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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(669 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "combat" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 301. Anonyme. RESPONCE AVX INTRIGVES DE LA PAIX &... (1652) chez Porteur (Simon Le) à Paris , 14 pages. Langue : français. Voir aussi C_12_5. Référence RIM : M0_3387 ; cote locale : B_6_42. le 2013-02-25 14:46:55.

auec ces doctes, de qui la reputation m’est extremément
chere. Toutefois retournons à nostre
matiere, relaschons en si beau sujet, & si aymable,
où il y a tant à dire, puis qu’on ne voit que
des triomphes de tous costez. N’est-il pas vray
que le dernier combat a seruy de comble à sa gloire,
& qu’on doit adjouter pour cette action fameuse,
vn Laurier à ceux qui luy chargent la
teste?   Par quels charmes, par quels sortileges peut-on
corrompre l’esprit de tant de Senateurs qui
ayment la France & qui

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Occurrence 302. Anonyme. RESPONCE AVX INTRIGVES DE LA PAIX &... (1652) chez Porteur (Simon Le) à Paris , 14 pages. Langue : français. Voir aussi C_12_5. Référence RIM : M0_3387 ; cote locale : B_6_42. le 2013-02-25 14:46:55.

de n’auoir pas agy si rigoureusement ny
si heureusement comme la Cour se l’estoit promis,
qu’il auoit treuué plus d’vn Condé a combattre.
Cela veut dire qu’il sembloit que ce Prince
se fut partagé puis qu’on le trouoit par tout oú
la chaleur du combat estoit plus ardente. Il est
inutille de raconter icy ce que tout le monde
sçait, & que tout le monde a veu, ce dont tout
Paris a esté spectateur. Il n’en faut pas dauantage
pour faire voir la fausseté de ce qu’il allegue,
& il me semble que c’est

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Occurrence 303. Anonyme. RESPONSE AV LIBELLE INTITVLÉ BONS ADVIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3377 ; cote locale : B_14_41. le 2013-02-25 15:05:46.

iniustement detenus dans
vne captiuité si honteuse à nostre nation, & si fatalle à la
tranquillité du Royaume. Cet escriuain, pretend rendre Monsieur le Prince
odieux à Paris par le souuenir de la iournée de Charenton,
en laquelle il voulut, dit-il, attirer au combat les Gouuerneurs
& les citoyens de cette grande ville, pour apres
leur desroute dans ses entrailles le fer & le feu potté
par des barbares, fait assez paroistre qu’il a beaucoup de
malice, mais fort peu de iugement. Pour exciter la haine des

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Occurrence 304. Anonyme. RESPONSE AV SEDITIEVX ESCRIT INTITVLÉ... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3385 ; cote locale : B_17_9. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-03-03 07:08:38.

enfin à leur plus grãde gloire
& à la honte des Mazarins, qui furent battus auec
tous les auantages qu’ils auoient à faire l’attaque,
& forcés à reprendre le chemin de saint Denys,
apres auoir laissé plus de deux mille des leurs au
champ de bataille. Le combat fut opiniastre &
sanglant, les Princes y perdirent quelques Chefs,
& en eurent beaucoup d’autres blessez & leur bagage
qui les embarassoit, eut de la peine à se faire
ouurir les portes de la ville : Mais pouuoient-ils
vaincre sans peine des obstacles

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Occurrence 305. Anonyme. RESPONSE AV SEDITIEVX ESCRIT INTITVLÉ... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3385 ; cote locale : B_17_9. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-03-03 07:08:38.

de nostre aduersaire, qui mettant les
Princes d’vn & d’autre costé dans l’impuissance &
la fuitte, & le Bourgeois qui defendoit la porte,
dans la resolution de bien disputer le passage à
leurs troupes, luy fait neantmoins abandonner ce
poste sans combat, & le reduit à la honte de verser
des larmes au spectacle des Drapeaux rouges
qu’ils voyoient ombrager les ruës de Paris. Ie ne
puis nier que ce spectacle ne fus triste ; mais
ce que la necessité fait faire, est tousiours excusable
par cette loy. Et si les

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Occurrence 306. Anonyme. RESPONSE AV SEDITIEVX ESCRIT INTITVLÉ... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3385 ; cote locale : B_17_9. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-03-03 07:08:38.

princes, ausquels il fait l’honneur de donner le
nom de Braues, qu’ils meritent certes mesmes
au iugement de leurs plus grands ennemis, n’eussent
receu des preuues indubitables de la bienveillance
de la plus part des Parisiens, il ne se fussent
iamais engagez au combat si pres de leur ville,
& mis, pour ainsi dire, à leur discretion, si bien
qu’il est croyable que le plus grand nombre l’emperta
sur le plus petit, qui ne manquoit point de
volõté d’executer le dessein que ce feint des-interessé
temoigne indiscrettement.

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Occurrence 307. Anonyme. SECRET DE LA DISGRACE IMAGINAIRE DV COMTE... (1652) chez Chevalier (Jacob) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3625 ; cote locale : B_14_46. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-03-04 22:27:47.

qu’il n’a pas
trouuée sans soldats, encore qu’elle fut sans
garnisons, les Bourgeois de cette ville, ayans
fait vne sortie pour retirer leur bestail dont
les Picoreins s’estoient des-ja emparez, ce qui
les obligea d’en venir aux mains, & de donner
vn combat si sanglant & si opiniastré,
que non seulement ils recouurerent l’vn leurdit
bestail, mais tuerent plus de cent Maistres,
& prirent la plus part du bagage & des
cheuaux de ces Caualiers Mazarins. Dequoy
ceux de Bourdeaux estant aduertis leur

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Occurrence 308. Anonyme. SVITE DV SOLDAT BORDELOIS, CONTENANT LES... (1649) chez Morlot (Claude) à Paris , 8 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Bordeaux, par Michel Millange. Partie 2. Voir aussi A_7_39 (partie 1), C_10_15 (partie 1) et C_10_16 (partie 2) . Référence RIM : M0_3677 ; cote locale : A_7_40. le 2013-02-11 14:32:53.

surprirent & les deffirent.   Apres la desroute Monsieur de Chamberet
nostre General d’armée se croyant trahy, auança
luy-mesme sa mort, aymant mieux perir en combatant
que souffrir la prison, ou quelque chose de
pis, ny de suruiure à sa deffaite. Apres le combat
ayant esté recogneu entre les morts, il fut porté
par l’ordre de Monsieur Despernon, par six des
Officiers de ses troupes dans l’Eglise de Libourne
où il fut honorablement enseuely. Sa mort acheua
de precipiter nos gens, & les rendit si fort

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Occurrence 309. Anonyme. SVITE DV SOLDAT BORDELOIS, CONTENANT LES... (1649) chez Morlot (Claude) à Paris , 8 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Bordeaux, par Michel Millange. Partie 2. Voir aussi A_7_39 (partie 1), C_10_15 (partie 1) et C_10_16 (partie 2) . Référence RIM : M0_3677 ; cote locale : A_7_40. le 2013-02-11 14:32:53. , se sauue qui peut, auec tant

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Occurrence 310. Anonyme. SVITE DV SOLDAT BORDELOIS, CONTENANT LES... (1649) chez Morlot (Claude) à Paris , 8 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Bordeaux, par Michel Millange. Partie 2. Voir aussi C_10_15 (partie 1), A_7_39 (partie 1) et A_7_40 (partie 2). Référence RIM : M0_3677 ; cote locale : C_10_16. le 2013-02-11 14:29:47.

surprirent & les deffirent.   Apres la desroute Monsieur de Chamberet
nostre General d’armée se croyant trahy, auança
luy mesme sa mort, aymant mieux perir en combatant
que souffrir la prison, ou quelque chose de
pis, ny de suruiure à sa deffaite. Apres le combat
ayant esté recogneu entre les morts, il fut porté
par l’ordre de Monsieur Despernon, par six des
Officiers de ses troupes dans l’Eglise de Libourne
où il fut honorablement enseuely. Sa mort acheua
de precipiter nos gens, & les rendit si fort

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Occurrence 311. Anonyme. SVITE DV SOLDAT BORDELOIS, CONTENANT LES... (1649) chez Morlot (Claude) à Paris , 8 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Bordeaux, par Michel Millange. Partie 2. Voir aussi C_10_15 (partie 1), A_7_39 (partie 1) et A_7_40 (partie 2). Référence RIM : M0_3677 ; cote locale : C_10_16. le 2013-02-11 14:29:47.

dit : Ie vous ay pris
la pique à la main, ie vous veux presenter à la
Reyne en cét estat, & aussi-tost le fit conduire dans
la Citadelle de Libourne, où on le garde.   La trahison fut manifeste en cette malheureuse
occasion : Il se trouua qu’au iour de ce combat, la
moitié des personnes qui y auoient accouru auec
tant de chaleur auoient defilé, & s’estoient retirez.
Presque tous ceux qui auoient charge lascherent
le pied les premiers. La pluspart des volontaires
crierent, se sauue qui peut, auec tant d’action

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Occurrence 312. Anonyme. SVITTE ET CINQVIEME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 5 de 12, de C_1_40_01 à C_1_40_12. Voir aussi E_1_126 (partie 3). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : C_1_40_05. le 2013-03-06 01:27:01.

qu’il estoit au fait de la
Guerre, & armé de toutes pieces, ne pût éuiter l’addresse de nostre ieune
Achilles Monsieur le Duc de Beaufort, lequel n’ayant pour toutes armes
qu’vn collet de buffe, dont il estoit couuert, ayant esté la pluspart du
temps du combat sans chappeau, luy porta son espée dans la gorge, &
luy osta auec la vie, qu’il perdoit si mal heureusement en protegeant la
tyrannie, l’honneur & la gloire qu’il pouuoit s’estre auparauant acquise
aux armées. Les nouuelles de ce combat estans

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Occurrence 313. Anonyme. SVITTE ET CINQVIEME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 5 de 12, de C_1_40_01 à C_1_40_12. Voir aussi E_1_126 (partie 3). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : C_1_40_05. le 2013-03-06 01:27:01.

du
temps du combat sans chappeau, luy porta son espée dans la gorge, &
luy osta auec la vie, qu’il perdoit si mal heureusement en protegeant la
tyrannie, l’honneur & la gloire qu’il pouuoit s’estre auparauant acquise
aux armées. Les nouuelles de ce combat estans apportées à Paris, la crainte que
les Bourgeois eurent que nos Generaux ne fussent engagez, les fit sortir
en armes, & aller, pour ne pas dire voler, si promptement qu’il se
trouua en moins d’vne heure, vne armée preste pour leur secours, en
laquelle on

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Occurrence 314. Anonyme. SVITTE ET CINQVIEME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 5 de 12, de C_1_40_01 à C_1_40_12. Voir aussi E_1_126 (partie 3). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : C_1_40_05. le 2013-03-06 01:27:01.

les fit sortir
en armes, & aller, pour ne pas dire voler, si promptement qu’il se
trouua en moins d’vne heure, vne armée preste pour leur secours, en
laquelle on eut bien compté plus de trente-cinq mil hommes, bons &
vaillans Soldats, qui n’eurent autre part au combat, que l’honneur de salüer nosdits Generaux, & ramener triomphans dans la Ville, auec le
Baron d’Alais, & le sieur de Feracier Montbrun, tous deux Mareschaux
de Camp, & quantité d’autres de nos ennemis, que le sieur Marquis de
Noirmonstier

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Occurrence 315. Anonyme. SVITTE ET HVITIESME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 8 de 12, de C_1_40_01 à C_1_40_12. Voir aussi E_1_126 (partie 3). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : C_1_40_08. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-03-06 01:20:15.

conduisant les desseins, que personne
n’eust creu deuoir estre poussez, iusques aux extremitez où il les a portez ;
Que Messieurs du Parlement & Messieurs les Generaux, dés le commencement
auoient resolu de ne faire aucuns actes d’hostilité, de ne rendre
aucun combat s’ils n’y estoient forcez, de ne surprendre ny se saisir d’aucunes
places, pour ne pas paroistre agresseurs, ains seulement, de demeurer
sur la deffensiue, & faire venir des viures à Paris, sans hazarder aucuns
Bourgeois, ny leur permettre aucunes sorties que celles

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Occurrence 316. Anonyme. SVITTE ET NEVFIESME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 9 de 12, de C_1_40_01 à C_1_40_12. Voir aussi E_1_126 (partie 3). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : C_1_40_09. Texte édité par Site Admin le 2013-03-06 01:05:10.

Francisque-Sforce Duc de Milan son amy, qui luy conseilla de ne refuser
rien de ce qui luy estoit demandé, afin d’appaiser promptement cette
guerre : apres laquelle il se seruit tousiours depuis de ces Seigneurs, &
confessa librement qu’il n’auoit voulu hazarder aucun combat, pour ne
vouloir pas commettre son estat au peril d’vne chose si incertaine qu’vne
bataille, & qu’il auoit pris resolution de se retirer du Royaume, estãt hors
d’esperance de le pouuoir conseruer si la Ville de Paris ne fust demeurée
dans la fidelité

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Occurrence 317. Anonyme. SVITTE ET SIXIEME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Partie 6 de 12, de C_1_40_01 à C_1_40_12. Voir aussi E_1_126 (partie 3). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : C_1_40_06. le 2013-03-06 01:17:18.

de
Brie, & qui auoient esté escortées par Monsieur le Marquis de Noirmonstier,
qui estoit sorty dés le iour precedent ; & ayant fait rencontre des troupes
ennemies, conduites par le Comte de Grancey, qui firent effort d’empescher
ledit Conuoy, il y eut aspre Combat, où le Prince de Marsillac
fut blessé d’vn coup de Pistolet, & Monsieur de Duras le Fils, d’vn coup
de Mousquet, apres auoir deffait quantité des Ennemis, & fait passer de
viue force ledit Conuoy, sans qu’il y ait eu perte d’vne seule charette. L’on

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Occurrence 318. Anonyme. SVITTE ET TROISIEME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 3 de 12, de C_1_40_01 à C_1_40_12. Voir aussi E_1_126 (partie 3). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : C_1_40_03. le 2013-03-06 01:24:50.

trente vniéme, Tancrede de Rohan, Fils & heritier de
la valeur du feu Duc de Rohan son Pere, estant en la Compagnie des
Sieurs Marquis de Vitry, de Noirmonstier & autres, ayans rencontré
quelques Ennemis de la garnison du Chasteau de Vincennes, apres auoir
rendu combat contre eux, & en auoir tué plusieurs, fut enfin luy-mesme
blessé d’vn coup de pistolet, & emmené audit Chasteau où il mourut le
lendemain. Le Lundy premier Feurier, Monsieur le Duc d’Elbœuf entra en la Ville
de Brie-Comte-Robert, où il mit en garnison

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Occurrence 319. Anonyme. SVITTE ET TROISIEME ARRIVÉE DV COVRIER... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 3. Voir aussi C_1_40 (parties 1 à 12). Référence RIM : M0_830 ; cote locale : E_1_126. Texte édité par Site Admin le 2013-03-06 01:08:03.

trente-vniesme, Tancrede de Rohan, Fils & heritier de
la valeur du feu Duc de Rohan son Pere, estant en la Compagnie des
Sieurs Marquis de Vitry, de Noirmonstier & autres, ayans rencontre
quelques Ennemis de la garnison du Chasteau de Vincennes, apres auoir
rendu combat contre eux, & en auoir tué plusieurs, fut enfin luy mesme
blessé d’vn coup de pistolet, & emmené audit Chasteau où il mourut le
lendemain. Le Lundy premier Feurier, Monsieur le Duc d’Elbeuf entra en la Ville
de Brie-Comte-Robert, où il mit en garnison

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Occurrence 320. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

effet, pour iouïr
plus seurement de ses Estats. Sur la nouuelle de cette Tragedie, Louis s’auance,
& rencontrant Charles à l’entrée du Royaume, luy donne bataille,
où les François estans vaincus, Louis mourut peu de iours apres de playes
qu’il auoit receuës au combat, laissant vn fils nommé Louis II. qui se rendit
maistre de Naples, & en fut chassé peu apres. Bonisace IX. Pape Schismatique,
couronna Ladislas fils de Charles, pendant que Clement, seant
en Auignon, recogneu de la posterité pour Pape legitime, inuestit Louis
II.

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Occurrence 321. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

retint ceste
Princesse pour la marier à sa bien-seance. Le pere s’estant plaint à
l’Empereur Rodolphe, & au Roy d’Angleterre, ils se mirent en campagne
auec de grandes forces : contre lesquelles le Roy ayant assemblé celles
de son Royaume, & de ses alliez, le combat se donna à Furnes, où les
François demeurerent victorieux : Et le Roy, par l’aduis des Pairs, confisqua
le Comté de Flandre. Pour mettre cet Arrest à execution, Philippes
employa Charles, Comte de Valois, à l’arriuee duquel le pays s’estant
sousmis au Roy,

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Occurrence 322. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

de la quitter. En suitte sa Maiesté
renouuelle l’alliance auec les Estats d’Hollande, pour auec leurs communes
armes entrer aux Estats des Païs-bas, obeissans au Roy d’Espagne.
L’armee de sa Maiesté rencontre celle de l’Espagnol, commandee par le
Prince Thomas, la combat, & la defait au village d’Aueyn : la victoire se
poursuit : l’armee du Roy, & celle du Prince d’Orange se ioignent à Mastric,
entrent en Brabtã, prennent Tillemont, Deist, Arschot, & mettent le
siege à Louuains : les nostres courent iusques aux portes

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Occurrence 323. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

au delà du Rhin par les nostres : en suitte la guerre
se continue en Alsace. L’armee du Roy se rend maistre de Sauerne & Haguenau.
Le Duc Bernard Vvimard, auec ses trouppes grossies des nostres,
prend les villes forestieres, appartenantes à la maison d’Austriche, combat
le Duc de Sauelly, & Iean de Vvert, qu’il prend prisonnier, & l’enuoya au
Roy. Au deçà du Rhin les nostres s’emparerent des villes de Colmar, de
Scelestad, & le Duc de Vveimart, de Nieubourg. Ce qui facilita le siege
de Brisac par luy entrepris, auec

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Occurrence 324. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

Fribourg, se retirerent sur des eminẽces auãtageuses où, ils croyoiẽt
n’estre point contraints à combatre en quoy ils furent trompez : car le Duc
d’Enguien les enuoya assaillir par diuers endroits, auec tant de courage
& de resolution, qu’apres vn grand & long combat, leurs postes furent emportez, portez, & plus de quatre mil des ennemis tuez sur le champ.   Le Duc se voyant ainsi Maistre de la campagne, sceut addroictement
vser de sa victoire : car ayãt donné ainsi la chasse à ses ennemis, commanda
son armee

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Occurrence 325. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

de Philisbourg, où elles croissoient de iour à autre, autant que celles
des ennemis diminuoient ; qui souz la charge du General Mercy estoient
retrenchez auprés de Hailbron, au nombre de dix mil hommes, tant de
pied que de cheual, Mais tellement espouuentez, que depuis le grand combat
de Fribourg, l’on ne vid aucun de l’armée dudit General qu’vne seule
partie de trente Maistres qui parut deux iours apres la prise de Philisbourg,
mais qui s’en retourna à l’heure mesme, sans rien faire. Reste maintenant de raconter la suitte des Conquestes

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Occurrence 326. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’IMAGE DV SOVVERAIN OV L’ILLVSTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1684 ; cote locale : C_5_58. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-04-27 17:07:35.

auons encore vn pareil exemple
au Liure des Roys en la personne du Prophete Royal Dauid.
Ce petit Bergerot ayant ouy dire que Saul vouloit
donner sa fille Michol à celuy qui defferoit Goliath,
Geant d’vne grandeur prodigieuse, prend Dieu pour son
second, arme sa fronde, combat Goliath & le défait, pour
auoir la fille & le Sceptre. Cet illustre Monarque proposa
vn prix de grande importance à celuy qui luy porteroit la
teste d’Hiebusée. Ioab, Colonel de l’armée de ce mesme
Prince, ne fut-il pas glorieusement recompensé, pour

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Occurrence 327. Brousse, Jacques [?] /... . LE REVERS DV MAVVAIS TEMPS PASSÉ ET LA... (1649) chez Coulon (Antoine) à Paris , 15 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_3545 ; cote locale : A_8_21. le 2013-12-28 15:43:16.

ies fascheux labyrinthes que peut façonner & construire vn Finet
& rusé Estranger.   Vn noble cœur rejette tout ce qui luy semble contraire. Ce dire
franc & ne l’estre pas monstre plustost vne butordise qu’vne
addresse: Et celuy qui entre le dernier au combat auecque prudence
r’emporte bien souuent plus de Lauriers que ceux qui l’ont
premedité auant le temps, se fortifiant sur des paroles niaises & friuolles. Les combattans se trouuent honnorez quand on leur dit
qu’ils sont genereux. Chers amis excusez

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Occurrence 328. Brousse, Jacques [?]. ADVIS AVX GRANDS DE LA TERRE. Sur le peu... (1649) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_487 ; cote locale : A_2_2. le 2013-12-28 15:38:22.

où ils auoient
receu tant d’honneur & d’acclamations publiques: non pas par leurs ennemis iurez, car ils n’en auoient point qui seulement ozassert leur faire
teste & qui au seul bruict de leurs noms, ne se creussent defaits auant mesme
que de donner combat, mais ce qui doit rendre vos conditions odieuses,
& mesprisables dans leurs plus majestueux esclat, chargés de chaisnes
par les Roys, dont ils auoient affermy les throsnes chancellans: mais
pour monstrer qu’il n’y a rien icy bas en qui on se doiue asseurer,

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Occurrence 329. Brousse, Jacques [?]. ADVIS AVX GRANDS DE LA TERRE. Sur le peu... (1649) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_487 ; cote locale : A_2_2. le 2013-12-28 15:38:22.

sont redeuables de leurs
pouuoirs, & qui a plus de droit & de dommation sur elles, qu’elles n’en
ont sur leurs Sujets.  
Regum timendorum in proprios greges
Reges in ipsos imperium est Ioues.   Et qui subjugue sans peine & sans combat tous les plus heureux conquerans,
les vns dans le fort de leur Royaume, par des maladies, comme
cét Alexandre le vainqueur de toute la terre. Les autres par des punitions
corporelles, Comme le superbe Nabuchodonosor, qui fut beste vn grand
nombre d’années, comme

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Occurrence 330. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE CONSEILLER FIDELE. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_1_31.. Référence RIM : M0_764 ; cote locale : E_1_124. le 2013-07-24 08:54:42.

qui parlent de la Politique
comme certains Medecins parlent des Plantes dont
ils sçauent tous les noms sans en connoistre la vertu,
i’entends ces veritables Sages de qui le cœur respond
a la langue, qui raisonnent & qui executent,
qui se font admirer dans le combat aussi bien que
dans le Conseil, qui penetrent dans les interests de
nos voisins & dans les nostres, dont la vertu ne doit
rien à la naissance & à la fortune, qui preuoient les
dangers & qui les preuiennent, qui bastissent leur
Politique sur la Morale,

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Occurrence 331. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE CONSEILLER FIDELE. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_1_31.. Référence RIM : M0_764 ; cote locale : E_1_124. le 2013-07-24 08:54:42.

quelque
grace. Il en est tout au contraire d’vn estranger
quand il possede l’oreille d’vn Prince. Comme le retour
dans son païs est ordinairement son esperance
la plus grande & la plus secrette ; quelque artifice
qu’il employe à se déguiser, qu’il ne combat que
pour la retraitte, qu’il ne peut oublier ny ses amis
ny ses proches, ou qu’il trauaille à la gloire de son
Roy naturel, lors qu’on croit qu’il s’oppose à sa
grandeur, comme les rameurs qui tournent le dos
au lieu ou ils veulent aborder,

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Occurrence 332. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE CONSEILLER FIDELE. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi E_1_124.. Référence RIM : M0_764 ; cote locale : C_1_31. le 2013-07-24 08:55:13.

qui parlent de la Politique
comme certains Medecins parlent des Plantes dont
ils sçauent tous les noms sans en connoistre la vertu,
i’entends ces veritables Sages de qui le cœur respond
a la langue, qui raisonnent & qui executent,
qui se font admirer dans le combat aussi bien que
dans le Conseil, qui penetrent dans les interests de
nos voisins & dans les nostres, dont la vertu ne doit
rien à la naissance & à la fortune, qui preuoient les
dangers & qui les preuiennent, qui bastissent leur
Politique sur la Morale,

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Occurrence 333. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE CONSEILLER FIDELE. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi E_1_124.. Référence RIM : M0_764 ; cote locale : C_1_31. le 2013-07-24 08:55:13.

quelque
grace. Il en est tout au contraire d’vn estranger
quand il possede l’oreille d’vn Prince. Comme le retour
dans son païs est ordinairement son esperance
la plus grande & la plus secrette ; quelque artifice
qu’il employe à se déguiser, qu’il ne combat que
pour la retraitte, qu’il ne peut oublier ny ses amis
ny ses proches, ou qu’il trauaille à la gloire de son
Roy naturel, lors qu’on croit qu’il s’oppose à sa
grandeur, comme les rameurs qui tournent le dos
au lieu ou ils veulent aborder,

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Occurrence 334. D. VV. [?]. LE HERAVLT FRANCOIS. OV Le Paranymphe de... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 12 pages. Langue : français. Sans page de titre. Partie 2. Voir aussi A_3_68 (partie 1).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_69. le 2013-08-11 10:42:23.

si gaillardement
que les ayant tous passez au fil de l’espée, il n’eut point d’empeschement
pour marcher contre toute l’Armée ennemie qui fut recoignée
iusques dans ses retranchemens qu’elles auoit quittés pour le secours
de ces fourrageurs.   Ce combat où le Prince de Botere perdit six cens hommes tuez
sur la place, cinq cens prisonniers, tous les hommes d’armes que l’on
appelloit Cruzados, neuf cens mules & quelque autre butin, ayant
acheué de ruiner toutes les Armées du Roy Catholique, ce Capitaine
reprit

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Occurrence 335. D. VV. [?]. LE HERAVLT FRANCOIS. OV Le Paranymphe de... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 12 pages. Langue : français. Sans page de titre. Partie 2. Voir aussi A_3_68 (partie 1).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_69. le 2013-08-11 10:42:23.

auec furie, il luy tua quatre cens hommes, & fit
grand nombre de prisonniers. Cette charge le fit serrer, mais elle ne
l’empescha pas de continuer sa marche le lendemain, qui fut le 28. de
Mars; ce qui donnant à ce Capitaine vn nouueau sujet d’aller à la
charge, le combat y fut beaucoup plus rude qu’au iour precedent: car
la victoire demeura long temps en balance; Mais Dom Vincent de
la Mare ayant esté pris sur la fin du iour, le champ demeura aux François
auec les morts, qui se trouuerent en plus grand nombre qu’au
premier combat.

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Occurrence 336. D. VV. [?]. LE HERAVLT FRANCOIS. OV Le Paranymphe de... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 12 pages. Langue : français. Sans page de titre. Partie 2. Voir aussi A_3_68 (partie 1).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_69. le 2013-08-11 10:42:23.

le combat y fut beaucoup plus rude qu’au iour precedent: car
la victoire demeura long temps en balance; Mais Dom Vincent de
la Mare ayant esté pris sur la fin du iour, le champ demeura aux François
auec les morts, qui se trouuerent en plus grand nombre qu’au
premier combat. Ce second eschec obligea le lendemain 29. tout le
reste de l’armée Espagnolle à faire volte-face pour retourner à Terragone,
dans laquelle marche ayant esté suiuie auec chaleur, Dom
Pierre d’Arragon qui la commandoit, harassé de tant d’attaques, preuenu
par

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Occurrence 337. D. VV. [?]. LE HERAVLT FRANCOIS. OV Le Paranymphe de... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 12 pages. Langue : français. Sans page de titre. Partie 2. Voir aussi A_3_68 (partie 1).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_69. le 2013-08-11 10:42:23.

laquelle marche ayant esté suiuie auec chaleur, Dom
Pierre d’Arragon qui la commandoit, harassé de tant d’attaques, preuenu
par les continuelles allarmes des Catalans, qui ne luy donnoient
point de repos, tousiours incommodé de viures, obligé pour la troisiesme
fois au combat, qui luy cousta beaucoup plus que les precedens,
fut contraint de demander quartier, pour le reste des gens de
guerre qui le suiuoient.   Ces trois combats furent accompagnez de quantité de particularitez
remarquables: mais n’ayant pas resolu de faire vne

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Occurrence 338. D. VV. [?]. LE HERAVLT FRANCOIS. OV Le Paranymphe de... (1649 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 12 pages. Langue : français. Sans page de titre. Partie 2. Voir aussi A_3_68 (partie 1).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_69. le 2013-08-11 10:42:23.

en la bonté de ses trouppes
& en vn poste auantageux, qu’il occupoit, le firent donc resoudre
d’attendre auec douze mille hommes, le choc d’vne armée trois fois
plus forte, de laquelle il fut attaqué le 7. d’Octobre, à la veuë de la
ville de Lerida. Le combat fut grand, long & opiniastré iusques au bout, la prise
de deux de nos canons & nostre aile droite esbranlée par la furieuse
attaque de l’Auant-garde, composée de la Noblesse volontaire d’Espagne,
des Escadrons des Ordres, & de deux mille cuirasses que

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Occurrence 339. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

l’armée du Prince, Son Altesse commanda sous ses ordres trois Compagnies de Caualerie,
auec le Regiment de Pfalsebourg, pour passer de l’autre costé:
ce qu’il fit, auec vne contenance si resoluë, que les trouppes du
Duc de Rohan n’oserent se disposer au combat pour l’aller chocquer:
de sorte que s’y retranchant puissamment, il asseura le passage
à toute l’armée.   Son asseurance parut encor mieux à Pamiers: car le Regiment de
Normandie ayant esté repoussé de la breche auec grande perte, il y
donna de

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Occurrence 340. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

retraites des Huguenots, il enuoya
querir son Regiment, sur l’esperance d’en tirer de grands auantages
pendant le Siege: En quoy sa Majesté ne fut point trompée; car
s’estimant assez glorieux d’auoir les yeux de son Prince, pour tesmoins
de ses actions, il tua en combat singulier, à la veuë de toute
l’armée, vn Caualier des ennemis, qui auoit ozé mettre la main sur
la picque d’vn Soldat de sa compagnie; Ne s’estonna pas quand il se
veit engagé sous les ruines d’vne tour qui l’auoit mis tout viuant en
terre, sortit de là

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Occurrence 341. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

auoit fait le Soldat, aussi
bien que le Capitaine, en cette action. La campagne de 1631. ne luy donna que l’auantage d’auoir suiuy
le Roy au voyage de Metz: Dans la suiuante, il commanda pour la
derniere fois, le Regiment de Pfalsebourg, au siege de Flix, & au
combat de Castelnaudary: car ayant accompagné sa Majesté deuant
Nancy, il fut gratifié du gouuernement de Bellegarde, & d’vn Regiment
d’Infanterie, qui fut appellé de son nom; charges qui vacquoient
par le deceds du sieur de la Grange. Ce fut auec ce Regiment

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Occurrence 342. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

ce qui reduisit
l’armée à de grandes necessitez pendant quelques iours; mais
enfin la resolution du Comte de Harcour ayãt esté de quiter Quiers
auec peril, plutost que d’y perir laschement; il commanda de batre
aux champs, & cette sortie donna lieu aux fameux combat de la
Route, que l’on peut mettre au nombre des plus belles retraites qui
ayent iamais esté faites par quelque Capitaine que ce soit. L’armée
Françoise composée seulement de neuf mil trois cens soixante hommes,
partit de Quiers deux heures auant iour le 19. de

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Occurrence 343. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

pour soustenir les coureurs, le premier auec trois cens mousquetaires,
l’autre auec cent cinquante du Regiment des Gardes, & de la
Compagnie du Prince de Condé; Ce qu’ils firent auec tant de cœur,
que ces trois Escadrons furent renuersez & battus apres vn combat
merueilleux: sur quoy le Marquis de Leganez arriuant auec toute son
Armée, il fit placer deux batteries & fit donner en mesme temps aux
flancs de cette Arriere-garde.   Pour resister à cette furieuse attaque qui dura deux heures, ce Capitaine
visita tous

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Occurrence 344. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

telle
conduite, que les Ennemis ne l’ayans pû trouuer ouuert pour l’enfoncer,
furent contrains de se retirer auec grande perte. Mais le
Marquis ayant appris sur les cinq heures, que le Prince Thomas
estoit aux prises auec l’Auant garde, il retourna furieusement au
combat, attaqua de quatre costez & continua la meslée iusques bien
auant dans la nuit, sans gagner vn poulce de terre: de sorte que nos
mousquetaires n’ayans plus rien dans leurs bandollieres, ils eurent
recours aux espées, auec lesquelles ils soustindrent si bien le

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Occurrence 345. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

combat, attaqua de quatre costez & continua la meslée iusques bien
auant dans la nuit, sans gagner vn poulce de terre: de sorte que nos
mousquetaires n’ayans plus rien dans leurs bandollieres, ils eurent
recours aux espées, auec lesquelles ils soustindrent si bien le combat,
que le General Espagnol voyant ses troupes harassées sans auoir
acquis aucun auantage, se retira sur les trois heures apres minuit
pour leur dõner vn peu de relasche. C’estoit pourtant auec dessein de
retourner à la charge, aussi tost que le retour du Soleil luy en

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Occurrence 346. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

ses troupes furent toutes passées auant
jour: De sorte que les Espagnols n’eurent que le regret de trouuer
trois mille morts, dessus la poussiere, tant de leur costé que de celuy
du Prince Thomas pour quatre cens soixante François qui demeurerent
sur la place. Ce combat qui dura six heures auec des forces tant inegales, acquit
vne gloire immortelle aux armes de sa Majesté: ce Capitaine
qui les auoit commandées en partie, receut aussi la satisfaction d’estre
loüé par la plus auantageuse bouche de France, ie veux dire
par le

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Occurrence 347. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

& se rendit
Maistre de la Place: Toutesfois ils y entrerent en plus grand nombre
par vn autre endroict, où ils furent si brusquement chargez par
ce Capitaine, qu’ils furent contraints de sortir pour la seconde fois de
nos lignes, aprés s’estre meslez dans vn combat, qui ne dura pas moins
d’vne heure. Nous opposasmes à cette attaque opiniastre, vne deffence
vigoureuse qui reuint à la gloire de ce Capitaine, que le Ciel
destinoit pour estre le fleau des Espagnols. Ceste resistance n’empescha pas que les ennemis reuenans

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Occurrence 348. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

d’vne heure. Nous opposasmes à cette attaque opiniastre, vne deffence
vigoureuse qui reuint à la gloire de ce Capitaine, que le Ciel
destinoit pour estre le fleau des Espagnols. Ceste resistance n’empescha pas que les ennemis reuenans pour
vne troisiesme fois au combat, auec toute leur Caualerie & Infanterie,
n’entrassent dans les retranchemens mal-gré les nostres: mais durant
le plus fort de l’attaque, les Regimens de Beauregard & du Terrail,
arriuerent tant à propos, qu’ils percerent plusieurs fois tous les
escadrons

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Occurrence 349. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

retranchemens, qui
estoient entre cette riuiere & vne redoute qui la deffendoit: mais le
fossé s’estant trouué trop haut, & plein d’eau, l’auant-garde ne peût
passer, & dans cette occupation, elle fut surprise par ce Capitaine, qui
reuenoit d’vn grand combat, où il auoit contraint l’arriere-garde,
commandée par Dom Carlo de la Gatta, de se mettre entre les murailles.
Cette Auant-garde se trouuant donc enfermée, elle fut contrainte
de demander quartier, & demeura toute prisonniere, à la reserue
de quelques Caualiers

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Occurrence 350. D. VV.. LE HERAVLT FRANCOIS, OV LE PARANYMPHE DE... (1649) chez Henault (Jean) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1. Voir A_3_69 (partie 2).. Référence RIM : M0_1624 ; cote locale : A_3_68. le 2013-08-11 10:37:53.

conduitte de Dom Carlo de la Gatta, auec
des fascines & des pontons, pour ne tomber pas dans le mal-heur de
la precedente sortie; mais ce Capitaine s’estant vigoureusement opposé
à cette entreprise, auec toutes les trouppes qu’il commandoit, il
contraignit, aprés vn combat furieux, le Prince Thomas & Dom
Carlo de la Gatta, de r’entrer dans la ville auec desordre laissant quantité
de morts au champ de bataille; & cette courageuse opposition
causa la reddition de Turin, qui ne fut pas vn petit progrez pour les
affaires de

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Occurrence 351. Davenne, François [?]. LETTRE PARTICVLIERE DE CACHET envoyée par... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 36 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2250 ; cote locale : C_3_9. le 2013-02-20 02:03:10.

Luy seul peut mouuoir vos volontez auec ces
noirs characteres, ou les mechans voyent la mort habillée de
leurs couleurs. Mazarin qui veut tout faire perir, à cause de
l’authorité Royalle, de laquelle il se couure, & laquelle dautant
qu’on luy resiste, il dit qu’on combat, deuroit estre sacrifié
luy-mesme, parce qu’il l’a dissipée tout à fait. Receuez-donc, Auguste Senat, ce Verbe prononcé, dans l’eternité, lequel Dieu vous enuoye par cette letre de cachet : &
rejettez ce Sathan que Mazarin vous adresse par

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Occurrence 352. Du Crest,?. LE SENEQVE MOVRANT, DECLARANT A SA MORT le... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3640 ; cote locale : B_16_19. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-11 13:50:30.

On dit que cét Espagnol auoit enuoyé à Charles
par vn gentilhomme vn cartel de défy auec ces paroles ;
Qu’il s’y trouuât s’il estoit homme, s’il estoit Capitaine,
s’il estoit Roy. Le François l’accepta librement,
il luy donna Bordeaux pour le lieu du combat,
qui estoit pour lors du domaine des Anglois, où ils
deuoient se voir auec chacun cent Caualiers. Charles
ne manque pas d’y aller bien armé, & d’attendre son
ennemy iusques à la nuit. Mais l’Espagnol demeurant
court à l’execution de ses Rodomontades,

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Occurrence 353. Du Crest,?. LE SENEQVE MOVRANT, DECLARANT A SA MORT le... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3640 ; cote locale : B_16_19. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-11 13:50:30.

en Espagne
entre Pierre Roy de Castille, & Henry fils naturel
d’Alphonse, attira à soy les armes des François.
Le Duc de Bourbon prit la conduite des Troupes auec
le Connestable. A leur abord le Roy de Castille espouuanté,
se mit à fuyr sans attendre d’vn
combat, & alla se ietter entre les bras du Prince de
Galle, qui le reçeut, & l’assista auec tant de bon-heur,
que les nostres ayant esté vaincus, & du Guesclin pris
en la bataille auec plusieurs Seigneurs de remarque,
il le restablit dans son Royaume.

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Occurrence 354. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

merite extraordinaire,
lequel pour s’en deffaire, elle engagea
en toutes les entreprises perilleuses qui se peurent
presenter, & luy resolu de mourir en la bataille d’Estampes
contre Landry, où Merouée fils aisné de Clotaire
fut tué, il se mesla si auant au combat parmi les
ennemis qu’il acheta la victoire par sa propre deffaite,
ne voulant point suruiure à la disgrace de Brunehaut.
En sixiesme lieu, on l’accuse d’auoir fait tuer
Aigila Patrice Romain, sans autre suiet que pour auoir
son bien, se soüillãt ainsi d’vn

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Occurrence 355. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Reynes que nous ayons eu en
France, de puis la naissance de cette Monarchie. C’est
donc à tort qu’on la charge de la mort de Gozon
Maire du Palais de son mari, qu’on dit auoir esté
empoisonné par elle, puisque les autheurs asseurent
qu’il fut tué dans vn iuste combat. En vain on la blasme
de son Mariage auec Merouée qu’elle fit auec dispense,
& pour nuire à son ennemy par son propre fils,
C’est iniustement qu’on l’accuse de la mort de Guintrion
à la cour de Theodebert, où elle ne fit iamais
aucun seiour. Pour ce

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Occurrence 356. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

reconneurent aussi genereuse à former ses
desseins que leur pere l’auoit éprouuée resoluë à les
executer. Elle gagne sur eux vne seconde victoire
auec vn si grand succés, que peu de ses gens estans
morts en cette bataille, le cours de la riuiere d’Aurance
où ce combat fut donné, fut arresté par les
corps des vaincus. Ainsi Fredegonde en sa Regence
triomphe deux fois de toute la force d’Austrasie & de
Bourgogne, d’Orleans & de Soissons, de Childebert
& de ses enfans, & ce qu’elle estimoit beaucoup plus
que

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Occurrence 357. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de sa deffaite. Depuis cette memorable
Iournée, à peine y a-il eu vne Cãpagne qui n’aye
esté glorieusement marquée de la prise de quelque
Place importante, ou du gain de quelque fameuse bataille.
La prise de Thionuille fut suiuie de celle de
Philisbourg, & le combat de Nortling fameux par la
mort ou par la prise de ses deux Chefs, fut anticipé
par l’atta que de Fribourg, où auec les rochers nostre
armée eut à combatre les Elemens. Grauelines se rẽdit
en suite. Bourbourg & Furnes, Courtray & Armentiers,
Lens &

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Occurrence 358. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE TOMBEAV DV SENS COMMVM OV LE RENVERSEMENT... (1650 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3784 ; cote locale : B_18_35. le 2013-12-29 08:59:43.

Monsieur le Prince n’auoit iamais des obligé ny le Roy
ny l’Estat, mais au contraire, il falloit necessairement
qu’il fust emprisonné.   II. Le second dessein que ie m’en vay toucher,
fauorise du moins apparemment la passion des
Mazarins : En effet il la combat. Si le retour du
Mazarin est necessaire pour le repos de l’Estat, le
Duc de Mercœur n’en veut pas dauantage pour
coucher auec la Manchini ; c’est ce que souhaite
le Duc d’Espernon, pour rentrer dans le Gouuernement
de Guyenne ; c’est toute la passion

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Occurrence 359. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’ADVOCAT GENERAL, SOVSTENANT LA CAVSE DE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_555 ; cote locale : B_17_14. le 2013-01-22 14:50:10.

les interests de S. A. R. ne luy permetront
iamais de souscrire qu’à des propositions
auãtageuses pour nostre repos, & que nous auons
toute sorte de raison de croire que ses interests
sont les nostres, puis qu’à nos yeux, il les a soutenus
dans le plus chaud du combat, contre les tyrans
de nostre liberté.   Au reste, il faut estre plus impudent que l’ordinaire
des effrontez, pour asseurer que le Duc de
Lorraine n’estoit venu qu’afin de sauuer ce que les Princes
auoient de troupes dans Estampes, & qu’apres

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Occurrence 360. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’APOCALYPSE DE L’ESTAT, FAISANT VOIR,... (1651 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. La page 40 et dernière contient un avertissement au lecteur qui identifie Dubosc-Montandré.. Référence RIM : M0_98 ; cote locale : B_4_18. Texte édité par Site Admin le 2013-02-01 15:27:34.

il faut considerer, pour en sçauoir la grandeur
qu’elle est la profusion de ses bontés. Pouuoit on aucunement douter de la passion
que Codrus auoit pour les interests de sa patrie, lors
qu’ayant apris de l’Oracle que l’armée dont le Roy
seroit tué dans le combat, triompheroit de son ennemie ;
il fit couper les renes de son cheual, pour se
precipiter auec moins de danger d’estre arresté par
aucune lasche apprehension ; dans le plus chaud de la meslée, où tous les perils ensemble luy faisoient
voir que la

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Occurrence 361. Dubosc-Montandré, Claude [?]. L’AVEVGLEMENT DES PARISIENS, FAISANT VOIR... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 31 pages. Langue : français. Moreau indique 71 pages.. Référence RIM : M0_467 ; cote locale : B_16_51. le 2013-02-15 10:25:50.

chose que le Roy & ceux qui sont a sa suite ; Il faut
donc que la Cour ayt le dessus : beau raisonnemẽt
pour fauoriser la tirannie, mais mauuais raisonnement
pour remedier a tes desordres. Vainque qui voudra ; le Roy sera le Maistre : On ne combat pas pour le destruire, mais pour
l’establir : On ne veut pas ébranler son Trône, on
veut le rasseurer : On n’en veut point à l’authorité
Royalle, on en veut à la tyrannie le Roy ne
subsiste t’il que par le Mazarin & par ses complices ?
le Roy

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Occurrence 362. Gondi, Jean-François Paul /... . LE MANIFESTE DE MONSEIGNEVR LE DVC DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2368 ; cote locale : B_9_4. le 2013-09-10 15:27:07.

l’Histoire, s’estant voüez pour la patrie, comme Mandius Torquatus, & la
Grece fait sonner si haut la generosité de Codrus
Roy des Atheniens, le quel voulut mourir pour Couronner
le Peuple par sa Victoire, ayant quitté ses habits
Royaux dans le Combat, & prins ceux de simple
Soldat. Et de-sarmens en main pour brusler le
Camp des ennemis, afin de les obliger a le combattre
& à le destruire pour accomplir l’Oracle, lequel
auoit respondu que si le Roy estoit tué par les ennemis,
Athenes auroit l’Empire,

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Occurrence 363. Mengau, Jacques. L’HOROSCOPE IMPERIAL DE LOVIS XIV.... (1652) chez Huart (François) à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Avec privilège. Portrait de Louis XIIII (sic) en page 2. Le nom de Mengau est mentionné dans l'extrait du privilège, p. 20. Voir aussi B_2_27. Référence RIM : M0_1667 ; cote locale : C_5_53b. le 2013-04-27 16:53:22.

apres le mariage du Roy auec la fille d’Espagne,
ainsi qu’il a remarqué dans la Centurie quatriéme
Quatrain 45. lors qu’il dit.  
Croix Paix, sous vn accomply diuin terbe,
L’Espagne & Gaule seront vnis ensemble
Grand, Clade proche & combat tres-accerbe,
Cæur si hardy ne sera qui ne tremble.   Si cela est nous en sommes bien éloignez, &
de fait nostre Oracle nous l’assure de plus fort par
le sixain cy-dessus note pris de l’onziéme Centurie
Sixain 49. en ce qu’il a dit.

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Occurrence 364. Mengau, Jacques. L’HOROSCOPE IMPERIAL DE LOVIS XIV.... (1652) chez Huart (François) à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Avec privilège. Le nom de Mengau est mentionné dans l'extrait du privilège, p. 20. Voir aussi C_5_53b. Référence RIM : M0_1667 ; cote locale : B_2_27. Texte édité par Site Admin le 2013-04-27 16:52:57.

apres le mariage du Roy auec la fille d’Espagne,
ainsi qu’il a remarqué dans la Centurie quatriéme
Quatrain 45. lors qu’il dit.  
Croix Paix, sous vn accomply diuin terbe,
L’Espagne & Gaule seront vnis ensemble
Grand, Clade proche & combat tres-accerbe,
Cœur si hardy ne sera qui ne tremble.   Si cela est nous en sommes bien éloignez, &
de fait nostre Oracle nous l’assure de plus fort par
le sixain cy-dessus note pris de l’onziéme Centurie
Sixain 49. en ce qu’il a dit.

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Occurrence 365. P. M. D. C. [signé] /... . LE COMETE ROYAL PRONOSTIQVANT A LA Reine vn... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M1_66 ; cote locale : B_4_2. le 2013-07-07 09:40:57.

occidissem
potius hostis præda, quam ciuis victima ? nũc seruatus
ex periculis, qua sola timui in hæc incidi, qua timere
non debui. Ibid lib. 6. I’apprehende qu’il ne dise vn
iour comme le mesme Alexandre le Grand. Qu’il
m’eust esté plus heureux de mourir au combat contre les
ennemis du Roy, que contre ses suiets, sous pretexte de
maintenir par mon credit vn homme de neant contre
tout vn Royaume. Il m’estoit plus glorieux de tomber
entre les mains des ennemis, & d’estre la proye des
estrangers, que la victime de mes

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Occurrence 366. Perpignan,? (sieur). LE GENEREVX CONSEIL DONNÉ AVX BONS... (1652) chez Bazavoine (Pierre) à Paris [?] , 7 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1481 ; cote locale : B_12_18. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-07-24 16:14:40.

ses
concitoyens: Pourquoy donc maintenant semblez vous
douter & faire difficulté de suiure celui que vous sçauez
estre vn second Mars, & qui se fait fort de vous deliurer
d’vne fascheuse tyrannie, au cas que vous vouliez le suiure,
& vous presenter à vn combat que vos ennemis n’auroient
par l’asseurance d’attendre? Qui empesche que
vous ne vous mettiez en campagne & alliez au deuant
de vostre ennemi? si ce n’est que vous ayez à me dire que
Paris, le Magazin de vos forces, estoit aussi celuy de Mazarin,
&

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Occurrence 367. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649 [?]) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 5 de 13, pages numérotées 21 à 28. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_05. le 2013-08-30 10:10:10.

ton couroux. Que ton tonnerre ne gronde
Dauantage sur nous, afin que nos desirs
Soyent conformes tousiours à tes diuins plaisirs ;
Amorty la chaleur de cette ardente guerre,
Et enuoye bien-tost du Ciel la Paix en terre,
Ou bien conduits nos mains prudemment au combat,
Afin de terminer vn si fascheux debat.    
Le grand Duc d’Orleans se voyant secondé
De l’irrité Conseil du Prince de Condé,
Firent toute la nuict filer l’Infanterie
Constant de cinq mil hommes ; Et de Caualerie

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Occurrence 368. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649 [?]) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 5 de 13, pages numérotées 21 à 28. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_05. le 2013-08-30 10:10:10.


Par la mort vn fascheux & rude repentir.
Plusieurs Officiers demeurent sur la place
Sans couleur, sans vigueur, & aussi froids que glace.
Les ennemis cogneurent dés ce premier effort
Que nostre vray Achilles est le Duc de Beaufort ;
Qui durant le combat n’auoit rien en sa teste ;
Son chappeau fut perdu parmy cette tempeste.
Mais il ne laissa pas de tuer sur le lieu
De sa luysant espée le Sieur de Noirlieu.    
Le bruict de ce combat allarma cette Ville,
Tous nos Bourgeois quittoient

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Occurrence 369. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649 [?]) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 5 de 13, pages numérotées 21 à 28. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_05. le 2013-08-30 10:10:10.

vray Achilles est le Duc de Beaufort ;
Qui durant le combat n’auoit rien en sa teste ;
Son chappeau fut perdu parmy cette tempeste.
Mais il ne laissa pas de tuer sur le lieu
De sa luysant espée le Sieur de Noirlieu.    
Le bruict de ce combat allarma cette Ville,
Tous nos Bourgeois quittoient librement leur famille
Pour courir au secours du Duc de Beaufort,
Que l’on disoit par tout estre en danger de mort.    
Iamais chose pareille ie ne vis de mes yeux
Tout chacun y voloit

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Occurrence 370. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649 [?]) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 5 de 13, pages numérotées 21 à 28. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_05. le 2013-08-30 10:10:10.

mais trop tard, que le sort de la guerre
Rend le fort quelques fois aussi fresle qu’vn verre ;
Car ils ne croyoient pas que ce grand Noirmonstier
Aux delices de Mars sçeut fort bien son mestier.
Par sa dexterité nous eusmes la Victoire,
Et l’honneur du combat, & du Conuoy la gloire,
Qui constoit mille bœufs, & deux mille moutons,
Auecque huict cens porcs, tous gros, gras, & bien bons.    
Quand aux farines & bleds le nombre en estoit beau
Mais qui furent laissez au Bourg de

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Occurrence 371. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 8 de 13, pages numérotées de 57 à 64. Sans page de titre. Informations éditoriales et date au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_08. le 2013-08-30 09:43:43.

sa Caualerie,
L’ordre ayant laissé à son Infanterie
De garder vigilans leurs postes & leurs quartiers.    
Aussi-tost rencontrant quarante Caualiers,
Il leur donne le choc, les deffait, les abbat ;
Et les vns sont tuez & pris en ce combat.
Ils laissent leur butin & leurs cheuaux en proye,
Que les nostres ont eu pour s’en seruir en joye.    
Puis Monsieur de Turenne emmeine du secours,
Qui doit venir icy dans dix ou douze iours :
Il ne montre que trop par sa grande

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Occurrence 372. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649 [?]) chez [s. n.] à Paris [?] , 8 pages. Langue : français. Partie 4 de 13, pages numérotées de 25 à 32. Sans page de titre.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_04. Texte édité par Site Admin le 2013-08-30 09:37:43.

qui s’en sert. La Ville est bien munie,
On entend bien crier : demeure, qui va-là :
On ne s’en soucie plus ; on est fait à cela.
On sonne le tambour pour aller à la feste,
On marche hardiment, on ne craint plus sa teste,
Pour aller au combat, on est tousiours tout prest,
Et le Peuple espouse le commun interest.    
L’on me dit en passant par la Place de Maubert :
Que l’ennemy estoit à Brie-Comte-Robert :
Qu’il s’en vouloit saisir ; mais que la vigilence
De ces

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Occurrence 373. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649 [?]) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 7 de 13, pages numérotées de 49 à 56. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_07. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-08-30 10:14:01.

estoit blesme.
Ma curiosité s’enquesta fur le champ
Qu’ils estoient. L’on me dit : L’vn est Ayde de Camp.
Et cét autre frisé, vn Sergent de Bataille
Celuy là, c’est la Fleur ; & cestuy cy la Taille ;
Ils viennent d’estre pris en ce dernier combat.
Ils estoient tout de sang, sans Chappeau, ny rabat ;
Lors ie dis, en riant ; Si dans la matinée
Ils eussent sçeu gagner vne telle iournée,
Ie croy qu’ils n’autoient pas auancez de si pres.    
Mais escoutons les bruicts que

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Occurrence 374. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649 [?]) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 7 de 13, pages numérotées de 49 à 56. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_07. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-08-30 10:14:01.

que bien-tost nous aurons des douceurs
Qui rendrons esbays nos fidels successeurs.    
Escoutons ce qu’on dit du Duc de Longue-ville,
Car on l’attend dans peu en cette bonne Ville ;
Il est en Normandie & n’est point endormy,
Où il combat prudent contre nostre ennemy.
De Fontaine-Martel, il ruyne les desseins,
Et taille des croupieres aux Soldats Mazarins,
Qui tenoient Quille bœuf ; & leur faisant quitter,
Ils ont veu comme il sçait du deuoir s’acquitter.    

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Occurrence 375. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649 [?]) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 3 de 13, pages numérotées de 17 à 24. Sans page de titre. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_03. le 2013-08-30 10:07:35.

Toynon, se monstre vigilant.
Vien-ça, double putain, as-tu dit à Baptiste,
Que i’estois, comme luy, aussi Mazariniste ?
Hé bon Dieu, mon mary, nenny, respondit elle.
Aussi-tost ces deux cy soustiennent leur querelle.
Les sangles & crochets commence le combat,
Le mary de Toynon son ennemy abbat.
Cecy durant long temps, se frappant de furie
Ie croyois bien de voir entre eux quelque tuerie ;
Mais l’on les mist d’accord pour se faire penser,
Ne se treuuant aucun pour les recompenser
De penibles trauaux

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Occurrence 376. Questier, Mathurin, dit... . SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE... (1649) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 8 pages. Langue : français. Partie 11 de 13, pages numérotées de 81 à 88. Sans page de titre. Informations éditoriales et date au colophon.. Référence RIM : M0_1763 ; cote locale : C_4_38_11. le 2013-08-30 09:52:37.

ont bien du courage,
Qui iamais eut pensé qu’on eut dans vn Paris,
Treuué en vn moment des gens si aguerris ?
Ie croy que l’ennemy n’a qu’à se prendre garde,
Et de faire bon guet dedans son Corps-de-Garde ;
Car il est tres-certain que s’il liure combat,
Il cognoistra combien luy vaut vn tel debat.    
Cependant vn bruict court du Duc de Longueville,
Qui s’est nagueres saisi d’vne assez forte ville,
Ditte Montiuilliers ; Et que son Lieutenant
Est party de Lizieux ; pour

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Occurrence 377. S. T. F. S. L. S. D. T.. LE POLITIQVE BVRLESQVE DEDIÉ A AMARANTHE.... (1649) chez [s. n.] à Paris , 44 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2810 ; cote locale : C_8_31. le 2013-10-06 11:16:35.


Qu’à lire la Methamorphose :
Ou bien quelque joyeuseté
Qui maintient l’esprit en santé.    
Quelques autres de mesme troupe,
Cherchans quelqu’vn qui les escoute,
Ils faisoient vn si grand sabat,
Que ie croyois d’estre au combat.
L’vn d’iceux s’estant auisé,
Que ie m’estois bien disposé,
A leur donner vn peu d’audiance,
Ils exercerent ma patience,
En m’entourant de tous costés
Crians comme des enragez.
Ils parloient tous

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Occurrence 378. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anuers, "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi A_9_9 (partie 1). Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : D_1_14. le 2013-07-22 15:47:33.


Nous n’y pouuions donner remede.    
Lors vn President fut fait aide
De Monsieur des Landes Payen,
Qui n’a que le nom de Payen,
Homme vtil en paix comme en guerre,
Qui sçait ioüer du cimeterre,
Et s’escrimer dans vn combat,
Bon Conseiller & bon Soldat ;
Il auoit depuis ces vacarmes
Sur les bras tout le fait des armes.
Quand Broussel auec Menardeau
Prirent la moitié du fardeau.   12. Ian.  
Le Mardy le Conseil de ville
Fit vn

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Occurrence 379. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anuers, "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi A_9_9 (partie 1). Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : D_1_14. le 2013-07-22 15:47:33.


Et deux cens de caualerie,
Hommes qui n’estoient pas pour nous,
Sur lesquels & boutte à grands coups
Donna nostre petite Trouppe,
Qui pousse, qui bat & qui couppe ;
Qu’on pousse, qu’on coupe, qu’on bat,
Qui rend, & qui reçoit combat,
Et fait joliment sa retraite,
La partie estant trop mal faite,
Seuigny commandant pour nous.    
Le Ieudy nous apprisme tous
Que dans la terre Prouençale
La procession generale
Que le peuple d’Aix bon Chrestien,

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Occurrence 380. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anuers, "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi A_9_9 (partie 1). Dans Choix II de Moreau. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : D_1_14. le 2013-07-22 15:47:33.

les Mazarins,
Ce conuoy nous vint de la Brie
Au nez d’vne trouppe ennemie,
Et fut conduit par Noirmontier,
Homme sçauant dans le mestier,
Et qui dans cette conjoncture
Garantit fort bien sa voiture
Des mains du Comte de Grançay
Où le combat fut balancé,
Mais nous eusmes victoire entiere,
Peu de nos gens au Cimetiere
Encor que le choc fust tres chaud,
Monsieur de la Roche-Foucaud
Et Monsieur de Duras le ieune
Blessez par mauuaise fortune,   20 Fev.  
Ce

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Occurrence 381. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anvers; "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi D_1_14 (partie 1). Dans Choix II de Moreau.. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : A_9_9. le 2013-07-22 15:50:23.


Nous n’y pouuions donner remede.    
Lors vn President fut fait aide
De Monsieur des Landes Payen,
Qui n’a que le nom de Payen,
Homme vtile en paix cõme en guerre,
Qui sçait iouër du cimeterre,
Et s’escrimen dans vn combat,
Bon Conseiller, & bon Soldat ;
Il auoit depuis ces vacarmes
Sur les bras tout le fait des armes,
Quand Broussel auec Menardeau
Prirent la moitié du fardeau.    
Le Mardy le Conseil de ville
Fit vn Reglement fort

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Occurrence 382. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anvers; "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi D_1_14 (partie 1). Dans Choix II de Moreau.. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : A_9_9. le 2013-07-22 15:50:23.


Et deux cens de Caualerie,
Hõmes qui n’estoient pas pour nous,
Sur lesquels & boutte à grands coups
Donna nostre petite Trouppe,
Qui pousse, qui bat & qui couppe ;
Qu’on pousse, qu’on coupe, qu’on bat,
Qui rend, & qui reçoit combat,
Et fait joliment sa retraite,
La partie estant trop mal faite,
Seuigny commandant pour nous.    
Le Ieudy nous apprismes tous
Que dans la terre Prouençale
La procession generale
Que le peuple d’Aix bon Chrestien,

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Occurrence 383. Saint-Julien,? [?]. LE COVRRIER BVRLESQVE DE LA GVERRE DE PARIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 28 pages. Langue : français. Jouxte la copie imprimée à Anvers; "Et se vend à Paris, au Palais". Partie 1. Voir aussi D_1_14 (partie 1). Dans Choix II de Moreau.. Référence RIM : M0_814 ; cote locale : A_9_9. le 2013-07-22 15:50:23. for bien sa voiture
Des mains du Comte de Crançay
Où le combat fut balancé,
Mais nous eusmes victoire entiere,
Peu de nos gens au Cimetiere
Encor que le choc fut tres chaud,
Monsieur de la Roche-Foucaud
Et Monsieur de Duras le ieune
Blessez par mauuaise fortune.   20. Fév  
Ce

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Occurrence 384. Saint-Julien,? [?]. LE PREMIER COVRRIER FRANÇOIS, TRADVIT... (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 15 pages. Langue : français. Avec permission. Partie 1 de 12. Voir Pièces de C_2_42_01 à C_2_42_12. Référence RIM : M0_2848 ; cote locale : C_2_42_01. le 2013-02-12 14:18:00.

Presidents au Mortier
Outre le deuoir de sa charge,
Fut fait aide pour la charge,
De Monsieur DESLANDES Payen
Qui n’a que le nom de Payen
Homme vtile en Paix comme en guerre
Qui sçait ioüer du cimeterre,
Et s’escrimer dans vn combat,
Bon Conseiller & bon soldat
Il auoit depuis ces vacarmes
Sur les bras, tout le fait des armes ;
Depuis Broussel & Menardeau
L’aident à porter ce fardeau.    
Ce iour vn Arrest donné, porte
Pour rendre la Ville

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Occurrence 385. Saint-Julien,? [?]. LE QVATRIESME COVRRIER FRANÇOIS, TRADVIT... (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 16 pages. Langue : français. Partie 4 de 12. Voir Pièces de C_2_42_01 à C_2_42_12. Référence RIM : M0_2848 ; cote locale : C_2_42_04. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-12 14:25:25.


Et six cens de Cauallerie,
Hommes qui n’estoient pas pour nous,
Sur lesquels & boutte à grands coups
Donna nostre petite Trouppe
Qui pousse, qui bat & qui couppe,
Qu’on-pousse, qu’on couppe, qu’on bat,
Qui liure & qui reçoit combat,
Et fait ioliment sa retraitte,
La partie estant trop mal faite,
Seuigny commandant pous nous.    
Ce iour le temps fut assez doux,
Et de Prouence l’on nous mande
Qu’estant en procession grande
Le peuple d’Aix fort bon

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Occurrence 386. Saint-Julien,? [?]. LE SIXIESME COVRRIER FRANCOIS, TRADVIT... (1649) chez Boudeville (Claude) à Paris , 12 pages. Langue : français. Partie 6 de 12. Voir Pièces de C_2_42_01 à C_2_42_12. Référence RIM : M0_2848 ; cote locale : C_2_42_06. le 2013-02-12 14:29:06.

grand depit des Mazarins
Qu’amena du costé de Brie
Au nez d’vne trouppe ennemie
Le grand Marquis de Noirmonstier,
Homme qui sçait bien son mestier
Qui sauua toute sa farine
Du Gouuerneur de Graueline
Appellé Comte de Grancé,
Où le combat fut balancé :
Mais nous eusmes victoire entiere
Peu de no ; gens au cimetiere
Encor quc le choq fut tres-chaud
Monsieur de la Roche-Foucaud
Et Monsieur de Duras le ieune
Blessez par mauuaise fortune.    
L’on eut aduis

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Occurrence 387. Sipois, Cermier de (P. A. N.)... . LETTRE DV SIEVR CERMIER DE SIPOIS, A... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Signature au colophon. Voir aussi A_5_87. Référence RIM : M0_2198 ; cote locale : C_3_49. le 2013-02-19 11:13:44.

la faim. Ny les
rigueurs d’vn hyuer insupportable, ny les vents, ny les
pluyes, ny les neiges continuelles ne pûrent iamais leur
faire perdre cette genereuse resolution qu’ils auoient de
resister vaillamment à ceux qui les attaquoient, & de leur
liurer mesme le combat. Les Generaux & Capitaines
auoient plustost besoin de brides pour les retenir, que
non pas d’esperon pour les faire marcher. Mais, Monseigneur, afin que les moins clairs-voyans
iugent combien il faut craindre mesme de gens qui semblent
ou peu, ou point du

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Occurrence 388. Sipois, Cermier de (P. A. N.)... . LETTRE DV SIEVR CERMIER DE SIPOIS, A... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Signature au colophon. Voir aussi A_5_87. Référence RIM : M0_2198 ; cote locale : C_3_49. le 2013-02-19 11:13:44.

en attendant la commodité ou de se defendre
auec auantage, ou de saillir sur son ennemy. Le
Comte enflé de son premier succez, estimant qu’il n’y en
auroit pas pour les laquais de ses Gentils-hommes, les
vint charger en leur retranchement, pour les attirer au
combat. Arteuelle, non pas comme vn brasseur de biere,
mais comme vn grand Capitaine, tourna ses trouppes
auec tant de d’exterité que l’armée du Comte eut le Soleil
aux yeux. Sur ce subit destour, se voyant à son iour
contre les gens du Comte, s’en va resoluement à la

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Occurrence 389. Sipois, Cermier de (P. A. N.)... . LETTRE DV SIEVR CERMIER DE SIPOIS, A... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Signature au colophon. Voir aussi A_5_87. Référence RIM : M0_2198 ; cote locale : C_3_49. le 2013-02-19 11:13:44.

n’est pas fondée en bon droict. La raison est éuidente,
parce que celuy qui se sent auoir iuste cause de
faire guerre, & qui voit que son aduersaire se confiant
en ses forces, ne veut venir à aucune composition raisonnable,
redouble son courage & son ardeur, & combat
plus vaillamment que celuy qui est poussé d’vn orgueil,
plustost que d’vne generosité de cœur. Mais la
principale raison est, que Dieu, qui donne les victoires,
supporte tousiours le droict : & si quelques fois il semble
que le party le moins iuste

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Occurrence 390. Sipois, Cermier de (P. A. N.)... . LETTRE DV SIEVR CERMIER DE SIPOIS, A... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Signature au colophon. Voir aussi C_3_49. Référence RIM : M0_2198 ; cote locale : A_5_87. le 2013-02-19 11:18:32.

la faim. Ny les
rigueurs d’vn hyuer insupportable, ny les vents, ny les
pluyes, ny les neiges continuelles ne pûrent iamais leur
faire perdre cette genereuse resolution qu’ils auoient de
resister vaillamment à ceux qui les attaquoient, & de leur
liurer mesme le combat. Les Generaux & Capitaines
auoient plustost besoin de brides pour les retenir, que
non pas d’esperon pour les faire marcher. Mais, Monseigneur, afin que les moins clairs-voyans
iugent combien il faut craindre mesme de gens qui semblent
ou peu, ou point du

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Occurrence 391. Sipois, Cermier de (P. A. N.)... . LETTRE DV SIEVR CERMIER DE SIPOIS, A... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Signature au colophon. Voir aussi C_3_49. Référence RIM : M0_2198 ; cote locale : A_5_87. le 2013-02-19 11:18:32.

en attendant la commodité ou de se defendre
auec auantage, ou de saillir sur son ennemy. Le
Comte enflé de son premier succez, estimant qu’il n’y en
auroit pas pour les laquais de ses Gentils-hommes, les
vint charger en leur retranchement, pour les attirer au
combat. Arteuelle, non pas comme vn brasseur de biere,
mais comme vn grand Capitaine, tourna ses trouppes
auec tant de d’exterité que l’armée du Comte eut le Soleil
aux yeux. Sur ce subit destour, se voyant à son iour
contre les gens du Comte, s’en va resoluëment à la

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Occurrence 392. Sipois, Cermier de (P. A. N.)... . LETTRE DV SIEVR CERMIER DE SIPOIS, A... (1649) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Signature au colophon. Voir aussi C_3_49. Référence RIM : M0_2198 ; cote locale : A_5_87. le 2013-02-19 11:18:32.

n’est pas fondée en bon droict. La raison est éuidente,
parce que celuy qui se sent auoir iuste cause de
faire guerre, & qui voit que son aduersaire se confiant
en ses forces, ne veut venir à aucune composition raisonnable,
redouble son courage & son ardeur, & combat
plus vaillamment que celuy qui est poussé d’vn orgueil,
plustost que d’vne generosité de cœur. Mais la
principale raison est, que Dieu, qui donne les victoires,
supporte tousiours le droict: & si quelques-fois il semble
que le party le moins iuste

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Occurrence 393. Anonyme. ADVIS POVR LE TEMPS QVI COVRT. (1652) chez Veron (Guillaume) à Paris , 16 pages. Langue : français. Voir aussi B_14_26. Référence RIM : M0_549 ; cote locale : B_19_9. le 2014-12-02 13:45:39.

vous estes vous mesmes sujets d’vn Mornarques a
qui toutes les testes couronnées sont redeuables de leurs
pouuoirs, & qui a plus de droit & de domination sur
elles qu’elles n’en ont sur leurs sujets.   Et qui subiugue sans peines & sans combat tous les plus
heureux conquerans, les vns dans le fort de leur Royaume
par des maladies, comme cét Alexandre le vainqueur
de toute la terre, les autres par des punissions corporelles,
comme le superbe Nabuchodonosor qui fut
beste vn grand nombre d’années, comme

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Occurrence 394. Anonyme. ADVIS SINCERE AVX BOVRGEOIS DE PARIS. (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 46 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_543 ; cote locale : B_17_11. le 2014-11-26 16:16:53.

Cecy n’est remarqué, que pour vous faire encore vn reproche
de vostre legereté, & de vostre inconstance. Car ce Duc ayant
auancé son armée pour aller au secours de l’Espagnol enfermé
dans Estampes, & ne le pouuant faire sans hazarder le succés d’vn
combat qui luy fut presenté par le Mareschal de Turenne ; il fut
forcé par l’armée du Roy qui estoit en bataille, d’accepter les
conditions d’vn Traité qu’il signa, & de se retirer sur le champ.
Souuenez vous des imprecations que vous fistes en suite, & des

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Occurrence 395. Anonyme. ADVIS, POVR LE TEMPS QVI COVRT. (1652) chez Veron (Guillaume) à Paris , 16 pages. Langue : français. Voir aussi B_19_9. Référence RIM : M1_49 ; cote locale : B_14_26. le 2014-12-02 13:47:29.

vous estes vous mesmes sujets d’vn Mornarques a
qui toutes les testes couronnées sont redeuables de leurs
pouuoirs, & qui a plus de droit & de domination sur
elles qu’elles n’en ont sur leurs sujets.   Et qui subiugue sans peines & sans combat tous les plus
heureux conquerans, les vns dans le fort de leur Royaume
par des maladies, comme cét Alexandre le vainqueur
de toute la terre, les autres par des punissions corporelles,
cemme le superbe Nabuchodonosor qui fut
beste vn grand nombre d’années, comme

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Occurrence 396. Anonyme. AGREABLE ET VERITABLE RECIT DE CE QVI... (1649) chez Guillery (Jacques) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Référence RIM : M0_55 ; cote locale : C_8_43. le 2014-11-29 14:32:32.


Sort en campagne & met à bas,
Tout ce qui resiste à son bras,
Rien ne fait teste à son courage,
Aux conuois il donne passage,
Il s’expose dans le danger,
Faisant la guerre à l’Estranger,
Et quant on sçait qu’aupres de Fresne
Il combat d’vn courage extresme,
Aussi-tost le zelé Bourgeois,
Prend les armes, & le harnois,
Il se jette dans la campagne,
Mais dés qu’il fut sur la montagne,
L’Ennemy qui void ce secours.
D’vn autre costé prend son cours,
Auecques honte

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Occurrence 397. Anonyme. ALMANACH DE LA COVR, Pour l’An 1649. faict... (1649) chez [s. n.] à Tours , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_61 ; cote locale : C_2_3. le 2014-12-02 15:53:40.

mois,
Lassé de moissonner auec le cimeterre,
Aux bourses maintenant tu veux faire la guerre,
Et ta plume fait pis que ton glaiue autrefois.  

SEPTEMBRE. Libra.  
Ce basque, ce mattois, qui depuis sa défaite,
Eut du dernier combat l’honneur dans la Gazette.
De Septembre retient la deuise pour but,
Il balance l’esprit de l’vn & l’autre Maistre,
Vnissant les esprits de Condé & du Prestre,
Si bien qu’il n’a sujet de craindre le debut.  

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Occurrence 398. Anonyme. APOLOGIE POVR LA DEFFENCE DV CARDINAL... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 10 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_121 ; cote locale : C_2_10. le 2014-12-02 15:25:42.

Couronne,
Il maintient ses Estats, il garde sa personne,
Il luy donne conseil auec fidelité,
Il luy monstre à souffrir toute difficulté,
Il est tout son support, il gouuerne la France,
Tout le bien qui se fait vient de son Eminence.
Si l’on gagne vn combat dessus les ennemis,
Nous deuons tous penser qu’il nous les a sousmis,
Comment me diras-tu ? est-ce par sa prudence ?
Est-ce par son esprit ? ou par sa diligence ?
Ie te responds qu’oüy, & ie dis que l’Estat,
Le perdant se verroit renuersé

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Occurrence 399. Anonyme. APOLOGIE POVR MONSEIGNEVR LE CARDINAL... (1649) chez Preuveray (François) à Paris , 39 pages. Langue : français. Voir aussi C_5_28. Référence RIM : M0_127 ; cote locale : A_2_3. le 2014-12-06 14:58:02.

heure. Le Casuiste. Et en suite? Le Card. Quoy que ces violentes secousses & agitations de l’ame m’eussent
vn peu debilité les esprits & le corps, je ne laissay pas de m’exciter comme
vn taureau qui se donne de la teste contre vn arbre, pour s’animer au combat,
ie rappellay tout ce que j’auois de courage, & me resolus par vne genereuse
fuite de mettre ma personne en seureté. Le Casuiste. Quel iour arriua cela, Monseigneur? Le Card. Le Mercredy. Mais il faut que ie vous die, que lors que ie vis arriuer
Monsieur

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Occurrence 400. Anonyme. EXAMEN DES DIVERS SENTIMENS SVR L’ARREST... (1652) chez [s. n.] à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1318 ; cote locale : B_15_15. le 2014-07-12 09:08:23.

la deliurãce
d’vn grand Roy & à la distribution des premieres
charges de la Couronne si ce n’est que par stratageme
on voulut monstrer aux ennemis l’abondance du
Bled par la profusion de la Paille, ou par modestie
se parer ou jour du Triomphe de la liurée du combat.
Tout ce Discours est extrauagant, son Burlesque
fait rite, mais en ce moquant du Poëte, qui
dit que l’Arrest du Parlement est plustost vn jeu de
paix qu’vne occupation de guerre, vn complot de
Comediens qu’vn resultat de Senateurs. Toutes
ces antitheses

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