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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(667 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "bataille" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 1. Anonyme. ARTICLES ACCORDEES PAR LE Roy de Portugal,... (1649) chez Besongne (Jacques) à Rouen , 26 pages. Langue : français. "Traduit du portugais en français." Signature et noms des signataires et associés dans les dernières pages et au colophon. Avec permission.. Référence RIM : Mx ; cote locale : A_2_41s. le 2012-07-17 08:41:18.

hors du Port pour combatre, où sans cela & à l’aprest
dudit secours, payes & prouissions des gens de mer & de guerre,
(ce qu’il ce iustifira par les certificats desdits officiers & par iceux
il seront crus) & si quelque vaisseau par cas fortuit dans
la Bataille, où risques de la mer se perde, V. M. leur fera payer
en argent comptant de l’arriuee desdits vaisseaux à six mois, & ne
leur payant point, ils le deduiront sur les droits des premiers Sucres
qui viendront du Brazil: Et cela à cause du grand dommage
qu’il

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Occurrence 2. Anonyme. AVIS DE MONSIEVR LE MARESCHAL DE TVRENNE ET... (1652) chez Guérard (Jean) à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_507 ; cote locale : B_5_22. le 2012-04-13 16:47:48.

& autre brigandages.   C’est pourquoy, sauf le meilleur auis du public,
auquel l’Autheur de cet escrit soubmet
entierement le sien. Il seroit à propos que son Altesse Royalle
auant que d'attendre les extremitez & les douteux
euennemens d’vne bataille, se saisit de
toutes les Places susdites, & que pour dernier
remede, apres que touttes les voyes de l’obeïssance,
du respect, & de la modestie des
Cours Souueraines ont esté inutiles, il soit
par vn Arrest solemnel deffendu à tous les
Peuples, de

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Occurrence 3. Anonyme. COMBAT DONNÉ PAR les troupes Mazarines, à... (1652) chez Lefèvre (Philippe) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_710 ; cote locale : B_8_24. Texte édité par Site Admin le 2012-05-12 12:03:08.

& ayant fait iusques à sept à
huit mille hommes, tant de troupes
que des Communes de Picardie, voulut,
suiuant le mandat qu’il en auoit receu
de la Cour executer son dessein,
& lors s’estant approché desdites troupes
mit son Armée en bataille, à dessein
de combatre les troupes de l’Archiduc
Leopold, surquoy les autres l’ayãt
apperceu mirent de mesme leurs troupes
en bataille, & en vinrẽt aux mains
auec tant de chaleur & d’impetuosité
l’vn contre l’autre,

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Occurrence 4. Anonyme. COMBAT DONNÉ PAR les troupes Mazarines, à... (1652) chez Lefèvre (Philippe) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_710 ; cote locale : B_8_24. Texte édité par Site Admin le 2012-05-12 12:03:08.

qu’il en auoit receu
de la Cour executer son dessein,
& lors s’estant approché desdites troupes
mit son Armée en bataille, à dessein
de combatre les troupes de l’Archiduc
Leopold, surquoy les autres l’ayãt
apperceu mirent de mesme leurs troupes
en bataille, & en vinrẽt aux mains
auec tant de chaleur & d’impetuosité
l’vn contre l’autre, qu’apres vn combat
opiniastré de part & d’autre l’espace
de trois heures, la victoire balançant,
tantost d’vn costé tantost de

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Occurrence 5. Anonyme. CONSEIL NECESSAIRE DONNÉ AVX BOVRGEOIS de... (1649) chez Besogne (Cardin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_760 ; cote locale : C_1_32. le 2012-05-12 15:49:58.

derniere tenté toutes les voyes imaginables pour
l’execution de son dessein, il s’est souuenu que la mort du Presi.
dent Barillon auoit tenu le Parlement en Silence. Il a reueillé
ses pensees sanguinaires & dans le rencontre d’vnTe Deum, qui
fut chanté pour vne bataille signalee. Il fit faire l’enleuement
de ces deux personnes Il lustres & ordonna la proscription de
quelques autres, meslant dans la joye publique le dueil & la
tristesse, voire le sacrilege dans les actions pures & sainctes, afin
par vn exemple sanglant

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Occurrence 6. Anonyme. DE LA NATVRE ET QVALITÉ DV PARLEMENT DE... (1652) chez Preuveray (François) à Paris , 72 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_857 ; cote locale : B_15_32. le 2012-05-27 07:50:17.

Les Histoires Estrangeres aussi bien que les nostres, remarquent
que sans ces colomnes inesbranlables le Royaume
auroit changé de trente sortes de Seigneurs, & d’autant de
mains differentes, & sans aller plus loing, c’est luy seul qui
sans armée & sans bataille a conserué la Couronne à nostre
jeune Roy, empeschant comme il fit par son Arrest, qu’on
ne l’osta à Henry IV. son Ayeul, la veille que les Ligueurs
en deuoient eslire vn autre. Les Loix fondamentales de l’Estat sont tousiours plus
fortes & plus

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Occurrence 7. Anonyme. DE LA NATVRE ET QVALITÉ DV PARLEMENT DE... (1652) chez Preuveray (François) à Paris , 72 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_857 ; cote locale : B_15_32. le 2012-05-27 07:50:17.

victorieux ;
Ces victoires ont plus de honte que de gloire, & plus
de larmes que de plaisirs. Ce ne sont point victoires, ce sont
fratricides & cruautez abominables ; Hortense se glorifioit de
n’auoir iamais esté soüillé du sang de ses Citoyens. Cesar en
la bataille de Pharsale, se resouuenant de sa clemence ordinaire,
commanda à ses soldats de pardonner aux Citoyens, &
de tuer tous les Estrangers. Brutus en ses Epistres dit, qu’il
est beaucoup plus honneste & plus expedient d’empescher le
cours des guerres Ciuiles,

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Occurrence 8. Anonyme. DERNIERE ET TRES-IMPORTANTE REMONSTRANCE A... (1652) chez [s. n.] à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_14_50. Référence RIM : M0_1020 ; cote locale : B_4_25. le 2012-09-23 16:23:21.

parce
qu’elle refusoit de l’espouser, apres luy auoir permis
les faueurs de la ioüissance. Il est vray que ce sentiment est bien esloigné de
la generosité d’Alexandre, qui seulement entrant
dans la Perse, où son bon-heur luy auoit fait gagner
sa premiere bataille, deffendit qu’on y fit aucun
degast, sous le pretexte témoigné par ces paroles
dignes d’eternelle memoire, qu’il falloit épargner
ce qu’il estimoit desia sien. Ainsi, Monsieur, faites s’il vous plaist, que la
crainte de vous perdre, ou le desir de

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Occurrence 9. Anonyme. DERNIERE ET TRES-IMPORTANTE REMONSTRANCE A... (1652) chez [s. n.] à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi B_4_25. Référence RIM : M0_1020 ; cote locale : B_14_50. le 2012-09-23 16:25:42.

parce
qu’elle refusoit de l’espouser, apres luy auoir permis
les faueurs de la ioüissance. Il est vray que ce sentiment est bien esloigné de
la generosité d’Alexandre, qui seulement entrant
dans la Perse, où son bon-heur luy auoit fait gagner
sa premiere bataille, deffendit qu’on y fit aucun
degast, sous le pretexte témoigne par ces paroles
dignes d’eternelle memoire, qu’il falloit épargner
ce qu’il estimoit desia sien. Ainsi, Monsieur, faites s’il vous plaist, que la
crainte de vous perdre, ou le desir de

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Occurrence 10. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

L’Oriflamme estoit portée hors le Royaume,
& contre Chrestiens.

BANNIERE DE FRANCE ET
CORNETTE BLANCHE. pag. 49. Banniere concurrente auec l’Oriflamme. Gilles de Montigny,
à Bouines, ne porta pas l’Oriflamme. Deux Estendarts en
mesme bataille. Guiart auoit veu l’Oriflamme. Ancienneté des Fleurs-de-Lis. Fleurs-de-Lis au nombre de trois auant
Charles VI. La Banniere de Fleurs-de-Lis. Croix-droicte,
& Croix de S. André. Cornette-blanche, & Banniere de
Fleurs-de-Lis. Escharpes blanches.

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Occurrence 11. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.


Deuant luy porter la faisoit
Toutesfois qu’aller li plaisoit
Bien attachee en vne lance
Pensant qu’il eust remembrance
Au rauiser le Cendal rouge
De celuy glorieux guar rouge.   La Chronique antienne de Flandres c. 67. Parlant
de la bataille prés Cassel, soubs le Roy Philippes
de Valois, Messire Miles de Noyers, estoit monte sur vn
grand destrier couuert de haubergerie, & tenoit en sa main
vne lance, à quoy L’ORIFLAMME estoit attachié, d’vn
vermeil Samit, à guise de Gonfanon, à trois queuës,

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Occurrence 12. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

touché par plusieurs sur ce suject, i’ay estimé ne pouuoir
obmettre ; Et pour ceste consideration a esté appellé,
par Froissard vol. 1. ch. 164. LA SOVVERAINE
BANNIERE DV ROY, où il parle de l’Estendart de
France, porté par le sieur de Charni, à la bataille de
Poictiers : appellé par le sieur de Ioinuille, LA BANNIERE
DE S. DENYS ; dans Monstrelet 1. vol. ch.
79. en vne patente de Charles VI. LE SIGNE ROYAL,
qu’on nomme L’ORIFLANDE. Au Roman de
Guiteclin.   Dignité de
l’Oriflamme.

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Occurrence 13. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

& laniata est à Flandris, occisusque Anselmus Cheurosius
eius gestator. Il est vray, par le consentement de toutes
les histoires, que Anseau de Cheureuse mourut en ce
combat : Mais ils ne conuiennent pas, que l’Oriflamme
ait esté prise. Iean Villani descriuant ceste bataille,
au liure 8. ne parle point de l’Oriflamme. Le sieur Vignier,
en son Sommaire d’histoire, rapporte l’authorité
d’vn Escriuain de ce temps là, Dominus Anselmus de
Caprosio (Vignier le tourne de Caprose) miles probatus
& maturus, strenuus & fidelis,

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Occurrence 14. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

ferebat tunc, &
alias pluries tulerat de præcepto Regis, ob fidelitatem & integritatem
eximiam, vexillum sancti Dionysij, quod vulgariter
diciturORIFLAMMA, sitis vehementis æstu occubuit,
La Chronique ancienne de Flandres, chap. 47. dit,
que le lendemain de la bataille, on trouua l’Oriflamme
gisant emmy les champs, & que toute nuit y auoit
geu. Mais Guillaume Guiart, qui viuoit lors, & estoit
au combat, tesmoigne la prise, non de l’Oriflamme
veritable, mais d’vne Oriflamme feinte, portée pour
enflammer & animer

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Occurrence 15. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

& apres, s’en retourna le Roy, au bois de Vinciennes.   Texte de
Des Voisins. Pierre de
Villiers. Froissard, 2. vol. c. 125. parlant de Pierre de Villiers :
Là fut ordonné, quand on viendroit à s’assembler,
qu’on mettroit la bataille du Roy, & l’ORIFIAMME au
premier front. Il auoit esté destiné à ceste charge dés la
proposition des ordonnances pour le voyage de Flandres.
Idem 2. vol. cap. 114. L’histoire Latine, fol. 20. represente la mesme rencontre,
auec des circonstances plus

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Occurrence 16. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

La charge
de la porter
n’a pas esté
vn office.  
Diolas, dit li Rois, laisse ester ta falor,
Qui se croi en Iesu nostre bon createur,
Si batizar te vieux, tauras tote mamor,
Sesoigne ie dourai qui fu ton ancessor,
Por tel que en bataille porteras l’ORIFLOR.   Ie ne puis pareillement, que ie ne m’estonne de
ceux, lesquels, dans des Vrsins, ad an. 1386. disoient,
que l’Oriflamme ne se deuoit prendre que pour la
defense du Royaume, & non mie quand on veut conquester
autre païs :

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Occurrence 17. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

defense du Royaume, & non mie quand on veut conquester
autre païs : ce sont les termes de l’Autheur. Autres
ont aussi pensé, qu’elle ne pouuoit estre desployée
sur des Chrestiens, ains seulement contre des Infidelles,
comme Froissard 2. vol. ch. 125. parlant de la bataille
de Rozebecque contre les Flamans. Mais ces
discours sont des imaginations foibles : Car l’ORIFLAMME
estoit l’Estendart principal, absolument destiné
à toutes rencontres perilleuses, soit dedans ou
dehors, & contre toutes sortes de personnes. Dans
le

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Occurrence 18. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

en ce que l’Oriflamme estoit en plus grand respect,
n’estoit porté qu’aux necessitez tres-pressantes,
& l’autre, estoit ordinaire és armées Royales, & à
toutes rencontres : mesmes quelquesfois concurremment
auec l’Oriflamme, comme à la bataille de Bouines :
l’vn, estoit porté prés la personne du Roy ; l’autre,
au fort de la bataille : l’vn, appellé Signum Regale,
par Rigordus ; l’autre dit, souueraine Banniere du Roy,
par Froissard. Banniere
concurrent.
auec l’Oriflamme.

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Occurrence 19. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

au fort de la bataille : l’vn, appellé Signum Regale,
par Rigordus ; l’autre dit, souueraine Banniere du Roy,
par Froissard. Banniere
concurrent.
auec l’Oriflamme. Du Tillet s’est mescompté, quand il dit, que Philippes
Auguste, à la bataille de Bouines, bailla à porter
l’Oriflamme à Gilles de Montigny, pour sa vertu.
Philippes Mousk, qui viuoit du temps de S. Louis, est
tombé au mesme erreur en son Histoire. Gilles de
Montigny,
à Bouines,
ne porta pas
l’Oriflamme.

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Occurrence 20. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

Fleurs-de-Lis. Rigordus, Signum Regale,
vexillum scilicet floribus lilij distinctum, ferebat Gilo de
Montiniaco. Guillaume le Breton.  
Ante tamen Regem signum Regale ferebat,
Montiniacensis vir fortis corpore Galo.   Guiart mesme, parlant de la bataille de Bouines.  
Galon de Montigny porta,
Ou la Chronique faux m’enseigne,
De fin azur luisant l’Enseigne,
A Fleurs-de-Lis d’ordornée,
Pres du Roy fu celle Iournée
A l’endroict du riche Estendart.   Papirius

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Occurrence 21. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

deuant luy porter les armes
de l’Eglise, la Banniere de S. Pierre, de gueules à deux clefs
d’argent en sautoir, comme Gonfalonnier du Pape Vrbain,
& en son Pennon estoient ses armes. Monstrelet 2. des
Chroniques, ad an. 1429. Y auoit deux Bannieres en vne
seule bataille, l’vne de France, & l’autre d’Angleterre : &
si estoit auec icelle l’Estendart de S. Georges, &c.   Deux Estendarts
en
mesme bataille. L’Oriflamme estoit le principal Estendart sous Charles
VI. Il auoit neantmoins la

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Occurrence 22. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

Pennon estoient ses armes. Monstrelet 2. des
Chroniques, ad an. 1429. Y auoit deux Bannieres en vne
seule bataille, l’vne de France, & l’autre d’Angleterre : &
si estoit auec icelle l’Estendart de S. Georges, &c.   Deux Estendarts
en
mesme bataille. L’Oriflamme estoit le principal Estendart sous Charles
VI. Il auoit neantmoins la Croix-blanche pour
Enseigne particuliere, dans des Vrsins, ad an. 1411.
Alain Chartier, ad an. 1448. descriuant la solennelle
entrée de Charles VII. en la ville de Rouën,

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Occurrence 23. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

neantmoins la Croix-blanche pour
Enseigne particuliere, dans des Vrsins, ad an. 1411.
Alain Chartier, ad an. 1448. descriuant la solennelle
entrée de Charles VII. en la ville de Rouën, touche
clairement ceste diuersité d’Estendarts, combien que
hors le corps d’vne bataille. « Derriere les Pages du
Roy estoit HAVART Escuyer trenchant, monté sur vn
grand destrier, qui portoit vn Pennon de veloux azuré, à quatre Fleurs-de-Lis d’or de broderie, brodées
de grosses perles, &c. Grand Maistre d’Hostel,
&c.

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Occurrence 24. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

sçauoir les
Bourguignons.) » L’vsage ancien de ces deux Croix,
droicte, & de S. André, est tesmoigné par Oliuier
de la Marche, en l’Introduction de son Histoire, ch. 3.
Où parlant de la deffaite des Liegeois par Iean sans
Peur, Duc de Bourgongne : En ceste bataille, Iean Duc
de Bourgongne reprit la CROIX S. ANDRIEV, pour
Enseigne, laquelle les Bourguignons auoient laissié, depuis
que par succession la Seigneurie vint au Roy de France, &
porterent la CROIX DROICTE, tant que Philippes
le Hardy vescut, qui fut moult bon

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Occurrence 25. Anonyme. DES ANCIENNES ENSEIGNES ET ESTENDARTS DE... (1637) chez Richer (Estienne) à Paris , 77 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_1. le 2012-09-26 14:48:50.

a esté donnée, non, à certaines
personnes ou familles, mais à L’ESCVYER TRENCHANT,
lequel defaillant, attendant nouuelle prouision, elle
est confiée à quelque personnage de merite. Ainsi, le
sieur de Roddes, Escuyer trenchant, qui portoit la
Cornette-blanche à la bataille d’Iury (notable atteinte
contre la Ligue) ayant esté tué aux yeux de
son Roy, en la presence des meilleurs François combatans
pour la liberté de l’Estat, contre les desseins
des Estrangers, elle fut commise au Seigneur de Paloyseau,
Seigneur de naissance,

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