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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(244 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "m[uv]tin.*" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 1. Anonyme. DE LA GVERRE DES TABOVRETS, LIVRE SECOND.... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Partie 2. Voir aussi A_2_58 (partie 1), C_5_32 (partie 1) et D_2_34 (partie 1). Référence RIM : M0_1525 ; cote locale : C_4_2. Texte édité par Site Admin le 2012-05-27 03:13:37.

argument
Qui n’est iamais sans fondement
On abandonna la partie,
Quand bien vous n’auriez pas le droict,
Crainte de vostre repartie
Que quelque punais attendroit.    
Faites hardimenr du desordre :
Fussiez vous encore plus mutins,
Vous pouuez bien estre certains
Qu’aucun ne vous oseroit mordre
Aux demeslez que vous auez
Quelque sot y mettroit le nez,
Chacun le retire ou le bouche,
Chacun à vos premiers accens
Si tost que vous ouurez la bouche
Dit, ne parlez

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Occurrence 2. Anonyme. EXPOSITION ET EXPLICATION DES DEVISES,... (1649) chez Estienne (Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_1336 ; cote locale : C_7_83. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-10-20 09:35:58.

point qu’il ne les ait conduites dans
leur Royaume. Si le peuple n’estoit retenu de l’authorité
des plus grands, aussi tost qu’ils verroient leur Prince
esloigné d’eux, leur affection s’altereroit, & seroient capables
de quelque émotion ; mais il n’y a si mutin ny
obstiné, qui reuoyant la face de son Roy, ne commence
à l’aimer d’auantage, & ne se rende tres-affectionné à
executer ses commandemens, tant cet amour a pris de
puissantes racines dans le cœur des François.   La troisiesme est vne Aurore qui

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Occurrence 3. Anonyme. FACTVM CONTENANT LES IVSTES Deffenses des... (1649) chez Pépingué (Edme) à Paris , 35 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1360 ; cote locale : A_4_2. Texte édité par Site Admin le 2012-10-21 03:39:56.

qui a esté le fondement de toutes les societez legitimes,
c’est cette alliance mutuelle, que tous les hommes ont
recherchée, qui a formé les estats & qui les a si heureusement
maintenus. Ce n’est donc pas vn attentat à la seureté publique
vne assemblée de mutins & de seditieux, comme leurs aduersaires,
& ceux qui tremblent par leur propre poids, ont voulu malicieusement
persuader. Et partant les demandeurs ne doubtent point que la Cour ne
condamne ces artifices pernicieux, & qu’elle n’authorize par
son

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Occurrence 4. Anonyme. GALIMATIAS BVRLESQVE SVR LA VIE DV CARDINAL... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 18 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1463 ; cote locale : B_12_54. le 2012-10-26 07:47:21.

armes prise,
Cardinal en chioit de peur,
Tant grande il voyoit la rumeur,
Et tant craignoit que sa furie,
Ne tombast sur sa fripperie,
Comme en effet bien luy seruit,
Car peu s’en falut qu’il ne vit,
Apres sa chienne de carcasse,
Cette mutine populace,
Qui le couroit comme vn chien fou,
Ou comme quelque loup garou.    
Qu’il doit vne belle chandelle,
A qui luy porta la nouuelle,
Que le Peuple auoit r’engainé,
Et que Diable estoit r’enchainé,
Car

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Occurrence 5. Anonyme. HARANGVE A LA REYNE, PAR MESSIEVRS LES... (1649) chez Sevestre (Pierre) à Paris , 12 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1539 ; cote locale : A_4_14. le 2012-10-27 09:16:22.

qui induites sous l’auctorité Royale
qu’ils vsurpent par cet inhumain aueuglé de fureur
qu’il exerce sur le pauure peuple, dit & fait ce que
fist vn ancien tyran. Pereant amici modo pereant inimici,
& agit de la sorte que fit autres fois THEODOZE
par sa mutinerie, faisant mettre a feu & à sang
toute la ville de Tessalonique, ce fut de la que les
inuectiues n’aquirent, les foudres les mutineries des
peuples, & les menaces de S. Ambroise iusques à
ce qu’il eust imité par sa penitence celuy duquel il
auoit

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Occurrence 6. Anonyme. HARANGVE A LA REYNE, PAR MESSIEVRS LES... (1649) chez Sevestre (Pierre) à Paris , 12 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1539 ; cote locale : A_4_14. le 2012-10-27 09:16:22.

fait ce que
fist vn ancien tyran. Pereant amici modo pereant inimici,
& agit de la sorte que fit autres fois THEODOZE
par sa mutinerie, faisant mettre a feu & à sang
toute la ville de Tessalonique, ce fut de la que les
inuectiues n’aquirent, les foudres les mutineries des
peuples, & les menaces de S. Ambroise iusques à
ce qu’il eust imité par sa penitence celuy duquel il
auoit suiuy les traces en son peché, c’est en cela que
celuy-cy triomphe de n’auoir point de raison, c’est
le foudre qui fracasse, c’est le

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Occurrence 7. Anonyme. HARANGVE PRONONCÉE LE 9. Auril 1651. SVR LA... (1651) chez Pont (Pierre du) à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1611 ; cote locale : D_1_42. le 2012-11-02 15:12:21.

que les hommes d’Estat demandent d’vn homme employé
aux grandes affaires, il n’y à personne qui ne sçache auec qu’elle
adresse il a moyenné la paix à la France, & auec quel courage
il s’est porté dans toutes les occasions, ou contre des populaces
mutinées, où contre des grands entreprenans quelque
chose, tant contre l’authorité Royale, que contre l’honneur
du corps duquel il est le Chef, & contre le repos des peuples. Il ne faut pas que les Roys prennent pour Conseillers des ieunes
gens sans experience &

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Occurrence 8. Anonyme. HARANGVE PRONONCÉE LE 9. Auril 1651. SVR LA... (1651) chez Pont (Pierre du) à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1611 ; cote locale : D_1_42. le 2012-11-02 15:12:21.

& si
alienano sem.
pre più, &c.
Botero, della
rag, dist, l 2. C’est donc ainsi que la vertu de Monsieur le premier President,
est vne vertu veritablement populaire : car les vertus
populaires ne sont pas celles qui accordent aux populaces
mutines tout ce que leurs humeurs seditieuses leur faict, vouloir : Il arriue souuent que les peuples demandent auec chaleur
ce qui leur est le plus nuisible ; il appartient à la sagesse
discrette de ceux qui gouuernent de discerner les veritables
interests des

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Occurrence 9. Anonyme. LA FRANCE AFFLIGEE, Parlant & respondant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1417 ; cote locale : B_3_19. Texte édité par Site Admin le 2012-11-19 10:29:00.

l’ardeur qui l’anime,
Nous rend tous criminels, pour excuser son crime,
Et reiette sur nous l’iniuste chastiment,
Que son cher Mazarin merite iustement :
Ie sçay que cet ingrat, cause nostre ruine :
Mais en vain, contre luy, tout Paris se mutine,
Sa vie est vn tresor vtille aux factieux,
Aucun ne veut respandre vn sang si precieux,
On se plaist à le voir viuant dans l’infamie,
Triompher au milieu de la force ennemie ;
C’est vn autre Cayn, dont on maudit le sort,
Mais que nul ne veut

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Occurrence 10. Anonyme. LA FRANCE AFFLIGEE, Parlant & respondant... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1417 ; cote locale : B_3_19. Texte édité par Site Admin le 2012-11-19 10:29:00.

me faut surmonter,
Font que d’aucun espoir ie ne m’ose flater,
Dans vn si grand dessein, ma plus grande finesse,
Est de marcher couuert, & d’intriguer sans cesse,
Par ce chemin obscur, si j’arriue a mes fins,
Ie sçauray promptement appaiser les mutins :
Mais enfin, il faudra que par vn heureux change,
Le Noble & le Bourgeois, dessous mes loix se range :
L’Esprit des Cardinaux, en vn mot est le mien,
François, iugez de là, s’il peut faire du bien.   La France, au Coadjuteur.

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Occurrence 11. Anonyme. LA FRANCE AVX FRONDEVRS, PREMIERE ELEGIE. (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Voir aussi B_19_28. Référence RIM : M0_1420 ; cote locale : B_19_25. le 2012-11-22 06:02:50.

estre encore sa victime
O d’vn diuin amour effet prodigieux !
Les forfaits à la fin le chassent de ces lieux ;
La nuit presque aussi tost sans Lune & sans Estoilles,
Pour separer ce peuple estend ses sombres voiles ;
Et pour croistre l’effort des mutins irritez
La fureur dans leurs yeux fait briller des clairtez
Enfin las du massacre, & de ces cris funebres
Qui volent iusqu’au Ciel dans l’horreur des tenebres
Chacun dans le remors, la tristesse & l’effroy,
Pour prendre son repos se retire

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Occurrence 12. Anonyme. LA FRANCE AVX FRONDEVRS. PREMIERE ELEGIE. (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Voir aussi B_19_25. Référence RIM : M0_1420 ; cote locale : B_19_28. Texte édité par Patrick Rebollar le 2012-11-22 06:05:20.

estre encore sa victime ?
O d’vn diuin amour effet prodigieux !
Les forfaits à la fin le chassent de ces lieux ;
La nuit presque aussi tost sans Lune & sans Estoilles,
Pour separer ce peuple estend ses sombres voiles ;
Et pour croistre l’effort des mutins irritez
La fureur dans leurs yeux fait briller des clairtez :
Enfin las du massacre, & de ces cris funebres
Qui volent iusqu’au Ciel dans l’horreur des tenebres,
Chacun dans le remors, la tristesse & l’effroy,
Pour prendre son repos se retire

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Occurrence 13. Anonyme. LA FRANCE VICTORIEVSE AV ROY, OV... (1649) chez Dupont (Pierre) à Paris , 32 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_1446 ; cote locale : C_5_20. le 2012-11-25 13:58:29.

est la Paix, la seconde l’Eloquence, la troisiesme
la Fortune & la quatriesme la Renommée.   La Paix, grand Roy, m’a tellement aymée de tout
temps, qu’elle n’a iamais abandonné le Palais de ma gloire,
malgré les troubles & les brouilleries de quelques mutins
& seditieux, qui ne sont pas venus à bout de leurs mauuais
desseins ; Sans cette aymable Fille du Ciel, la beauté de
mes par-terres seroit flestrie, mon Soleil seroit en son couchant,
mon iour plein de tenebres, mon visage bazané &
mon corps si changé,

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Occurrence 14. Anonyme. LA GVERRE DES MENARDEAVX, OV LA FAMEVSE... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 24 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1524 ; cote locale : B_14_8. le 2012-11-30 10:17:59.

mince,
Et dont l’œil est assez hardy,
Dist-il est auiourd’huy Mardy,
Vendredy la paix sera faite
Puis que tout Paris le souhaite,
Il faut contenter son ardeur :
Ce fut autant pour le brodeur :
Mais ainsi les Princes entrerent,
Et les mutins se cantonnerent
Mon Dieu qu’il les fa soit beau voit
Vestus de blanc, de gris, de noir,
Iurans par saint Iean, par S George,
Qu’ils couperoient a tous la gorge
S’ils n’estoient bien tost satisfaits,
Et demandans la paix, la paix,
En

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Occurrence 15. Anonyme. LA GVERRE DES MENARDEAVX, OV LA FAMEVSE... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 24 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1524 ; cote locale : B_14_8. le 2012-11-30 10:17:59.

nous garderons bien sans vous,
Repartirent ces insulaires ;
Ce ne furent plus que coleres
Et que fureur des deux costés,
Dont les Menardeaux transportez,
Crierent soudain, tuë, tuë,
Ayant ouy parmy la ruë
Quelques miserables mutins
Qui les nommerent Mazarins :
Mais aux premiers coups qu’ils tirerent
Quelques bons Anges s’opposerent,
Et firent que portant trop haut,
Ils ne blesserent qu’vn maraut.
Ie vous laisse à iuger du trouble,
Aussi-tost le combat

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Occurrence 16. Anonyme. LA GVERRE DES MENARDEAVX, OV LA FAMEVSE... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 24 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1524 ; cote locale : B_14_8. le 2012-11-30 10:17:59.


Ils ont occis, mais qui ? des imprudents
Qui se montroient à la Bataille ardens,
Et qui de rage & de passion blesmes,
Dans leur transport se sont tuez eux mesmes,
Que si pourtant leur glaiue a merité
Qu’on se vengeast leur temerité,
Si ces mutins eurent trop d’insolence
L’employ de Mars causa leur violence,
Et leur remords enfant de leurs courrous,
Pour les punir, peut icy plus que vous.    
Ne vous mõstrés donc point d’vn nouueau sang auides
Scachant que la raison, qui

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Occurrence 17. Anonyme. LA HARANGVE DV ROY DE LA GRAND BRETAGNE, A... (1652) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1560 ; cote locale : B_4_6. le 2012-12-04 14:48:27.

tout vostre
peuple se verra couché dans le Tombeau ? A qui commenderés-vous,
lors qu’il n’i aura personne qui vous
veule obeïr, où s’ils en ont la volonté qu’ils n’en aye
pas le pouuoir ? Tout vostre peuple souffre, il y à danger
qu’il ne se mutine & qu’il ne vous rende la pareille
Vous le deuez consoler en appaisant vostre couroux :
Vous le pouuez laisser viure en luy octroyant la Paix
Dans Paris, & par tout vostre Royaume, l’on ne demande
autre chose, i’espere que vostre bonté leur
octroyera,

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Occurrence 18. Anonyme. LA HECATOMBE PROPHETIQVE, OV LES CENT... (1652) chez Lormeau (Laurence) à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1620 ; cote locale : B_13_71. Texte édité par Site Admin le 2012-12-04 15:59:42.

par elle,
Et hors de sentiment de nos humains trauaux,
Sont les corps enchassez aux funestes tombeaux.   Centurie.  
En vain celuy va contre le destin,
Qui dit de l’vn voulant faire de l’autre,
En vain fait il le meschant & mutin,
On le connoist pour vn treisiesme Apostre.   Centurie.  
Quand l’on contera soixante & vnze & trois,
Vn cas subtil l’on verra admirable,
D’vn fauory vn grand Roy fera choix,
En l’esleuant aux charges honorable.

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Occurrence 19. Anonyme. LA MERCVRIADE, OV L’ADIOVRNEMENT PERSONNEL... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2456 ; cote locale : C_4_55. le 2012-12-10 10:03:40.

m’eut bientost accordé.
Vrayment, ce dit-il, c’est grand honte
Qu’vn homme fasse peu de compte
De la nature & de ses loys,
Et qu’il mette tout aux abbois
Sans gardes ny droit ny iustice,
Et de faire par sa malice
Que les Peuples soient mutinez,
Et par ce moyen ruinez,
Que les bons ayent des allarmes,
Que les meschans prennent les armes,
Non pas tant pour se maintenir,
Pour se d fendre & se munir
Que pour le vol & le pillage,
Qu’on ne parle que de carnage,

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Occurrence 20. Anonyme. LA MORT FVNESTE DV CARDINAL MAZARIN AVEC SON... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2497 ; cote locale : C_11_11. Texte édité par Site Admin le 2012-12-16 14:16:15. ont de regarder ses maux,
Et comme Concini deschire par Lambeaux,
Il ne restera rien de luy que ses images.    
On entendra les femmes mutinees,
Comme celles de Thrace aux Festes de Bacchus,
Auec des hurlemens courir mesme dessus
Ces Mancinis pour des Roys destinees ;
Ces Reynes du Theatre, & ce Prince du hoc :
Mancini mancinique auront leur dernier choc,
Et la posterité verra dans

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Occurrence 21. Anonyme. LA REVNION DES ESPRITS (1649) chez Noël (François) à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_9_84. Référence RIM : M0_3535 ; cote locale : A_8_3. le 2012-12-28 13:44:43.

dont nos ennemis le menassent. Quoy
que cette haine soit pretieuse, quoy que
cette perte soit irreparable tout le Parlement
la demande pour conseruer vn Empire à son
Souuerain, dont l’innocence ne doit pas estre
punie des mauuaises volontez de quelques
mutins. Mais si la necessité publique ne veut
pas cette resolution de leur zele, & qu’ils
puissent à moins de frais s’acquitter de leur
deuoir, ie n’estime pas qu’on leur reproche
iamais, qu’ils ayent manqué à ce que la Patrie
attend de leur pieté. Ils

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Occurrence 22. Anonyme. LA REVNION DES ESPRITS. (1649) chez Noël (François) à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_8_3. Référence RIM : M0_3535 ; cote locale : C_9_84. le 2012-12-28 13:46:23.

dont nos ennemis le menassent. Quoy
que cette haine soit pretieuse, quoy que
cette perte soit irreparable tout le Parlement
la demande pour conseruer vn Empire à son
Souuerain, dont l’innocence ne doit pas estre
punie des mauuaises volontez de quelques
mutins. Mais si la necessité publique ne veut
pas cette resolution de leur zele, & qu’ils
puissent à moins de frais s’acquitter de leur
deuoir, ie n’estime pas qu’on leur reproche
iamais, qu’ils ayent manqué à ce que la Patrie
attend de leur pieté. Ils

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Occurrence 23. Loret, Jean [?]. LA CINQVIESME GAZETTE DV TEMPS. EN VERS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français. Partie 5 sur 8. Ensemble de B_18_23 à B_18_30.. Référence RIM : M0_1471 ; cote locale : B_18_27. le 2012-11-03 15:20:04.

tantost la Cour
O fille excellente & diuine
Dont la voix & la grande mine
Te font aymer en tout lieu
Ie te dis mile fois a dieu
Ie croy qu’aux climats de neptune
Tu ne couras nule fortune
Car si les vents, ou flots mutins
Vouloient faire illec les badins
Tes chants, tes appas, ton visage
Auroient bien tost calme l’orage    
Condé, dont le nom iour & nuict
Malade ou sain faict tant de bruict
N’est plus si vif, si dru, si miéure
Car a

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Occurrence 24. Molé, Mathieu. HARANGVES FAITES A LA REYNE REGENTE. PAR... (1649) chez [s. n.] à Paris , 4 pages. Langue : français. Voir aussi A_4_22 et B_4_1. Référence RIM : M0_1614 ; cote locale : C_5_37. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-11-03 01:43:50.

nous n’oserions
dire à Vostre Maiesté. Il n’est plus temps, Madame, de consulter vostre
politique & vostre raison ; le Peuple n’en a point. Ie ne sçay si on ne vous
trompe point, Madame, & si on vous a dit l’Estat où est vostre Royaume,
& vostre Ville de Paris : Le mal est si grand, qu’il est presque sans remede.
l’apprehende, que Vostre Maieste ne soit obligée d’accorder à la force, & à
la mutinerie du Peuple, ce qu’elle refuse à la tres-humble supplication du
Parlement.

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Occurrence 25. Molé, Mathieu. HARANGVES FAITES A LA REYNE REGENTE. PAR... (1649) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Voir aussi B_1_4 et C_5_37. Référence RIM : M0_1614 ; cote locale : A_4_22. Texte édité par Site Admin le 2012-11-03 01:41:21.

dire à Vostre Majesté.
Il n’est plus temps, Madame, de consulter vostre politique
& vostre raison, le Peuple n’en a point. Ie ne sçay
si on ne vous trompe point, Madame, & si on vous a dit
l’Estat où est vostre Royaume & vostre Ville de Paris, le
mal est si grand qu’il est presque sans remede. I’apprehende
que Vostre Maiesté ne soit obligée d’accorder à la force
& à la mutinerie du peuple, ce qu’elle refuse à la tres-humble
supplication du Parlement.  

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