qui n’a
iamais apprehendé aucun danger, a eu de la crainte
pour

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Occurrence 418. Anonyme. VERITABLES RAISONS DE L’VNION DV PARLEMENT... (1651) chez Court (Guillaume de La) à Bordeaux , 15 pages. Langue : français. Page de titre en page 2. Voir aussi D_1_57. Référence RIM : M0_3977 ; cote locale : C_11_19. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 09:49:16.

le Prince
a pris des ombrages qu’on semble luy auoir donné
à dessein, & si nous auons adjousté quelque
creance au rapport qu’il nous en a fait : il faudra
s’estonner plustost, si toute la France n’entre pas
dans ces mesmes soupçons & dans nostre creance.
Certes il suffiroit de dire que ce Prince qui n’a
iamais apprehendé aucun danger, a eu de la crainte
pour celuy-cy afin de iuger qu’il estoit à craindre,
il est assez éclairé pour ne se laisser pas tromper
par de faux soupçons ; & il est trop

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Occurrence 419. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’HOROSCOPE DV ROY. DONNANT A CONNOISTRE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français, latin. Signature à la page 9.. Référence RIM : M0_1666 ; cote locale : B_2_28. Texte édité par Site Admin le 2013-04-27 15:49:29.

L’homme souhaite
de s’en instruire à diuerses fins : les vnes sont plaisantes, les
autres sont curieuses, & les autres sont vtiles ou necessaires.
Les premiers desirent sçauoir quelles seront leurs aduentures
seulement pour se diuertir, sans y donner aucune creance.
Les suiuans le sont purement & simplement, pour s’instruire
des choses qui leur doiuent arriuer, sans passer plus
outre, les tenant pour indifferantes : Et les derniers s’y portent
auec beaucoup de passion, à dessein d’apprendre ce
qu’ils doiuent

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Occurrence 420. Demophile. DESCRIPTION DES VIES, MOEVRS, ET FACONS DE... (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore), Maucroy (Estienne) à Paris , 27 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi [M0_493] de 1650.. Référence RIM : M0_1059 ; cote locale : A_2_31. le 2013-11-20 03:45:03.

roder, courir, autour, & dans les
Villes, ruës, places, foires, marchez, hostelleries,
tavernes, cabarets, berlans, reduits, bordeaux, &c.
faisans, chercher ou cherchans, à guise de Lyons rugissans,
quelqu’un pour devorer. Mais ce qui surpasse
encore toute creance, est qu’on leurs void plus de
mains que Briareé, ce qui est dit (si l’on veut en autre
sens) pour leurs commis, facteurs, emissaires,
factotons, mouchars, espions, &c. qualifiez par l’Orateur
Romain avec non moins d’elegance que de
proprieté, en

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Occurrence 421. Demophile. DESCRIPTION DES VIES, MOEVRS, ET FACONS DE... (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore), Maucroy (Estienne) à Paris , 27 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi [M0_493] de 1650.. Référence RIM : M0_1059 ; cote locale : A_2_31. le 2013-11-20 03:45:03.

voloit tousiours
quelque chose de ce sacré depost que Nostre Seigneur
luy avoit mis confidemment entre les mains. Aussi
iront-ils avec luy en ce lieu tenebreux où il y a pleurs
& grincemens de dents: & il m’a esté asseure par gens
d’authorité, dignes de creance, & qui ont beaucoup
de credit en l’autre monde, qu’vn Partisan voulut
dernierement forcer les portes de Paradis (comme
tels gens sont insolens, choleres, prompts, & veulent
tout emporter de haute lutte), mais Monsieur S.
Pierre qui la gardoit luy bailla

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Occurrence 422. Du Bos, Mathieu [?]. LE MANIFESTE DE MONSEIGNEVR LE PRINCE DE... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 26 pages. Langue : français. Page de titre en page 2. Avec un portrait de Louis de Bourbon (Paris, Jean Daret, 1652) en page 5. Voir aussi B_6_8. Référence RIM : M0_2372 ; cote locale : C_11_1. le 2013-09-16 04:40:00.

ma sortie n’ait beaucoup
trauaillé les esprits de ceux quine sçauent pas
les raisons qui m’ont oblige de la precipiter,
mesme en vn temps où ie deuois presumer
qu’il ne se pouuoit que ce depart ne fut necessairement
suiuy de l’estonnement public, dans la
creance generalle qu’on a que ie donne le branle
à tous les mouuements de l’Estat, & que ie
balance si puissament les affaire, qu’elles ne
prennent iamais d’autres pante que celle que
ie leur donne au gré de mes seules inclinations. Si ceux qui

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Occurrence 423. Du Bos, Mathieu [?]. LE MANIFESTE DE MONSEIGNEVR LE PRINCE DE... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 26 pages. Langue : français. Page de titre en page 2. Avec un portrait de Louis de Bourbon (Paris, Jean Daret, 1652) en page 5. Voir aussi B_6_8. Référence RIM : M0_2372 ; cote locale : C_11_1. le 2013-09-16 04:40:00.

iamais estre descriées dans l’idée
de nostre ieune Monarque, lequel estant parfaitement
instruit des trahisons de leurs monopoles,
& de la sincerité de tous mes procedez,
bien loin de les fauoriser, seroit pour me iustifier
par la faueur de son authorité dans la creance
publique : Et pour cette raison ils ont iugé qu’il faloit preuenir ce temps fatal à leurs peruerses
intentions, & tascher de se saisit de ma
personne, auant que le Roy ne fut en estat de
signaler le premier coup de sa iustice, par la

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Occurrence 424. Du Bos, Mathieu [?]. LE MANIFESTE DE MONSEIGNEVR LE PRINCE DE... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 26 pages. Langue : français. Page de titre en page 2. Avec un portrait de Louis de Bourbon (Paris, Jean Daret, 1652) en page 5. Voir aussi B_6_8. Référence RIM : M0_2372 ; cote locale : C_11_1. le 2013-09-16 04:40:00.

ennemy eut asseurement rallumé
dans la France.   Ces oppositions que la qualité de Prince
du sang ne ma iamais laissé interrompre contre
le retour du Cardinal Mazarin, ont enfin
fait conclure à ses emissaires le funeste
dessein de me faire arrester ; sur la creance
qu’ils ont eu, que s’ils m’auoient vne fois lié
les bras, ils auroient plus de liberté de trauailler
au restablissement de ce proscript, & qu’ils
n’auoient qu à s’asseurer de ma personne, pour
se mettre à l’abry de toute sorte de dangers.

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Occurrence 425. Du Bos, Mathieu [?]. LE MANIFESTE DE MONSEIGNEVR LE PRINCE DE... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 26 pages. Langue : français. Page de titre en page 2. Avec un portrait de Louis de Bourbon (Paris, Jean Daret, 1652) en page 5. Voir aussi B_6_8. Référence RIM : M0_2372 ; cote locale : C_11_1. le 2013-09-16 04:40:00.

ie n’y estois plus regardé de si mauuais œil,
& que ie pourrois asseurement esperer que ie
ne serois plus traicté auec tant de deffiance. Mais cette illustre entremise n’a pas esté
moins inutile que les efforts que ie faisois cõstament
pour en faciliter la creance ; & les calomnies de mes ennemys ayant preualu par dessus
les depositions du Lieutenant General de l’Estat
on n’a peu d’auantage tirer en langueur le
dessein de me perdre, pour sauuer, aux despens
d’vn Prince de la Maison Royalle, les debris

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Occurrence 426. Du Bos, Mathieu [?]. LE MANIFESTE DE MONSEIGNEVR LE PRINCE DE... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 23 pages. Langue : français. C_11_1. Référence RIM : M0_2372 ; cote locale : B_6_8. le 2013-09-16 04:35:12.

ma Sortie n’ait beaucoup
trauaillé les esprits de ceux qui ne sçauent pas
les raisons qui m’ont obligé de la precipiter,
mesme en vn temps où ie deuois presumer qu’il
ne se pouuoit que ce depart ne fust necessairement
suiuy de l’estonnement public, dans la
creance generale qu’on a que ie donne le branle
à tous les mouuemens de l’Estat, & que ie
balance si puissamment les affaires, qu’elles ne
prennent jamais d’autres pantes que celles que
ie leur donne au gré de mes seules inclinations. Si ceux qui

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Occurrence 427. Du Bos, Mathieu [?]. LE MANIFESTE DE MONSEIGNEVR LE PRINCE DE... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 23 pages. Langue : français. C_11_1. Référence RIM : M0_2372 ; cote locale : B_6_8. le 2013-09-16 04:35:12. dans l’idée
de nostre ieune Monarque, lequel estant parfaitement
instruit des trahisons de leurs monopoles,
& de la sincerité de tous mes procedez,
bien loin de les fauoriser, seroit pour me iustifier
par la faueur de son authorité dans la creance
publique : Et pour cette raison ils ont iugé qu’il falloit preuenir ce temps fatal à leurs peruerses
intentions, & tascher de se saisir de ma
personne, auant que le Roy ne fut en estat de
signaler le premier coup de sa iustice, par la

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Occurrence 428. Du Bos, Mathieu [?]. LE MANIFESTE DE MONSEIGNEVR LE PRINCE DE... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 23 pages. Langue : français. C_11_1. Référence RIM : M0_2372 ; cote locale : B_6_8. le 2013-09-16 04:35:12.

ennemy eut asseurement alumét
dans la France.   Ces oppositions que la qualité de Prince
du sang ne ma iamais laisse interrompre contre
le retour du Cardinal Mazarin, ont enfin
fait conclure à ses Emissaires le funeste
dessein de me faire arrester ; sur la creance
qu’ils ont eu, que s’ils m’auoient vne fois lié
les bras, ils auroient plus de liberté de trauailler
au restablissement de ce proscript, & qu’ils
n’auoient qu’à s’asseurer de ma personne, pour
se mettre à l’abry de toute sorte de

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Occurrence 429. Du Bos, Mathieu [?]. LE MANIFESTE DE MONSEIGNEVR LE PRINCE DE... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 23 pages. Langue : français. C_11_1. Référence RIM : M0_2372 ; cote locale : B_6_8. le 2013-09-16 04:35:12.

ie n’y estois plus regardé de si mauuais œil,
& que ie pourrois asseurement esperer que ie
ne serois plus traitté auec tant de deffiance. Mais cette illustre entremise n’a pas esté
moins inutille que les efforts que ie faisois cõstament
pour en faciliter la creance ; & les calomnies de mes ennemys ayant preualu par dessus
les depositions du Lieutenant General de l’Estat,
on n’a peu d’auantage tirer en langueur le
dessein de me perdre, pour sauuer, aux despens
d’vn Prince de la Maison Royalle, les

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Occurrence 430. Du Tillet [signé]. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES PAR ESCRIT FAITES... (1652) chez Guillemot (veuve de Jean) à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi D_1_55. Référence RIM : M0_3841 ; cote locale : B_13_31. le 2013-03-10 09:21:29.

quand tout le reste du monde s’en seroit dispensé. En effect, SIRE, vostre Majesté iugera bien qu’à l’heure mesme
qu’vn Monarque, qui ne peut estre contraint par les voyes de
Iustice, vient à mespriser sa parole, il ne sçauroit faire vne perte
plus notable que la creance, qui tient les cœurs doucement attachez,
dans lesquels vn Prince sans foy ne reigne plus. Mais les
plus detestables & dangereux Fauoris des Rois, sont ceux qui
apres auoir conseillé d’vser de perfidie, pour se démeler de quelques
rencontres fascheuses, sont

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Occurrence 431. Du Tillet [signé]. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES PAR ESCRIT FAITES... (1652) chez Guillemot (veuve de Jean) à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi D_1_55. Référence RIM : M0_3841 ; cote locale : B_13_31. le 2013-03-10 09:21:29.

que vostre Majesté est en toutes façons és
mains des Estrangers, comme il est tres-certain, que s’estant rendu
dispensateur des Charges militaires, & de toutes les Charges, qui ne
sont conferees & distribuees qu’à ceux qui veulent dependre de luy,
leur creance est, qu’ils ont toute l’obligation à celuy qui vous despoüille
pour les reuestir, & refuse ceux qui ne veulent pas estre ses
Partisans. SIRE, nous croyons qu’en cette rencontre il est loisible de nous
seruir de toutes voyes legitimes pour garantir vostre

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Occurrence 432. Du Tillet [signé]. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES PAR ESCRIT FAITES... (1652) chez Guillemot (veuve de Jean) à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi D_1_55. Référence RIM : M0_3841 ; cote locale : B_13_31. le 2013-03-10 09:21:29.

des biens-faits, & dans
le choix qu’il a fait des personnes de toutes conditions, qu’il a aduancées
au preiudice de ceux qui le meritent, & sont plus capables
de vous seruir. Nous auons aussi grand sujet de nous defier, que le Cardinal
Mazarin ayant pris creance dans l’esprit de vostre Majesté n’entreprenne
de luy communiquer ses passions pour le porter à poursuiure
ses vengeances. Nous n’ignorons pas que la coustume de ceux,
qui ont acquis vn grand credit auprés des Princes, est de leur persuader
que les déplaisirs,

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Occurrence 433. Du Tillet [signé]. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES PAR ESCRIT FAITES... (1652) chez Guillemot (veuve de Jean) à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi D_1_55. Référence RIM : M0_3841 ; cote locale : B_13_31. le 2013-03-10 09:21:29.

faites sans regles & sans fidelité,
nous a enfin jetté dans l’impuissance que luy-mesme a découuert
aux Ennemis dans les Lettres qu’il a escrites à vostre Majesté, & à la
Reine vostre Mere.   Iugez, SIRE, s’il auoit trouué les moyens d’acquerir la creance,
qui est necessaire à vn homme employé aux grandes affaires de
vostre Estat, & qui doit faire valoir vostre authorité; Le Cardinal
Mazarin ne sçauoit pas qu’vn Royaume remply de personnes de
bon esprit & genereux ne pouuoient demeurer long-temps dans

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Occurrence 434. Du Tillet [signé]. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES PAR ESCRIT FAITES... (1652) chez Guillemot (veuve de Jean) à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi B_13_31. Référence RIM : M0_3841 ; cote locale : D_1_55. le 2013-03-10 09:28:20.

quand tout le reste du monde s’en seroit dispensé. En effect, SIRE, vostre Majesté iugera bien qu’à l’heure mesme
qu’vn Monarque, qui ne peut estre contraint par les voyes de
Iustice, vient à mespriser sa parole, il ne sçauroit faire vne perte
plus notable que la creance, qui tient les cœurs doucement attachez,
dans lesquels vn Prince sans foy ne reigne plus. Mais les
plus detestables & dangereux Fauoris des Rois, sont ceux qui
apres auoir conseillé d’vser de perfidie, pour se démeler de quelques
rencontres fascheuses, sont

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Occurrence 435. Du Tillet [signé]. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES PAR ESCRIT FAITES... (1652) chez Guillemot (veuve de Jean) à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi B_13_31. Référence RIM : M0_3841 ; cote locale : D_1_55. le 2013-03-10 09:28:20.

que vostre Majesté est en toutes façons és
mains des Estrangers, comme il est tres-certain, que s’estant rendu
dispensateur des Charges militaires, & de toutes les Charges, qui ne
sont conferees & distribuees qu’à ceux qui veulent dependre de luy,
leur creance est, qu’ils ont toute l’obligation à celuy qui vous despoüille
pour les reuestir, & refuse ceux qui ne veulent pas estre ses
Partisans. SIRE, nous croyons qu’en cette rencontre il est loisible de nous
seruir de toutes voyes legitimes pour garantir vostre

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Occurrence 436. Du Tillet [signé]. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES PAR ESCRIT FAITES... (1652) chez Guillemot (veuve de Jean) à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi B_13_31. Référence RIM : M0_3841 ; cote locale : D_1_55. le 2013-03-10 09:28:20.

des biens faits, & dans
le choix qu’il a fait des personnes de toutes conditions, qu’il a aduancées
au preiudice de ceux qui le meritent, & sont plus capables
de vous seruir. Nous auons aussi grand sujet de nous defier, que le Cardinal
Mazarin ayant pris creance dans l’esprit de vostre Majesté n’entreprenne
de luy communiquer ses passions pour le porter à poursuiure
ses vengeances. Nous n’ignorons pas que la coustume de ceux,
qui ont acquis vn grand credit auprés des Princes, est de leur persuader
que les déplaisirs,

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Occurrence 437. Du Tillet [signé]. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES PAR ESCRIT FAITES... (1652) chez Guillemot (veuve de Jean) à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi B_13_31. Référence RIM : M0_3841 ; cote locale : D_1_55. le 2013-03-10 09:28:20.

faites sans regles & sans fidelité,
nous a enfin jette dans l’impuissance que luy mesme a découuert
aux Ennemis dans les Lettres qu’il a escrites à vostre Majesté, & à la
Reine vostre Mere.   Iugez, SIRE, s’il auoit trouué les moyens d’acquerir la creance,
qui est necessaire à vn homme employé aux grandes affaires de
vostre Estat, & qui doit faire valoir vostre authorité ; Le Cardinal
Mazarin ne sçauoit pas qu’vn Royaume remply de personnes de
bon esprit & genereux ne pouuoient demeurer long-temps dans

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Occurrence 438. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

point d’auprés de sa Majesté.   Quand le Parlement n’auroit rien gagné que la conuiction
interieure de ceux qui sont tant soit peu versez
dans les affaires de la Monarchie, n’auroit-il pas de beaucoup
esbranlé le Party Mazarin, puis qu’il auroit osté la
creance aux principipaux de ses arboutans, que le pretexte
de soustenir l’authorité Royale ne pourroit plus
passer desormais apres cét Arrest ; que pour vn veritable
dessein de la renuerser ; Et quand ce mesme Arrest n’auroit
seruy qu’à jetter tous les Peuples dans le

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Occurrence 439. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE RAPORTEVR DES PROCES D’ESTAT, FAISANT... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2977 ; cote locale : B_7_52. le 2013-10-20 15:41:25.

laissé de crime
qu’ils n’ayent estonné par la crainte d’vne punition :
Il n’y a que le Parricide qui parut autrefois si
déraisonnable à ce Sage Legislateur de Lacedemone,
qu’il ne crut point estre obligé de luy préscrire aucun chastiment, sur la creance qu’il eut, qu’il ne
seroit point d’insolent qui fut assez effronté pour
ozer attenter à la vie de celuy qui la luy auroit donnée :
Mais Marc-Anthoine l’Orateur inuectiuant
contre vn parricide de son temps, remarque sagement,
que Licurgue auoit tesmoigné

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Occurrence 440. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE RAPORTEVR DES PROCES D’ESTAT, FAISANT... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2977 ; cote locale : B_7_52. le 2013-10-20 15:41:25.

si
toutefois elle affectoit de frustrer les princes du Sang
du droit legitime qu’ils ont, d’auoir leur part dans la
resolution de toutes les affaires d’Estat. Si cette reflection est veritable comme elle est sans
contradiction ; ie puis asseurer auec la méme creance,
que tous les affronts qu’on fait à des Princes du
Sang, sont des crimes d’Estat ; voicy mon raisonnement :
puis que les crimes, ne sont crimes d’Estat,
que par ce que ceux qui les commettent, oublient le
respect qu’ils doiuent à la Majesté du

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Occurrence 441. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE RAPORTEVR DES PROCES D’ESTAT, FAISANT... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2977 ; cote locale : B_7_52. le 2013-10-20 15:41:25.

ils
adioustent que le panchant du vice de l’impureté, est si
lubrique, qu’il n’est pas possible d’y faire vn faux pas,
sans tomber tout de son long : le passage de Iob, Pepigi
fadus cum oculis meis vt ne cogitarem quidem de virgine, les
fortifie dans cette creance : Car si pour blesser le cœur,
il ne faut que donner le passage libre par les eux à vne
pensée qui se glisse auec vn trait de beauté, peut-on
douter que le cœur qui est le principe de la vie, puisse
iamais receuoir aucune blessure qui ne soit mortelle :
Mais

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Occurrence 442. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

peu croyable, lors-qu’il luy attribue
la mort de Theodebert, comme lors qu’il luy impute
l’exil de S. Colomban qu’elle honnora toute sa vie.
Adioustés que le supplice de Brunchaut ioint à vne
mort si indigne d’vne Reyne, ne passe que pour vne
fable dans la creance des esprits les plus iudicieux &
les mieux versés dans l’histoire ; outre que toute cette
feinte de la trahison de Varnier, ne fut qu’vne fourbe
pour opprimer l’innocence de Brunehaut, & rauir à
ses enfans leur Royaume auec la vie. Apres

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Occurrence 443. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

France apres leur pere, & successiuemẽt
l’vn apres l’autre : sçauoir Clotaire, Thierry
& Childeric. Les deux premiers eurent vn sort
bien contraire, & vne conduite de vie, dont les euenemens
furẽt si fort admirables, qu’ils semblent passer
toute la creance, & qu’au sentiment de quelques-vns
de nos Historiens, ils n’ont peu iusqu’à cette
heure trouuer place que parmy les Romans, & dan
la Fable. Ie les rapporteray neantmoins pour ce
qu’ils font à mon sujet, & qu’ils se trouuent encore
authorisés

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Occurrence 444. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

vne assemblée,
confuse de Predicans, & de Ministres ; plustost que de
la reseruer au Iugement de l’Eglise, & à la determination
des Corciles ; En cela seulement excusable que
pour l’accommodement de ses affaires, elle auoit la
conduite Huguenotte, & la creance Catholique.
Aussi fut-ce en ce siecle d’horreur, où par la minorité
du Roy, & par la foiblesse d’vne femme ; l’Heresie
s’establist en France, & auec elle la guerre & la confusion ;
Où l’on veid dans diuers euenemens le Roy de
Nauarre tué

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Occurrence 445. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE TOMBEAV DV SENS COMMVM OV LE RENVERSEMENT... (1650 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3784 ; cote locale : B_18_35. le 2013-12-29 08:59:43.

la religion sur les deux
scandales qui la destruisent. LE TOMBEAV DV SENS
Commun. IE m’en vay renuerser tous les principes de la
Logique par vn raisonnement contradictoire
à toutes ses maximes : Ie m’en vay choquer la
creance la plus raisonnable du sens commun, par
l’establissement des opinions qui ne peuuent
estre fondees que sur ses ruines : Ie m’en vay tirer
des consequences infaillibles & necessaires, qui
n’auront neantmoins point en apparence aucun
rapport auec leurs

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Occurrence 446. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE TOMBEAV DV SENS COMMVM OV LE RENVERSEMENT... (1650 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3784 ; cote locale : B_18_35. le 2013-12-29 08:59:43.

de la Religion & de l’Estat, par l’exclusion
de toute sorte de Cardinaux du Gouuernement.   IV. Ie m’en vay choquer dans ceste quatriesme
proposition les preuues contraires & inuincibles
de l’experience, le sentiment des Politiques,
la creance publique ; bref ie m’en vay faire voir
que La Reine a ruiné la fortune du Cardinal Mazarin :
qui le croira ! S. A. R. sçait trop bien qu’il
ne l’a protegé pendant quelque temps que pour
complaire à la Reine qui le portoit malgré toute
la haine de

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Occurrence 447. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE TOMBEAV DV SENS COMMVM OV LE RENVERSEMENT... (1650 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3784 ; cote locale : B_18_35. le 2013-12-29 08:59:43.

moralle, ie me tiens fortement à ma proposition,
ie conteste qu’vn homme de cœur ne doit
point briguer de monter à vn rang, ou il est infaillible
qu’il ne sera pas seulement regardé auec
enuie : mais qu’il ne pourra pas si maintenir qu’auec la creance qu’on aura de luy que c’est vn méchant
homme : cela n’est pas moins veritable qu’il
est asseuré que tout homme de cœur doit preferer
sa reputation à toute sorte de bien, & faire
moins de cas d’estre haut éleué dans les grãdeurs,
que de se

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Occurrence 448. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE TOMBEAV DV SENS COMMVM OV LE RENVERSEMENT... (1650 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3784 ; cote locale : B_18_35. le 2013-12-29 08:59:43.

moins elles sont dangereuses, puis que ie ne
puis les embrasser sans scrupule, que faut il faire ?
le dessein qui se brasse au grand aduantage des
consciences, & qu’on fera bien tost éclore, nous
le monstrera par l’admirable establissement d’vne
simplicité de creance que certaines personnes
de probité veulent metrre dans l’idee des gẽs
de bien, pour leur faire fermer les yeux de l’esprit
au desir extrauagant de sçauoir ce qui ne peut
point estre compris par l’entendemẽt humain, &
qui ne peut point estre discuté

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Occurrence 449. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE TOMBEAV DV SENS COMMVM OV LE RENVERSEMENT... (1650 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3784 ; cote locale : B_18_35. le 2013-12-29 08:59:43.

a desia donné l’œconomie dans vn certain liure
intitulé La chaine de l’Hercule Gaulois : c’est aussi
ce qui ma fait conclure qu’il estoit necessaire que les
Iansenistes & les Molinistes s’entracusassent d’erreur,
pour donner occasion à cette simplicité de creãce
qui ne sera moins establie pour ietter la confusion
dans les deux partis, que pour fermer desormais
la porte à de semblables erreurs.   Si ces paradoxes sont aprouuez ie pourray encor
en fournir quelques autres pour l’entretien
des bons esprits,

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Occurrence 450. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE TOMBEAV DV SENS COMMVM OV LE RENVERSEMENT... (1650 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3784 ; cote locale : B_18_35. le 2013-12-29 08:59:43.

pour fermer desormais
la porte à de semblables erreurs.   Si ces paradoxes sont aprouuez ie pourray encor
en fournir quelques autres pour l’entretien
des bons esprits, cependant que ie me dispose de
donner du marteau à Iansenius & à Molina, c’est
à dire de les traiter d’Heretiques, si toutefois ils
ne relaschent en suitte de cette simplicité de
creance, de vouloir obliger le monde à croire ce
qu’ils ne sçauroient eux mesme rendre croyable
sans dispute.

FIN.

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Occurrence 451. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LES ALARMES DE LA FRONDE, ET... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 24 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_59 ; cote locale : B_13_30. le 2013-02-15 13:33:25.

& qu’il sçaura que les honteuses
nouuelles en ont retenti par toute la France, sans
que cette reflexion reueille entierement toutes les
idées de son genie, pour luy suggerer la seule resource
de quelque mal-heureux dessein.   Pour donner quelque lieu à cette creance, il faut
ne sçauoir pas que l’ambition, qui s’est éleuée sur le
haut faiste du gouuernement par la seule conduitte
des passions les plus dereglées, ne peut aussi s’y voir
choquer sans appeller à la vengeance de sa gloire flétrie,
les mesmes coadjutrices

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Occurrence 452. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LES ALARMES DE LA FRONDE, ET... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 24 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_59 ; cote locale : B_13_30. le 2013-02-15 13:33:25.

souscrire desormais à toute sorte de traittez
pour en fausser les serments au gré de son ambition,
& ne tenir point de parole, quelque engagé qu’il y
soit, par l’obligation qu’il aura de respecter l’authorité
de celuy souz le nom duquel il en aura obtenu la
creance, à moins qu’elle ne se trouue auantageuse au
progrez de ses affaires.   Ie m’attacherois maintenant à déduire les autres
Conseils que la necessité luy pourra inspirer, lors
que les attaques de ses ennemis l’obligeront à iouër
de son reste, si ie ne

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Occurrence 453. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LES ALARMES DE LA FRONDE, ET... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 24 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_59 ; cote locale : B_13_30. le 2013-02-15 13:33:25.

de la Monarchie, pour
faire, du moins detester le temps de son desestre,
mesme par la bouche de ses plus grands ennemis.   Cependant ie rentre dans ma premiere proposition
pour conclure affirmatiuemeut; & i’establis sur
ces dernieres veritez presuposées, la creance que l’on
doit auoir; c’est à dire, que la Fronde est insensible, si
les approches du Cardinal n’alarment tous ceux de son
party, & si les apprehensions de son arriuée n’arment
au plutost tout ce qu’il y a de plus genereux dans la
Metropolitaine de

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Occurrence 454. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ADVOCAT GENERAL, SOVSTENANT LA CAVSE DE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_555 ; cote locale : B_17_14. le 2013-01-22 14:50:10.

toute
Nüe, il me suffit d’auoir éuanté les mauuaises intentions
qu’il n’a osé faire éclatter ouuertement contre
le plus aimable de tous nos Princes, par ce qu’il eust
d’abord rebuté la patience de ses Lecteurs, & qu’il
n’eust pû esperer aucune creance pour ses impostures,
s’il ne se fust efforcé de déguiser l’enormité de son impudence,
souz vn pretexte de passion affectée pour la
querelle de celuy que toute la France considere comme
le plus digne objet de toutes ses plus iustes inclinations. Mais est-il

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Occurrence 455. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ADVOCAT GENERAL, SOVSTENANT LA CAVSE DE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_555 ; cote locale : B_17_14. le 2013-01-22 14:50:10.

nous estions à la veille de nous rambrasser, que le C.
Mazarin est entré dans l’Estat à main armée, & que le Roy mesme, dont les Declarations Royalles, & si
souuent reїterées, nous auoit fait receuoir cette disgrace
pretenduë auec quelque sorte de creance,
l’auoit ordonné par des Lettres de cachet, au preiudice
de tous ses serments.   Auparauant, cette raison de l’armement de M. le
Prince estoit traittée de pretexte, parce qu’on voyoit
bien en Cour, qu’elle n’estoit que trop valide, pour

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Occurrence 456. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ADVOCAT GENERAL, SOVSTENANT LA CAVSE DE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_555 ; cote locale : B_17_14. le 2013-01-22 14:50:10.

de
pretexte à quelque autre dessein que celuy que M. le
Prince fait ouuertement éclatter contre le restablissement
du Mazarin. Mais c’est extrauaguer : le Parlement de Paris qui
s’estoit donné aux apparences du bannissement du C.
Mazarin, & qui sur cette creance auoit consenty à la
verification de la Declaration du Roy, donnée contre
l’innocence de M. le Prince, sursit l’exexecution
de ce sanglant Arrest, en veuë des effets contraires à
tant de belles apparences, & ordonna sagement que
la Declaration du Roy

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Occurrence 457. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ADVOCAT GENERAL, SOVSTENANT LA CAVSE DE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_555 ; cote locale : B_17_14. le 2013-01-22 14:50:10.

de pain qui nous fait encor
trainer vne vie languissante ; c’est ne pouuoir pas
souffrir que nous viuions iamais en repos ; c’est vouloir eternellement fomenter vn feu deuorant
dans le sein de la France ; c’est descrier la reputation
françoise dans la creance de tous nos voisins ;
c’est attenter à nos Loix ; enfin c’est vouloir establir
vne tirannie cent fois plus cruelle que celle de
l’Empire de Neron.   Iugez, impudent Escriuain, si nous sommes
obligez d’obeїr au Roy, suposé que nonobstant
des

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Occurrence 458. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

ses deux arrie-fils,
faisant croire à ce dernier par ce qu’elle auoit besoin
de son appuy que Theodebert estoit fils d’vne
concubine, & que par consequent il n’auoit aucun
droit de recueillir la succession d’vn Trone, qui ne
luy estoit echeu que sur la fausse creance qu’on auoit
qu’il n’estoit point bastard. Il n’est pas besoing de beaucoup d’artifice pour
persuader à Theodoric, ce que l’ambition d’auoir vn
Royaume plus estendu, luy fait receuoir aueuglement
sans l’examiner : Il deuore desia par

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Occurrence 459. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

des peuples qu’il auoit si iustement merité par tant
de triomphes, afin de s’en preualoir puis apres à son
preiudice ?   Ie repete ce que tout le monde sçait, ce que toute
la France a veu ; Ce que la posterité ne croira iamais,
à moins que la creance n’en soit receuë de nos
Neveux, par le parallelle de la conduitte de Brunehaut,
& de Catherine de Medicis. Pour sauuer le
Cardinal Mazarin, Anne d’Austriche a perdu tout
l’Estat ; pour rafermir la fortune de ce coquin, elle
esbranle le Throsne : Pour le

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Occurrence 460. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

tous les iours pour le restablissement
du M. Et que ce Prince ne fut traité de criminel
d’Estat par Arrest mesme du Parlement, que parce
que cette Cour Souueraine crut estre obligée de
traiter de pretexte cette aprehension pretenduë du
retour du Mazarin, sur la creance qu’elle auoit, que
leurs Majestez, en donnant leur Declaration contre
luy, s’estoient imposés par serment, vne loy &
vne necessité indispensable de ne le pouuoir plus
restablir. Cette conduite du Roy & du Parlement, faisoit
du moins

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Occurrence 461. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

deuoir iusqu’à ce point là, & que i’augmente
par mon nom le nombre des impudents, qui n’ont
point rougy de descrier ouuertement son honneur.
Mon dessein est de faire voir, qu’elle se conduit assez
imprudemment pour fortifier ces effrontés dans leur
premiere creance, & pour conuaincre entierement
ceux qui ne sont pas trop entendus dans la politique
ou dans la conduite des femmes, que son attachement
pour le Mazarin, à du moins assez d’aparence
pour appuyer assez raisonnablement les conjectures
des foibles & des

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Occurrence 462. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

plus de sincerité
pour ce mesme dessein, qu’en écartant toutes les
indignations qu’elle void inonder à torrens contre
cét impudẽt Italien ; pour les faire plus outrageusement
décharger sur la personne innocente de S. M.   C’est encor trop peu : quelque creance que nous
ayons que le Roy ne porte le Mazarin que par vne
complaisance tyrannique pour toutes les volontez
de la mere, la Reyne nous veut faire croire par des
lettres de Cachet, qu’elle nous fait reïterer a tout
moment, que les inclinations de sa Maiesté

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Occurrence 463. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

d’aucun de nos traits qu’au trauers de cet
innocent. Ie ne dis que ce que tous les genereux voyent auec
vn mortel déplaisir d’estre les témoins de l’infamie
de cette conduite, qui ne déroge pas moins à l’honneur
des françois, qu’à la creance qu’on a eu de tout
temps, que nostre gouuernement n’estoit nullement
conduit par la participation du conseil des femmes,
& que nos affaires ne reussissoit constamment au gré
de nos desirs, que par ce que les desseins n’en estoient
iamais concertés que

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Occurrence 464. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’AVEVGLEMENT DES PARISIENS, FAISANT VOIR... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 31 pages. Langue : français. Moreau indique 71 pages.. Référence RIM : M0_467 ; cote locale : B_16_51. le 2013-02-15 10:25:50.

payeras point les pots cassez :
Iuge sans passion ; & tu iugeras en suitte de tant de
pertes, que la tienne fait le premier objet de tous ses
desirs. VII. Pour finir ce raisonnement par vn surcroist
de preuue, qui te soumettra encor plus raisonnablement
à la creance de ce que ie veus te faire apprehender :
sçais-tu bien comme elle esleue le Roy ? sçais-tu
bien qu’elle ne luy inspire d’autres passions que les siennes ?
sçais-tu bien qu’elle ne luy par le iamais que de ta
rebellion ; car c’est de la sorte qu’elle

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Occurrence 465. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’AVEVGLEMENT DES PARISIENS, FAISANT VOIR... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 31 pages. Langue : français. Moreau indique 71 pages.. Référence RIM : M0_467 ; cote locale : B_16_51. le 2013-02-15 10:25:50.

sçais tu bien qu’elle ne luy met iamais deuant
les yeux que tes barricades ? qu’elle luy fait conceuoir
comme des attentats manifestes à son authorité ? sçais-tu
bien qu’elle luy fait regarder cette grãde ville comme
le frein de sa Royauté, & que sur cette creance elle
luy fait desia projetter des desseins de la perdre ou de
l’affoiblir. Le Roy est ieune, il est capable dans la tendresse de
son âge, de receuoir toute sorte d’impressions : il n’est
pas assez éclairé pour estre à l’espreuue des artifices,

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Occurrence 466. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ESCVEIL DE LA ROYAVTÉ OV LA POLITIQVE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1183 ; cote locale : B_2_33. Texte édité par Site Admin le 2013-02-04 16:12:20.

de tes murailles, s’ils auoient
quelque mauuais dessein contraire à l’apparence de
ce qu’ils font voir à tes yeux : Cette franchise auec
laquelle ils agissent auec toy, marque vne sincerité
de cœur qui ne peut fonder aucun mauuais soupçon
que dans la seule creance des mal-intentionnez ou
des foibles. Et si tu veux faire vn parallele desinteressé
de leur candeur auec les souplesses du conseil
du Roy ou de la Cour, tu iugeras sans doute auec
moy que tu n’as pas moins de subjet de te defier de
la conduite de celle-cy, que de

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Occurrence 467. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ESCVEIL DE LA ROYAVTÉ OV LA POLITIQVE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1183 ; cote locale : B_2_33. Texte édité par Site Admin le 2013-02-04 16:12:20.

vous l’auez fait declarer
sans raison.   Comprenez vous bien la consequence de cette
opiniastreté que vous pretendez nous faire passer
pour vigueur d’esprit ? Sçauez-vous bien que vous
faites apprehender au peuples le regne de ce ieune
Prince, par la creance qu’ils ont que deuant faire
plusieurs faux pas dans le gouuernement, comme
des suittes infaillibles de sa mauuaise education, il
s’imaginera tousiours sur ces impertinens principes
que vous luy donnez, qu’il sera de son authorité
de ne relascher iamais :

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Occurrence 468. J. B. D. L. R.. LE BOVQVET PRESENTÉ AV ROY LE IOVR DE SA... (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_600 ; cote locale : C_2_21. le 2013-06-15 11:25:15.


Grand Louïs puisque vostre naissance
Vous fait vn Dieu deuant nos yeux
Vous deüez estre comme les Dieux
Qui ne sont tous qu’intelligences.    
Athlas pour l’esprit qu’il l’ornoit
Gaigna sur tous cette creance
Que le Ciel mesme il soustenoit
Sur la hauteur de sa puissance :
Grand Roy, que ce Roy soit ta mire,
Acquiers ces graces seulement
Et tu soustiendras puissamment
Le large Ciel de ton Empire.    
O Roy nostre soin

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Occurrence 469. L. G. [signé]. LE DONNEVR DAVIS AVX PARTISANS SORTANT DV... (1649) chez [s. n.] à Paris , 10 pages. Langue : français. Le titre devrait être "Le donneur d'avis", avec apostrophe.. Référence RIM : M0_1171 ; cote locale : C_7_61. Texte édité par Site Admin le 2013-07-20 08:09:05.

reste des autres Offices necessaires voylà qui me trouble,
& si encore iusques a l’entiere conclusion il faudra ce seruir
des pauures gens pour trauailler a ceste grande entreprise,
mais aussi cela estãt acheué nous pourrons dormir a nostre
ayse les voleurs & les creanciers ne nous donneront nulle
alarme chacun sera riche & content de son partage, & si
peu de trauail rendra les terres tres fertiles les domaines seront
aux mantez & le R. verra alors ses veritables seruiteurs
& sa Majesté ne sera plus importuné de tant de

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Occurrence 470. L. S. C. C. A. P. D. A.... . LE FIDELLE INTERESSÉ. Par L. S. C. C. A. P.... (1652) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1388 ; cote locale : B_19_51. le 2013-07-20 11:27:57.

& des biens de leurs subjets,
& qu’ils peuuent sans iniustice en disposer à leur gré ;
ce qui n’est pas absolument veritable, comme plusieurs
ont desia remarqué : mais parce que ces mauuais Conseillers
s’imaginent qu’ils ne sont pas obligez de donner
creance à de nouueaux Autheurs, & qu’ils me rebuteroient
asseurément comme les autres, ie leur veux mettre
en teste vn Docteur Angelique, & luy faire dire en François
ce qu’il a escrit en Latin il y a prés de 400. ans. Ils auroient
bien de la peine à nous

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Occurrence 471. Lemercier,? [?]. LE TOMBEAV GENERAL DE TOVTES LES PIECES DV... (1649) chez Remy (veuve de Jean) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission de la Chambre des dépêches, du 4 mars 1649, au colophon.. Référence RIM : M0_3786 ; cote locale : A_7_47. le 2013-12-29 09:47:23.

POVR moy ie suis de maxime à ne iamais
parler des premiers, & voir auparauant ce
que les autres auront dit, afin de porter
iugement de leurs parolles, & considerer
si elles ont esté fausses ou veritables, & en suitte de ce
y adiouster quelque creance, ou bien ne les point
croire du tout. La pluspart des Historiens disent toûjours
beaucoup plus de mensonges que de veritez, par
ce que ce sont pour l’ordinaire personnes interessées,
qui cherchent à faire leurs fortunes auprés des Princes
qu’ils flattẽt,

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Occurrence 472. Lemercier,? [?]. LE TOMBEAV GENERAL DE TOVTES LES PIECES DV... (1649) chez Remy (veuve de Jean) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission de la Chambre des dépêches, du 4 mars 1649, au colophon.. Référence RIM : M0_3786 ; cote locale : A_7_47. le 2013-12-29 09:47:23.

les lieux où il est, crainte que tout cecy ne fut vne surprise: non non il verra le ieu sans estre de la
partie & s’efforcera de r’auoir son Duché. Et tout ce
que l’on en dit n’est à autre dessein que de nous donner
de la crainte dans la creance que nous serons plus
foibles que nos ennemis, & par ce moyen nous reduire
à des soumissions honteuses.   Nouuelles veritables de la France. Nous attendons certainement vne armée considerable
de Monsieur de Longueville, laquelle arriuera
bien tost,

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Occurrence 473. Nervèze, Suzanne de [signé]. LE RIEVR DE LA COVR AVX BOVFONS, Satiriques,... (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission. Signature en page 4. Autre signature "D'Aubray", au colophon.. Référence RIM : M0_3549 ; cote locale : C_9_85. le 2013-12-09 13:33:12.

prudence, & il nous apprendra que
quand on luy dit que Zenocrates son disciple & son
ami auoit tres iniurieusement parlé de luy, il ne le creut
pas ne pouuant pas se deffier d’vn homme qui luy auoit
si long-temps temoigné amitié, le rapporteur presse
sa creance autorise ses paroles par serment affection &
vehemence, à quoy le Philosophe respond & bien si
Cenorates à parlé en ses termes, il a pensé qu’il en estoit
necessaire ie ne luy en sçay pas mauuais gré, & sans s’émouuoir
il témoigna sa vertu, &

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Occurrence 474. Orandre, sieur d' /... . LE DEPOSITAIRE DES SECRETS DE L’ETAT,... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1006 ; cote locale : B_4_3. le 2013-07-16 10:54:47.

qu’à
condition qu’ils seront les instruments & les Ministres
de ses passions. Ainsi Mazarin est destruit, la
raison qui les soustient est destruitte : si le Card. Mazarin
tombe, ils sont accablez souz sa ruyne : Iugez
donc de ce qu’ils feront pour fomenter la creance
de la necessité de son restablissement dans l’esprit
du Roy.   S’il est important à ces Ministres Estrangers, de
porter les interests du Mazarin dans l’esprit du Roy,
il leur est encor plus important de luy faire conceuoir
la necessité pretenduë

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Occurrence 475. Orandre, sieur d' /... . LE DEPOSITAIRE DES SECRETS DE L’ETAT,... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1006 ; cote locale : B_4_3. le 2013-07-16 10:54:47.

dans la possession
d’vne parfaite tranquillité ? Mais a t’il iamais paru
d’effet qui ne fut contraire à toutes ces belles apparences :
Et si tu veux iuger sans aucune preoccupation,
peux tu bien asseurer qu’elle t’ait iamais donné
sujet de receuoir cette creance auec aucune sincerité.   Repasse bien attentiuement par tout le passé, depuis
la naissance de ces desordres iusques auiourd’huy :
tu verras que la Reine n’a parlé de paix que
lors que le party des Princes preualoit par dessus le
sien, & qu’elle a

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Occurrence 476. Orandre, sieur d' /... . LE DEPOSITAIRE DES SECRETS DE L’ETAT,... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1006 ; cote locale : B_4_3. le 2013-07-16 10:54:47.

dessein que celuy de ne cõsentir iamais à
la conclusion de cette Paix. En voicy le raisonnemẽt. Si la Reine consentoit à la conclusion d’vn traitté
de Paix pendant l’absence du C. Mazarin, elle condamneroit
ce sien fauory, & iustifieroit les Princes
dans la creance de tout le monde : Elle se priueroit
de la plus forte batterie qu’elle a contre leur armement,
en faisant voit que le C. Mazarin n’en auroit
point esté le pretexte, puis que dés qu’il auroit esté
esloigné, l’accommodement auroit esté conclu. Les
moins

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Occurrence 477. Orandre, sieur d' /... . LE DEPOSITAIRE DES SECRETS DE L’ETAT,... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1006 ; cote locale : B_4_3. le 2013-07-16 10:54:47.

auroit esté conclu. Les
moins ocules ne douteroient plus que sa seule presence ou la seule apprehension de son retour n’ait
esté les causes de nos troubles, puis qu’incontinent
apres son esloignement on auroit parlé de
Paix : & par cette creance qu’elle feroit receuoir
generalement de tous ses peuples, elle seroit en
estat de ne pouuoir iamais parler de son Mazarin,
qu’auec le danger manifeste d’encourir la haine &
l’indignation publique.   Ainsi ne nous flatons pas d’vne esperance

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Occurrence 478. Orandre, sieur d' /... . LE DEPOSITAIRE DES SECRETS DE L’ETAT,... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1006 ; cote locale : B_4_3. le 2013-07-16 10:54:47.

la Reine leur en
donne de reste, & que s’il ne concluent à la paix
apres ces aduantages, ils sont insatiables : N’est il
pas vray que les amples ne voyent rien plus à demander,
que toute leur politique est espuisée par
cette belle apparence, & que dans leur creance il
ne reste rien à souhaiter à Messieurs les princes que
le Trône & la Couronne. Cependant la Reine qui
leur fera donner tout cela, ne leur donnera rien,
parce qu’elle ne leur donnera point de seureté, &
qu’en leur refusant cela elle leur fera

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Occurrence 479. P. M. L. D. R. [signé]. L’EXACTE RECHERCHE DES DESORDRES que la... (1651) chez [s. n.] à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_20_28 et C_11_20. Référence RIM : M0_1313 ; cote locale : B_10_6. le 2013-02-06 01:52:32.

les fois que leur medisance l’a entrepris auec attachement,
mais les siecles passez n’ont pas encores
veu qu’ils ayent eu assez d’artifice pour tenir
eternellement les esprits dans cette erreur,
quoy qu’on ait peu dans les commencemens adjouster
quelque creance à leurs impostures, déguisées
auec toute sorte d’aparance, si bien que la
verité des choses n’a iamais esté cachée auec tant
de precaution & de soin, qu’elle ne se soit enfin
ouuertement manifestée à nos yeux ; la patience, & la

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Occurrence 480. P. M. L. D. R. [signé]. L’EXACTE RECHERCHE DES DESORDRES que la... (1651) chez [s. n.] à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_20_28 et C_11_20. Référence RIM : M0_1313 ; cote locale : B_10_6. le 2013-02-06 01:52:32.

du mensonge &
de l imposture, puis qu’elles sont si nettes, & si
exemptes de toute sorte de soupçon ; que si la
calomnie osoit entreprendre contre leur sincerité,
elle n’auroit pas neaumoins l’advantage auec
tous ses artifices, de donner quelque creance du
contraire à la foy publique. Cependant les asseurances
que son Altesse Royale donne de la fidelité
de Monsieur le Prince, sont mesprisées à la
Cour, parce qu’elles ne sont pas conformes aux
volontez du Cardinal Mazarin, & l’on y suiura le

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Occurrence 481. P. M. L. D. R. [signé]. L’EXACTE RECHERCHE DES DESORDRES que la... (1651) chez [s. n.] à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_20_28 et C_11_20. Référence RIM : M0_1313 ; cote locale : B_10_6. le 2013-02-06 01:52:32.

dans le seruice du Public, qui n’a jamais pû estre
corrompu ny par promesses, ny par Charges, ny
par richesses ; qui a toûjours deffie la Faction &
les Cabales, de pouuoir censurer la moindre de
ses actions, & qui s’est si bien acquis toute sorte
de creance dans le public, que personne ne peut
douter de la sincerité de ses paroles non plus que
de son zele pour le repos des Peuples, & de sa fidelité
pour le seruice du Roy : Neantmoins les
tesmoignages qu’il rend de la conduite de Monsieur le Prince,

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Occurrence 482. P. M. L. D. R. [signé]. L’EXACTE RECHERCHE DES DESORDRES que la... (1651) chez [s. n.] à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_10_6 et B_20_28. Référence RIM : M0_1313 ; cote locale : C_11_20. le 2013-02-06 01:56:20.

les fois que leur medisance l’a entrepris auec attachement,
mais les siecles passez n’ont pas encores
veu qu’ils ayent eu assez d’artifice pour tenir
eternellement les esprits dans cette erreur,
quoy qu’on ait peu dans les commencemens adjouster
quelque creance à leurs impostures, déguisées
auec toute sorte d’aparance ; si bien que la
verité des choses n’a iamais esté cachée auec tant
de precaution & de soin, qu’elle ne se soit enfin
ouuertement manifestée à nos yeux ; la patience, & la

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Occurrence 483. P. M. L. D. R. [signé]. L’EXACTE RECHERCHE DES DESORDRES que la... (1651) chez [s. n.] à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_10_6 et B_20_28. Référence RIM : M0_1313 ; cote locale : C_11_20. le 2013-02-06 01:56:20.

du mensonge &
de l’imposture, puis qu’elles sont si nettes, & si
exemptes de toute sorte de soupçon ; que si la
calomnie osoit entreprendre contre leur sincerité,
elle n’auroit pas neanmoins l’advantage auec
tous ses artifices, de donner quelque creance du
contraire à la foy publique. Cependant les asseurances
que son Altesse Royale donne de la fidelité
de Monsieur le Prince, sont mesprisées à la
Cour, parce qu’elles ne sont pas conformes aux
volontez du Cardinal Mazarin, & l’on y suiura le

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Occurrence 484. P. M. L. D. R. [signé]. L’EXACTE RECHERCHE DES DESORDRES que la... (1651) chez [s. n.] à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_10_6 et B_20_28. Référence RIM : M0_1313 ; cote locale : C_11_20. le 2013-02-06 01:56:20.

dans le seruice du Public, qui n’a jamais pû estre
corrompu ny par promesses, ny par Charges, ny
par richesses ; qui a toûjours deffié la Faction &
les Cabales, de pouuoir censurer la moindre de
ses actions, & qui s’est si bien acquis toute sorte
de creance dans le public, que personne ne peut
douter de la sincerité de ses paroles non plus que
de son zele pour le repos des Peuples, & de sa fidelité
pour le seruice du Roy : Neantmoins les
tesmoignages qu’il rend de la conduite de Monsieur le Prince,

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Occurrence 485. S. T. F. S. L. S. D. T.. LE POLITIQVE BVRLESQVE DEDIÉ A AMARANTHE.... (1649) chez [s. n.] à Paris , 44 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2810 ; cote locale : C_8_31. le 2013-10-06 11:16:35.


Le pot aux roses est découuert,
Taschez de vous mettre à couuert :
La mine est esuentée,
On lit dans vostre pensée :
Ignorez-vous que les Prouinces,
Sont contre vous, & les Princes,
Qui ont pris vostre deffence,
Au moins c’est vostre creance.
Croyez moy, retirez-vous,
Vous n’aurez plus de jalous,
Vous serez en seureté,
Et viurez en liberté :
Vous pourrez faire grand’chere,
Vous mocquant de la misere,
Mesme auoir des Comediens,
Soit François, ou

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Occurrence 486. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anuers, "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi A_9_9 (partie 1). Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : D_1_14. le 2013-07-22 15:47:33.


Et qu’on tua comme des poux :
Car Chamboy s’estant fait connoistre
Se rendit aisement le Maistre,
Et les prit tous ou les tua,
Comme vn second Gargantua.   10. Mars.  
Le Ieudy vint à l’audience
Auec des lettres de creance
Que dans sa poche il apporta,
Vn Deputé que deputta
Monsieur le Duc de la Trimoüille
Qui voulant empescher la roüille
De son courage Martial,
Monté dessus son grand cheual
Pour le secours de nostre ville,
Auoit leué prés de trois

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Occurrence 487. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anuers, "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi A_9_9 (partie 1). Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : D_1_14. le 2013-07-22 15:47:33.

fut sans debit :
Et l’on pensa chanter l’hobit
De Lybrahim, de Polexandre,
De Cleopatre & de Cassandre,
Auec celuy de leurs Autheurs.
Leurs Libraires & leurs Lecteurs.
Le Sermon n’eut plus d’audience :
Le charlatan plus de creance :
L’Hostel de Bourgogne ferma :
La Trouppe du Marais s’arma,
Iodelet n’eut plus de farine
Dont il peust barbouiller sa mine :
Les Marchez n’eurent plus de pain,
Et chacun plus ou moins eut faim :
Mais si-tost que par sa

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Occurrence 488. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anvers; "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi D_1_14 (partie 1). Dans Choix II de Moreau.. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : A_9_9. le 2013-07-22 15:50:23.


Et qu’on tua comme des poux :
Car Chamboy s’estant fait connoistre
Se rendit aisement le Maistre,
Et les prit tous ou les tua,
Comme vn second Gargantua.   10. Mars.  
Le Ieudy vint à l’Audience
Auec des lettres de creance
Que dans sa poche il apporta,
Vn Deputté que deputta
Monsieur le Duc de la Trimoüille
Qui voulant empescher la roüille
De son courage martial,
Monté dessus son grand cheual
Pour le secours de nostre ville,
Auoit leué prés de

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Occurrence 489. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anvers; "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi D_1_14 (partie 1). Dans Choix II de Moreau.. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : A_9_9. le 2013-07-22 15:50:23.

fut sans debit :
Et l’on pensa chanter l’obit
De Lybrahim, de Polexandre,
De Cleopatre & de Cassandre,
Auec celuy de leurs Autheurs,
Leurs Libraires, & leurs Lecteurs.
Le Sermon n’eut plus d’audience :
Le charlatan plus de creance :
L’Hostel de Bourgogne ferma :
La Trouppe du Marais s’arma ;
Iodelet n’eut plus de farine
Dont il peust barboüiller sa mine :
Les Marchez n’eurent plus de pain,
Et chacun plus ou moins eut faim :
Mais si tost que par sa

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Occurrence 490. Saint-Julien,? [?]. LE NEVFIESME COVRRIER FRANCOIS, TRADVIT... (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 11 pages. Langue : français. Partie 9 de 12. Voir Pièces de C_2_42_01 à C_2_42_12. Référence RIM : M0_2848 ; cote locale : C_2_42_09. le 2013-02-12 14:41:14.

charrois
Commandement fait au Bourgeois
D’empescher cette griboüillette
Qui des charrettes seroit faite,
De courir sus, & d’estriller
Ceux qui voudroient ainsi piller.    
Ce iour parut à l’audience
Auecque lettre de créance
Que dans ses poches il auoit,
Vn Gentil-homme qu’enuoyoit
Monsieur le Duc de la Trimoüille
Qui voulant empescher la roüille
De son courage Martial,
A monté sur son grand cheual
Pour le secours de nostre Ville,
Et fait desia prés

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Occurrence 491. Saint-Julien,? [?]. LE QVATRIESME COVRRIER FRANÇOIS, TRADVIT... (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 16 pages. Langue : français. Partie 4 de 12. Voir Pièces de C_2_42_01 à C_2_42_12. Référence RIM : M0_2848 ; cote locale : C_2_42_04. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-12 14:25:25.

portez les deniers Royaux
Des Tailles & des droits qu’on leue
Tant qu’vn autre ordre les releue.    
Apres auoir leu ces Arrests,
La Cour voyant les interests
Qu’elle auoit d’instruire la France
Et sçachant le peu de créance
Que donnoient les Courriers communs,
Choisit de son corps quelques-vns
Iusqu’à six, qu’il luy plût commettre
Pour escrire & receuoir lettre
Par le païs de tous costez
Où leurs pacquets seront portez.    

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Occurrence 492. Sipois, Cermier de (P. A. N.)... . LETTRE DV SIEVR CERMIER DE SIPOIS, A... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Signature au colophon. Voir aussi A_5_87. Référence RIM : M0_2198 ; cote locale : C_3_49. le 2013-02-19 11:13:44.

s’en seruir contre
son frere Charlemagne : Et comme son ambition iaiou
se le poussoit à entre prendre contre luy, aussi se seruoit
il de l’auare ambition de Hunault, sous l’appas du
reuenu de Guienne, le voyant en humeur de s’en faire
Duc, estimant auoir assez de creance enuers les peuples,
pourueu qu’il fut fauorisé de l’vn des Roys de France
contre l’autre. Or la Guienne estoit du partage de
Charlemagne ; Hunault iette donc les fondemens de son dessein, pour se soustraire entierement de la Couronne
de France,

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Occurrence 493. Sipois, Cermier de (P. A. N.)... . LETTRE DV SIEVR CERMIER DE SIPOIS, A... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Signature au colophon. Voir aussi C_3_49. Référence RIM : M0_2198 ; cote locale : A_5_87. le 2013-02-19 11:18:32.

s’en seruir contre
son frere Charlemagne: Et comme son ambition ialouse
le poussoit à entreprendre contre luy, aussi se seruoit-il
de l’auare ambition de Hunault, sous l’appas du
reuenu de Guienne, le voyant en humeur de s’en faire
Duc, estimant auoir assez de creance enuers les peuples,
pourueu qu’il fut fauorisé de l’vn des Roys de France
contre l’autre. Or la Guienne estoit du partage de
Charlemagne; Hunault iette donc les fondemens de son dessein, pour se soustraire entierement de la Couronne
de France,

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Occurrence 494. A. D.. LES MOTIFS QVI ONT EMPESCHÉ LA PAIX jusques... (1652) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2508 ; cote locale : B_16_46. le 2014-02-19 15:26:36.

les esprits de ses peuples, & ne
pourra les conseruer dans les termes du respect,
& de l’obeïssance qu’ils luy doiuent, iusques
à ce qu’elle leur fasse voir qu’elle a pris
elle mesme en main le gouuernail de son
Estat ; & iamais ils n’auront cette creance, tant
qu’ils verront la Reine vostre Mere aupres de
vous, laquelle ils croiront tousiours vous inspirer
tous ses sentimens, & la volonté de les
suiure comme à l’ordinaire ; quoy que preiudiciables
à vostre Couronne. Il faut, SIRE,
pour remedier à

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Occurrence 495. A. D.. LES MOTIFS QVI ONT EMPESCHÉ LA PAIX jusques... (1652) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2508 ; cote locale : B_16_46. le 2014-02-19 15:26:36.

opiner pour sa
conseruation, conjoinctement auec les creatures
du Cardinal Mazarin, qui ne peuuent
maintenir leur fortune, qu’en maintenant l’vsurpation
qu’il a faite de vôtre athorité Royale,
& en circonuenant la ieunesse de Vostre
Maiesté par la creance que leur artifice luy
donne qu’ils sont ses fideles seruiteurs, en méme-temps
qu’ils font toutes les actions necessaires
pour luy oster de la main le Sceptre de
ses ayeuls ? N’est-ce pas, SIRE, vne effronterie
insuportable à ces pretendus bons

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Occurrence 496. Anonyme. ADVIS A M. LE CARDINAL MAZARIN, Sur le sujet... (1649) chez Alliot (Gervais), Langlois (Jacques) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin, italien. Avec permission.. Référence RIM : M0_475 ; cote locale : A_2_10. le 2014-11-30 13:41:04.

on vous cognoist parfaitement, on est
bien informé que toutes vos maximes ne sont que
fourbes & intrigues; vostre Marchãdise quoy que
parfumée des soüilleures de vostre païs est éuẽtée:
vous estes decrû, & ce qui s’est passé vous a fait perdre
toute creance: vos partisans les plus passionnez
se trouuent empeschez pour eux-mesmes: & quãd
ils feroient ce qu’ils ont proietté, qui sera difficile,
asseurez vous que les peuples ne se trahiront iamais,
& que vous y perirez. Croyez moy, Mõsieur,
retirez vous

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Occurrence 497. Anonyme. ADVIS AVX PARTISANS, MALTOTIERS, MONOPOLEVRS... (1650) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français. Voir aussi, avec une préface, [M0_1059] de 1649.. Référence RIM : M0_493 ; cote locale : A_9_30. le 2014-11-30 13:31:23.

roder, courir autour, & dans les
Villes, ruës, places, foires, marchez, hostelleries,
tauernes, cabarets, berlans, reduits, bordeaux, &c.
faisans, chercher ou cherchans, à guise de lyons rugissans,
quelqu’vn pour deuorer. Mais ce qui surpasse
encore toute creance, est qu’on leurs void plus de
mains que Briarée, ce qui est dit (si l’on veut en autre
sens) pour leurs Commis, facteurs, emissaires,
factotons, mouchars, espions, &c. qualisiez par l’Orateur
Romain auec non moins d’elegance que de
proprieté, en

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Occurrence 498. Anonyme. ADVIS AVX PARTISANS, MALTOTIERS, MONOPOLEVRS... (1650) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français. Voir aussi, avec une préface, [M0_1059] de 1649.. Référence RIM : M0_493 ; cote locale : A_9_30. le 2014-11-30 13:31:23.

voloit tousiours
quelque chose de ce sacré depost que Nostre Seigneur
luy avoit mis confidemment entre les mains. Aussi
iront-ils avec luy en ce lieu tenebreux, où il y a pleurs
& grincemens de dents: & il m’a esté asseuré par gens
d’authorité, dignes de creance, & qui ont beaucoup
de credit en l’autre monde, qu’vn Partisan voulut
dernierement forcer les portes de Paradis (comme
tels gens sont insolens, choleres, prompts, & veulent
tout emporter de haute lutte), mais Monsieur S.
Pierre qui la gardoit luy bailla

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Occurrence 499. Anonyme. ADVIS IMPORTANT, DONNÉ à MONSEIGNEVR LE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 19 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_519 ; cote locale : B_20_31. le 2014-12-06 14:40:48.

mais enfin l’armement de ce Ministre son
retour aupres de la personne du Roy, la desolation
& ruine entiere de la France, nous a fait paroistre
que vous estiez infaillibles en vos oracles. Aussi
par cette infallibilité vostre Altesse s’est acquis tant
de creance parmy les peuples que vous pouuez
disposer de tout ce qui est en leur pouuoir pour
poursuiure cét Ennemy commun. Pour ne point rappeller la memoire des choses
passées, tout ce qui s’est fait & pratiqué depuis
trois ans, vous monstre clairement

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Occurrence 500. Anonyme. ADVIS Pressant & necessaire donné AVX... (1652) chez Heulin (Pierre) à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi B_20_45. Référence RIM : M0_531 ; cote locale : B_6_19. le 2014-12-02 15:28:49.

la sans passion
& auec vn esprit des interessé. Examinez serieusement
dans vos entretiens, la demande qu’elle
fait de la Bastille & de l’Arsenal pour y venir loger.
Et considerez meurement s’il n’est pas vray que
cette demande iustisie manifestement la creance
qu’on vous a voulu faire auoir de ses peruerses intentions. La Cour demande la Bastille & l’Arsenal pour
y venir loger: O Dieu que la proposition en est
horrible: Et si quelque conquerant estranger s’estoit
saisi de Paris par la force, n’est ce pas

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