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Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(1053 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "Regent" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 401. Anonyme. L’OMBRE DV GRAND ARMAND CARDINAL DVC DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français. Voir aussi A_6_45, B_13_17 et D_1_5. Référence RIM : M0_2593 ; cote locale : C_6_41. Texte édité par Site Admin le 2013-06-09 10:31:30.

à vostre propre dommage,
quand vous vous estes laissé persuader par ces Pantalons (que
vous pourrez bien mener auec vous à Venise) qu’il falloit abbattre
l’authorité du Parlement de Paris, & mal traitter indidignement
ses Officiers : & puis que vous estes comme Regent
vous pouuiez bien les traiter en Escoliers. Ce n’a pourtant pas esté par leur aduis (Messer Iules) que pour
vous rendre Maistre de la personne du Roy, vous auez cassé sa garde de Mousquetaires à cheual : car s’ils eussent connu ce dessein,
ils

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Occurrence 402. Anonyme. L’OMBRE DV MARESCHAL D’ANCRE, APPARV AV... (1651) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2595 ; cote locale : B_13_22. le 2013-06-09 10:50:32.

terre. Si cela est, n’esperez pas d’en
receuoir vn traittement plus fauorable que ceux qui les
ont obligez en tout ce qui leur a esté possible. Que
n’ay-je pas fait pour ce Peuple Ingrat & Barbare, lors
que ie gouuernois les affaires de leur Monarchie, sous
la Regence d’vne tres-Auguste Princesse comme la vostre ?
Vous pouuez auoir sceu de l’Histoire les seruices
que ie leur ay rendus, & de quelle sorte ils ont recompensez
mes trauaux & les graces que ie leur ay faites.
Comme ils virent que i’estois si

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Occurrence 403. Anonyme. L’OMBRE DV ROY D’ANGLETERRE APPARVE A LA... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2597 ; cote locale : C_6_42. le 2013-06-09 10:57:05.

quand
ie vis naistre dans vostre Royaume les troubles que
vous venez d’appaiser. Mais manitenant que vous auuez calmé cét orage, ie descens du Ciel en terre pour
vous conjurer d’acheuer louurage que vous vous estes
proposée au commancement de vostre regence, &
dexecuter bien tost le dessein que vous auez il y a
long temps de rendre la paix à tout la Chrestientée,   Ce n’est pas que ce ne fust vn grand aduantage
à la France dont Dieu vous a donné le gouuernement
que d’abatre tout à fait l’orgüeil

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Occurrence 404. Anonyme. L’OMBRE DV ROY D’ANGLETERRE APPARVE A LA... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2597 ; cote locale : C_6_42. le 2013-06-09 10:57:05.

Vous estes certainement
bien illustre par les conquestes de leurs
victoires que la France a euës depuis que vous aués
pris le Gouuernement ; Mais vostre nom deviendera
encore bien plus glorieux à la posterité si l’on
peut escrire de vous, qu’on vous a donné la Regence
du Royaume en vn temps où la Chrestienté
estoit menacée d’vn enbrasement general, & cependant
que vous avez arresté par vostre prudence
& par vostre bonté, vn si effroyable desordre.
Mais quand à la paix particuliere de vostre Royaume
vous aures

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Occurrence 405. Anonyme. OBSERVATIONS CVRIEVSES, SVR L’ESTAT ET... (1649) chez Alliot (Gervais), Langlois (Denis), Langlois (Jacques) à Paris , 36 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_6_85. Référence RIM : M0_2568 ; cote locale : C_6_40. le 2013-02-22 05:06:56.

les Duchez
de Bourbonnois, Auuergne, Angoulẽsme, & le Comté d’Evreux,
auec d’autres appointemens proportionnez à la grandeur de
leur condition ; & dans la minorité de leurs Enfans, elles ont le
Gouuernement de l’Estat sous le nom de Regente, lors que la
Regence leur est conferée par le Parlement de Paris, qu’elles quittent
quand les Roys sont aagez de quatorze ans, qui est le temps
de leur majorité. Les Princes estans censez majeurs à dix-septans,
& le commun à vingt-cinq ans. La Bretagne
esté baillée à

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Occurrence 406. Anonyme. OBSERVATIONS CVRIEVSES, SVR L’ESTAT ET... (1649) chez Alliot (Gervais), Langlois (Denis), Langlois (Jacques) à Paris , 36 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_6_85. Référence RIM : M0_2568 ; cote locale : C_6_40. le 2013-02-22 05:06:56.

le 29. Nouembre
1314. 1285 LOVIS X. dit Hutin, est venu à
la Couronne le 29. Nouembre
1314. est decedé le 5. Iuin 1316. 1314 Ce Roy ayant laissé la Royne Clemence
de Hongrie sa 2. femme
enceinte, Philippes le Long son
frere fut declaré Regent du
Royaume. Cependant la Royne
vefue accoucha d’vn fils posthume
qui fut nommé. IEAN I. qui nasquit & vint à la
Couronne le 14. Nouembre
1316. & mourut le 21. desdits
mois & an. 1316 Quelques vns ne mettent ce Roy
au

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Occurrence 407. Anonyme. OBSERVATIONS CVRIEVSES, SVR L’ESTAT ET... (1649) chez Alliot (Gervais), Langlois (Denis), Langlois (Jacques) à Paris , 36 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_6_85. Référence RIM : M0_2568 ; cote locale : C_6_40. le 2013-02-22 05:06:56.

mourut le 21. desdits
mois & an. 1316 Quelques vns ne mettent ce Roy
au rang des Roys, à cause du
peu de temps qu’il a vescu & regné,
& aussi qu’il n’a esté ny sacré
ny couronné comme les autres. PHILIPPES V. dit le Long, de
Regent deuenu Roy, commença
à regner le 21 Nouemb. 1316.
& est mort le 6. Ianuier 1322. 1316 CHARLES IV. dit le Bel, vint à la
Couronne le 6. Ianuier 1322. &
mourut le I. Feurier 1327. (ou
selon quelques vns) 328. 1322 Estant decedé,

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Occurrence 408. Anonyme. OBSERVATIONS CVRIEVSES, SVR L’ESTAT ET... (1649) chez Alliot (Gervais), Langlois (Denis), Langlois (Jacques) à Paris , 36 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_6_85. Référence RIM : M0_2568 ; cote locale : C_6_40. le 2013-02-22 05:06:56.

le 6. Ianuier 1322. &
mourut le I. Feurier 1327. (ou
selon quelques vns) 328. 1322 Estant decedé, la Royne Ieanne d’Evreux sa derniere femme enceinte,
Philippes de Valois son
Cousin Germain, & premier
Prince du Sang, fut esleu Regent
du Royaume : mais la Royne
vefue estant accouchée deux
mois apres d’vne fille posthume,
qui fut nommée Blanche, de
Regent.   PHILIPPES VI. dit de Valois, deuint
Roy, & commença à regner
le 1. Auril 1327. ou (selon
quelques

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Occurrence 409. Anonyme. OBSERVATIONS CVRIEVSES, SVR L’ESTAT ET... (1649) chez Alliot (Gervais), Langlois (Denis), Langlois (Jacques) à Paris , 36 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_6_85. Référence RIM : M0_2568 ; cote locale : C_6_40. le 2013-02-22 05:06:56.

d’Evreux sa derniere femme enceinte,
Philippes de Valois son
Cousin Germain, & premier
Prince du Sang, fut esleu Regent
du Royaume : mais la Royne
vefue estant accouchée deux
mois apres d’vne fille posthume,
qui fut nommée Blanche, de
Regent.   PHILIPPES VI. dit de Valois, deuint
Roy, & commença à regner
le 1. Auril 1327. ou (selon
quelques historiens) 1328. &
mourut le 28. Aoust 1350. 1327
ou
1328 IEAN II. est venu à la Couronne le
28. Aoust 1350. & est

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Occurrence 410. Anonyme. QVATRIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. Partie 4. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_32 (partie 3). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_33. Texte édité par Site Admin le 2013-10-06 17:27:15.

pour ordonner du Royaume, & pour iuger
à qui il deuoit estre donné. Sur lequel different
il fut arresté que Philippe de Vallois seroit
gouuerneur de la Reine, à cause de la loy
Salique. Ce qui fut tellement obserué, que ledit
Philippe de Vallois, au lieu de Regent, fut
declaré Roy, apres que la Reyne Ieanne se fut
accouchée. Charles VI. ne fut il pas declaré Maieur &
Couronné Roy auant les 14. ans accomplis, par
les trois Estats, quoy que Charles V. son pere
l’eut expressement deffendu, par vne

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Occurrence 411. Anonyme. REFVTATION DE LA PIECE DE PONTOISE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 31 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3067 ; cote locale : B_15_16. le 2013-02-24 13:24:53.

quand la necessité des affaires le requeroit, comme
il fit à Pepin & mesme comme il a fait au Roy,
en le declarant Maieur, qui sans cela n’eust pas
eu la liberté de faire les fonctions d’vn veritable
Monarque : s’il a eu le pouuoir de donner autrefois
la Regence à la Reyne, & s’ils ont le pouuoir
de donner la vie & la mort aux Princes du Sang,
lors qu’il s’agit de les poursuiure ou de les iustifier
du crime de leze Maiesté : Il doit bien auoir le
pouuoir dedeclarer Monsieur le Duc d’Orleans
Lieutenant

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Occurrence 412. Anonyme. REFVTATION DE LA PIECE DE PONTOISE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 31 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3067 ; cote locale : B_15_16. le 2013-02-24 13:24:53.

les
seuls legitimes successeurs de la Couronne. Quel
sort a peu reduire de si sages Magistrats, à la censure
du plus criminel de tous les hommes ? Au
commencement les soins qu’ils prenoient du pupille,
ne pouuoient pas estre authorisez de leurs
pretentions sur la Regence, cela est faux : mais
bien de l’honneur qu’ils pretendoient acquerir en remettant le Roy dans le throne d’où la mauuaise
conduitte de Mazarin l’auoit fait descendre. La
Maiorité deuoit terminer le different des tuteurs
& les reuuoyer à

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Occurrence 413. Anonyme. REFVTATION DE LA PIECE DE PONTOISE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 31 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3067 ; cote locale : B_15_16. le 2013-02-24 13:24:53.

d’Orleans a de si legitimes pretentions luy donne
cette liberté, sans que iamais la surseance ny la
suppression de la charge y puissent mettre aucun
obstacle. La necessité n’a point de loy, principalement
quand il y va du salut de tout vn peuple.
Et quoy que la Regence soit entierement esteinte
par la Maiorité du Roy, la Reyne ne laisse pas
de l’exercer presentement aussi bien & encore
mieux qu’elle ne l’exerçoit pas lors qu’elle y estoit
obligée ; & si tout cela se fait sans que personne
du monde y trouue à

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Occurrence 414. Anonyme. RESPONSE AV BANDEAV DE L’HONNEVR EN VERS... (1649) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Voir aussi C_2_17, [M0_573] (dont cette pièce est la réponse).. Référence RIM : M0_3373 ; cote locale : C_2_18. le 2013-06-10 09:20:57.


Par l’allechement de sa mere,
Cette grande Semiranis,
Que le Ciel en France a commis,
Pour regir durant le bas âge,
De nostre Roy son heritage :
Ie sçay que quelques Libertins,
Des esprits foibles & mutins,
Ont parlé mal de sa Regence,
Qu’ils apprennent que sa prudence,
Qui suit les regles de l’Honneur,
Ne cherche que nostre bon-heur ;
Ie sçay trop bien qu’on blasme encore
Tout son Conseil, & qu’on abhorre
Auec haine le Cardinal,
Le rendant

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Occurrence 415. Anonyme. RESPONSE AV LIBELLE INTITVLÉ BONS ADVIS,... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3377 ; cote locale : B_14_41. le 2013-02-25 15:05:46.

vne Declaration si solemnelle, & si necessaire
pour temperer la puissance des premiers Ministres :
laissera-il violer l’article de la seureté publique en la personne
d’vn premier Prince du Sang, d’vn Chef du Conseil
du Roy, d’vn Conseiller necessaire de la Regence ? Ceux
de cette Compagnie qui ont tesmoigné tant de zele pour
la Iustice, pour la manutention des Loix, & pour le bien
public, tant d’auersion pour le gouuernement & la conduite
du Cardinal Mazarin, ne craignent-ils point qu’on
en die en cette

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Occurrence 416. Anonyme. RESPONSE AV SEDITIEVX ESCRIT INTITVLÉ LE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 46 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3384 ; cote locale : B_17_21. Texte édité par Site Admin le 2013-03-01 09:32:26.

Peuples,
afin de s’esleuer auec plus de facilité au
faiste d’vne ambition demesurée ? tout le temps
qui s’est escoulé, depuis la prise de Monsieur
de Brousselles iusques à present, ou pour le
prendre dans sa veritable origine depuis le cõmancement
de la Regence, n’a esté employé
qu’à tramer des renuersements intestins, & qu’à minuter des conspirations particulieres.
Nous auons veu la superbe des Grands marcher
en triomphe sous le masque d’vne pieté
simulée, se poiter auec vn empressement

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Occurrence 417. Anonyme. RESPONSE AV SEDITIEVX ESCRIT INTITVLÉ LE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 46 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3384 ; cote locale : B_17_21. Texte édité par Site Admin le 2013-03-01 09:32:26.

qu’ils ne fassent assez
souuent des Bals, des Ballets, des leux, des Festins
& des Comedies, où le luxe & la pompe,
la somptuosité & la magnificence, ne font
que fouler aux pieds la pure substance du peuple. Cependant Monsieur le Prince voyant que
la Regence & le Ministere ne viuoient dans
vne parfaite Vnion que pour la perte de l’Estat,
& qu’ils ne pressoient la Maiorité du Roy
que pour rendre leur authorité plus absoluë, &
d’vn autre costé sçachant bien aussi qu’on
n’en vouloit pas moins aux

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Occurrence 418. Anonyme. RESPONSE DE MONSIEVR LE PRINCE DE CONDÉ... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 19 pages. Langue : français. Voir aussi B_7_56 et B_14_15. Référence RIM : M0_3410 ; cote locale : B_6_27. le 2013-03-03 07:35:55.

insupportable à de fidelles & de libres subjets comme
nous sommes. Pour monstrer combien cette Loy estoit judicieuse,
nous n’auons qu’à rappeller la memoire des minoritez
durant lesquelles elle n’a point esté obseruée, il ne faut
que lire l’Histoire des Regences pendant lesquelles on a
veu l’authorité Royalle entre les mains des Ministres à qui
les Regentes l’auoient confiée, il ne faut que faire vne serieuse
reflection sur les mouuemens qui ont agité celle qui
vient de finir, & qui sont la seule cause de tous les

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Occurrence 419. Anonyme. RESPONSE DE MONSIEVR LE PRINCE DE CONDÉ... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 19 pages. Langue : français. Voir aussi B_6_27 et B_14_15. Référence RIM : M0_3410 ; cote locale : B_7_56. le 2013-03-03 07:38:27.

insupportable à de fidelles & de libres subjets comme
nous sommes. Pour monstrer combien cette Loy estoit judicieuse,
nous n’auons qu’à rappeller la memoire des minoritez
durant lesquelles elle n’a point esté obseruée, il ne faut
que lire l’Histoire des Regences pendant lesquelles on a
veu l’authorité Royalle entre les mains des Ministres à qui
les Regentes l’auoient confiée, il ne faut que faire vne serieuse
reflection sur les mouuemens qui ont agité celle qui
vient de finir, & qui sont la seule cause de tous les

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Occurrence 420. Anonyme. RESPONSE DE MONSIEVR LE PRINCE DE CONDÉ... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 19 pages. Langue : français. Voir aussi B_6_27 et B_7_56. Référence RIM : M0_3410 ; cote locale : B_14_15. Texte édité par Site Admin le 2013-03-03 07:33:41.

insupportable à de fidelles & de libres subjets comme
nous sommes. Pour monstrer combien cette Loy estoit judicieuse,
nous n’auons qu’à rappeller la memoire des minoritez
durant lesquelles elle n’a point esté obseruée, il ne faut
que lire l’Histoire des Regences pendant lesquelles on a
veu l’authorité Royalle entre les mains des Ministres à qui
les Regentes l’auoient confiée, il ne faut que faire vne serieuse
reflection sur les mouuemens qui ont agité celle qui
vient de finir, & qui sont la seule cause de tous les

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Occurrence 421. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

grande Monarchie espars çà & là, se fussent reünis à la Couronne de
France, comme à leur chef. Apres la mort de Louis III. les François se voyans trois pupilles sur les
bras auec la guerre des Normands, appellerent l’Empereur Charles le
Gros à la Regence du Royaume souz le tiltre de Roy : Mais les vns cognoissans
la faute qu’ils auoient faite de confier la Couronne entre les
mains d’vn Prince estranger & si puissant, les autres voulans regner souz
le nom & l’authorité de ces mineurs, & faire ce que les

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Occurrence 422. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

Estats de
France r’appellerent Charles le Gros pour gouuerner pendant la minorité
de Charles le Simple, ce qu’il fit par l’espace de cinq ans, mais ayant
esté deposé par ces Allemands, & Arnoul ayant esté mis en sa place, les
François offrirent audit Arnoul la regence de ce Royaume, souz le tiltre
de Roy, ce qu’il refusa, à cause des irruptions des Normands qui rauagerent,
non seulement la Gaule, mais aussi l’Allemagne, ledit Arnoul retint
la Lorraine qui auoit esté laissée à Charles le Gros, & la donna à Zuende
Bold, son

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Occurrence 423. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

puis il mourut mangé de
poulx, comme il auoit deuoré le bien d’autruy. Les François eurent derechef
recours à l’eslection, à cause du bas âge dudit Charles le Simple, &
donnerent la Couronne à Eudes, ou Hugues, Comte d’Anjou, lequel
mourut l’an sixiesme de sa Regence : à sa mort, touché d’vn remors de
conscience, il declara que l’Estat appartenoit à Charles, & qu’il n’en
auoit pris le gouuernement que pour remedier aux troubles d’iceluy, & le
garentir des mains estrangeres : Mais Robert son frere, Prince

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Occurrence 424. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

de tous costez
de seigneurs aussi puissans que luy : Hugues, Comte de Paris, frere de
Robert, & ceux de son party, prenoient indifferemment le reuenu des
biens Ecclesia stiques, & en faisoient la guerre à Charles. Les Normans
auoient forcé Charles le Gros, pendant sa regence, à leur donner la Neustrie, souz l’hommage de la Couronne. Point de moyens de remedier à ces
desordres pour l’insuffisance du chef, la desobeïssance des Grands, & l’infidelité
du tiers Estat, corrompu par leur exemple ; Neantmoins Charles

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Occurrence 425. Baltasard, Christophle. TRAITTÉ DES VSVRPATIONS DES ROYS... (1645) chez Paslé (Jean) à Paris , 48 pages. Langue : français. Avec privilège. En dernières pages: table et extrait du privilège.. Référence RIM : Mx ; cote locale : D_1_6. Texte édité par Site Admin le 2013-03-10 08:56:33.

que ledit Charles fit auec son frere Louis, Roy de Germanie,
en l’an huict cens soixante & dix, des estats de leurs nepueux, decedez sans
enfans, que la ville de Bezançon, & le Comté de Bourgongne escheurent
audit Charles. L’Empereur Arnoul estant appellé à la Regence du Royaume, pendant
le bas âge de Charles le Simple, démembra ceste partie de Bourgongne
pour la joindre au Dauphiné, aux Suisses, & à la Sauoye, & en criger le
Royaume de Bourgongne, qui dura enuiron cent quarante deux ans, iusques
à ce que Raoul mourãt

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Occurrence 426. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’HOROSCOPE DV ROY. DONNANT A CONNOISTRE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français, latin. Signature à la page 9.. Référence RIM : M0_1666 ; cote locale : B_2_28. Texte édité par Site Admin le 2013-04-27 15:49:29.

le Ciel ne
vouloit plus exaucer les prieres que toute la France luy
faisoit de nous donner ce ieune Alexandre. Sa Majesté succeda à la Couronne le quatorziéme iour
du mois de May de l’année mil six cens quarante trois, âgé
de quatre ans & six mois, sous la Regence de la Reyne sa
Mere. Depuis sa naissance iusques au commencement de
son Regne, il ne peut pas auoir fait de grandes choses, veu
qu’il estoit si ieune : Mais les esperances qu’il donnoit de
ce qu’il est à present, & de ce qu’il sera quelque iour,

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Occurrence 427. Du Crest,?. LE SENEQVE MOVRANT, DECLARANT A SA MORT le... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3640 ; cote locale : B_16_19. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-11 13:50:30.

parmy
les François, & lassé de tant de vices ausquels ils se
sont addonnés leur fait payer la peine de leur presomption. Ie vous ay parlé de toutes les Guerres Ciuilles de
France, mais il ny en a point eu de semblable à celle-cy. On voulut bien oster la Regence à la Reyne Blanche
mere de S. Loüis, * & il y eut de mesmes motifs de
Guerre Ciuile qu’à present. Sous Iean de mesme, &c.
Iugez s’il vous plaist à quoy peuuent seruir toutes les
diuisions. Ie suis court, parce que ie ne veux donner
que huit cayers,

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Occurrence 428. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

vn
peu plus sensibles & moins difficilles à estre conçeus :
N’est il pas vray que le Parlement des Pairs pouuoit s’oposer
efficacement à la Declaration de la Majorité ; &
quand il eut encor prolongé la Minorité iusqu’à l’age de
21. an, & mis la Regence entre les mains de S. A. R. qu’il
n’eut fait que ce que les sçauans dans les affaires d’Estat,
n’eussent iamais peu raisonablement contredire : Faut-il
donc s’estonner s’il a fait aujourd’huy ce qu’il pouuoit
faire pour lors, & s’il s’est donné

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Occurrence 429. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

pour l’eslargissement de sa liberté, qu’il ne
pouuoit rien tenir, quelque chose qu’il luy promit, si
le Parlement des Pairs auoit aucune raison de s’y oposer ?
Le mesme Parlement des Pairs dans l’histoire de
Frãce n’estoit-il point à la veille de rauir la Regence de
l’Estat à Louyse de Sauoye que le Roy son fils neantmoins
luy auoit laisse lors de son depart pour la conqueste
du Milanois ; pour la donner à Charles Duc de
Vandosme, si quelques considerations particulieres
n’eussent obligé ce premier Prince du Sang de

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Occurrence 430. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

ne pouuoient que du
mespris qu’il auoit fait de se regler sur la conduite du
Parlement des Pairs, reconnu par tout l’Estat, pour
le Trone infaillible, & pour le veritable depositaire
de la Royauté ? & de nos iours Louys le Iuste
n’ayant laisse la Regence à Anne d’Austriche qu’à cõdition
qu’elle se conduiroit par l’experience de trois
Ministres, qu’il appelloir non destituables, le Parlement
des Pairs n’a-t’il pas choqué par Arrest cette derniere
volonté du plus iuste de nos Roys, pour mettre

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Occurrence 431. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

Anne d’Austriche qu’à cõdition
qu’elle se conduiroit par l’experience de trois
Ministres, qu’il appelloir non destituables, le Parlement
des Pairs n’a-t’il pas choqué par Arrest cette derniere
volonté du plus iuste de nos Roys, pour mettre entierement
la Regence entre les mains de la Reyne, &
dans l’independance de toute sorte de Ministre.   Ce dernier coup d’authorité du Parlement des Pairs
est il iuste, Messieurs les Mazarins, vous n’auez garde de
le contredire parce qu’il vous est aduantageux ! Ouy,

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Occurrence 432. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

bien estre tolerable dans le gouuernement ?
l’histoire n’a point encore veu que le Parlement
des Pairs ait rauy l’exercice de l’authorité Souueraine
à des Roys majeurs, pendant qu’ils estoient dans
l’Estat. On sçait bien que Suger Abé de S. Denis estoit
Regent du Royaume, pendant le voyage de Louys le
Ieune en la Terre Sainte ; qu’Anne de France regenta
l’Estat pendant le voyage de Charles VIII. dans le
Royaume de Naples ; qu’Isabeau de Bauiere auoit le
mesme pouuoir durant la maladie de Charles VI. que
Ieanne de

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Occurrence 433. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

d’vn enfant
pour le gouuernement d’vn Empire : Cette nouueauté
neantmoins trouua les suffrages de son aprobation
parmy les plus censez ; & ceux qui l’eussent condamnée
en autre temps, iugerent en cette occasion,
qu’elle estoit à propos, pour oster aux Regents, selon
les intentions de ce Sage, les moyens d’establir vne
puissance, pendant la longueur de leurs Tutelles, qui
fur à l’épreuue de celle des Majeurs. Les nouueautez qui ne sont inspirées que par l’ambition,
sont des attentats manifestes à la bonté du

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Occurrence 434. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE COVP D’ESTAT DV PARLEMENT DES PAIRS, OV... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_802 ; cote locale : B_5_3. le 2013-07-07 16:27:05.

entierement dans la dependance de l’exercice
de cette mesme authorité ? peut on donc douter
auec aucune sorte de raison que S. A. R. ne soit en estat
de la pouuoir conclure : ie croy que ce raisonnement
n’est pas des plus foibles : passons outre.   Pendant la Regence d’Anne d’Austriche, il est tres
constant que la paix generalle a peu estre conclüe, & les
iustes reproches que nous en faisons tous les iours à son
Ministre ne marquent que trop, qu’il n’a point fait, ce
qui ne dépendoit que de luy. Anne d’Austriche

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Occurrence 435. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

LE SCEPTRE
DE FRANCE
EN
QVENOVILLE
Par les Regences des Reynes, faisant voir par
de naifues representations d’Histoires.

I. Les desordres du pouuoir absolu
des femmes en France, par.

II. La mauuaise Education des Roys.

III. La pernicieuse

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Occurrence 436. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

public en France, si l’on
ne les employe point pour le retablissement de
cette Monarchie delabrée, & pour le repos des
miserables peuples, qui languissent sous le poids
insupportable d’vne quenoüille. REMARQVES
TOVCHANT
LES REGENCES
EN FRANCE. LA I. Remarque est que la REGENCE
n’a lieu en France que dans quatre rencontres ;
sçauoir durant la Minorité des
Roys, durant leurs voyages hors du
Royaume, durant leurs emprisonnemens,
& durant quelque maladie du corps, ou

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Occurrence 437. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

le retablissement de
cette Monarchie delabrée, & pour le repos des
miserables peuples, qui languissent sous le poids
insupportable d’vne quenoüille. REMARQVES
TOVCHANT
LES REGENCES
EN FRANCE. LA I. Remarque est que la REGENCE
n’a lieu en France que dans quatre rencontres ;
sçauoir durant la Minorité des
Roys, durant leurs voyages hors du
Royaume, durant leurs emprisonnemens,
& durant quelque maladie du corps, ou de
l’esprit qui les rende du tout incapables du

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Occurrence 438. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

sçauoir durant la Minorité des
Roys, durant leurs voyages hors du
Royaume, durant leurs emprisonnemens,
& durant quelque maladie du corps, ou de
l’esprit qui les rende du tout incapables du Gouuernement
de l’Estat. La II. Remarque est que la Regence du Royaume
appartient de droict au Prince le plus proche du
Sang Royal. Ainsi nous lisons dans nostre Histoire
que Philippes le Long porta la qualité de REGENT
EN FRANCE, pendant la grossesse de la Reyne
Clemence sa belle-sœur, vefue du Roy Louys Hutin,
&

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Occurrence 439. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de
l’esprit qui les rende du tout incapables du Gouuernement
de l’Estat. La II. Remarque est que la Regence du Royaume
appartient de droict au Prince le plus proche du
Sang Royal. Ainsi nous lisons dans nostre Histoire
que Philippes le Long porta la qualité de REGENT
EN FRANCE, pendant la grossesse de la Reyne
Clemence sa belle-sœur, vefue du Roy Louys Hutin,
& Philippes de Valois, de mesme durant la grossesse
de lâne fille de Louys Comte d’Evreux, vefue de Charles IV. dit le Bel son cousin. Ainsi Charles

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Occurrence 440. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de la Reyne
Clemence sa belle-sœur, vefue du Roy Louys Hutin,
& Philippes de Valois, de mesme durant la grossesse
de lâne fille de Louys Comte d’Evreux, vefue de Charles IV. dit le Bel son cousin. Ainsi Charles V.
encore Dauphin, porta le Titre de Regent durant la
prison du Roy lean son Pere. Ainsi Louys Duc
d’Anjou frere de Charles V. dit le Sage, fut Tuteur
de Charles VI. son fils, & Regent du Royaume. Ainsi
Iean Duc du Berry, Charles Duc d’Orleans, Philippes
& Iean Ducs de Bourgogne, Pierre &

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Occurrence 441. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Comte d’Evreux, vefue de Charles IV. dit le Bel son cousin. Ainsi Charles V.
encore Dauphin, porta le Titre de Regent durant la
prison du Roy lean son Pere. Ainsi Louys Duc
d’Anjou frere de Charles V. dit le Sage, fut Tuteur
de Charles VI. son fils, & Regent du Royaume. Ainsi
Iean Duc du Berry, Charles Duc d’Orleans, Philippes
& Iean Ducs de Bourgogne, Pierre & Iacques
Ducs de Bourbon, furent Regens en France l’vn
apres l’autre, durant la maladie d’esprit de ce mesme
Roy Charles VI. Ainsi Pierre Duc de

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Occurrence 442. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Ainsi
Iean Duc du Berry, Charles Duc d’Orleans, Philippes
& Iean Ducs de Bourgogne, Pierre & Iacques
Ducs de Bourbon, furent Regens en France l’vn
apres l’autre, durant la maladie d’esprit de ce mesme
Roy Charles VI. Ainsi Pierre Duc de Bourbon eut la
Regence du Royaume durant le voyage de Charles
VIII. en Italie. Ainsi Charles Comte d’Angoulesme
fut Regent en France durant les deux voyages de
Louys XII. au Duché de Milan.   Dupleix sous
Charles IX. De Serres la
nomme Constance. La III.

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Occurrence 443. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Iacques
Ducs de Bourbon, furent Regens en France l’vn
apres l’autre, durant la maladie d’esprit de ce mesme
Roy Charles VI. Ainsi Pierre Duc de Bourbon eut la
Regence du Royaume durant le voyage de Charles
VIII. en Italie. Ainsi Charles Comte d’Angoulesme
fut Regent en France durant les deux voyages de
Louys XII. au Duché de Milan.   Dupleix sous
Charles IX. De Serres la
nomme Constance. La III. Remarque est que les Roys & les Estats
Generaux n’ont pas tousiours suiuy cét Ordre ; En
ce que dans

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Occurrence 444. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Estats
Generaux n’ont pas tousiours suiuy cét Ordre ; En
ce que dans la iuste apprehension qu’ils ont euë que
les Princes du Sang n’enuahissent le Royaume, & que
de REGENS, ils ne se fissent ROYS, au preiudice de
leurs pupilles, ils ont quelquesfois defere la Regence
à des Seigneurs du tout Estrangers en leur famille, &
souuent mesme à des Abbés ; pource que les vns &
les autres estoient hors du pouuoir de rauir la Courõne
à ses legitimes possesseurs. Ainsi Henry I. institua
Tuteur de Philippes I. son fils, &

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Occurrence 445. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Regence
à des Seigneurs du tout Estrangers en leur famille, &
souuent mesme à des Abbés ; pource que les vns &
les autres estoient hors du pouuoir de rauir la Courõne
à ses legitimes possesseurs. Ainsi Henry I. institua
Tuteur de Philippes I. son fils, & Regent du Royaume
Baudoüin d l’Isle Comte de Flandres qui auoit
épousé Alix sa sœur. Louys le Ieune allant à la Terre-Saincte,
ordonna Regent en France pendant son absence,
Sugger Abbé de Sainct Denys, & S. Louys en
son second voyage d’Outre-mer laissa la

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Occurrence 446. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

hors du pouuoir de rauir la Courõne
à ses legitimes possesseurs. Ainsi Henry I. institua
Tuteur de Philippes I. son fils, & Regent du Royaume
Baudoüin d l’Isle Comte de Flandres qui auoit
épousé Alix sa sœur. Louys le Ieune allant à la Terre-Saincte,
ordonna Regent en France pendant son absence,
Sugger Abbé de Sainct Denys, & S. Louys en
son second voyage d’Outre-mer laissa la Regence de son Royaume à Simon Abbé de S. Denys, & à Simon
de Clermont Seigneur de Neesle. Ie ne parle point
icy de Charles le

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Occurrence 447. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Regent du Royaume
Baudoüin d l’Isle Comte de Flandres qui auoit
épousé Alix sa sœur. Louys le Ieune allant à la Terre-Saincte,
ordonna Regent en France pendant son absence,
Sugger Abbé de Sainct Denys, & S. Louys en
son second voyage d’Outre-mer laissa la Regence de son Royaume à Simon Abbé de S. Denys, & à Simon
de Clermont Seigneur de Neesle. Ie ne parle point
icy de Charles le Gros Empereur, ny de Eudes Comte
de Paris, lesquels estans appellés par les Estats Generaux
au Gouuernement de l’Estat, ils

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Occurrence 448. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

faut tenir plustost
pour des iniustes vsurpateurs du Royaume, que pour
des Regens veritables, ou pour des fideles Ministres
de l’Estat. Ie ne mets point aussi au rang des Regens
legitimes Henry V. Roy d’Angleterre, lequel par le
Testament de Charles VI. fut declaré Regent du
Royaume, & heritier presomptif de la Couronne, au
preiudice de Charles VII. son legitime successeur,
& veritable Regent par le droict de sa Naissance.   La IV. Remarque est que les Reynes ont esté ordinairement
preferées en ce choix, à tous les

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Occurrence 449. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Ie ne mets point aussi au rang des Regens
legitimes Henry V. Roy d’Angleterre, lequel par le
Testament de Charles VI. fut declaré Regent du
Royaume, & heritier presomptif de la Couronne, au
preiudice de Charles VII. son legitime successeur,
& veritable Regent par le droict de sa Naissance.   La IV. Remarque est que les Reynes ont esté ordinairement
preferées en ce choix, à tous les Princes
du Sang, & aux autres Seigneurs Ecclesiastiques ou
seculiers, par cette mesme raison, que l’on ne peut
pas craindre

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Occurrence 450. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Histoire vn nombre
beaucoup plus grand de REYNES REGENTES que de
Princes du Sang, & d’autres Seigneurs qui ayent gouuerné l’Estat en cette qualité ; Ainsi que ie feray voir
en ce petit Ouurage, auquel i’entreprends de décrire
par abbregé la REGENCE DES REYNES EN FRANCE,
& les actions les plus remarquables de leur vie.   La V. Remarque est que la Regence des Reynes
ou des Princes en France expire tousiours auec la minorité
des Roys, laquelle, selon l’Ordonnance de
Charles V. dit le Sage, verifiée

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Occurrence 451. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

ayent gouuerné l’Estat en cette qualité ; Ainsi que ie feray voir
en ce petit Ouurage, auquel i’entreprends de décrire
par abbregé la REGENCE DES REYNES EN FRANCE,
& les actions les plus remarquables de leur vie.   La V. Remarque est que la Regence des Reynes
ou des Princes en France expire tousiours auec la minorité
des Roys, laquelle, selon l’Ordonnance de
Charles V. dit le Sage, verifiée en Parlement le 12.
May 1375. echét à l’entrée de l’an 14. de leur âge. Elle
expire encore par la cessation

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Occurrence 452. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

au retour de leurs voyages hors du Royaume,
au commencement de leur liberté, à la sortie des
prisons, & au restablissement de leur santé, apres leurs
maladies. Cette constitution de Charles V. n’a esté faite
que pour empescher le prodigieux pouuoir de la
Regence, qui par le trop grand espace de temps
empietoit sur les droits de la Royauté, & quelquefois
au preiudice de la Couronne. Autrement il
n’eust pas esté besoin de regler ce temps de la Minorité.
Cette loy partoit de l’esprit d’vn Sage Monarque ;
mais la

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Occurrence 453. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

des Courtisans iointe à l’ambition de nos femmes,
ont trouué moyen de luy oster son principal effect,
dequoy ils ressentiront bien long temps les
malheurs qui necessairement en doiuent prouenir,
outre ceux qui sont desia passez. LA REGENCE
DES REYNES
EN FRANCE,
OV
LES REGENTES. I. CLOTILDE Vefue de Clouis, &
Tutrice des Enfans de Clodomire Roy d’Orleans
son fils, & du mesme Clouis. CLOTILDE fut fille de Chilperic, petite
fille de Gondenge, & niéce de

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Occurrence 454. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Clotaire Roy de Soissons, Clodomire
Roy d’Orleans, & Thierry Roy de Mets. Apres la
mort de Clodomire, qui fut tué miserablement par
Gondemar Roy de Bourgongne. Clotilde prit en
main la Tutele de ses enfans Thibaut, Gontaire
& Clodoalde, & tout ensemble la Regence de leur
Estat. Elle les éleuoit dans son Palais auec des soins
tres-particuliers, & vne affection plus que de Mere,
lors qu’ils luy furent cruellement enleuez par leurs
oncles Childebert & Clotaire ; lesquels ayans ces
ieunes Princes en leur possession,

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Occurrence 455. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

resoluë à les
executer. Elle gagne sur eux vne seconde victoire
auec vn si grand succés, que peu de ses gens estans
morts en cette bataille, le cours de la riuiere d’Aurance
où ce combat fut donné, fut arresté par les
corps des vaincus. Ainsi Fredegonde en sa Regence
triomphe deux fois de toute la force d’Austrasie & de
Bourgogne, d’Orleans & de Soissons, de Childebert
& de ses enfans, & ce qu’elle estimoit beaucoup plus
que tout cela, de Brunchaut sa Riuale & son ennemie.
Mais sa ioye fut bien-tost

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Occurrence 456. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

morte paisiblement, & au milieu de ses victoires,
& qu’apres tant de crimes horribles, dont elle tache
sa memoire, elle laisse par sa bonne conduite
son peuple paisible, son Estat florissant, son fils seul
& absolu Monarque des deux Frances.   II.
Regence de
Fredegonde. Placuit cũctis
quod dixerat
Regina, & ex
consilij sententia
Regem adhuc
sugentem
matris vbera
ferrata sequũtur
agmina,
&c. Interea
Fredegundis
Clotarium filium
suis gestans
vlnis vsque

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Occurrence 457. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

fait ietter le corps du petit
Clouis dans la Marne, d’où il fut tiré par vn pescheur,
& porté au Roy Gontran. IX. D’auoir empoisonné
deux cousteaux pour tuer Childebert & sa mere. X.
D’auoir attenté sur la vie du Roy Gontran, pour
s’asseurer de la Regence du Royaune, ainsi que le
confessa vn Prestre surpris dans vne Eglise auec vn
poignard pour le tuer. XI. De s’estre efforcée d’estrangler
sa fille Ragonde, pour ce qu’elle ne l’aymoit
pas. XII. D’auoir fait assassiner l’Euesque pretextat
en la grande

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Occurrence 458. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

elle mourut dans la
mesme paix qu’elle auoit procurée à son peuple. Elle
est enterrée à S. Denys proche de Dagobert son espoux,
n’ayant point voulu estre separée à la mort de
celuy auquel elle auoit esté si intimement vnie pendant
la vie.   II.
Regence de
Nantilde. V.
BATHILDE Femme de Clouis second, & Regente en France
durant ses voyages. BATHILDE fut vne Princesse de la maison
de Saxe, laquelle ayant esté prise en
guere par Bertinax Maire du Palais de
Clouis Il. Roy de

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Occurrence 459. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de Nieufport, & des dunes sur la Mer, en
reconnoissance de la naissance de Philippes son fils.
Alors ce ieune Prince sous la conduite de sa Mere, occupoit
tous ses soins à regler son Estat, sous les Loix
d’vne iudicieuse police.   I.
La premiere
Regence d’Alix. Ayant consacré les premices de son regne par le
chastiment des blasphemateurs secrets, & des voleurs
publics, il bannist la Comedie & le jeu de la
Cour, & fit de tres-belles Ordonnances qu’on lit en
nostre siecle, & que le sien

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Occurrence 460. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

son pere. Princesse autant glorieuse d’estre la mere
d’vn VICTORIEVX, que d’auoir esté la femme d’vn
mari TRIOMPHANT : Mais encore plus estimable
d’auoir eleué son fils dans la vertu, que de l’auoir
produit au monde par la naissance.   II.
Seconde Regence
d’Alix. VII.
BLANCHE Vefue de Louys VIII. & deux fois Regente ;
La premiere durant la minorité de son fils
S. Louys, la seconde pendant son premier
voyage en la Terre-Saincte. BLANCHE fut fille d’Alfonse Roy
de Castille,

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Occurrence 461. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

tant de tesmoignages d’amour
& de respect, qu’on peut dire en verité, que deslors il
fut Sainct dés l’enfance.   I.
Le Regne de
Blanche. Aussi Louys VIII. en mourant, ordonna par vn
mesme Testament le Couronnement de son fils, &
la Regence de sa femme. Plusieurs grandes considerations
l’obligerent à faire choix de la Reyne pour
vne charge si importante, plustost que d’vn Prince
du sang Royal. La premiere fut par ce que l’experience
luy auoit fait connoistre que les Regens de cét
Estat auoiẽt

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Occurrence 462. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de sa vertu ; En France toutes les Reynes-Meres,
apres le decés de leurs maris, veulent estre nommées
BLANCHES par vne honnorable memoire tirée du
bon gouuernement de cette sage Princesse. S. Louys
auoit à peine douze ans, lors qu’elle en prit la tutele
auec la Regence du Royaume. L’vn de ses premiers
soins, fut de pouruoir à l’institution de son fils, auquel
elle donna pour Maistres, & pour directeurs les
hommes les plus renommés de son temps en probité
de vie, & en eminence de doctrine. Aussi comme ce
ieune Prince

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Occurrence 463. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

l’horreur du
peché, que l’on croit auec quelque apparence de verité,
que dans tout le cours de sa vie il ne s’en rendit
iamais coupable, sur tout de ceux qui nous priuent
entierement de la Grace, & de l’amitié. de Dieu. La
seconde de ses pensées en sa Regence, fut d’executer
l’ordre du Roy defunct son espoux, lequel en mourant
auoit recommandé que l’on Consacrast son fils
au plustost. Pour ce sujet elle part de Paris auec le
ieune Roy, accompagné d’vn grand nombre de
Princes, de Seigneurs & de Prelats de

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Occurrence 464. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de Champagne son cousin, Hugues
Comte de la Marche son allié, Hugues de Chastillon
Comte de S. Paul, Simon Comte de Ponthieu, Pierre
Comte de Bretagne, & Pierre de Dreux son frere
tous associés dans vn mesme party, auoient formé
contre le Roy mineur, & contre sa Regence. Les
ayant vaincu par la maturité du conseil, elle les deffit
aysement par la force des armes. Le bon-droit l’emporta
en cette rencontre sur l’iniustice. Aussi ceux
d’entre les coniurés que la Regente ne peût flechir
par la douceur d’vn accommodement,

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Occurrence 465. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Le Comte de Bretagne fut
depoüillé de ses Estats, le Comte de la Marche fut
assés heureux de n’estre que prisonnier, & d’auoir racheté
sa vie par vne riche rançon. Enfin tous les autres
ennemis furent, ou pacifiés ou vaincus.   II.
La premiere
Regence de
Blanche. Pasquier en
ses Recherches. Matt. Paris. Ainsi la Regence de Blanche estant asseurée, le
regne de S. Louys affermy, elle luy fit espouser Marguerite
fille du Comte de Prouence, Raymond Berenger,
Princesse doüée de toutes les

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Occurrence 466. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de n’estre que prisonnier, & d’auoir racheté
sa vie par vne riche rançon. Enfin tous les autres
ennemis furent, ou pacifiés ou vaincus.   II.
La premiere
Regence de
Blanche. Pasquier en
ses Recherches. Matt. Paris. Ainsi la Regence de Blanche estant asseurée, le
regne de S. Louys affermy, elle luy fit espouser Marguerite
fille du Comte de Prouence, Raymond Berenger,
Princesse doüée de toutes les grandes qualités
que l’on peut rechercher en vne Reyne ; Et cela
auec vn si parfait

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Occurrence 467. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de toutes les grandes qualités
que l’on peut rechercher en vne Reyne ; Et cela
auec vn si parfait contentement de part & d’autre,
que comme elle aymoit vniquement le Roy, elle en
estoit aussi singulierement aymée. En ce temps Blanche quitta la Regence à son fils
aussi-tost qu’il eut atteint l’âge capable de commander ;
Et bien qu’elle eut alors changé l’employ des
affaires publiques en vn exercice continuel de deuotions
& de prieres, Louys & le peuple ne laisserent
pas de l’aymer, & de

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Occurrence 468. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de ioye, cette Saincte Reyne les
eleuant encore vers le Ciel, leur donna à tous deux sa
benediction, & mourut sur leur sein, & comme entre
leurs bras, l’an mil deux cẽts cinquante deux. Elle
leur laissa en suite auec le soin de Philippes son petit
fils, la Regence du Royaume. Son corps fut porté en
l’Abbaye de Maubuisson proche de Pontoise, qu’elle
auoit fait bastir auec celle du Lis prés de Melun ; où il
repose auec vn prejugé presque certain de la gloire
de son ame. Il se trouue des Autheurs qui disent que
cette

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Occurrence 469. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de la saincteté
de la vie, & qu’en l’vn & en l’autre le bon-heur est
tousiours vne recompense inseparable de la Vertu : Comme
il paroist en l’Epitaphe suiuant consacré à l’heureuse
memoire de ceste illustre Princesse.   III.
La seconde
Regence de
Blanche. Nangis.
Collenutius.
Chronique de
S. Denis. Ioinuille. c. 44. Vigner. Le Commentateur
de l’Histoire
de S.
Louys, escrite
par Ioinuille.

EPITAPHIVM
REGINÆ BLANCÆ.

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Occurrence 470. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de ses enfans, tãt qu’elle
demeureroit en viduité, & luy substitua en cette
charge Charles de France Comte de Blois son frere,
voulãt qu’il obeïst immediatement à la Reyne seule,
& qu’il commandast absolument au reste du Royaume,
comme associé à la Regence. Mais cette volonté
du Roy n’eut point d’effet, dautant que le Roy reuint
en santé, & la Reyne mourut auparauant son
mari, asses heureuse d’auoir eu l’honneur de la Regence,
sans en auoir les peines.   Testament de
Philippes le

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Occurrence 471. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

seule,
& qu’il commandast absolument au reste du Royaume,
comme associé à la Regence. Mais cette volonté
du Roy n’eut point d’effet, dautant que le Roy reuint
en santé, & la Reyne mourut auparauant son
mari, asses heureuse d’auoir eu l’honneur de la Regence,
sans en auoir les peines.   Testament de
Philippes le
Bel. Belle-Forest. IX.
IEANNE De Bourbon femme de Charles V. & Regente
du Royaume par son Testament. IEANNE DE BOVRBON fut fille de
Charles Duc de Bourbon,

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Occurrence 472. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

frere de
la defuncte Reyne y fut ajousté en sa consideration.
Leur ayant d’abord recommandé ses enfans
& son peuple, & donné des auis necessaires en cette
rencontre pour le gouuernement de son Estat, il
leur laissa la tutele de son fils, & la Regence du
Royaume. Mais helas que de confusion dans cette
minorité ! Le Regent est trauerse aussi-tost par ses
associés qui pretendent d’auoir auec luy vne égale
authorité de commander ; & luy-mesme abusant
imperieusement de la puissance qui luy est

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Occurrence 473. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Leur ayant d’abord recommandé ses enfans
& son peuple, & donné des auis necessaires en cette
rencontre pour le gouuernement de son Estat, il
leur laissa la tutele de son fils, & la Regence du
Royaume. Mais helas que de confusion dans cette
minorité ! Le Regent est trauerse aussi-tost par ses
associés qui pretendent d’auoir auec luy vne égale
authorité de commander ; & luy-mesme abusant
imperieusement de la puissance qui luy est commise,
il veut commander en Roy, & non pas en
Regent, siecle de confusion &

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Occurrence 474. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

dans cette
minorité ! Le Regent est trauerse aussi-tost par ses
associés qui pretendent d’auoir auec luy vne égale
authorité de commander ; & luy-mesme abusant
imperieusement de la puissance qui luy est commise,
il veut commander en Roy, & non pas en
Regent, siecle de confusion & d’horreur ! où celuy-là
est Roy ou Regent en France, lequel est moins digne
de regner.   Testament de
Charles V.
Belle-Forest
en son hist. X.
ISABEAV De Bauiere femme de Charles VI. &

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Occurrence 475. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

qui pretendent d’auoir auec luy vne égale
authorité de commander ; & luy-mesme abusant
imperieusement de la puissance qui luy est commise,
il veut commander en Roy, & non pas en
Regent, siecle de confusion & d’horreur ! où celuy-là
est Roy ou Regent en France, lequel est moins digne
de regner.   Testament de
Charles V.
Belle-Forest
en son hist. X.
ISABEAV De Bauiere femme de Charles VI. & Regente
en France durant sa maladie. ISABEAV DE BAVIERE fut fille

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Occurrence 476. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

pouuoient
auoir, l’vn par sa dignité d’Empereur, & l’autre par
son mariage auec la fille du Roy de Boheme. La
celebrité des nopces de Charles & d’Isabeau fut faite
à Amiens auec vne ioye incroyable de toute la Cour,
sur tout de Louys Duc d’Anjou alors Regent en
France, & de ses trois associés au gouuernement de
l’Eatat : sçauoir Iean Duc du Berry, Philippes Duc de Bourgogne, & Iacques Duc de Bourbon ; Cette
Princesse faisant alors esperer à la France autant de
bon heur de son esprit iudicieux,

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Occurrence 477. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

par le
Duc de Bourgogne, & en suite declarée Regente du
Royaume en sa place de son fils, auec vn Seau remarquable,
où elle fit grauer son Image animée de ces
mots. C’est Le Seau de la Souueraineté du Roy. Iamais
la France n’auoit veu dans vn mesme temps vn Regent
& vne Regente, & tous deux opposés l’vn à l’autre,
sinon en cette rencontre, ou par vn exemple de
rigueur remarquable à la posterité, elle veid vne Mere
cruellement armée contre son propre sang, faire la
paix & alliance auec son ennemy, pour

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Occurrence 478. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

elle abusa si fort de la folie & de la credulité de son
mari Charles VI. egaré de son sens, que de luy faire
desheriter le legitime heritier de ce Royaume, pour
subsister en sa place l’ancien ennemy de l’Estat.   I.
Le regne d’Isabeau. II.
La Regence
d’Isabeau. L’acte en fut fait à Troyes en Champagne le 21.
iour de May l’an 1420. En ces termes, Que pour establir
la Paix aux deux Royaumes de France & d’Angleterre,
& en consideration du mariage de Catherine de France
auec

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Occurrence 479. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

L’acte en fut fait à Troyes en Champagne le 21.
iour de May l’an 1420. En ces termes, Que pour establir
la Paix aux deux Royaumes de France & d’Angleterre,
& en consideration du mariage de Catherine de France
auec Henry VI. Roy d’Angleterre, Il le declaroit Regent
du Royaume pendant son viuant, & Roy apres sa mort, &
que Charles son fils pour ses crimes de rebellion & desobeyssance,
seroit exilé du Royaume à perpetuité, & exclus
de la succession à la Couronne. Le Dauphin appelle de
cét Arrest à Dieu,

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Occurrence 480. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Marquis
du Pont, & fils aisné du Duc de
Lorraine, puis mariée à Pierre de Bourbon Seigneur
de Beau-jeu, qui fut Duc de Bourbon par le decés de
Iean son frere aisné. Ce Prince de Gouuerneur
du Roy Charles VIII. du viuant de son pere, fut son
Tuteur & Regent du Royaume apres son trepas.
Mais bien qu’il en portast la qualité par l’ordre du
feu Roy, & par le consentement des Estats, sa femme
Aune de France sœur du Roy en possedoit effectiuement
toute l’authorité. Cette Regence commença
heureusement par le

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Occurrence 481. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

viuant de son pere, fut son
Tuteur & Regent du Royaume apres son trepas.
Mais bien qu’il en portast la qualité par l’ordre du
feu Roy, & par le consentement des Estats, sa femme
Aune de France sœur du Roy en possedoit effectiuement
toute l’authorité. Cette Regence commença
heureusement par le Sacre du Roy à Reims, & par la
punition de quelques Financiers qui s’estoient enrichis
sous le feu Roy, par la ruine du peuple. Le Roy
croissoit de iour à autre en santé de corps, & en force d’esprit : de

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Occurrence 482. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

en force d’esprit : de sorte, qu’entrant dans sa quatorziesme
année, où la minorité des Roys expire, pour terminer
les differens des Princes, Pierre Duc de Bourbon,
& Louys Duc d’Orleans, que l’ambition ou l’auarice
faisoit contester de la Regence du Royaume, les
Estats Generaux assemblés à Tours ordonnerent sagement
qu’il n’y auroit point de Regent en France :
Mais qu’Anne de France femme de Pierre de Bourbon
Seigneur de Beau-jeu, saur du Roy, auroit le Gouuernement
de la personne de sa Majesté,

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Occurrence 483. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Roys expire, pour terminer
les differens des Princes, Pierre Duc de Bourbon,
& Louys Duc d’Orleans, que l’ambition ou l’auarice
faisoit contester de la Regence du Royaume, les
Estats Generaux assemblés à Tours ordonnerent sagement
qu’il n’y auroit point de Regent en France :
Mais qu’Anne de France femme de Pierre de Bourbon
Seigneur de Beau-jeu, saur du Roy, auroit le Gouuernement
de la personne de sa Majesté, suiuant la volonté du
Roy Louys XI. son pere, & que d’ailleurs toute la direction
des affaire politiques

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Occurrence 484. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

la
Couronne. On trouue vn Testament de ce Roy
Louys XII. fait en l’an mil cinq cents cinq, le dernier
iour de May, par lequel ce Prince iudicieux ordonna
qu’apres sa mort, & durant la minorité de François
Duc de Valois le legitime heritier de la Couronne,
la Regence du Royaume seroit diuisée entre la Reyne Anne son espouse, Louyse de Sauoye Mere de
François, & qu’auec elle, le Cardinal d’Amboise, le
Comte de Neuers, le Chancelier, & quelques autres
Seigneurs tiendroient le Conseil Souuerain. Mais ce

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Occurrence 485. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

& quelques autres
Seigneurs tiendroient le Conseil Souuerain. Mais ce
Testament n’eut point d’effet, dautant que lors que
Louys XII. mourut, François I. de ce nom qui luy
succeda à la Couronne, estoit maieur, & ainsi il n’y
auoit plus de lieu à la Regence. Neantmoins il est
certain que Louyse de Sauoye eut tousiours grande
part au Gouuernement des affaires publiques durant
tout le regne de son fils, lequel auoit vne confiance
tres-particuliere en sa bonne conduite, & conserua
tousiours enuers elle durant toute sa

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Occurrence 486. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

en Charles-Quint Empereur, vn riual
lequel auoit par tout des sujets, ou des alliés ; La
Regente assista tousiours son fils en ce qu’elle peût,
d’argent, & de conseil, de vœux & de desirs. Deux
seules taches, au rapport de nos Historiens ont soüillé
sa Regence & sa vie ; L’vne est qu’en ce temps
elle fut cause de la perte du Royaume de Naples
conquis par Odet de Foix, Seigneur de Lautrec,
l’vn des Heros de ce siecle ; en luy retenant par
vne secrete hayne, quatre cents mille escus que le
Roy luy faisoit tenir

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Occurrence 487. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

l’elargissement fut conclud au
Traicté de Madrid, & relasché en suite aussi tost que
ses deux fils, François le Dauphin, & Henry Duc
d’Orleans furent receus en sa place pour ostages. Ainsi
comme cette Princesse auoit heureusement reüssi
dans sa premiere Regence, son Gouuernement dans
la seconde, parut de-là si iudicieux & si sage, que le
titre de REGENTE luy fut tousiours continué depuis
le retour de son fils en France, & mesme durant
tout le cours de sa vie. Elle mourut presque au mesme
temps, que pour cimenter

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Occurrence 488. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

à ce dessein qu’Antoine de Bourbon
Roy de Nauarre, & Henry Prince de Condé, lesquels
estans les Princes les plus proches du sang Royal, ne
vouloient point souffrir le Gouuernement d’vne
femme estrangere, & n’aspiroient à rien moins qu’à
diuiser la Regence, ou l’envahir toute entiere. Mais
ils en furent deboutés encore moins par l’Ordonnance
des Estats Generaux, que par l’addresse, & par
la resolution de Catherine, qui sceut encore en cette
rencontre vser iudicieusement de la verité de sa deuise :

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Occurrence 489. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

contre elle mesme ! En ce
temps de ligues & de troubles, ce fust assés-tost pour
son contentement que le Roy Charles IX. fut declaré
maieur, autant par l’auancement de son âge, que
par la demission volontaire de la Reyne, laquelle auec
le titre de Regence, ne quitta pas l’Intendance
des affaires. Il est icy remarquable que la declaration
de la maiorité du Roy, fut verifiée au Parlement de
Roüen le quinziesme d’Aoust mil cinq cents soixante
trois, au preiudice de celuy de Paris, lequel s’en
estant plaind au

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Occurrence 490. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.
Eues. de
Meis.
I. Aug. Thuanus. Duplex.
Iean de Serre.
I. Le Frere.
Manuisiere.
I. Aug Thuanus.
Manuisiere.
Aubigny. De-là la Reyne conduisit le Roy dans toutes les
bonnes villes de son Royaume,

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Occurrence 491. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

santé. Ne se contentant pas de l’auoir eleuée à cette
haute charge qu’elle auoit desia si dignemẽt exercée ;
Il luy en fit expedier des Lettres du grand Seau, lesquelles
furent en suite verifiées en Parlement auec
ces termes honorables, La Reyne a accepté la Regence,
priée de ce faire par le Duc d’Alençon, le Roy de Nauarre,
le Cardinal de Bourbon, &c. Commissaires de la
Cour à ses fins deputés deuers elle. Signe trop apparent,
qu’elle auoit souhaité cette Regence pour tromper
artificieusement le party des

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Occurrence 492. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

auec
ces termes honorables, La Reyne a accepté la Regence,
priée de ce faire par le Duc d’Alençon, le Roy de Nauarre,
le Cardinal de Bourbon, &c. Commissaires de la
Cour à ses fins deputés deuers elle. Signe trop apparent,
qu’elle auoit souhaité cette Regence pour tromper
artificieusement le party des Heretiques, lesquels se
promettoient de la mort du Roy vn notable auancement
à leurs affaires, sous le Gouuernement du Duc
d’Alençon, ou sous le regne de Henry III. alors en
Pologne. En vertu de ces Lettres, & par

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Occurrence 493. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

du Roy, qui par le mesme Arrest auoit fait
sa Mere Regente, par lequel il auoit declaré son frere
Henry vray & legitime successeur de sa Couronne ;
Elle prit en main le Gouuernement de l’Estat durant
sa maladie, qui traisna plus de huict mois, &
commença sa Regence par la dissipation de la ligue
des Malcontans, où le Duc d’Alençon son IV. fils, &
le Roy de Nauarre furent arrestés, le reste des coupables,
ou exilés, ou punis. Vn des plus funestes emplois
de sa Regence, fut de rendre les deuoirs funebres

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Occurrence 494. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

plus de huict mois, &
commença sa Regence par la dissipation de la ligue
des Malcontans, où le Duc d’Alençon son IV. fils, &
le Roy de Nauarre furent arrestés, le reste des coupables,
ou exilés, ou punis. Vn des plus funestes emplois
de sa Regence, fut de rendre les deuoirs funebres
à son fils Charles IX. & d’appeller aussi tost
Henry III. de Pologne pour le mettre en possession
du Royaume, dont la succession luy estoit echeuë par
la mort de son frere, & duquel par vne certaine anticipation
du

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Occurrence 495. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Durant cét interregne,
& cette longue suspension de l’authorité
Royale ; le second soin de la Regente, fut qu’ayant
auerty le Roy de Pologne de la mort de son frere, elle
le pria de reuenir au plustost en France, & en attendant
de son retour, de confirmer la Regence que le
feu Roy luy auoit deferée. Ce Prince fit l’vn & l’autre
par ses Ambassadeurs, & s’estant luy-mesme echappé
de Pologne, il arriue en France heureusement,
où la Reyne estant allée au deuant de luy iusques au
Pont de Beauuoisin, premiere ville

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Occurrence 496. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

heureusement,
où la Reyne estant allée au deuant de luy iusques au
Pont de Beauuoisin, premiere ville de France sur les
frontieres, elle eut autant de ioye au retour de ce
cher fils, qu’elle auoit ressenty de tristesse à son depart.
D’abord elle luy remet auec la Regence la liberté
du Duc d’Alençon, & du Roy de Nauarre,
qu’elle auoit fait arrester, pour ce qu’ils broüilloient
dans l’Estat. De-là elle eut vn sensible deplaisir, de
voir ces deux freres, les seuls fils qui luy restoient au
monde, si mal

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Occurrence 497. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48. III.
La troisiesme
Regence. XIV.
MARIE De Medicis vefue de Henry IV. Tutrice de
Louys XIII. son fils, & Regente du
Royaume. MARIE DE MEDICIS fut fille de
François de Medicis Grand-Duc de
Toscane, & de Ieanne d’Austriche,
& niepce de Ferdinand

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Occurrence 498. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

Roy de la Grande-Bretagne. Dans
ce grand projet que le Roy Henry IV. auoit formé
peu auparauant son trespas de sortir hors du Royaume,
pour aller (comme l’on croit) à Iuilliers, & delà
où sa fortune le deuoit conduire, il auoit destiné
de laisser la Regence à la Reyne, auec le Gouuernement
absolu & vniuersel de toutes les affaires du
Royaume. Et pour donner plus d’authorité à cette
nouuelle charge, il la fit Couronner & Sacrer dans
l’Eglise sainct Denys par le Cardinal de Ioyeuse, auec
vn appareil digne

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Occurrence 499. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

par l’effort de ses armes, apres auoir vaincu
la France par elle mesme, bien qu’elle soit plus insurmontable
que le monde tout entier. La ioye de Paris
est changée subitement en deüil, & l’entrée de la
Reyne aux funerailles du Roy.   I.
La regence de
Marie de Medicis. Ce fut le 14.
May en l’an
1610. Louys XIII. ayant recueilly la succession des deux
Couronnes de France, & de Nauarre, qui luy estoient
écheuës par le trepas de son Pere, dautant qu’il n’estoit
a lors âgé que de

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Occurrence 500. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de Nauarre, qui luy estoient
écheuës par le trepas de son Pere, dautant qu’il n’estoit
a lors âgé que de huict à neuf ans, & que dans
cette foiblesse, il auoit plus besoin d’estre gouuerne
luy-mesme, que de gouuerner les autres ; la tutele
du Roy, & la Regence de l’Estat est deferée à la
Reyne sa mere, par le consentement vniuersel de
tous les Ordres du Royaume. Cét Ordre qui sembloit
auoir esté porté par le feu Roy pendant sa vie, fut en suite confirmé par le Parlement, & par le
Conseil, apres sa

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