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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(570 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "intri[gq].*" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 1. Anonyme. ADVERTISSEMENT A COHON, EVESQVE DE DOL ET DE... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français, latin. Jouxte la copie imprimée à Douai.. Référence RIM : M0_444 ; cote locale : A_2_17. le 2012-12-02 09:15:55.

vous ne le sçavez, nous vous apprenons,
qu’il est fils d’vn petit Commissionaire de Sicile, qui a fait
banqueroute plusieurs fois, qu’il a este piqueur & postillon,
en vn mot, valet du feu Cardinal de Richelieu, & par luy
employé aux courses ordinaires; par ses intrigues & par ses
charmes il est parvenu au Cardinalat, & tost apres le decez
du Roy, il a gagné par art magique les bonnes graces d’vne
Reyne Regente, & est aujourd’huy le premier Ministre de
son Erat, à la veuë & au sceu de deux des premiers Princes

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Occurrence 2. Anonyme. ADVERTISSEMENT AVX BOVRGEOIS DE PARIS, POVR... (1652) chez [s. n.] à Paris , 6 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_451 ; cote locale : B_11_28. le 2012-12-02 09:18:26.

Le Cardinal Mazarin n’estoit
pas mesme dez sa jeunesse assez
noircy de vices, il ne luy restoit
plus que la Magie, dont il est infecté,
pour le rendre le plus abominable
criminel qui fut iamais au monde.
Ses frequentes communications
& ses intrigues auec celle que l’on
nomme la Petite Mere de la Place
Royale, accusée de ce malheureux
crime, en sont des preuues suffisantes,
que l’on peut voir dedans son
procez, qui est encore entre les
mains de Monsieur Barillon, dont
il n’y a que cinq ou six

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Occurrence 3. Anonyme. ADVERTISSEMENT DONNÉ A MONSIEVR LE PRINCE... (1652) chez Halline (Gilles de) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M2_33 ; cote locale : B_7_35. Texte édité par Morvan Perroncel (La page 4 est illisible (trop sombre, encrage défectueux, etc.). Il conviendrait d'en récupérer le texte sur un autre exemplaire.). le 2012-12-02 09:28:49.

eu
que des pierres & des bestes sauuages qui s’y soient amusées.
Vous sçauez donc le nom de ce Champion, le naturel vous
en est donné à entendre, ses charmes vous sont enseignez :
Ce n’est qu’vn Patrocle sous les armes d’Achilles, duquel ie
deueloperay les intrigues, non point par solutions captieuses,
mais par les secrets de la pure verité.   Et pour n’entrer en cette dispute auec auantage, ie demeureray
d’accord, ô Gaullois, de toutes vos maximes : Que
les guerres sont l’entiere ruïne des peuples, ceux qui se

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Occurrence 4. Anonyme. AVIS SINCERE DV MARESCHAL DE L’HOSPITAL,... (1652) chez Hardy (Guillaume) à Paris , 17 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_545 ; cote locale : B_2_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-04-20 02:34:08.

Monarchie.   Il faut que i’auoüe sincerement à V. M. que ie
m’estois tousiours persuadé qu’il ne me seroit pas trop
difficile, de disposer les Esprits des Parisiens à souffrir
le C. Mazarin, & l’asseurance que i’auois qu’il n’estoit
point d’intrigue, qu’on ne fit iouër par mes ordres,
pour faire plus heureusement reussir ce dessein,
au gré de ses souhaits, me fortifioit d’autant plus dans
cette creance, que plus ie voyois de disposition à tenir
les Parisiens dans l’erreur, par le moyen des artifices,

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Occurrence 5. Anonyme. AVIS SINCERE DV MARESCHAL DE L’HOSPITAL,... (1652) chez Hardy (Guillaume) à Paris , 17 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_545 ; cote locale : B_2_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-04-20 02:34:08.

que ie leur
donnois d’vne fausseté bien déguisée, laquelle surprenant
l’auidité ou les premieres idées de leurs attentes,
les metroit à l’espreuue de la verité qui leur
estoit, puis apres déduite par la fidelité des autres narrations. Cette intrigue ne me rei ssissoit pas trop mal-heureusement,
en suite de l’authorité que V. M. m’auoit donnée,
pour supposer des letres de cachet selon les conionctures
que les reuolutions des temps en pourroit
faire naistre: Et comme le nom de V. M. quelque indeferant
que

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Occurrence 6. Anonyme. AVIS SINCERE DV MARESCHAL DE L’HOSPITAL,... (1652) chez Hardy (Guillaume) à Paris , 17 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_545 ; cote locale : B_2_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-04-20 02:34:08.

auec le Duc de Lorraine n’estant
cimenté que de simples esperances, il ne seroit
que trop facile de l’éluder, si nous luy pouuions faire
esperer des effets plus fauorables, par l’entremise de
ceux que nous auons estably pour estre comme les
intendans de toutes nos intrigues. Ce dessein ne nous a reüssi, que comme nous l’auions
premedité: le Coadiuteur, la Cheureuse, & le
Roy d’Angleterre ont si heureusement trauaillé à la
trahison du Duc de Lorraine, que lors mesme que les
Princes en attendoiẽt vn notable secours,

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Occurrence 7. Anonyme. AVIS SINCERE DV MARESCHAL DE L’HOSPITAL,... (1652) chez Hardy (Guillaume) à Paris , 17 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_545 ; cote locale : B_2_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-04-20 02:34:08.

& le
Roy d’Angleterre ont si heureusement trauaillé à la
trahison du Duc de Lorraine, que lors mesme que les
Princes en attendoiẽt vn notable secours, pour acheuer
de renuerser la fortune du C. M. ils en ont appris
la deffection pratiquée secrettement par nos intrigues: & ce reuers impreueu les a tellement affoiblis,
qu’ils n’ont plus semble deuoir estre capables de parer
à nos coups, à moins qu’abusant de l’auantage que
nous en pouuions tirer, nous n’en fissions auorter les
esperances, par la

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Occurrence 8. Anonyme. AVIS SINCERE DV MARESCHAL DE L’HOSPITAL,... (1652) chez Hardy (Guillaume) à Paris , 17 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_545 ; cote locale : B_2_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-04-20 02:34:08.

de ce bel auantage
pour l’execution de tous ses desseins. Nous auõs
vigoureusement trauaille à nous en preualoir: Nous
auons fait considerer à tous nos amis, qu’il estoit tẽps
de reueiller nos premiers vigueurs, de faire agir plus
vigoureusement toutes nos intrigues; que nos troupes
estoient de beaucoup plus nombreuses que celles
des Princes; que nostre faction estoit en estat de
pouuoir plus hardiment leuer la teste dans Paris; &
que si nous laissions échapper cette occasion sans en
tirer aduantage, il ne falloit plus

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Occurrence 9. Anonyme. AVIS SINCERE DV MARESCHAL DE L’HOSPITAL,... (1652) chez Hardy (Guillaume) à Paris , 17 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_545 ; cote locale : B_2_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-04-20 02:34:08.

capacité pour nous en
preualoir. Ces considerations ont réueillé les esprits les plus
assoupis. Nous n’auons commis à la garde des portes
que des Capitaines de nostre cabale & ie puis bien
me vanter, SIRE, que i’ay principalement tenu les
mains à cét intrigue, coniointement auec le Preuost
des Marchands, parce que i’ay creu qu’il estoit important de ne s’y endormir point, pour faciliter la necessité
que la Cour auoit de venir faire ses prouisions de
guerre dans Paris; & pour obuier à la sortie que

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Occurrence 10. Anonyme. CAPRICE SVR L’ESTAT PRESENT DE PARIS.... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_626 ; cote locale : B_20_41. (Mauvaise numérotation des images des pages (page de titre en p. 5). À modifier.). le 2012-04-20 09:15:40.


Enfin on n’y voit rien de beau,
On n’y voit rien que de funeste,
Les plaisirs sont dans le tombeau,
La douleur suruit & nous reste.    
Ie t’escris de ce monument,
Mon ame dans le dueil plongée,
Et qui pour comble de tourment
Renonce d’estre soulagée.    
Car de trauailler à la Paix
Par les intrigues de la Fronde,
C’est vouloir auec des œufs frais
Abbatre le Globe du monde.  

FIN.

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Occurrence 11. Anonyme. CATALOGVE DES PARTISANS, ENSEMBLE LEVRS... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_647 ; cote locale : C_1_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-04-20 09:26:19.

& persecutions qu’il a exercées
pendant ses emplois & auec lesquels il partage le butin
sont petit, son honneste macquereau, qui est celuy qui receuoit
tous ces pots de vin & pensions, par le moyen de quoy luy
& Chabenat son Gendre esleué dans les mesmes intrigues,
ont acquis chascun plus d’vn million de liures de bien, quoy
que comme il est notaire ledit Petit fust auparauant Procureur
au Chastelet à tort & sans cause, & ledit Chabenat copiste
au Conseil.   Catelan, ceste maudite engeance, est venu des

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Occurrence 12. Anonyme. CATALOGVE DES PARTISANS, ENSEMBLE LEVRS... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_647 ; cote locale : C_1_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-04-20 09:26:19.

biens, en
sorte qu’il passe auiourd’huy pour vn des plus riches hõmes de Paris. Sauuain fils d’vn bastelier d’Aramon en Languedoc, estant venu
estre lacquais en ceste ville, & en suitte fripier & vendeur de vieilles
hardes, s’estant associé & intrigué auec ledit des Combes deffunct
& autres a bien eu leffronterie dacquerir la Baronnie dudit lieu
d’Aramon qui est vne des plus anciennes & nobles terres de France
qui luy a cousté cent mille escus : & dans l’auidité qu’il a eu d’amasser
du bien

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Occurrence 13. Anonyme. CATALOGVE DES PARTISANS. ENSEMBLE LEVR... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Dans Choix I de Moreau. Référence RIM : M0_646 ; cote locale : D_1_47. le 2012-04-20 09:43:14.

persecutions, qu’il a exercez pendant ses emplois, & auec
lesquels il partageoit le butin, sont, Petit son honneste compagnon, qui est celuy qui receuoit
tous les pots de vins & pensions, par le moyen dequoy
luy & Chabenat son gendre, esleué dans les mesmes intrigues,
ont acquis plus de chacun vn million de biens, quoy que comme il est notoire ledit Petit fut auparauant Procureur
au Chastelet, à tort & sans cause, & ledit Chabenat copiste
au Conseil.   Catelan, cette engeance venu des montagnes de

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Occurrence 14. Anonyme. CATALOGVE DES PARTISANS. ENSEMBLE LEVR... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Dans Choix I de Moreau. Référence RIM : M0_646 ; cote locale : D_1_47. le 2012-04-20 09:43:14.

tres-grands biens, en sorte qu’il passe auiourd’huy
pour vn des plus riches hommes de Paris. Sauuain fils d’vn Batelier d’Arramon en Languedoc estant
venu a estre Laquais en ceste ville, & en suitte Frippier vendeurs
de vieilles hardes, s’estant associez & intrigué auec
ledit de Combes, deffunct & autres, a si bien
revssi, qu’entre les grands biens qu’il possede, il a bien eu
l’effronterie d’acquerir la Barronnie dudict lieu d’Arramõ,
qui est vne des plus anciennes & nobles terres de France,
qui luy a

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Occurrence 15. Anonyme. CONTRE-VERITEZ DV VRAY, ET DV FAVX DV... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_789 ; cote locale : B_10_16. Texte édité par Site Admin le 2012-05-20 15:32:44.

ont esté les deux personnes qui ont donné les mouuemens
à tous les autres, & pour se seruir de ses termes, ont joüé
les premiers personnages dans les Tragedies si funestes à
l’Estat. Voicy donc vn Prelat de la nouuelle mode, qui fait
gloire de cabale & d’intrigues ; qui professe hardiment
ce qui luy est seuerement defendu, il n’écoute plus ces
anciens Oracles de l’Eglise, qui interdisoient à ceux de sa
sorte le commerce des affaires seculieres, comme vne
prophanation de leur Ministere, il les considere comme la
plus

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Occurrence 16. Anonyme. CONTRE-VERITEZ DV VRAY, ET DV FAVX DV... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_789 ; cote locale : B_10_16. Texte édité par Site Admin le 2012-05-20 15:32:44.

pas la gloire d’auoir refusé ce qu’on vous offrit, on
commençoit à connoistre vostre nom & vous vouliez faire
croire que vos actions meritoient de hautes recompenses,
vostre premiere conduite auoit esté assez conforme à vostre
maison & ne connoissiez point les intrigues, vous ne sçauiez
que les distinctions de Sorbonne, & non pas les fourbes
de la Cour.   Il est vray que vous auiez commencé à former quelque
caballe dans le Parlement, qui peut, estre bailla apprehension
au Mazarin de celle que vous pouuiez faire

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Occurrence 17. Anonyme. CONTRE-VERITEZ DV VRAY, ET DV FAVX DV... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_789 ; cote locale : B_10_16. Texte édité par Site Admin le 2012-05-20 15:32:44.

sa
foy, de là vous pristes deffiance qu’on ne vous feroit point
Cardinal, vostre inquietude ne vous permit pas d’attendre
dauantage la recompense, vous vous liastes d’interests auec
Madame de Cheureuse ; qui ne sçait que cette femme a vieilli dans les intrigues des Cours & en a apris toutes les fourbes ?
l’iniure qu’elle pensoit auoir receuë par la rupture du
traitté de mariage excitoit son indignation contre la maison
de Monsieur le Prince : si elle eut eu encor les clefs de la
geole elle l’eut sans doute

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Occurrence 18. Anonyme. CONTRE-VERITEZ DV VRAY, ET DV FAVX DV... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_789 ; cote locale : B_10_16. Texte édité par Site Admin le 2012-05-20 15:32:44.

que ses ordres estoient religieusement
obseruez, & que pour terminer les affaires d’importance,
il falloit attendre ses resolutions ; dites tant qu’il vous plaira
que vous adjoustez à celle du Duc de Beaufort : mais qui differe
toutes fois en ce poinct, que par vos intrigues vous trauaillez
vtilement pour luy ? S’imaginera on que vous ayez receu ce bien
sans vous obliger à le reconnoistre, & qu’elle en peut-estre la recõnoissance,
que de seruir à la ruine du party ; apres cela, faut il demander
la raison des pernicieux

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Occurrence 19. Anonyme. DE LA GVERRE DES TABOVRETS, LIVRE PREMIER.... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Partie 1. Voir aussi A_2_58 (partie 1), D_2_34 (partie 1) et C_4_2 (partie 2). Référence RIM : M0_1525 ; cote locale : C_5_32. le 2012-05-27 03:08:32.

DES
SECTIONS. LES vrayes raisons tant de la querelle
que de l’accommodement d’entre le
Prince de Condé & le Cardinal Mazarin,
lesquelles il ne faut point chercher dans de
profondes considerations d’estat ny d’interest.
Mais dans les legeres intrigues & des badineries
de Cour ; principalement dans l’humeur
du Prince qui est estrange & point encore
fixe : Le pont de l’Arche appellé par les
courtisans le pont aux Asnes, & qui sont les
asnes en cette occasion. Iugement des Politiques sur

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Occurrence 20. Anonyme. DE LA GVERRE DES TABOVRETS, LIVRE PREMIER.... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Partie 1. Voir aussi C_5_32 (partie 1), D_2_34 (partie 1) et C_4_2 (partie 2). Référence RIM : M0_1525 ; cote locale : A_2_58. le 2012-05-27 03:10:14.

DES
SECTIONS. Les vrayes raisons tant de la querelle
que de l’accommodement d’entre le
Prince de Condé & le Cardinal Mazarin,
lesquelles il ne faut point chercher dans de
profondes considerations d’estat ny d’interest.
Mais dans les legeres intrigues & des badineries
de Cour; principalement dans l’humeur
du Prince qui est estrange & point encore
fixe: Le pont de l’Arche appellé par les
courtisans le pont aux Asnes, & qui sont les
asnes en cette occasion. Iugement des Politiques sur

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Occurrence 21. Anonyme. DE LA GVERRE DES TABOVRETS, LIVRE PREMIER.... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Voir aussi A_2_58 (partie 1), C_5_32 (partie 1) et C_4_2 (partie 2). Référence RIM : M0_1525 ; cote locale : D_2_34. le 2012-05-27 03:11:45.

DES
SECTIONS. LES vrayes raisons tant de la querelle
que de l’accommodement d’entre le
Prince de Condé & le Cardinal Mazarin,
lesquelles il ne faut point chercher dans de
profondes considerations d’estat ny d’interest.
Mais dans les legeres intrigues & des badineries
de Cour ; principalement dans l’humeur
du Prince qui est estrange & point encore
fixe : Le pont de l’Arche appellé par les
courtisans le pont aux Asnes, & qui sont les
asnes en cette occasion. Iugement des Politiques sur

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Occurrence 22. Anonyme. DERNIER ADVIS DONNÉ AVX PARISIENS, dans la... (1652) chez [s. n.] à Paris , 6 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1012 ; cote locale : B_14_40. Texte édité par Site Admin le 2012-09-23 02:43:18.

son Altesse Royale n’agissoit que par ses inclinations
toutes pures, vous le verriez voler au trauers
des hazards pour conuaincre qu’il est vostre Pere :
Mais sa grande bonté ne le soumet que trop à des impressions
estrangeres, qui débauchent par leurs detestables
intrigues la generosité de son Esprit tout bienfaisant :
Et vous ne ressentez les effets de cet iniuste
ascendant que vos ennemis ont sur son Esprit, que
parce qu’vn infame Coadiuteur le possede souz le
faux pretexte de cette trompeuse monstre de pieté,
qu’il fait

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Occurrence 23. Anonyme. DIALOGVE DE DEVX FEVILLANTINES, SVR LES... (1649) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1077 ; cote locale : C_7_17. Texte édité par Morvan Perroncel le 2012-09-28 07:44:23.

Maison, sont-elles des
foudres & des tonnerres, pour la reduire en
poussiere. Mere Elisabet. C’est assez discourir, ie vous vois passionnée,
vous ne sçauez ce que c’est que de viure en communauté. Sœur Catherine. Appellez-vous intrigue de communauté, de
faire le mal pour le bien. Mere Elisabet. Vous auez l’esprit trop ieune pour comprendre
ce que ie veux dire, il est temps de nous retirer,
le second coup de Vespres est sonné. Sœur Catherine. Tous auez preuenu ce que

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Occurrence 24. Anonyme. DIALOGVE DV CAR. MAZARIN, ET DV MARQVIS DE... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Voir aussi B_12_50. Référence RIM : M0_1087 ; cote locale : B_13_42. le 2012-09-28 09:14:55.

voir qu’il
prend à toutes mains, & d’autres aussi, que ie ne veus
plus souffrir. Le Marquis, Monseigneur, ie n’en sçay rien, il est
vray que mon fils le Chevalier fait quelques affaires,
mais c’est tousiours pour servir vostre Eminence en
plusieurs intrigues qu’il a. Mazarin, Il me faut fournir iusques à mes dix
millions, cherchez-les ou vous voudrez. Le Marquis, Monseigneur, cela ne se peut, si vostre
Eminence ne se veut aider. Mazarin, Que faut-il faire? Le Marquis, Monseigneur, Vostre

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Occurrence 25. Anonyme. DIALOGVE DV CAR. MAZARIN, ET DV MARQVIS DE... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Voir aussi B_13_42. Référence RIM : M0_1087 ; cote locale : B_12_50. le 2012-09-28 09:16:48.

voir qu’il
prend à toutes mains, & d’autres aussi, que ie ne veus
plus souffrir. Le Marquis, Monseigneur, ie n’en sçay rien, il est
vray que mon fils le Chevalier fait quelques affaires,
mais c’est tousiours pour servir vostre Eminence en
plusieurs intrigues qu’il a. Mazarin, Il me faut fournir iusques à mes dix
millions, cherchez-les ou vous voudrez. Le Marquis, Monseigneur, cela ne se peut, si vostre
Eminence ne se veut aider. Mazarin, Que faut-il faire ? Le Marquis, Monseigneur, Vostre

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