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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(50 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "cheret.*|chert.*|cherret.*" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 1. Anonyme. DEVXIESME ET DERNIERE REQVESTE PRESENTÉE A... (1652) chez Hardouin (Louis) à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1068 ; cote locale : B_5_27. le 2012-09-28 04:48:46.

&
Faux Bourgs de Paris, Disants, Que
comme le malaugmente de iour à autre, & que
le remede necessaire pour le faire cesser est pressant,
se voyant à la veille de se voir reduits à
souffrir la famine (qui est le plus cruel tourment
du peuple) à cause de la cherté excessiue
des viures, & que les ennemis sont aux portes
de la Ville, auec dessein de tenir les aduenues,
& d’empescher l’abord des marchandises, que
cela estant, il est à craindre que l’vrgente necessité
& disette, ne fasse naistre vne

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Occurrence 2. Anonyme. DIALOGVE D’VN BATELIER, D’VN VIGNERON,... (1650) chez [s. n.] à Orléans [?] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_2_23. Texte édité par Patrick Rebollar le 2012-09-28 07:38:13.

croire que ie donnerés vn bon aduis ! Clement. Et le queu ? Santin. C’est que faudret faize la couuertuse des maisons toute
plate, comme celle de contre la petite Boucherie de la porte Bourgongne,
& y plante du bled dessus tous les ans, & le garder pour la
cherté, ny en auret plus qui n’en faudret, car les meschantes années
ne viennent que de sept ou huict ans l’vne, & si ne faudret au commancemẽt
que 5 ou six poignées pour faire apres vn groux mõceau. Clement. Y n’en faudret don aussi boutre sus le mail, & su les

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Occurrence 3. Anonyme. HARANGVE FAITE AV ROY, PAR LES SIX CORPS DES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1592 ; cote locale : B_3_12. le 2012-10-29 03:44:46.

parlant en termes de Marchand, que
de donner de l’argent pour leuer vne Armée pour prolonger
la Guerre, & partant ruiner nostre trafic, car la
défaite de l’Armée des Princes n’est pas si facile, elle
augmente tous les iours; Et nous ayans pour ennemis,
la cherté des viures augmenteroit de beaucoup cét
Hyuer. Nostre interest est donc de viure paisiblemẽt,
de souhaitter au plustost vne Amnistie en bonne forme,
auec la Reünion de la Maison Royale;, & encore si nous
sommes si peu préuoyans que de leuer vne armée à

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Occurrence 4. Anonyme. HARANGVE FAITE AV ROY, PAR LES SIX CORPS DES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1592 ; cote locale : B_3_12. le 2012-10-29 03:44:46.

Mazarin, n’auons-nous
pas perdu toutes nos conquestes, notamment en Flandre?
Et de fraiche datte Dunquerque, auec la perte
de nostre Armée Naualle, prise par les Anglois. De
plus, nostre trafic n’est-il pas cessé dans Paris? l’intermission
duquel, auec la cherté des viures, ainsi que de
la perte, & de nostre moisson, & de nos vandanges, a
épuisé nostre bource, & nommément ceux de vostre
corps, qui perdent sur mer à cause des pirateries des
Anglois, & sur terre où on arreste vos marchandises
pour vous en

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Occurrence 5. Anonyme. LA FRANCE PAISIBLE, OV LA PAIX MIRACVLEVSE.... (1649) chez [s. n.] à Paris , 14 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1434 ; cote locale : C_4_19. le 2012-11-23 13:53:25.

l’effroy,
Auec sa pasle & seche mine,
Tout le soin d’vn esprit troublé
Estoit de se garnir de bled,
Pour pouuoir à la maison cuire ;
On en alloit chercher dans les pays voisins,
Et tous industrieux eux-mesmes à se vire ;
Y faisoient la cherté dedans les Magazins.    
Et cependant folle prudence,
Qu’auiez-vous tant à redouter,
Estoit il permis de douter
De la diuine prouidence ;
Allez Messieurs les empeschez
Visiter vn peu les Marchez,
Pour voir ce que le

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Occurrence 6. Anonyme. LA MILIADE OV L’ELOGE BVRLESQVE DE... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 30 pages. Langue : français. "Seconde édition, revue et corrigée par l'auteur.". Référence RIM : M0_2467 ; cote locale : C_11_10. (Pièce à réparer: l'image de la page de titre n'est pas affichable (alors qu'elle est disponible, voir par lien ext. et choix de page 1).). le 2012-12-16 03:28:40.

les verres & les pots ;
Et leur assistance fidelle
Fit que Caresme en eut dans l’aile,
Et que Carnaual ce coup là
Fut le plus fort & l’accula.
S’il en a pu déplaire au Pape
Que son puissant Fulmen en frape
Ce Iule qui par la cherté
Qu’il causa dans nostre Cité,
Nous fit blesser son Ordonnance
De faire en ce Temps penitence :
Et le contraigne en ce Saint An
De s’en aller au Vatican
Se purger de ce crime & d’autres
Que luy & tous ses bons Apostres

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Occurrence 7. Le Maçon [signé]. ARREST DE LA COVR DE PARLEMENT, Du 8.... (1649) chez Les imprimeurs et libraires ordinaires du roi à Paris , 4 pages. Langue : français. Du 8 janvier 1592 [sic], avec privilège. Voir aussi E_1_92. Référence RIM : M0_203 ; cote locale : A_1_86. le 2012-03-31 16:49:50.

non acquittez, ains reduits iusques à la
paille, & leur famille, pour n’auoir moyen de receuoir leurs
debtes, à cause des surseances que l’on impetre, & moins de
faire aucun trafic, soit en cette Ville ou aux champs, ne pouuans
payer sans estre payez: ioint la cherté de tous viures qu’ils
sont contraints de souffrir; & outre, d’aller ou enuoyer aux
Portes, sentinelles, & fortifications, où ils sont ordinairement
employez; A fin d’auoir quelque moyen de vaquer & assister au
Seruice de Dieu, conseruation de leur

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Occurrence 8. Le Maçon [signé]. ARREST DE LA COVR DE PARLEMENT, Du 8.... (1649) chez Les imprimeurs et libraires ordinaires du roi à Paris , 4 pages. Langue : français. Du 8 janvier 1592 [sic], avec privilège. Voir aussi A_1_86. Référence RIM : M0_203 ; cote locale : E_1_92. le 2012-03-31 16:51:57.

non acquittez, ains reduits iusques à la
paille, & leur famille, pour n’auoir moyen de receuoir leurs
debtes, à cause des surseances que l’on impetre, & moins de
faire aucun trafic, soit en cette Ville ou aux champs, ne pouuans
payer sans estre payez : ioint la cherté de tous viures qu’ils
sont contraints de souffrir : & outre, d’aller ou enuoyer aux
Portes, sentinelles, & fortifications, où ils sont ordinairement
employez ; A fin d’auoir quelque moyen de vaquer & assister au
Seruice de Dieu, conseruation de leur

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Occurrence 9. Anonyme. LE COVRIER DE LA COVR, PORTANT LES NOVVELLES... (1649) chez Langlois (Denis) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir aussi C_1_41_2 (partie 2). Référence RIM : M0_821 ; cote locale : C_1_41_1. le 2013-07-08 09:19:31.

par ordre de la Reine,
dont les Marchands se plaignirent à quelques vns des Deputez du Parlement,
qui trauaillerent à les faire passer, mais ils ne peurent rien auancer pour ce iour. Le bruit ayant couru que la ville de Tours s’estoit declarée pour Paris, & la
cherté d’argent & de viures estant grande à S. Germain, Monsieur le Comte
de S. Agnan se preparoit à ramener ses trois cents Cheuaux vers le païs Blaisois
pour garder leurs maisons. On disoit que les Bourguignons venus au mandement
de Monsieur le Prince, estoient sur le

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Occurrence 10. Anonyme. LE COVRRIER BOVRDELOIS, APPORTANT LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Voir aussi C_1_44 (parties 1 à 3). Référence RIM : M0_811 ; cote locale : B_6_37. le 2013-02-09 09:44:59.

de laquelle cette Ville
se ressent aussi, trouuant à dire son abondance
ordinaire, & acheptant tout beaucoup
plus cher qu’on n’auoit icy accoustumé. Les
bleds que nous attendons de Bretagne, &
d’autres endroits par mer, nous font esperer
que la cherté du pain y diminuëra. Monsieur le Prince de Conty, qui est à present
malade, le Duc de Guise, & le Comte
de Maure, grand Senêchal de Guienne, ont
souuent assisté aux Assemblées de l’Ormée,
qui se font dans nostre Hostel de Ville, la
consideration

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Occurrence 11. Anonyme. LE FRANC BOVRGEOIS DE PARIS, Monstrant les... (1652) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1408 ; cote locale : B_17_2. le 2013-07-24 07:58:51.

à regler & moderer les abus en
la vente des viures & danrées absolument necessaires
pour la subsistance des habitans de la Ville,
notamment les excez des Boulangers au prix
du pain, & des Meusniers en la mouture des
bleds, qui y ont apporté plus de cherté que le
defaut des bleds : car tout le monde sçait que les
Boulangers ont vendu & vendent encore le petit
pain le double de ce qu’ils peuuent le vendre
legitimement, eu esgard au prix du blé, & que
les Meusniers ont exigé & exigent encore des

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Occurrence 12. Anonyme. LE FRANC BOVRGEOIS DE PARIS, Monstrant les... (1652) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1408 ; cote locale : B_17_2. le 2013-07-24 07:58:51.

reglant ordinairement
le prix du pain, sur le prix du
blé dans lesdits magazins publics : au moyen de
quoy on remedieroit aux inegalitez ordinaires
du prix du blé & du pain dans Paris, on preuiendroit
les amas superflus que plusieurs en font, qui
en causent la cherté excessiue parmy le menu peuple,
on osteroit toute occasion aux suruentes que
les marchands de blé en font à toute heure à leur
volonté, selon les diuers bruits qui courent, &
aux fraudes qu’ils commettent à cet effet, ne faisans
venir leurs bleds que

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Occurrence 13. Anonyme. LE FRANC BOVRGEOIS DE PARIS, Monstrant les... (1652) chez [s. n.] à Paris , 22 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1408 ; cote locale : B_17_2. le 2013-07-24 07:58:51.

ce
qu’ils pourront, soit aux particuliers, soit à la
Ville, à cause des risques qu’ils y peuuent auoir,
mais ie pretens seulement preuenir les fraudes
qui s’y peuuent commettre, soit par eux, ou par
les Boulangers, sous pretexte d’vne rareté & cherté
imaginaire du blé, & neantmoins il est certain
que comme cét ordre seroit tres-vtile aux Boulangers
mesmes, parce que par ce moyen ils pourroient
tousiours vendre le pain à proportion du prix du blé, sans risque de ramendement, & sans

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Occurrence 14. Anonyme. LE MANIFESTE DV CARDINAL MAZARIN LAISSÉ A... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 44 pages. Langue : français. Partie 1. Voir aussi C_11_5 (suite) et B_20_11. Référence RIM : M0_2390 ; cote locale : C_11_4. le 2013-02-09 14:18:47.

que i’executay heureusement
contre les sentimens de tout le monde,
& auec la satisfaction generalle des Parisiens
qui triomphoient d’entendre l’emprisonnement
de celuy que i’auois fait passer secretement
dans leur esprit, pour l’vnique autheur
de la cherté, par l’empeschement du transport
des bleds.   Le Parlement est bien composé de beaucoup
de bonnes testes : mais ie les deffie tous tant
qu’ils sont, de gouuerner plus iudicieusement,
& de pousser plus vigoureusemẽt vne intrigue ;
pourquoy est

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Occurrence 15. Anonyme. LE NOCTVRNE ENLEVEMENT DV ROY HORS DE PARIS,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Voir aussi E_1_68. Référence RIM : M0_2530 ; cote locale : C_4_4. le 2013-09-24 16:14:06.

ce qu’il luy plaist demander.
Ces liberalitez si grandes
Font que mes Dames les Marchandes,
Dont chacun brigue l’amitié,
Encherissent pains de moitié :
Et rembarrent ceux, dont la langue
Leur veut faire quelque harangue,
En se plaignant de la cherté
De leur trop grande liberté,
Cherchez ailleurs ? (ce disent-elles)
Ie n’aymons pas tant de querelles,
Cà, çà, redonnez-nous ce pain,
Aussi bien n’auez-vous pas faim :
S’il ne vous duit, c’est pour vn autre :

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Occurrence 16. Anonyme. LE NOCTVRNE ENLEVEMENT DV ROY HORS DE PARIS,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Voir aussi E_1_68. Référence RIM : M0_2530 ; cote locale : C_4_4. le 2013-09-24 16:14:06.

luy fist rien demordre
De ce qu’il a dit vne fois,
Il en faut passer par ses loix ;
Car tant plus il vend la farine,
Tant plus on songe à la famine.
Tout chacun voyant dans ce deüil,
Que le prix en croist à veuë d’œil.
Cette cherté les intimide,
Rend l’vn vif, & l’autre stupide,
Selon les inclinations
De leurs imaginations.
Les vns sur l’aduenir se fient,
Les autres de tout se deffient,
Et disent que c’est le plus seur.
De se garnir pour le futur :

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Occurrence 17. Anonyme. LE NOCTVRNE ENLEVEMENT DV ROY, HORS DE... (1649) chez Cotinet (Arnould) à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Avec permission. Voir aussi C_4_4. Référence RIM : M0_2530 ; cote locale : E_1_68. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-24 16:17:16.

ce qu’il luy plaist demander.
Ces liberalitez si grandes
Font que mes Dames les Marchandes,
Dont chacun brigue l’amitié,
Encherissent pains de moitié :
Et rembarrent ceux, dont la langue
Leur veut faire quelque harangue,
En se plaignant de la cherté
De leur trop grande liberté.
Cherchez ailleurs ? (ce disent-elles)
Ie n’aymons pas tant de querelles,
Cà, çà, redonnez-nous ce pain,
Aussi bien n’auez-vous pas faim :
S’il ne vous duit, c’est pour vn autre :

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Occurrence 18. Anonyme. LE NOCTVRNE ENLEVEMENT DV ROY, HORS DE... (1649) chez Cotinet (Arnould) à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Avec permission. Voir aussi C_4_4. Référence RIM : M0_2530 ; cote locale : E_1_68. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-24 16:17:16.


De ce qu’il a dit vne fois,
Il en faut passer par ses loix ;
Car tant plus il vend la farine,
Tant plus on songe à la famine.    
Tout chacun voyant dans ce deüil,
Que le prix en croist à veuë d’œil.
Cette cherté les intimide,
Rend l’vn vif, & l’autre stupide,
Selon les inclinations
De leurs imaginations.
Les vns sur l’aduenir se fient,
Les autres de tout se deffient,
Et disent que c’est le plus seur
De se garnir pour le futur :

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Occurrence 19. Anonyme. LES HORRIBLES CRVAVTÉS FAITES DANS LES... (1649) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1668 ; cote locale : C_5_55. le 2013-02-15 06:15:57.

y est cy plain de pauures
villageois qui se sauuent auec leurs bestiaux.
Il y va tant de monde qu’ils sont cõtraints de coucher
dans les ruës, dessus le paué, dessous les auvans,
le froid y est si grand que chacun crie desia
misericorde iusques aux petits enfans, la cherté de
viures y est bien grande, il y meure quantité de
monde de pauureté. Dans l’Anjou & pays du Maine ; ie ne vous puis
décrire le dégast qu’il s’y fait, les massacres des gens
de guerre, les villageois abandonnent tout, le vol
ny est pas

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Occurrence 20. Anonyme. LES QVARANTE-CINQ FAICTS CRIMINELS DV C.... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 17 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_2931 ; cote locale : C_11_17. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-03-30 07:24:59.

pour indemniser les habitans de la guerre excitée contre cette
Ville par cet eminent fourbe, qui a fait innouer aussi aux traittez
de Paris, Rouen, Bourdeaux & d’Aix. 22. Qu’il a fait mourir de faim vne infinité de familles à Paris
& ailleurs par des grandes chertez de grains, causée par la guerre
de cette Ville, & deuant cela par vne tres-grande quantité de
passe-ports qu’il a fair expedier pour le Ponant & le Leuant, à
Garganr & à Cantariny qui luy en ont baillé huict cens mil liures,
& en consequence de ces

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Occurrence 21. Anonyme. LES QVARANTE-CINQ FAICTS CRIMINELS DV C.... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 17 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_2931 ; cote locale : C_11_17. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-03-30 07:24:59.

ont tiré vne prodigieuse
quantité de grains par la riuiere de Seine, de la Bourgonne,
Champagne, l’Isle de France & autres lieux, qui fournissent
Paris, comme aussi des autres Prouinces, qui fournissent les autres
grands Villes, ou ces desordres ont produit les mesmes cheretez. 23. Qu’il veut introduire cette maxime que le Roy ne doit
point tenir sa parole a ses suiets ; maxime qui est de pernicieuse
consequence cõtre la seureté publique, le droict des gẽs & la foy
inuiolable que les Princes doiuent dautant plus garder que

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Occurrence 22. Anonyme. L’ADIEV DE MAZARIN BVRLESQVE. (1649) chez Huot (Claude) à Paris , 8 pages. Langue : français. Sur l'imprimé à Paris.. Référence RIM : M0_40 ; cote locale : E_1_21. le 2013-01-21 16:06:58.


Par les masses, & par les topes
Par point, sequence, & par fredon
Par tout ce que vous trouuez bon
Par tout ce que dire ie n’oze
Ny dans les vers, ny dans la prose,
Sur tout par la feste des Rois
Par vn Blocus depuis deux mois
Par la cherté de la farine
Par la crainte de la famine
Par la perte de nos traffics
Par la reforme des tarifs
Par la discorde des deux freres ;
Enfin par toutes nos miseres
Dont nous gardons le souuenir
Allez sans iamais reuenir.  

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Occurrence 23. Anonyme. L’ESPERANCE DE LA PAIX, ET DE... (1649) chez Sevestre (Louis) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_1276 ; cote locale : C_7_79. le 2013-02-05 06:03:35.

tout incontinent il a semblé que le charme fut
deffait, on a consideré comme en vn songe lors
qu’on s’esueille le desordre où on se rencontroit,
la Reyne à la compassion de tant de sang respandu
mal à propos de voir la plus grande ville du
mõde exposée à vne cherreté de viures, elle qui est
la pepiniere de tous les braues de la guerre, le veritable
patrimoine de nos Roys, & la distribution
des honneurs, la mere nourriciere des Vertus, des
Arts & des Sciences. Et en vn mot Paris la Reine
des Cités de toute la terre,

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Occurrence 24. Anonyme. RECIT EXACT ET FIDEL DE CE QVI S’EST... (1649) chez Bessin (Nicolas) à Paris , 43 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_2996 ; cote locale : E_1_19. le 2013-02-23 14:17:49.

& seure garde, auec defenses à toutes personnes de les
empescher à peine de la vie & de violer le droict des gens. Nous sommes icy accablez des Bourgeois & du menu peuple, qui demande
du bled afin de ne point passer par les mains des Boulangers à cause de la
chereté du pain, ce que Messieurs du Parlement n’ont pas trouué à propos
de leur accorder ; mais bien leur ont promis qu’ils auroient du pain blanc
à deux sols six deniers la liure, le bis-blanc à deux sols, & le noir à dix-huict deniers, ce qui les a en

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Occurrence 25. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 9 de 13, pages numérotées de 65 à 72. Sans page de titre. Informations éditoriales et date au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_09. le 2013-08-30 10:04:00.


De secourit Paris ; faisant nos ennemis
Retirer promptement. Nous ne sommes en dormis,
A receuoir le bled, qui entre en cette Ville,
Sur charettes & cheuaux en nombre plus de mille ;
Si bien qu’on ne peut pas souffrir d’oresnauant
La plus moindre cherté qu’on a eu cy-deuant.    
Et puis le lendemain deux de nos Generaux
Virent le Regiment (en ordre sur Coypeaux)
Qu’on nomme de Paris, qui est d’Infanterie,
Tous hommes bien adroits, & qui sans flatterie,
Ont assez de vigueur

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