[retour à un affichage normal]

Accueil > recherche > Rechercher dans les Mazarinades

Rechercher dans le corpus des Mazarinades
(202 occurrences trouvées)

Résultat de votre recherche de l'expression "tribut" dans le corpus des Mazarinades :


Occurrence 26. Anonyme. LE GVIDE AV CHEMIN DE LA LIBERTÉ FAISANT... (1652) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Pièce 27 sur les 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1534 ; cote locale : B_3_23. le 2013-08-10 06:30:50.

des
hommes & que ceux qui sont freres, engendrés
d’vn mesme pere, destinez pour posseder eternellement
le Ciel en heritage ne doiuent pas se
traitter comme Infideles, & nostre Seigneur
mesme declare que ce n’est que des Estrangers
que les Roys exigent le tribut & non de ceux de
leur famille, concluant qu’estant tous freres &
d’vne mesme famille dont Dieu est le chef, ils
sont libres, ne laissant pas de payer à celuy qui receuoit le tribut de Cæsar lequel estoit infidelle.
Outre ces raisons qui

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 27. Anonyme. LE GVIDE AV CHEMIN DE LA LIBERTÉ FAISANT... (1652) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Pièce 27 sur les 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1534 ; cote locale : B_3_23. le 2013-08-10 06:30:50.

declare que ce n’est que des Estrangers
que les Roys exigent le tribut & non de ceux de
leur famille, concluant qu’estant tous freres &
d’vne mesme famille dont Dieu est le chef, ils
sont libres, ne laissant pas de payer à celuy qui receuoit le tribut de Cæsar lequel estoit infidelle.
Outre ces raisons qui prouuent en general que
les Chrestiens ne sont point Esclaues, ie pourrois
en alleguer de particulieres pour monstrer que les
François ont tousiours esté libres soit apres que
Cæsar les eust reduits à

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 28. Anonyme. LE GVIDE AV CHEMIN DE LA LIBERTÉ FAISANT... (1652) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Pièce 27 sur les 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1534 ; cote locale : B_3_23. le 2013-08-10 06:30:50.

ceux qui
nous gouuernent. Les Mahomettans n’ont iamais
fait tant de rauages, de sacrileges, d’incendies, de
viols, de pilleries, que les gens de guerre exercent
deuant nos yeux. Les Chrestiens de Constantinople
& d’Alger ne payent pas la dixiesme partie
du Tribut que nous faisons: & puis on dira que
nous ne sommes pas Esclaues. Nostre vie n’est
pas en seureté, ny à la campagne, ny à la ville, ny dans nos foyers. Il nous faut achepter la Iustice,
encore le plus souuent l’iniustice triomphe de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 29. Anonyme. LE LABYRINTE DE L’ESTAT, Ou les veritables... (1652) chez [s. n.] à Paris , 36 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_1797 ; cote locale : C_12_8. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-03 16:38:50.

par les qualitez malignes de leur influences. Ce
sont ceux, lesquels comme l’Empereur Calicule
ayans en peu de temps dissipé les tresors qu’ils
trouuoient dans les coffres de leurs Espargne
par le bon mesnage de leurs predecesseurs, ont
mis en auant les tributs par la suggestiõ de leurs
Maires du Palais ou de leurs Fauoris qui ne
cherchoient qu’à les décrediter pour auoir l’auantage
de seoir sur leurs Trosnes, en les faisans
renfermer dans des Monasteres, apres s’en estre
long temps seruis comme d’instrumens

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 30. Anonyme. LE LABYRINTE DE L’ESTAT, Ou les veritables... (1652) chez [s. n.] à Paris , 36 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_1797 ; cote locale : C_12_8. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-03 16:38:50. orages roulent sur leurs testes,
sans que leurs foudres tombent sur eux pour les
écraser, afin de rendre la franchise au monde, ie
doute presque comme Tacite, s’il est au Ciel
quelque

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 31. Anonyme. LE LABYRINTE DE L’ESTAT, Ou les veritables... (1652) chez [s. n.] à Paris , 36 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_1797 ; cote locale : C_12_8. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-03 16:38:50.

est au Ciel
quelque prouidence qui veille sur les choses
humaines, ou si plustost vn destin aueugle &
temeraire qui les balãce, ne les laisse pas du tout
errer à l’auanture, presque sans connoissance du
bien & du mal : mais outre l’imposition de tant
de tributs que nos Roys auiourd’huy mettent
au rang de leurs reuenus legitimes : Qui ne rougiroit
de honte pour eux, de voir que l’argent
qu’ils exigent des offices depuis le plus grand
iusqu’au plus petit, est cause que la iustice est
venale dans leurs Estats, où

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 32. Anonyme. LE LABYRINTE DE L’ESTAT, Ou les veritables... (1652) chez [s. n.] à Paris , 36 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_1797 ; cote locale : C_12_8. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-03 16:38:50.

les interests du Prince
& de ses fauoris que par le leur, & parce qu’ils
souhaitent d’eux, sans considerer s’il est auantageux
ou preiudiciable au bien de l’Estat ou non.
Ils donneront autant d’Arrests, & confirmeront
ou establiront autant de tributs, que Mazarin
ou les Partisans sçauroient desirer, pourueu
qu’ils ayent quelque part au profit, & que la
Reyne ou le Prince en tesmoigne quelque desir.
Ne croyez pas en effet qu’ils examinent si
les Loix diuines & humaines donnent cette licence
au

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 33. Anonyme. LE LABYRINTE DE L’ESTAT, Ou les veritables... (1652) chez [s. n.] à Paris , 36 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_1797 ; cote locale : C_12_8. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-03 16:38:50.

de l’Empire, tant de mer que de terre : Le
pouuoir qu’il a, par sa propre reputation ou ses
alliances, les tresors de l’Espargne, les richesses
des Prouinces & des particuliers, la resistance
que les peuples apportent au payement des peages & des tributs, pour sçauoir si elle est causée
par impuissance ou par mutinerie, de connoistre
aussi l’esprit, l’intrigue, l’application, & la force
de chaque puissant Particulier, pour sçauoir ce
qu’il est capable d’oser & d’entreprendre pour
ou contre le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 34. Anonyme. LE LABYRINTE DE L’ESTAT, Ou les veritables... (1652) chez [s. n.] à Paris , 36 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_1797 ; cote locale : C_12_8. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-03 16:38:50.

sa passion, & que les fureurs du
peuple s’irritant de la moindre rigueur des Rois
ne s’esleuassent facilement, & ne montassent
iusqu’à son throsne, pour le renuerser quand il
leur plairoit : pour empescher aussi que le Prince
ne multipliast iniustement les tributs au desir
d’auoir dequoy remplir son auarice ou son
ambition, & ne se fist des droicts de toutes les
necessitez de sa Maison ou de son Empire, qu’il
authorisast par la force : ou que les peuples ne
refusassent de payer ce qu’ils luy doiuent

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 35. Anonyme. LE LABYRINTE DE L’ESTAT, Ou les veritables... (1652) chez [s. n.] à Paris , 36 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_1797 ; cote locale : C_12_8. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-09-03 16:38:50.

ceux de ce Corps qui feignirent de se declarer
pour le peuple, eussent mieux choisi leurs
Chefs, s’ils eussent refusé l’offre des Princes du
Sang & leurs alliez, sçachans que l’interest qu’ils
ont au soustien de la Couronne, dont les Tailles
& les autres tributs semblent maintenant estre le
seul domaine les empesche tousiours de fauoriser
celuy des peuples, & s’ils eussent monstré plus
de cõstance en leur dessein. La France auroit pû
recouurer sa franchise par leur moyen & le peril
qui les a tousiours menacez

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 36. Anonyme. LE MIROIR A DEVX-VISAGES OPPOSEZ, L’VN... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 16 pages. Langue : français. Coquille de date: "1644". Voir aussi A_6_15. Référence RIM : M0_2477 ; cote locale : C_6_23. le 2013-09-21 08:10:46.

auoit
auec Alaric, auec lequel il auoit fait vne honteuse Paix
pour l’Empereur contre l’aduis de tant de Conseil, &
mesme de l’Empereur, qui dit lors que ce Traicté n’estoit
pas vne Paix, mais vne paction de seruitude, l’Empereur
s’obligeant de payer tribut aux Gots, sous le
nom de pension. Si le second Visage de nostre Miroir a fait connoistre
la conduicte du Ministere du Cardinal Mazarin, sur celuy
de Sejan, le mesme se representera sur celuy de Iouius
& Olympius, & Stilico : il semble qu’il a imité

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 37. Anonyme. LE MIROIR A DEVX-VISAGES OPPOSEZ, L’VN... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 16 pages. Langue : français. Coquille de date: "1644". Voir aussi C_6_23. Référence RIM : M0_2477 ; cote locale : A_6_15. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-09-21 08:07:05.

auoit
auec Alaric, auec lequel il auoit fait vne honteuse Paix
pour l’Empereur contre l’aduis de tant de Conseil, &
mesme de l’Empereur, qui dit lors que ce Traicté n’estoit
pas vne Paix, mais vne paction de seruitude, l’Empereur
s’obligeant de payer tribut aux Gots, sous le
nom de pension. Si le second Visage de nostre Miroir a fait connoistre
la conduicte du Ministere du Cardinal Mazarin, sur celuy
de Sejan, le mesme se representera sur celuy de Iouius
& Olympius, & Stilico: il semble qu’il a imité

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 38. Anonyme. LE MIROIR DES SOVVERAINS OV SE VOID L’ART... (1649) chez Noël (François) à Paris , 50 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2478 ; cote locale : C_6_21. Texte édité par Site Admin le 2013-09-21 15:31:57.

de la veritable voye. Comme le Soleil attire à
soy les vapeurs & les exalaisons de la terre, pour
les faire retomber en plus grande abondance
sur les mesmes lieux ; Dieu veut pareillement
aussi que les Roys fassent le mesme des subsides
des & des tributs qu’ils leuent sur les peuples.
Tous les fleuues viennent de la mer, & tous
les fleuues y retournent sans rien diuinuer de
leur afluence. La bource du Prince est celle
des subjets, & celle des subjets doit estre celle
du Prince.   Lors

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 39. Anonyme. LE MIROIR DES SOVVERAINS OV SE VOID L’ART... (1649) chez Noël (François) à Paris , 50 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2478 ; cote locale : C_6_21. Texte édité par Site Admin le 2013-09-21 15:31:57.

de leur Prince. Il y a ie ne sçay qu’elle effigie, qui reside
dans l’esprit des hommes vertueux (comme
dans son Sanctuaire) qui les admoneste incessamment
de n’assurer leurs actions au pied de
l’honneur & de la reconnoissance. Les Princes
outre les tributs qu’ils prennent sur leurs sujets,
ont la renommée pour salaire de ce qu’ils sçauent
faire. Dieu mesme ne se contente pas simplement que nous le considerions comme
grand, glorieux, renommé, & admirable, il
veut auec cela, que le disme de nos

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 40. Anonyme. LE MOT A L’OREILLE OV LE MIROIR QVI NE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Voir aussi C_6_25. Référence RIM : M0_2498 ; cote locale : A_6_4. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-09-21 16:06:06.

Diodore, & Iules
Cesar, ne laissent pas contre ses sentimens, de les preferer en
valeur, à toutes les autres Nations de la terre. Et Iules Mazarin
voudroit pretendre apres cela de les assuiettir, & de les traicter
comme des esclaues; & mesme imposer sur eux des tributs immenses,
comme il a desia fait pour remplir ses coffres: Est-ce là le
moyen de bien asseurer les affaires d’vne Monarchie, que de trauailler
à sa ruine sans aucune necessité publique? Tibere, Prince
abandonné à toute sorte de vices, tondoit bien ses brebis:

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 41. Anonyme. LE MOT A L’OREILLE, OV LE MIROIR QVI NE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Voir aussi A_6_4. Référence RIM : M0_2498 ; cote locale : C_6_25. le 2013-09-21 16:07:45.

Diodore, & Iules
Cesar, ne laissent pas contre ses sentimens, de les preferer en
valeur, à toutes les autres Nations de la terre. Et Iules Mazarin
voudroit pretendre apres cela de les assuiettir, & de les traitter
comme des esclaues ; & mesme imposer sur eux des tributs immenses,
comme il a desia fait pour remplir ses coffres : Est ce là le
moyen de bien asseurer les affaires d’vne Monarchie, que de trauailler
à sa ruine sans aucune necessité publique ? Tibere, Prince
abandonné à toute sorte de vices, tondoit bien ses brebis :

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 42. Anonyme. LE MYSTERE EVENTÉ, OV LA RESPONSE A VN... (1652) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_2523 ; cote locale : B_20_49. le 2013-02-10 15:04:39.

des langues, vn tres-eminent
sçauoir, & ce qui est de plus considerable, l’ame
tres-bonne, & tres-portée au bien des peuples.   Vn si beau sujet me rauit, n’y ayant point de matiere
qui me plaise à l’égal de la loüange, qui est le
legitime tribut qu’on doit à la vertu. Ie ne puis
souffrir la Satyre, quand mesme elle seroit faite contre
Neron, contre Eliogabal, ou contre le Marquis
d’Ancre. Disons donc que cette place pourroit estre remplie
par ce braue Cardinal de Rets, dont le S. Pere
vient de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 43. Anonyme. LE POLITIQVE VNIVERSEL, OV BRIEVE ET ABSOLVE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 39 pages. Langue : français. Partie 1. Voir aussi B_17_31 (partie 2), B_17_32 (partie 3) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_30. le 2013-10-06 17:12:40.

quand il s’est trouué des Roys qui ont
voulu tyranniser leurs peuples, que ne leur a-t’il
point fait pour les punir de la mauuaise
application qu’ils faisoient de leur puissance
absoluë ? Ne fist-il pas chasser honteusement
Roboam de tous ses Estats par les douze Tributs
d’Israël, pour auoir seulement voulu surcharger
ses sujets vn peu plus qu’il ne falloit
de trop d’impositions & de trop de subsides.
C’est vne illusion d’Estat, de se figurer que
l’authorité d’vn Roy consiste en la rigueur du
gouuernement,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 44. Anonyme. LE PRINCE POPVLAIRE, ESCRIVANT AVX DEVX... (1652) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_2868 ; cote locale : B_16_14. le 2013-10-18 16:19:21.

MAIESTEZ TRES-CHRESTIENNES
ET CATOLIQVES,
Sont tres-humblement suppliées par tous les
Ordres de leurs Estats, de vouloir contribuer
concurremment à vne bonne Paix, pour le repos
de leurs Suiets, & pour le bien vniuersel de leurs
Royaumes. La premiere est vn tribut de soubmissions
le plus desiderable que puissent receuoir les
Princes : Il n’y a que cette sorte d’armes pour les combattre.
Permettez qu’on vous attaque, pour vous vaincre,
puisque Dieu mesme veut estre ainsi vaincu. Mais
comme il n’escoute point que les

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 45. Anonyme. LE SECRET DE LA PAIX. A LA REYNE. (1649) chez Hameau (Hyérôme) à Paris , 16 pages. Langue : français, latin. Avec permission. La permission est imprimée au colophon, datée de Paris le 26 mars 1649.. Référence RIM : M0_3626 ; cote locale : A_7_31. le 2013-12-14 15:46:12.

de leurs sujets. Tant plus vous differez de vous transporter à Paris, d’autant
plus trauaillez-vous à la ruïne de vostre Estat, les Campagnes
pleurent, les Villes souspirent, toutes les affaires cessent,
tout commerce est interrompu, il n’y a plus dequoi
faire des tributs, les peuples s’accoustument à ne rien payer
& desaprennent la Monarchie. Le Parti qui a commencé
auec assez de sincerité se peut alterer, & on ne peut pas respondre
qu’il n’y puisse auoir auec le temps des mineurs qui
trauailleront sous terre, & qui

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 46. Anonyme. LE SECRET DE LA PAIX. OV, LA VERITABLE... (1649) chez Hameau (Hyérôme) à Paris , 16 pages. Langue : français, latin. Avec permission. La permission de la cour est imprimée au colophon, datée de Paris le 26 mars 1649.. Référence RIM : M0_3627 ; cote locale : C_10_3. le 2013-12-15 09:34:05.

de leurs sujets. Tant plus vous differez de vous transporter à paris, d’autant
plus trauaillez-vous à la ruïue de vostre Estat, les Campagnes
pleurent, les Villes souspirent, toutes les affaires cessent,
tout commerce est interrompu, il n’y a plus dequoi
faire des tributs, les peuples s’accoustument à ne rien payer
& desaprennent la Monarchie. Le Parti qui a commencé
auec assez de sincerité se peut alterer, & on ne peut pas respondre
qu’il n’y puisse auoir auec le temps des mineurs qui
trauailleront sous terre, & qui

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 47. Anonyme. LE SIEGE MIS DEVANT LE Catelet par le Comte... (1650) chez Bureau d'adresse à Paris , 12 pages. Langue : français. Sans page de titre. Sans doute extraite d'un recueil, la pièce porte le n° 84, une pagination de 737 à 748 et, au colophon, la mention: "À Paris, du Bureau d'Adresse aux Galleries du Louvre, devans S.Thomas, le 17 juin 1650. Avec priv.". Référence RIM : Mx ; cote locale : A_9_19. le 2013-12-27 11:15:04.

qu’ils procédassent contre lui;
il ne laissoit pas de les révérer & reconnoistre
pour Estats: que s’ils avoyent arresté de
lui oster la vie, tout le monde avoit bien veu
par ses exploits militaires qu’il n’en faisoit pas
grand cas, veu que c’estoit vn tribut qu’vn chacun
estoit contraint de payer à la nature, &
qu’il se réjoüissoit de tout son cœur de marcher
le chemin qu’avoit fait son maistre le
Roy défunt, pour lequel il estoit ravi non seulement
d’agir, mais de pâtir: & ayant prononcé

=> Afficher la page


Occurrence 48. Anonyme. LE THEOLOGIEN D’ESTAT A LA REYNE. POVR... (1649) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_7_44 (partie 1), A_7_45 (partie 2), C_10_29 (partie 1) et C_10_30 (partie 2). Référence RIM : M0_3770 ; cote locale : D_2_8. le 2013-12-28 14:25:48.

infinis, horrible & espouuentable,
tel que les plus rigoureux ennemis l’eussent pû faire, &
tel que les peuples les plus abandonnez le pouuoient souffrir. Qu’ont
fait ces pauures gens, sinon prier pour vous, sinon trauailler nuict &
iour, pour vous preparer les tributs qui vous nourrissent ; & pour vous
auoir aymé plus qu’eux-mesmes, ils sont reduits à brouter l’herbe.
Qu’ont fait tant de millions d’ames innocentes qui sont dans Paris,
pour les immoler au plus cruel des supplices, & leur oster le pain qu’ils
vous

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 49. Anonyme. LE THEOLOGIEN D’ESTAT A LA REYNE. POVR... (1649) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français, latin. Partie 1. Voir aussi A_7_45 (partie 2), C_10_29 (partie 1), C_10_30 (partie 2) et D_2_8 (partie 1). Référence RIM : M0_3770 ; cote locale : A_7_44. le 2013-12-28 14:28:04.

infinis, horrible & espouuentable,
tel que les plus rigoureux ennemis l’eussent pû faire, &
tel que les peuples les plus abandonnez le pouuoient souffrir. Qu’ont
fait ces pauures gens, sinon prier pour vous, sinon trauailler nuict &
iour, pour vous preparer les tributs qui vous nourrissent; & pour vous
auoir aymé plus qu’eux-mesmes, ils sont reduits à brouter l’herbe.
Qu’ont fait tant de millions d’ames innocentes qui sont dans Paris,
pour les immoler au plus cruel des supplices, & leur oster le pain qu’ils
vous

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 50. Anonyme. LE THEOLOGIEN D’ESTAT, A LA REYNE. POVR... (1649) chez Cotinet (Arnould) à Paris , 12 pages. Langue : français, latin. Partie 1. Voir aussi C_10_30 (partie 2), A_7_44 (partie 1), A_7_45 (partie 2) et D_2_8 (partie 1). Référence RIM : M0_3770 ; cote locale : C_10_29. le 2013-12-28 14:31:03.

horrible & espouuentable,
tel que les plus rigoureux ennemis l’eussent pû faire, & tel que
les peuples les plus abandonnez le pouuoient souffrir. Qu’ont fait ces pauures
gens, sinon prier pour vous ? sinon trauailler nuit & iour, pour vous
preparer les tributs qui vous nourrissent ? Et pour vous auoir aimé plus
qu’eux-mesmes, ils sont reduits à brouter l’herbe. Qu’ont fait tant de
millions d’ames innocentes qui sont dans Paris, pour les immoler au plus
cruel des supplices, & leur oster le pain qu’ils vous ont

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 51. Anonyme. LES RIS ET LES PLEVRS DE LA FRANCE SVR LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3551 ; cote locale : B_6_18. le 2013-02-15 10:37:11.

en sont les Acteurs :
Il n’y a point de Cour ny de Siecle qui ne nous
en ait fourny des exemples, ny d’homme pour
sage qu’il soit, qui n’en ait produit quelque acte,
ou rendu quelque témoignage. Ce sont vne Reyne
& vn Roy, ausquels tous les hommes doiuent tribut
aussi bien qu’à la mort ; il le leur payent en
gros où en détail en leur jeunesse, ou en leur vieillesse :
Mais n’est-ce pas aussi folie d’en douter,
puisque Salomon le plus sage de tous les hommes,
& qui fut le plus grand fol à la fois l’a dedit

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 52. Anonyme. L’ALLIANCE DES ARMES ET DES LETTRES DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 79 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_60 ; cote locale : B_7_18. Texte édité par Site Admin le 2013-01-22 15:21:43.

d’où vient
que les Estats qui sont gouuernés par d’excellens hommes
ne peuuent iamais perir. Leur gouuernement est semblable
à vn grand fleuue qui prend son nom de sa source,
& le communique à toutes les autres riuieres & ruisseaux
qui luy apportent tribut de leurs eaux. Et ne pouuons-nous
pas dire qu’aujourd’huy la pluspart de ceux qui ont
executé de grandes choses, doiuent vne parie de leur
Gloire au soin & à la preuoyance de ces Grands Ministres ?
Que les resolutions du cabinet ne sont gueres
moins

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 53. Anonyme. L’APPARITION D’VN PHANTOSME A SAINCT... (1649) chez Remy (veuve de Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_138 ; cote locale : A_3_5. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-02-02 03:09:42.

deuant Brie, fuyoient
comme des diables. Messieurs, vn certain Duc de
Beaufort les a galopés iusque à Saint Germain; toute
cette Compagnie que vous venez de receuoir sont
ceux qui estoient les plus mal montez, & qui apres
plusieurs coups receus ont enfin payé le tribut à la
nature par la perte de leur vie. L’equipage où vous
nous voyez, est vn indice tres-certain & vn truchement
muet de nostre perte, nous auons tous esté occis
par Monsieur d’Elbeuf ou ses enfans; nos suruiuans
ne doiuent esperer d’auoir meilleur

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 54. Anonyme. L’AVTHORITÉ DES ROYS, DES PRINCES, DES... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_434 ; cote locale : B_15_27. Texte édité par Site Admin le 2013-02-02 10:21:20.

tres-honnorable,
qui est de faire reparer les ponts, chaussées, &
chemins de vostre Royaume, pour lesquels vous receuez
peage, & par mesme moyen de contraindre
ceux qui doiuent faire de mesme en plusieurs endroits
de ce Royaume, & pour lesquels ils prennent tribut.
Car c’est non seulement vne honte, de voir le desordre
qui y est, mais aussi vn dommage inestimable
pour la negotiation & commerce de marchandise, laquelle
ne se peut plus continuer, (à cause de telles ruines)
sans vn extreme danger. Et à la verité il

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 55. Anonyme. L’ESPRIT DV FEV ROY LOVIS LE IVSTE A LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1286 ; cote locale : B_4_19. Texte édité par Site Admin le 2013-02-05 11:41:52.

les extorsions publiques. Toutes les grosses
Villes furent pleines d’intendans, les petites des
Commissaires, les passages d’Archers, les Bourgs
d’Huissiers, les Paroisses de Sergens, & les petites
Foires, ou marchez de voleurs, qui leuoient de
gros tributs sur tout ce qu’on exposoit en vente,
pour faire la fortune du Mazarin & la leur : Mais
rien n’afligea si fort toute la France, que d’apprendre
que Mazarin transportoit tout son argent en
Italie, & que le Parlemẽt verifioit tous les Edits du
Conseil, qui

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 56. Anonyme. L’ESPRIT DV FEV ROY LOVIS LE IVSTE A LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1286 ; cote locale : B_4_19. Texte édité par Site Admin le 2013-02-05 11:41:52.

leur causons le plus souuent ?
Et si nous empeschons quelquesfois que l’étranger
ne vienne piller leurs maisons, leur faisons-nous
pas vne guerre aussi cruelle par les logemens
de nos troupes ; & la rigueur de ceux que nous
employons à leuer sur eux des tributs, & des taxes
extraordinaires ? Quoy donc les garantissons-nous
du froid, & de la pluye ? Et nostre secours ; est-il necessaire
pour les faire viure & respirer ? Ou sentent-ils
quelque diminution en leur force quand
nous perissons ? Non, non, Madame, tous

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 57. Anonyme. L’ESPRIT DV FEV ROY LOVIS LE IVSTE A LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1286 ; cote locale : B_4_19. Texte édité par Site Admin le 2013-02-05 11:41:52.

autorisez par nostre force, & continuez
par leur foiblesse, ou ne peuuent auoir lieu que
pour consideration du bien public ? L’Ocean a-t’il
coustume de deuorer ainsi les eaux des riuieres &
des ruisseaux iusques en leur source, & s’il reçoit le
tribut qu’ils luy en portent eux-mesmes, n’a-t’il
pas le soin de leur fournir d’autres eaux par de secrets
ressorts qu’il fait agir dans l’air mesme & dans
les nuées, pour rendre leurs cours tousiours durable ?
Ne pouuant faire aux peuples le mesme
bien, leur

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 58. Anonyme. L’ESPRIT DV FEV ROY LOVIS XIII. A SON FILS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 49 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2. Pièce 28 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1287 ; cote locale : B_3_3. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-02-05 14:39:43.

pertes qu’il fait de ses terres & de ses villes ne
doiuent toucher que luy. Les pretextes que nous
prismes pour faire des exactions sur les peuples,
leur ont bien donné d’autres pensées dans la promesses
que leur faisoit le feu Cardinal, de les affranchir
de ces tributs, quand on auroit rendu les bornes
anciens à la Frãce. C’est ainsi que chacun croyoit
auoir sujet de se consoler des pertes qu’il faisoit en
particulier dans la gloire & le bien de l’Estat, qui
sembloir s’acheminer à sa souueraine

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 59. Anonyme. L’ESPRIT DV FEV ROY LOVIS XIII. A SON FILS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 49 pages. Langue : français. La page de titre est en page 2. Pièce 28 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1287 ; cote locale : B_3_3. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-02-05 14:39:43.

qui
ne vous nuit pas moins esloigné que present : & si
la colere des Princes & des peuples ne la pû détruire
iusqu’icy, croyez que le Ciel le reserue à vostre
vengeance, comme vne victime digne d’elle ; &
monstrez en perdant cet ingrat, qui est vn tribut
que doit l’Italie à la iustice des Roys de France deuenus
Maieurs, que si vous frapez de cette façon le
Pasteur, ne doutez point que les brebis de ce maudit
troupeau ne se dissipent en vn moment : mais
en mesme temps descendez en vostre bonne Ville
de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 60. Anonyme. L’ESTROITE ALLIANCE ou la ionction du... (1649) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1309 ; cote locale : A_3_25. le 2013-02-06 01:43:02.

les voulut assommer. Voila combien a esté sainte
& inuiolable la foy donnée parmy les Anciens; C’est pourquoy
le Roy Ezechias est accusé d’auoir violé ses promesses,
car apres auoir protesté de son seruice au Roy de Babylone, &
de luy payer tous les ans vn tribut, il ne garda pas sa foy; &
pour punition de son infidelité, il treuua en sa propre ruine celle
de tout son Royaume. Personne ne pretend que les Princes soient dans l’impuissance
de retracter leur parole. Ils le doiuent faire, quand ils l’ont
engagée pour

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 61. Anonyme. L’ESTROITE ALLIANCE ou la ionction du... (1649) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1309 ; cote locale : A_3_25. le 2013-02-06 01:43:02.

Esther est la iustice, que
ces Tyrans ont voulu étouffer, pour contenter & satisfaire
auec plus de facilité leurs ambitions: Quels noms ne sont-ils
pas allez forger iusques dans les Enfers, pour donner de specieux
pretextes à leurs voleries & exactions. Tous ces tributs
& toutes ses nouuelles impositions repugnent, tant au droict
diuin qu’humain, elles retirent les cœurs & les volontez des
subiets de l’obeissance & de l’amour de leur Roy. On a veu
pour cette raison qui ont quittez vn Estat pour s’aller ietter

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 62. Anonyme. L’ESTROITE ALLIANCE ou la ionction du... (1649) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1309 ; cote locale : A_3_25. le 2013-02-06 01:43:02.

nouuelles impositions repugnent, tant au droict
diuin qu’humain, elles retirent les cœurs & les volontez des
subiets de l’obeissance & de l’amour de leur Roy. On a veu
pour cette raison qui ont quittez vn Estat pour s’aller ietter
dans vn autre. Les dix-huit Tributs d’Israël abandonnerent
Roboam fils de Salomon, parce qu’il se rendit inexorable à
leurs prieres, & qu’il ne voulut pas les décharger d’vne partie
des tributs que son pere leur auoit imposez. C’est de ses iniustices
& oppressions publiques que

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 63. Anonyme. L’ESTROITE ALLIANCE ou la ionction du... (1649) chez [s. n.] à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_1309 ; cote locale : A_3_25. le 2013-02-06 01:43:02.

a veu
pour cette raison qui ont quittez vn Estat pour s’aller ietter
dans vn autre. Les dix-huit Tributs d’Israël abandonnerent
Roboam fils de Salomon, parce qu’il se rendit inexorable à
leurs prieres, & qu’il ne voulut pas les décharger d’vne partie
des tributs que son pere leur auoit imposez. C’est de ses iniustices
& oppressions publiques que prouient la perte des
Royaumes entiers. C’est delà que viennent ces grandes & entieres reuolutions des Estats. Regnum de gente in gentem transfertur
propter

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 64. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

que nouueaux (exceptez toutes-fois ceux de la Doüanne de
Lyon, & des entrées & traites foraines du Royaume, lesquels
pour certaines bonnes considerations doiuent subsister) Et au
lieu desdites Tailles, subsides & imposts supprimez, ordonner &
establir vn seul tribut, lequel quoy que petit & mediocre, &
qui se payera volontiers & sans contrainte, apportera seurement
& nettement dans les coffres du Roy, le susdit reuenu annuel,
augmentation & doublement d’iceluy: & de plus vn tres grand
soulagement à tous

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 65. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

il
s’en trouuera bien six millions de riches ou bien aisez, lesquels en
consideration de la grande gratuité & benignité du Roy enuers
eux, par leur soulagement, & descharge de toutes Tailles, Subsides
& Imposts, payeront volontiers à sa Maiesté vn petit Tribut
de douze deniers chacun par iour, reuenant à 7. sols par semaine, à trente sols par mois, & à dix-huict liures cinq sols
par an.   Si donc six millions de personnes riches & bien-aisez payent
ce petit Tribut de douze deniers chacun par

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 66. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

volontiers à sa Maiesté vn petit Tribut
de douze deniers chacun par iour, reuenant à 7. sols par semaine, à trente sols par mois, & à dix-huict liures cinq sols
par an.   Si donc six millions de personnes riches & bien-aisez payent
ce petit Tribut de douze deniers chacun par iour, il montera à
trois cent mil liures par iour, à deux millions, cent mil liures
par semaine, à neuf millions de liures par mois, & à cent neuf
millions cinq cens mil liures par an: Somme fort notable, outre
laquelle, le Roy aura

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 67. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

des pauures
Mandians & viuans de l’aumosne, il n’y a si chetif entre les
subiects du Roy qui ne participe aux biens & à la prosperité de
l’Estat, & qui par consequent ne doiue contribuer à ses charges; à
combien grande & immense somme montera ledit Tribut, si
(en suiuant mesme la parole & la volonté de Dieu) tous les autres
suiets du Roy au dessous des riches & bien-aisez, contribuent
aussi les vns vn denier, les autres deux ou trois deniers,
sinon par iour, au moins par chacune semaine, le total dudit
Tribut

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 68. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

ledit Tribut, si
(en suiuant mesme la parole & la volonté de Dieu) tous les autres
suiets du Roy au dessous des riches & bien-aisez, contribuent
aussi les vns vn denier, les autres deux ou trois deniers,
sinon par iour, au moins par chacune semaine, le total dudit
Tribut n’excedera-il pas de beaucoup la susdite somme de six
vingts millions de liures? Touchant la finance d’Offices tres-vtiles & necessaires, montant
à pareille somme que ledit Tribut, elle est certaine & indubitable:
Car pour la perception dudit Tribut, il

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 69. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

ou trois deniers,
sinon par iour, au moins par chacune semaine, le total dudit
Tribut n’excedera-il pas de beaucoup la susdite somme de six
vingts millions de liures? Touchant la finance d’Offices tres-vtiles & necessaires, montant
à pareille somme que ledit Tribut, elle est certaine & indubitable:
Car pour la perception dudit Tribut, il conuiendra
créer & eriger en tiltre d’Offices des Receueurs particuliers dudit
Tribut, sinon en chacune Parroisse, au moins en chacune
Eslection, Preuosté, ou Chastelenie, & des

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 70. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

dudit
Tribut n’excedera-il pas de beaucoup la susdite somme de six
vingts millions de liures? Touchant la finance d’Offices tres-vtiles & necessaires, montant
à pareille somme que ledit Tribut, elle est certaine & indubitable:
Car pour la perception dudit Tribut, il conuiendra
créer & eriger en tiltre d’Offices des Receueurs particuliers dudit
Tribut, sinon en chacune Parroisse, au moins en chacune
Eslection, Preuosté, ou Chastelenie, & des Receueurs Generaux
en chacune Prouince: Ausquels attribuant des gages au

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 71. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

Touchant la finance d’Offices tres-vtiles & necessaires, montant
à pareille somme que ledit Tribut, elle est certaine & indubitable:
Car pour la perception dudit Tribut, il conuiendra
créer & eriger en tiltre d’Offices des Receueurs particuliers dudit
Tribut, sinon en chacune Parroisse, au moins en chacune
Eslection, Preuosté, ou Chastelenie, & des Receueurs Generaux
en chacune Prouince: Ausquels attribuant des gages au
denier dix de leur recepte, ils financerõt par consequent à raison
du denier dix. Et par ainsi

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 72. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

Eslection, Preuosté, ou Chastelenie, & des Receueurs Generaux
en chacune Prouince: Ausquels attribuant des gages au
denier dix de leur recepte, ils financerõt par consequent à raison
du denier dix. Et par ainsi ladite finance montera à pareille somme
que ledit Tribut. Et cette finance pourra seruir au remboursement
des Officiers desdites Tailles & Gabelles, qui demeureront
esteints & supprimez. Et seront lesdits Offices de nouuelle
creation en telle estime, que les riches ne sçachans mieux employer
& asseurer le profit de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 73. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

creation en telle estime, que les riches ne sçachans mieux employer
& asseurer le profit de leurs moyens, les rechercheront
de telle sorte, qu’en moins de six mois, il ne s’en trouuera
point à debiter. Et quant à l’augmentation, voire doublement dudit Tribut, en moins de trois années suiuantes, le Roy se peut promettre &
asseurer, que faisant iouyr ses subiets desdites franchises & immunitez,
les peuples voisins & estrangers desireux de participer
à leur felicité, ne souhaitteront rien tant, que la

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 74. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

pour l’accroissement
& prosperité de son Estat & Empire, & par lequel sadite Majesté
s’acquerra plus de Prouinces, sans guerroyer ny cõbatre, que de
villes par la force de ses armes: Et par consequent vne grande &
continuelle augmentation dudit Tribut.   Pour ce qui regarde la Milice & Police susmentionnées, ensemble
l’equitable & facile exercice & execution de toutes les
propositions cy-dessus, il se peut voir par vn petit traitté cy-tenu
sous silence, pour euiter prolixité: Auquel aussi se

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 75. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi C_5_52. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : A_3_81. le 2013-02-06 13:03:05.

d’ancienne fondation,
suffira pour bien & deuëment entretenir lesdits pauures, en telle
sorte qu’il n’en sera plus veu aucun mendiant en tout le Royaume
de France. Voylà comment par vn bon Ordre & saincte Police, & au
moyen d’vn petit & leger Tribut, Dieu sera glorifié, le Roy grandement
honoré & magnifié, ses peuples & subiects soulagez
& rendus tres-heureux; Et les pauures; qui sont les freres &
membres de Iesus-Christ nostre Sauueur & Redempteur, assistez
& secourus en leurs miseres

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 76. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

que nouueaux (exceptez toutes-fois ceux de la Doüanne de
Lyon, & des entrées & traites foraines du Royaume, lesquels
pour certaines bonnes considerations doiuent subsister) Et au
lieu desdites Tailles, subsides & imposts supprimez, ordonner &
establir vn seul tribut, lequel quoy que petit & mediocre, &
qui se payera volontiers & sans contrainte, apportera seurement
& nettement dans les coffres du Roy, le susdit reuenu annuel,
augmentation & doublement d’iceluy : & de plus vn tres-grand
soulagement à tous

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 77. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

il
s’en trouuera bien six millions de riches ou bien aisez, lesquels en
consideration de la grande gratuité & benignité du Roy enuers
eux, par leur soulagement, & descharge de toutes Tailles, Subsides
& Imposts, payeront volontiers à sa Maiesté vn petit Tribut
de douze deniers chacun par iour, reuenant à 7. sols par semaine, à trente sols par mois, & à dix-huict liures cinq sols
par an.   Si donc six millions de personnes riches & bien-aisez payent
ce petit Tribut de douze deniers chacun par

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 78. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

volontiers à sa Maiesté vn petit Tribut
de douze deniers chacun par iour, reuenant à 7. sols par semaine, à trente sols par mois, & à dix-huict liures cinq sols
par an.   Si donc six millions de personnes riches & bien-aisez payent
ce petit Tribut de douze deniers chacun par iour, il montera à
trois cent mil liures par iour, à deux millions, cent mil liures
par semaine, à neuf millions de liures par mois, & à cent neuf
millions cinq cens mil liures paran : Somme fort notable, outre
laquelle, le Roy aura

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 79. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

des pauures
Mandians & viuans de l’aumosne, il n’y a si chetif entre les
subiects du Roy qui ne participe aux biens & à la prosperité de
l’Estat, & qui par consequent ne doiue contribuer à ses charges ; à
combien grande & immense somme montera ledit Tribut si
(en suiuant mesme la parole & la volonté de Dieu) tous les autres
suiets du Roy au dessous des riches & bien aisez, contribuent
aussi les vns vn denier, les autres deux ou trois deniers,
sinon par iour, au moins par chacune semaine, le total dudit
Tribut

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 80. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

ledit Tribut si
(en suiuant mesme la parole & la volonté de Dieu) tous les autres
suiets du Roy au dessous des riches & bien aisez, contribuent
aussi les vns vn denier, les autres deux ou trois deniers,
sinon par iour, au moins par chacune semaine, le total dudit
Tribut n’excedera-il pas de beaucoup la susdite somme de six
vingts millions de liures ? Touchant la finance d’Offices tres-vtiles & necessaires, montant
à pareille somme que ledit. Tribut, elle est certaine & indubitable :
Car pour la perception dudit Tribut,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 81. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

ou trois deniers,
sinon par iour, au moins par chacune semaine, le total dudit
Tribut n’excedera-il pas de beaucoup la susdite somme de six
vingts millions de liures ? Touchant la finance d’Offices tres-vtiles & necessaires, montant
à pareille somme que ledit. Tribut, elle est certaine & indubitable :
Car pour la perception dudit Tribut, il conuiendra
créer & eriger en tiltre d’Offices des Receueurs particuliers dudit
Tribut, sinon en chacune Parroisse, au moins en chacune
Eslection, Preuosté, ou Chastelenie, & des

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 82. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

Tribut n’excedera-il pas de beaucoup la susdite somme de six
vingts millions de liures ? Touchant la finance d’Offices tres-vtiles & necessaires, montant
à pareille somme que ledit. Tribut, elle est certaine & indubitable :
Car pour la perception dudit Tribut, il conuiendra
créer & eriger en tiltre d’Offices des Receueurs particuliers dudit
Tribut, sinon en chacune Parroisse, au moins en chacune
Eslection, Preuosté, ou Chastelenie, & des Receueurs Generaux
en chacune Prouince : Ausquels attribuant des gages

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 83. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

Touchant la finance d’Offices tres-vtiles & necessaires, montant
à pareille somme que ledit. Tribut, elle est certaine & indubitable :
Car pour la perception dudit Tribut, il conuiendra
créer & eriger en tiltre d’Offices des Receueurs particuliers dudit
Tribut, sinon en chacune Parroisse, au moins en chacune
Eslection, Preuosté, ou Chastelenie, & des Receueurs Generaux
en chacune Prouince : Ausquels attribuant des gages au
denier dix de leur recepte, ils financerõt par consequent à raison
du denier dix. Et par ainsi

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 84. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

Eslection, Preuosté, ou Chastelenie, & des Receueurs Generaux
en chacune Prouince : Ausquels attribuant des gages au
denier dix de leur recepte, ils financerõt par consequent à raison
du denier dix. Et par ainsi ladite finance montera à pareille somme
que ledit Tribut. Et cette finance pourra seruir au remboursement
des Officiers desdites : Tailles & Gabelles, qui demeureront
esteints & supprimez. Et seront lesdits Offices de nouuelle
creation en telle estime, que les riches ne sçachans mieux employer
& asseurer le profit

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 85. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

creation en telle estime, que les riches ne sçachans mieux employer
& asseurer le profit de leurs moyens, les rechercheront
de telle sorte, qu’en moins de six mois, il ne s’en trouuera,
point à debiter. Et quant à l’augmentation, voire doublement dudit Tribut. en moins de trois années suiuantes, le Roy se peut promettre &
asseurer, que faisant iouyr ses subiets desdites franchises & immunitez,
les peuples voisins & estrangers desireux de participer
à leur felicité, ne souhaitteront rien tant, que la

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 86. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

pour l’accroissement
& prosperité de son Estat & Empire, & par lequel sadite Majesté
s’acquerra plus de Prouinces, sans guerroyer ny cõbatre, que de
villes par la force de ses armes : Et par consequent vne grande &
continuelle augmentation dudit Tribut.   Pour ce qui regarde la Milice & Police susmentionnées, ensemble
l’equitable & facile exercice & execution de toutes les
propositions cy-dessus, il se peut voir par vn petit traitté cy-tenu
sous silence, pour euiter prolixité : Auquel aussi se

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 87. Anonyme. L’HEVREVSE RENCONTRE D’VNE MINE D’OR... (1649) chez Henault (Mathurin) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Voir aussi A_3_81. Référence RIM : M0_1631 ; cote locale : C_5_52. le 2013-02-06 13:03:39.

d’ancienne fondation,
suffira pour bien & deuëment entretenir lesdits pauures, en telle
sorte qu’il n’en sera plus veu aucun mendiant en tout le Royaume
de France. Voylà comment par vn bon Ordre & saincte Police, & au
moyen d’vn petit & leger Tribut, Dieu sera glorifié, le Roy grandement
honoré & magnifié, ses peuples & subiects soulagez
& rendus tres-heureux ; Et les pauures, qui sont les freres &
membres de Iesus-Christ nostre Sauueur & Redempteur, assistez
& secourus en leurs miseres

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 88. Anonyme. L’OFFICIER DE CE TEMPS DE LA MAISON... (1652) chez [s. n.] à Paris , 40 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2585 ; cote locale : B_3_25. le 2013-06-09 10:03:14.

de plusieurs, qui eussent esté les nerfs de leur
force, pour en auoir voulu enrichir vn petit nombre,
qui lors sert de bien peu.   Cecy n’est point sans exemple de l’antiquité : Il se
lit de Caligula, qui fut si vilainement entaché d’auarice,
qu’il print tribut sur choses ordres & salles,
& vendoit les robbes de ses sœurs pour en faire de
l’argent. Neantmoins il estoit si débordé en despence,
qu’en vn an de son Empire il despendit prodigalement
soixante & tant de millions d’escus, que Tybere
son

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 89. Anonyme. L’OMBRE DE MANCHINY A PARVË A MAZARIN. ET... (1652) chez Jacquet (M.) à Paris , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2589 ; cote locale : B_11_30. le 2013-06-09 10:07:05.

venu troubler l’ame, par le
trespas de mon cher Nepueu, ie le voyois au comble des felicitez, il estoit bien aymé
du Roy, il auoit grand pouuoir sur
son esprit, ce m’estoit encor vn appuy,
mais la mort cette inpitoyable creanciere
luy a faict payer son tribut, le Cardinal
Mazarin apres auoir bien lamenté,
auoit l’esprit & le corps abatu a force
de s’estre tourmenté, s’endormit tout
lassé, & comme il estoit au plus profond
de son sommeil, voicy que sur la minuict
vn grand bruit s’esleua dans sa

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 90. Anonyme. TROISIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Partie 3. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_32. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-06 17:22:19.

empesche, repartit
l’amy, de viure en paix & de nous reposer
presentement à nostre aise, sans nous amuser
à iniustement vsurper le bien d’autruy, & sans
prendre tant de peine.   Ie sçay bien qu’il n’y a point de subiet qui ne
doiue quelque tribut à son Prince : mais ce tribut
n’est autre chose que ce qu’on luy doit donner
pour l’entretient de sa Maison & pour les
affaires qui concernent la seureté & le repos
de l’Estat, qui est iustement ce qu’on appelle
Domaine, duquel les Roys de la

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 91. Anonyme. TROISIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Partie 3. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_32. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-06 17:22:19.

de viure en paix & de nous reposer
presentement à nostre aise, sans nous amuser
à iniustement vsurper le bien d’autruy, & sans
prendre tant de peine.   Ie sçay bien qu’il n’y a point de subiet qui ne
doiue quelque tribut à son Prince : mais ce tribut
n’est autre chose que ce qu’on luy doit donner
pour l’entretient de sa Maison & pour les
affaires qui concernent la seureté & le repos
de l’Estat, qui est iustement ce qu’on appelle
Domaine, duquel les Roys de la premiere &
seconde Race se

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 92. Anonyme. TROISIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Partie 3. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_32. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-06 17:22:19.

disoit quelquefois quand
on le vouloit contraindre à payer de semblables contributions, Non equidem dono, sed non nego,
iuuadite. Comme s’il vouloit dire que le peché
qu’il y auoit à donner par force, fut sur les preneur.
Quand Iesus-Christ paya le tribut à Cesar,
il le paya sous pretexte de Religion, & pour
ne pas troubler l’ordre public & politique : mais
en ce faisant il ne le paya que bien petit, & vne
fois en sa vie ; & à qui ? à vn scelerat, à vn infidele,
& à vn mécreant, &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 93. Anonyme. TROISIESME PARTIE DV POLITIQVE VNIVERSEL, OV... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 40 pages. Langue : français. Partie 3. Voir aussi B_17_30 (partie 1), B_17_31 (partie 2) et B_17_33 (partie 4). Référence RIM : M0_2818 ; cote locale : B_17_32. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-10-06 17:22:19.

esprit,
& à la fin ne se tua t’il pas luy mesme. Roboam
fils de Salomon & Roy de Iuda, pour
n’auoir pas voulu prester l’oreille aux supplications
des peuples que Dieu luy auoit
soubmis, & pour ne leur auoir pas voulu rendre
iustice, les douze Tributs d’Israël ne se reuolterent-elles
pas contre luy, & n’esleurent-elles
pas Ieroboam à sa place ? Aman pour auoir
voulu persecuter les Iuifs, ne fut-il pas
pendu à la Croix qu’il auoit preparé à la mesme
innocence.   Les Fauoris & les

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 94. Bossancourois, N. R.. L’AVEVGLEMENT ET MELANCOLIE DE MAZARIN... (1649) chez Remy (veuve de Jean) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_470 ; cote locale : A_3_1. le 2013-02-02 10:16:20.

& vous estre prodigue
de ces graces. Tout le monde inuoque le Nom
de Dieu pour la conseruation de vostre santé si chere
& necessaire à la France, vous souhaitte toute felicité,
fait retentir l’air de vos loüanges, & le Ciel de ses
prieres. C’est le tribut & l’hommage que vos seules
Vertus exigent de tous les hommes. Et le desir que
i’ay sur tout de vous témoigner, auec combien d’affection,
ie demeure,   MONSEIGNEVR, Vostre tres-humble & tres-affectionné
seruiteur, N. R.

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 95. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’IMAGE DV SOVVERAIN OV L’ILLVSTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1684 ; cote locale : C_5_58. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-04-27 17:07:35.

marque de la grandeur
des Roys, ny de l’estime que cet illustre Legislateur
fait de leur personne. Cet admirable principe de nostre salut
fait bien voir dans sainct Mathieu, en quelle consideration
il a cette grandeur Royale ; puis qu’il paye aux Roys luy
mesme le tribut qu’il ne leur doit pas, de crainte de les offenser,
& de crainte de laisser vn mauuais exemple à ceux
qui doiuent viure sous la domination des Princes. Et par la
mesme bouche du mesme Oracle, ne dit-il pas qu’il faut rendre
à Cesar ce qui est à Cesar, sur peine

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 96. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’IMAGE DV SOVVERAIN OV L’ILLVSTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1684 ; cote locale : C_5_58. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-04-27 17:07:35.

celestes. Enfin tous ceux qui sont constituez en
cette dignité Royale, sont Lieutenans de Dieu en terre.
Et ce fut la raison pour laquelle Iesus-Christ voulut
naistre, lors que la computation vniuerselle du monde fut
faite par Auguste, afin que ses parens luy payassent le tribut
qui luy estoit deub, & qu’ils reconnussent le Prince
terrien, comme celuy qui representoit sa personne. Sainct
Mathieu escrit en faueur de la mesme chose estant arriué
en Capharnaum, ville scituée sur le Lac de Genezarets,
au pays de Galilée.

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 97. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’IMAGE DV SOVVERAIN OV L’ILLVSTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1684 ; cote locale : C_5_58. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-04-27 17:07:35.

à Pierre, & luy demanderent : Vostre Maistre ne
paye-t’il point les didragmes ? Et il leur respõdit, qu’ouy :
& quand il fut en la maison, Iesus-Christ luy vint au deuant,
disant : Simon, que te semble ? Les Roys de la terre
de qui prennent-ils les tributs, ou les censiues ? Est-ce de
leurs enfans ou des estrangers ? Et sainct Pierre luy dit, des
estrangers. Les enfans sont donc francs, respondit Iesus-Christ.
Mais afin que nous ne les offensions pas, va-t’en
en la mer, & jette l’hameçon, & le premier

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 98. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’IMAGE DV SOVVERAIN OV L’ILLVSTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1684 ; cote locale : C_5_58. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-04-27 17:07:35.

à Dieu. Sainct Paul écriuant aux Romains nous apprend,
que toute personne est subjette aux Puissances superieures :
Car il n’est point de Puissance qui ne soit establie de la
main de ce diuin Sauueur de nos ames. Et puis en coucluant
il nous commande de luy payer le tribut, comme
à des Souuerains establis de cet adorable principe des
choses. Enfin passant plus outre il dit, qu’il leur faut rendre
à tous ce qu’il leur appartient ; à qui le tribut, le
tribut, à qui le peage, le peage, à qui l’honneur, l’honneur,
& à

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 99. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’IMAGE DV SOVVERAIN OV L’ILLVSTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1684 ; cote locale : C_5_58. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-04-27 17:07:35.

main de ce diuin Sauueur de nos ames. Et puis en coucluant
il nous commande de luy payer le tribut, comme
à des Souuerains establis de cet adorable principe des
choses. Enfin passant plus outre il dit, qu’il leur faut rendre
à tous ce qu’il leur appartient ; à qui le tribut, le
tribut, à qui le peage, le peage, à qui l’honneur, l’honneur,
& à qui la crainte la crainte. Et ne suffit pas à ce
rare Apostre de l’auoir redit en plusieurs endroicts de
l’Escriture : Mais pour l’imprimer beaucoup mieux dans
leur memoire,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 100. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’IMAGE DV SOVVERAIN OV L’ILLVSTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1684 ; cote locale : C_5_58. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-04-27 17:07:35.

Sauueur de nos ames. Et puis en coucluant
il nous commande de luy payer le tribut, comme
à des Souuerains establis de cet adorable principe des
choses. Enfin passant plus outre il dit, qu’il leur faut rendre
à tous ce qu’il leur appartient ; à qui le tribut, le
tribut, à qui le peage, le peage, à qui l’honneur, l’honneur,
& à qui la crainte la crainte. Et ne suffit pas à ce
rare Apostre de l’auoir redit en plusieurs endroicts de
l’Escriture : Mais pour l’imprimer beaucoup mieux dans
leur memoire, & pour empescher

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 101. Boyer, Paul / sieur du Petit... . L’IMAGE DV SOVVERAIN OV L’ILLVSTRE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 26 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1684 ; cote locale : C_5_58. Texte édité par Morvan Perroncel le 2013-04-27 17:07:35.

estre subjets en toutes
choses, de quelle reuerence ne deuons nous pas vser en parlant
de leur personne° ? Si l’on les doit aimer & n’en point médire
en aucune sorte ? S’il nous faut prier pour eux, sur peine
de pecher mortellement : s’il nous faut payer le tribut qu’on
leur doit, de crainte d’encourre leur disgrace° : si nous sommes
obligez de leur porter vn grand respect, & s’il ne nous est pas
permis d’en murmurer en façon quelconque° ; de grace, de
quelle reuerence nous faut-il vser en parlant de leur

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 102. Brousse, Jacques [?]. ADVIS AVX GRANDS DE LA TERRE. Sur le peu... (1649) chez Coulon (veuve d'Antoine) à Paris , 11 pages. Langue : français, latin. Avec permission.. Référence RIM : M0_487 ; cote locale : A_2_2. le 2013-12-28 15:38:22.

& ne vous attachez pas tãt que
vous faites ordinairement à ces Courtisans flateurs & dissimulez, puisque
mille & mille Roys s’y sont perdus; comme dans le Texte sacré; Roboam,
qui pour s’estre trop fié à Ieroboam, se vit reduit à deux de ses moindres
tributs par l’infidelité de ce Fauory; Enfin vsez de vos Empires, ou comme
Sylla, pour vostre gloire; ou comme Auguste, pour la conseruation de la
Patrie de peur que vous n’en vsez, comme Cesar, pour vostre mal-heur;
ou demettez, vous en comme Sylla afin que vous vous pariez

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 103. Davenne, François [?]. LETTRE PARTICVLIERE DE CACHET envoyée par... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 36 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2250 ; cote locale : C_3_9. le 2013-02-20 02:03:10.

autres choses, tenté du malin esprit ? Et quatriesmement, n’a-il pas des millions d’or qui suffiroient
pour acheter vne Monarchie, l’interest desquels, suiuant les visibles
volleries qu’il a faites, luy donneroit plus de rente que le
Domaine des Roys, n’y que les Tributs qu’ils leuoient anciennement
sur les peuples ? du seul reuenu de ses rapines, quoy qu’il
fasse grossierement le pauure, avec vn semblant d’engager sa
vaisselle, ne peut-il point entretenir vne perpetuelle armée dans
l’Estat, sans diminuer son fonds ?

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 104. Davenne, François [?]. LETTRE PARTICVLIERE DE CACHET envoyée par... (1650) chez [s. n.] à [s. l.] , 36 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2250 ; cote locale : C_3_9. le 2013-02-20 02:03:10.

agrandiroit plus la France qu’aucun
de ceux qui l’auroient precedé, & que celuy qu’on estimeroit son successeur, ne sçauroit où chercher son heritage. D’vn
costé, pour le Domaine, n’en à plus : & de l’autre, au regard de
la Couronne, les tributs en sont partagez à mille brigandeaux.
Vous diriez que le terme de cette prediction s’en va échoir : mais
n’allons pas chercher des Prophetes en Angleterre, les Ecriuains
du Cardinal nous pronostiquent assez, sans y prendre garde (ainsi
que iadis Caife, en vne

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 105. Du Crest,?. LE SENEQVE MOVRANT, DECLARANT A SA MORT le... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3640 ; cote locale : B_16_19. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-02-11 13:50:30.

escriuant à Tite
3. chap. 1. Admonestés-les qu’ils soient sujets aux Principautez,
& Puissances. Iesus Christ, à qui par droit hereditaire,
comme descendant de Dauid, le Royaume des
Iuifs estoit deu, il ne laissoit pas viuant en personne
priuée de payer le tribut à Cesar, & de dire qu’il luy appartenoit en effet. Rendez, disoit-il, à Cesar ce qui appartient
à Cesar, & à Dieu ce qui appartient à Dieu. * Et
quand ce grand Sauueur a voulu agir en Roy, il a
bien témoigné par la Majesté de ses

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 106. Du Pelletier, Pierre. LE TRIOMPHE DE LA VERITE SANS MASQVE. Par le... (1649) chez Musnier (veuve d'André) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_3878 ; cote locale : A_7_52. le 2013-12-31 10:26:41.

i’en dois attendre vne insigne disgrace,
puis que mes eloges seront bien au dessous
des merites de mes heros. Mais certes i’aime
mieux faire paroistre ma gratitu de auec des paroles
mal ajancées que tenir sous le silence. Vne
reconnoissance si iuste, & vn tribut si legitime.
La bonté de ceux dont ie parleray sera mon
azile, & sans doute ils considereront plustost l’integrité,
& la chaleur de mon cœur, que les deffauts
& le peu d’eloquence de ma langue. S’il
est vray que sous l’Empire de Theodose &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 107. Dubosc-Montandré, Claude [?]. LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 122 pages. Langue : français, latin, italien. Référence RIM : M0_3598 ; cote locale : B_4_8. le 2013-02-10 15:30:48.

de la
profusion de ses aumosnes, où elle a donné en vn seul
iour quinze mille escus que le feu Roy destinoit pour
estre employés en vn Balet ; ny de ses voyages reglés à
l’Autel de Nostre-Dame de Paris, où elle semble
rendre toutes les sepmaines à la Vierge le tribut de
sa vie, & l’hommage de sa Couronne. Ne la void on
pas souuent preferer la solitude d’vn Cloistre & d’vne
Cellule Religieuse au Val de Grace, à toute la pompe
du Palais Royal, & aux delices de la promenade &
du Cours ? Mais tandis que tout

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 108. I. B. [signé]. LE FIDELE POLITIQVE (1649) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi B_20_3. Référence RIM : M0_1389 ; cote locale : A_3_65. Texte édité par Patrick Rebollar le 2013-07-20 11:15:09.

& mesme sur nostre grande
Princesse; bien qu’elle n’aye rien de son sexe, que
ce qu’elle a de merueilleux, & que sa vie aye tousiours
esté la mieux reglée & la plus admirable de son
temps. Les respects & les venerations qui estoient
autrefois le tribut legitime de sa vertu, de sa renommée,
& de son integrité, ne sont plus en vsage pour
elle, comme si son authorité auoit diminué de son
estime, & qu’elle eust moins regné pour l’vtilité du
Royaume, que pour perdre les affections du peuple
à mésure

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 109. I. B. [signé]. LE FIDELE POLITIQVE. (1649) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français. Voir aussi A_3_65. Référence RIM : M0_1389 ; cote locale : B_20_3. le 2013-07-20 11:17:12.

& mesme sur nostre grande
Princesse, bien qu’elle n’aye rien de son sexe, que
ce qu’elle a de merueilleux, & que sa vie aye tousiours
esté la mieux reglée & la plus admirable de son
temps. Les respects & les venerations qui estoient
autrefois le tribut legitime de sa vertu, de sa renommée,
& de son integrité, ne sont plus en vsage pour
elle, comme si son authorité auoit diminué de son
estime, & qu’elle eust moins regné pour l’vtilité du
Royaume, que pour perdre les affections du peuple
à mésure

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 110. L. S. C. C. A. P. D. A.... . LE FIDELLE INTERESSÉ. Par L. S. C. C. A. P.... (1652) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1388 ; cote locale : B_19_51. le 2013-07-20 11:27:57.

1.   Il est dit au Souuerain dans le Pseaume 44. regnez pour
la verité, la douceur, & la Iustice. N’opprimez aucun l’espouuentant
par les menaces des supplices, ne le calomniés
point, luy imputant des fautes qu’il n’a point faites. Soyez
contents des tributs que vous receuez pour la defence, &
la protection publique. La bonté du Prince doit moderer
ses passions, & ne permettre pas qu’il s’eschauffe indiscretement
de peur qu’il ne soit vne giroüette à tous les vents
de l’orgueuïl & de la colere, mais

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 111. L. S. C. C. A. P. D. A.... . LE FIDELLE INTERESSÉ. Par L. S. C. C. A. P.... (1652) chez [s. n.] à Paris , 12 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1388 ; cote locale : B_19_51. le 2013-07-20 11:27:57.

subjets
les fuyent, & il arriue par vn iuste iugement de Dieu,
que ceux qui veulent auoir plus qu’il ne leur est deu, n’ont
pas mesme souuent ce qui leur appartient : d’où vient que
Roboan fils de Salomon, voulant appesantir le ioug des
enfans d’Israël, dix Tributs en vn iour se retirerent de son
obeïssance, comme il est porté dans le 3. liu. des Rois. C. 12.
La 3. est, qu’ils sont accablez par de plus puissans, Dieu
voulant qu’ils soient accablez par de plus forts, apres qu’ils
ont opprimé ceux qui estoient plus foibles

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 112. M. B. I. V. D. R. D. L. P. P.... . ARREST SVR LE IVGEMENT rendu contre... (1652) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : Mx ; cote locale : B_17_16. le 2013-01-06 05:50:31.

encline le cœur des Rois pour les mener
à la fin qu’il a decreté, l’vn pour perir, mal-heureusement, comme
Saül, & l’autre pour regner heureusement comme Dauid.
C’est pourquoy S. Paul escriuant aux Rom. chap. 13. v. 6. dit,
Pour cette cause aussi vous payez les tributs, car ils sont Ministres de
Dieu. Que si les Rois se méconnoissent, & que de demy Dieux,
ils veulent estre esleuez comme Dieu mesme pour estre adorez,
le Ciel change de face, & les precipite de leur throsne à
cause de leur orgueil.   Nabuchodonosor

=> Afficher la page


Occurrence 113. Anonyme. ADVERTISSEMENT ENVOYÉ AVX PROUINCES, pour... (1652) chez Larru (Samuel de) à Paris , 23 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_456 ; cote locale : B_5_32. le 2014-11-23 15:02:22.

vouloit executer
cette belle proposition, elle rendroit le Roy inuincible,
& feroit jouïr la France d’vne heureuse
paix, sans estre plus le peuple chargé d’imposts
qui ne se leuent que pour entretenir la
guerre, le Royaume ne laisseroit pas de luy payer
le Tribut que Dieu luy commande ; mais il ne
seroit plus charge de Tailles, & auroit moyen
d’assister puissamment son prince d’hommes &
d’argent au besoin. Il n’y auroit plus guerre
à craindre des Financiers ny partisans qui
ne pourroient plus faire de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 114. Anonyme. ADVIS POVR LE TEMPS QVI COVRT. (1652) chez Veron (Guillaume) à Paris , 16 pages. Langue : français. Voir aussi B_14_26. Référence RIM : M0_549 ; cote locale : B_19_9. le 2014-12-02 13:45:39.

& ne vous attachez pas tant que vous
faites ordinairement à ces Courtisans flateurs & dissimulez,
puisque mille & mille Roys s’y sont perdus ; comme
dans le Texte sacré ; Roboam qui pour s’estre trop fié à
Ieroboam, se vit reduit à deux de ses moindres tributs
par l’infidelité de ce Fauory : Enfin vsez de vos Empires,
ou comme Sylla, pour vostre gloire, ou comme
Auguste, pour la conseruation de la Patrie, de peur
que vous n’en vsez comme Cesar, pour vostre malheur,
ou demettez-vous en comme Sylla, afin que vous

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 115. Anonyme. ADVIS SALVTAIRE DONNÉ A MAZARIN, POVR... (1649) chez Cottinet (Arnould) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission. 1648, selon Moreau.. Référence RIM : M0_536 ; cote locale : A_2_19. le 2014-12-02 15:01:59.

dans la confusion de vostre infirmité, & remettre
vostre teste sous vostre bonnet; & le prier instamment
auec moy, qu’vn tel bonnet ne soit iamais
donné à vne teste sans ceruelle: Sur tout souuenez-vous
que iamais Iesus-Christ n’entreprit sur le tribut
de Cesar, & que les François plus sages que les Grenoüilles,
qui pour auoir demandé à Iupiter vn changement
de Roy, leur donna la Cigoigne qui les deuora
toutes. Ne faites point de changement de superiorité,
de peur que par admonitions, puis par

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 116. Anonyme. ADVIS, POVR LE TEMPS QVI COVRT. (1652) chez Veron (Guillaume) à Paris , 16 pages. Langue : français. Voir aussi B_19_9. Référence RIM : M1_49 ; cote locale : B_14_26. le 2014-12-02 13:47:29.

& ne vous attachez pas tant que vous
faites ordinairement à ces Courtisans flateurs & dissimulez,
puisque mille & mille Roys s’y sont perdus ; comme
dans le Texte sacré ; Roboam qui pour s’estre trop fié à
Ieroboam, se vit reduit à deux de ses moindres tributs
par l’infidelité de ce Fauory : Enfin vsez de vos Empires,
ou comme Sylla, pour vostre gloire, ou comme
Auguste, pour la conseruation de la Patrie, de peur
que vous n’en vsez comme Cesar, pour vostre malheur,
ou demettez-vous en comme Sylla, afin que vous

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 117. Anonyme. APOLOGIE POVR MESSIEVRS DV PARLEMENT CONTRE... (1649) chez Vigne (Nicolas de La) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_125 ; cote locale : A_2_12. le 2014-12-02 14:42:14.

la palme à la vertu de resister
au poids qui l’opprime, & à la puissance de se releuer
auec plus de vigueur, que plus elle est chargée, pourquoy
ne vous rendrez-vous pas semblables à ceste
plante glorieuse, en resistant à ceux qui vous ont
tellement chargé de tributs & de taxes, qu’à present
vous auez vn iuste suiect de vous en ressentir. Vous
auez veu iusques auiour d’huy l’auantage que nous
auons remporté sur nos ennemis, par la sage cõduitte
de nos Generaux: Faites sur ce suiect vne reflexion,
& considerez

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 118. Anonyme. LE VERITABLE AMY SANS FLATERIE, A MESSIEVRS... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 14 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3918 ; cote locale : B_12_6. le 2014-01-04 15:14:14.

vn changement
autant preiudiciable à vostre gloire, qu ennemy
de nostre bon heur, en ce qu’il fait voir que vous
craignez d’obtenir l’auantage que vous sembliés
souhaiter. Quoy donc, Messieurs, vous auriez animé
les peuples de l’esperance du soulagement
des tributs, en leurs donnan de faux auantgouts
de la liberté, vous auriez prouoqué contre eux
la haine de leurs tyrans : attiré sur leurs bras de
sanglantes guerres, cause des pillages & des
meurtres de toutes sortes, & loin de nous faire
quelque bien en

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 119. Anonyme. LE VERITABLE AMY SANS FLATERIE, A MESSIEVRS... (1652) chez [s. n.] à [s. l.] , 14 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_3918 ; cote locale : B_12_6. le 2014-01-04 15:14:14.

donné la iouyssance. N’aués vous pas éludé toutes
leurs pretentions, & voit on vn Partizan puny
depuis que vous commançastes à les menasser ?
Qu’aués vous fait que changer le ioug de leur
seruitude en vn cent fois plus cruel ? ils estoient
accablés de tributs & vous les aués tout à fait ruinés
par la guerre. Aussi les plus fins le sçauoient
bien coniecturer dés le commancement de vostre
entreprise, & nous rompoient la teste de ce
vers.   Parturient montes, nascetur ridiculus mus. Mais de quelle

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 120. Anonyme. LES CONVVLSIONS DE LA REYNE LA NVIT DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_791 ; cote locale : B_4_21. le 2014-02-04 13:41:30.

les dernieres années de vostre Regence,
On sçait aussi que vous n’auez souhaitté iusqu’icy auec tant d’empressement de venir à bout de
ceux qui se sont liguez pour destruire vostre autorité
pres du Roy, que pour restablir tous les peages
& les tributs auec plus de rigueur qu’auparauant,
pour satisfaire la fureur & l’auarice des cruelles
sang-suës qui vous enuironnent, & monstrer
qu’on ne vous choque que pour changer vn ioug
cruel en vn cent fois plus rigoureux. C’est ce que
les peuples redoutent

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 121. Anonyme. LES CONVVLSIONS DE LA REYNE LA NVIT DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_791 ; cote locale : B_4_21. le 2014-02-04 13:41:30.

  Mais, Madame, vous deuez croire que la foiblesse
qui paroist abandonnée ne manque point de
sauue-garde, puis qu’elle est en la protection de
celuy qui peut tout, & c’est ce qui deuroit vous
rendre plus circonspecte, quand il s’agit d’exiger
des tributs immenses d’vn peuple, qui hors les anciens
peages, ne doit rien à vostre Majesté, qu’hommage,
obeïssance & respect, mais qui ne doit rien
du tout à ses loups de Partisans qui le déuorent,
estant de la mesme paste que luy. Madame, les Prophanes mesmes

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 122. Anonyme. LES CONVVLSIONS DE LA REYNE LA NVIT DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_791 ; cote locale : B_4_21. le 2014-02-04 13:41:30.

vostre Fils, d’vne funeste reuolution. Les
Tailles que vous faites payer auec tant de rigueur,
ne vous sont point deuës. Cette escume de la mer,
& ce present que la fureur des eslemens fait aux
hommes en jettant le sel sur les riuages de la mer,
ne vous doit aucun tribut. C’est opposer, comme
vous disiez tantost, vostre auarice, & vostre foible
puissance au torrent des graces, & des liberalitez
que le Ciel fait aux hommes. Donc, Madame, sçachant
que vous auez trempé dans ce mystere d’iniquité, & par

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 123. Anonyme. LES CONVVLSIONS DE LA REYNE LA NVIT DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 31 pages. Langue : français, latin. Référence RIM : M0_791 ; cote locale : B_4_21. le 2014-02-04 13:41:30.

grande peine soit deuë à
tant d’offenses, sans vous amuser à de vains regrets,
faites que vostre repentir marche sur les traces
de vostre iniustice, pour produire des actes tous
contraires à ceux que vous auez exercés par le passé.
Rescuscitez par la cassation des tributs iniustes,
& la cessation de la guerre, ceux que vous auez en
quelque sorte fait perir par le redoublement des
vns, & par la continuation de l’autre. Souuenez-vous
de cette belle Ordonnance de Philippes Auguste,
qu’il laissa par reglement en son

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 124. Anonyme. LES LEÇONS DES TENEBRES DES PARISIENS, OV... (1649) chez Sevestre (Pierre) à Paris , 8 pages. Langue : français. Page de titre en page 2.. Référence RIM : M0_1808 ; cote locale : C_3_1. le 2014-02-16 10:19:30.

cette Cité si grande & si remplie de peuple est-elle
maintenant toute seule, elle qui estoit la maistresse
de toutes les nations de la terre, est presque reduite en
l’estat d’vne simple veufue. La Princesse de tant de
grandes Prouinces, est maintenant obligée à payer tribut
elle-mesme. Paris est cette deplorable Cité, qui a esté delaissée à l’impourueu
de son Prince qu’on luy a malheureusement enleué,
ce qui l’a reduite aux mesmes abbois d’vne ieune femme, qui
se voyant abandonnée de son cher espoux, ne fait plus

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 125. Anonyme. LES PARADOXES DE L’ESLOIGNEMENT DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 36 pages. Langue : français. Page de titre en page 2. Les pages numérotées 13 à 16 sont manquantes, d'où la différence du nombre de pages avec l'autre édition: voir aussi B_13_54.. Référence RIM : M0_2678 ; cote locale : C_12_37. le 2014-02-22 11:17:49.

dans vn Estat
où les affaires d’vn particulier sont deuenuës les
affaires du general, & celles du general les affaires
d’vn particulier. On abandonne nos Villes
frontieres, on laisse ruiner nos Prouinces & nos
meilleures Villes, & l’on accable de tributs le
peuple de tout vn grand Royaume, aux endroits
qui ne sont point ruinez par la guerre, pour satisfaire
cét insatiable & le faire triompher de ses
ennemis, dont les Chefs refusent de triompher
eux-mesmes, de peur que les peuples ne participent
aux fruits

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 126. Anonyme. LES PARADOXES DE L’ESLOIGNEMENT DE... (1652) chez [s. n.] à Paris , 40 pages. Langue : français. Voir aussi C_12_37. Référence RIM : M0_2678 ; cote locale : B_13_54. le 2014-02-22 11:03:28.

dans vn Estat
où les affaires d’vn particulier sont deuenuës les
affaires du general, & celles du general les affaires
d’vn particulier. On abandonne nos Villes
frontieres, on laisse ruiner nos Prouinces & nos
meilleures Villes, & l’on accable de tributs le
peuple de tout vn grand Royaume, aux endroits
qui ne sont point ruinez par la guerre, pour satisfaire
cét insatiable & le faire triompher de ses
ennemis, dont les Chefs refusent de triompher
eux-mesmes, de peur que les peuples ne participent
aux fruits

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 127. Anonyme. LES REGRETS DE LA FRANCE, SVR LA MORT DE... (1652) chez Chouqueux (André) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : Mx ; cote locale : B_5_46. le 2014-02-24 14:58:39.

le plus parfait
de leur ouurage) ne sont pourtant que
des fresles & corruptibles chefs-d’œuures de
la vanité du monde, que ny les celestes influences
ny les secrets de la Nature, non plus
que les traits plus subtils de l’Art, ne se peuuent
affranchir des tributs & redeuances
ausquelles Dieu a generalement obligé l’estre
& la condition de l’homme; Que faut-il
conclurre de là, sinon que les Princes & les
enfans des Princes ont vne mort commune
aux Bergers & aux Valets; ainsi voyons-nous
aujourd

=> Afficher la page


Occurrence 128. Anonyme. LES REGRETS DE LA FRANCE, SVR LA MORT DE... (1652) chez Chouqueux (André) à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : Mx ; cote locale : B_5_46. le 2014-02-24 14:58:39.

l’estre
& la condition de l’homme; Que faut-il
conclurre de là, sinon que les Princes & les
enfans des Princes ont vne mort commune
aux Bergers & aux Valets; ainsi voyons-nous
aujourd huy Monseigneur le Duc de Valois,
Prince de deux ans, payer le tribut à Nature
le Samedi 10. Aoust au Palais d’Orleans, perte
regrettable pour la France; la mort duquel
cause autant de regret aux bons François,
que sa naissance auoit esté le sujet d’vne réjoüissance
tres-grande, car en si peu d’années
qu’il a vescu,

=> Afficher la page


Occurrence 129. Anonyme. LES REGRETS DE PARIS, SVR LA MORT DE... (1652) chez Noël (François) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3083 ; cote locale : B_9_25. le 2014-02-24 15:20:18.

intentionnés. Qu’ils ne se preualent
pas aussi de cét aduantage, puis qu’ils n’y ont rien
contribué que d’vne façon si lasche, qu’ils en desauoüeront
tousiours l’effet ; & d’ailleurs qu’ils sçachent que
puisque la fortune exige tousiours de sanglants tributs
de ceux qu’elle veut le plus fauoriser, apres auoir receu
celuy que ie viens de luy payer en conpensation de ses
faueurs, elle me promet vn long calme, mais qu’ils apprehendent
la main qui sçait porter des coups si dangereux,
& qu’ils iugent quel massacre

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 130. Anonyme. LETTRE BVRLESQVE A MAZARIN. (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_1816 ; cote locale : C_4_42. le 2014-04-22 16:27:34.

faite,
Car pour auoir du sentiment
De vostre mauuais traittement,
Vous deuez croire, & ie leiure,
Qu’il est fasché de cette iniure,
Et que tousiours iusqu’à la mort
Il murmurera de ce tort.
Il voudroit bien rendre à son Prince
Le tribut en chaque Prouince,
Mais vous l’auez reduit si bas
Que sans doute il ne sçauroit pas,
Et quand on vient à le contraindre
Il ne fait rien que de se plaindre
Et que dire tousiours au bout
Que Mazarin possede tout.
Voila pas vn piteux

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 131. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_31. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : A_5_23. le 2014-05-04 16:26:35.

pour constant que les
loix d’vn Estat ne peuuent subsister sans quelque iniustice.   Neantmoins l’on m’obiectera qu’outre cette obeïssance le subiet
est obligé à quelque redeuance enuers son Prince, & que iamais
l’on n’a veu de subjets sans rendre tribut, d’où vient que
quand l’on demanda à nostre Seigneur, s’il falloit rendre le tribut
à Cesar, il donna ouuertement à entendre qu’ouy, en disant: Rendez
à Cesar, ce qui est à Cesar. Tout cela est vray, mais il y a bien
à distinguer entre le Tribut pris

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 132. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_31. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : A_5_23. le 2014-05-04 16:26:35.

Neantmoins l’on m’obiectera qu’outre cette obeïssance le subiet
est obligé à quelque redeuance enuers son Prince, & que iamais
l’on n’a veu de subjets sans rendre tribut, d’où vient que
quand l’on demanda à nostre Seigneur, s’il falloit rendre le tribut
à Cesar, il donna ouuertement à entendre qu’ouy, en disant: Rendez
à Cesar, ce qui est à Cesar. Tout cela est vray, mais il y a bien
à distinguer entre le Tribut pris generalement, & la qualité du
Tribut; il n’y a point de subjet qui ne doiue en qualité

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 133. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_31. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : A_5_23. le 2014-05-04 16:26:35.

sans rendre tribut, d’où vient que
quand l’on demanda à nostre Seigneur, s’il falloit rendre le tribut
à Cesar, il donna ouuertement à entendre qu’ouy, en disant: Rendez
à Cesar, ce qui est à Cesar. Tout cela est vray, mais il y a bien
à distinguer entre le Tribut pris generalement, & la qualité du
Tribut; il n’y a point de subjet qui ne doiue en qualité de subjet,
quelque tribut à son Prince, dés l’heure mesme qu’il s’y soûmet
qui n’est autre chose, à le bien prendre qu’vne subsistance qu’on
luy donne pour

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 134. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_31. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : A_5_23. le 2014-05-04 16:26:35.

l’on demanda à nostre Seigneur, s’il falloit rendre le tribut
à Cesar, il donna ouuertement à entendre qu’ouy, en disant: Rendez
à Cesar, ce qui est à Cesar. Tout cela est vray, mais il y a bien
à distinguer entre le Tribut pris generalement, & la qualité du
Tribut; il n’y a point de subjet qui ne doiue en qualité de subjet,
quelque tribut à son Prince, dés l’heure mesme qu’il s’y soûmet
qui n’est autre chose, à le bien prendre qu’vne subsistance qu’on
luy donne pour l’entretien de sa maison, & pour les affaires

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 135. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_31. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : A_5_23. le 2014-05-04 16:26:35.

donna ouuertement à entendre qu’ouy, en disant: Rendez
à Cesar, ce qui est à Cesar. Tout cela est vray, mais il y a bien
à distinguer entre le Tribut pris generalement, & la qualité du
Tribut; il n’y a point de subjet qui ne doiue en qualité de subjet,
quelque tribut à son Prince, dés l’heure mesme qu’il s’y soûmet
qui n’est autre chose, à le bien prendre qu’vne subsistance qu’on
luy donne pour l’entretien de sa maison, & pour les affaires qui
concernent la seureté & le repos de l’Estat. Et c’est ce que nous

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 136. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_31. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : A_5_23. le 2014-05-04 16:26:35.

point de Prince qui eust pouuoir
de leuer impost sur ses subjets, ny prescrire ce droict, sinon de
leur consentement. Bon Dieu que nous sommes à present esloignez
de cette condition-là! En ces temps-là, si quelque necessité
pressante obligeoit les Rois à exiger quelque tribut tribut de leurs
subjets, c’estoit auec des protestations de le supprimer aussi-tost
qu’ils en seroient deliurez; ainsi que fit Philippes le Long, qui mit
le premier vn double sur la liure de sel; & depuis Philippes de Valois
declara par lettres patentes de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 137. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_31. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : A_5_23. le 2014-05-04 16:26:35.

de Prince qui eust pouuoir
de leuer impost sur ses subjets, ny prescrire ce droict, sinon de
leur consentement. Bon Dieu que nous sommes à present esloignez
de cette condition-là! En ces temps-là, si quelque necessité
pressante obligeoit les Rois à exiger quelque tribut tribut de leurs
subjets, c’estoit auec des protestations de le supprimer aussi-tost
qu’ils en seroient deliurez; ainsi que fit Philippes le Long, qui mit
le premier vn double sur la liure de sel; & depuis Philippes de Valois
declara par lettres patentes de l’an 1328.

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 138. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_31. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier.. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : A_5_23. le 2014-05-04 16:26:35.

l’on ne leuoit rien sur les subjets que
par leur consentement, & auiourd’huy on leur rauit tout ce qu’ils
ont en depit d’eux. Considerez cecy infames Partisans, & cessez
de vous vouloir faire passer le gouuernement de France pour despotique.   Quel tribut
l’on doit au
Roy. Quand ie
parle des
peuples, ie
n’entends
pas les particuliers:
mais les
Estats &
les Parlemens
qui
font pour le
peuple. Ce sont-là les leçons que la Reine deuroit faire apprendre au

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 139. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_5_23. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : C_3_31. le 2014-05-04 16:29:34.

passer pour constant que les
loix d’vn Estat ne peuuent subsister sans quelque iniustice.   Neantmoins l’on m’obiectera qu’outre cette obeïssance le subiet
est obligé à quelque redeuance enuers son Prince, & que iamais
l’on n a veu de subjets sans rendre tribut, d’où vient que
quand l’on demanda à nostre Seigneur, s’il falloit rendre le tribut
à Cesar, il donna ouuertement à entendre qu’ouy, en disant : Rendez
à Cesar, ce qui est à Cesar. Tout cela est vray, mais il y a bien
à distinguer entre le Tribut pris

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 140. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_5_23. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : C_3_31. le 2014-05-04 16:29:34.

  Neantmoins l’on m’obiectera qu’outre cette obeïssance le subiet
est obligé à quelque redeuance enuers son Prince, & que iamais
l’on n a veu de subjets sans rendre tribut, d’où vient que
quand l’on demanda à nostre Seigneur, s’il falloit rendre le tribut
à Cesar, il donna ouuertement à entendre qu’ouy, en disant : Rendez
à Cesar, ce qui est à Cesar. Tout cela est vray, mais il y a bien
à distinguer entre le Tribut pris generalement, & la qualité du
Tribut ; il n’y a point de subjet qui ne doiue en qualité

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 141. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_5_23. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : C_3_31. le 2014-05-04 16:29:34.

sans rendre tribut, d’où vient que
quand l’on demanda à nostre Seigneur, s’il falloit rendre le tribut
à Cesar, il donna ouuertement à entendre qu’ouy, en disant : Rendez
à Cesar, ce qui est à Cesar. Tout cela est vray, mais il y a bien
à distinguer entre le Tribut pris generalement, & la qualité du
Tribut ; il n’y a point de subjet qui ne doiue en qualité de subjet,
quelque tribut à son Prince, dés l’heure mesme qu’il s’y soûmet,
qui n’est autre chose, à le bien prendre qu’vne subsistance qu’on
luy donne

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 142. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_5_23. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : C_3_31. le 2014-05-04 16:29:34.

donna ouuertement à entendre qu’ouy, en disant : Rendez
à Cesar, ce qui est à Cesar. Tout cela est vray, mais il y a bien
à distinguer entre le Tribut pris generalement, & la qualité du
Tribut ; il n’y a point de subjet qui ne doiue en qualité de subjet,
quelque tribut à son Prince, dés l’heure mesme qu’il s’y soûmet,
qui n’est autre chose, à le bien prendre qu’vne subsistance qu’on
luy donne pour l’entretien de sa maison, & pour les affaires qui
concernent la seureté & le repos de l’Estat. Et c’est ce que nous

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 143. Anonyme. LETTRE D’AVIS A MESSIEVRS DV PARLEMENT DE... (1649) chez [s. n.] à Paris , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_5_23. Dans Choix I de Moreau. Pièce 2 des 52 de Carrier. Référence RIM : M0_1837 ; cote locale : C_3_31. le 2014-05-04 16:29:34.

point de Prince qui eust pouuoir
de leuerimpost sur ses subjets, ny prescrire ce droict, sinon de
leur consentement. Bon Dieu que nous sommes à present esloignez
de cette condition-là ! En ces temps-là, si quelque necessité
pressante obligeoit les Rois à exiger quelque tribut de leurs
subjets, c’estoit auec des protestations de le supprimer aussi-tost
qu’ils en seroient deliurez ; ainsi que fit Philippes le Long, qui mit
le premier vn double sur la liure de sel ; & depuis Philippes de Valois
declara par lettres patentes de l’an

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 144. Anonyme. LETTRE ESCRITE A MONSIEVR LE COMTE DE... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi C_3_38. Référence RIM : M0_2209 ; cote locale : A_5_85. le 2014-06-15 01:10:53.

comprendre: Celuy
qui est le seul Scrutateur des cœurs, & qui a desbroüillé
ce premier amas des choses rudes & indigestes, qui furent
du commencement du monde, peut voir seul dans ces obseuritez.
La Politique, quoy que cette bien-aymée des
siecles, qui tire vn tribut innocent des saisons, qui sçait, qui
voit, qui se promene seule dans l’Vniuers comme dans sa
maison, aduouë qu’elle n’a point d’art ny de regle qu’elle
puisse sagement appliquer sur ces esprits volages. Ils rompent
toute sorte d’estude & d’obseruation

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 145. Anonyme. LETTRE ESCRITE A MONSIEVR LE COMTE DE... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi A_5_85. Référence RIM : M0_2209 ; cote locale : C_3_38. le 2014-06-15 01:12:52.

comprendre : Celuy
qui est le seul Scrutateur de cœurs, & qui a desbroüillé
ce premier amas des choses rudes & indigestes, qui furent
du commencement du monde, peut voir seul dans ces obscuritez.
La Politique, quoy que cette bien aymée des
siecles, qui tire vn tribut innocent des saisons, qui sçait, qui
voit, qui se promene seule dans l’Vniuers comme dans sa
maison, aduouë qu’elle n’a point d’art ny de regle qu’elle
puisse sagement appliquer sur ces esprits volages. Ils rompent
toute sorte d’estude & d’obseruation

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 146. Anonyme. MEDITATIONS DV CARDINAL MAZARIN DONNEES AV... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 7 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2440 ; cote locale : C_6_12. le 2014-06-30 08:25:56.

que des nouueaux
desordres. Terre ouure toy, & m’enferme plustost dans les noirs
demeures & de tes obscuritez que de me laisser plus
long-temps dans ces calamitez publiques, i’en ay trop
veu & à mon grand regret : il est temps que ie paye le
tribut que ie dois à la nature ; C’est par trop demeurer
dans ses destours, aussi bien ie ne dois esperer bien-tost
qu’vne ruine, & vne desolation totale de ma personne ;
Adieu donc Paris infortuné, que mes os ne reposent
iamais dans l’enclos de tes murailles, que

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 147. Anonyme. NOVVELLES REMONSTRANCES A LA REINE REGENTE,... (1649) chez Cay (Denis de) à Paris , 16 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_2561 ; cote locale : A_6_36. le 2014-07-07 03:30:54.

qui luy
seroient necessaires pour la conduite de ses desseins,
& pour se defendre du precipice qu’il a preparé à de
plus innocens & de moins passionnez que luy. Souuenez-vous,
MADAME, de ce Prince qui mist le Royaume
d’Israël en proye, & qui de douze Tributs, à
peine s’en peût conseruer vne seule pour auoir rejetté
auec mespris les sages & les moderez conseils des
plus anciens de sa Noblesse & de son Estat, & s’estre
laissé emporter aux conseils violens d’vne jeunesse
sans pieté, sans religion

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 148. Anonyme. OBSERVATIONS VERITABLES ET DES-INTERESSEES,... (1652) chez [s. n.] à Paris , 160 pages. Langue : français, latin. Table des matières en pages 5-6; avertissement de l'imprimeur au lecteur en page 8. Notre page 9 est numérotée 1 dans l'original (cet écart de 8 se maintient jusqu'à la fin de la pièce).. Référence RIM : M0_2574 ; cote locale : B_11_23. le 2014-07-08 14:38:18.

authorité par sa parole, en
luy disant ; Non haberes potestatem aduersum me vllam, nisi tibi datum
esset desuper ; & par son action en respondant sur les accusations
qu’on faisoit contre luy, sçauoir ; d’exciter des émotions
populaires, de deffendre de payer le Tribut à Cesar, & d’auoir
vsurpé la qualité de Roy ; Duxerunt illum ad Pilatum, & cæperunt
accusare dicentes ; hunc inuenimus subuertentem gentem nostram, &
prohibentem tributa dare Cæsari, & dicentem se Christum Regem esse.
Puis estant interrogé, au

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 149. Anonyme. QVESTION, SI LA VOIX DV PEVPLE EST LA VOIX... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_7_14. Référence RIM : M0_2951 ; cote locale : C_6_76. le 2014-07-22 17:06:40.

qui sont establies
dans le monde, sont or données de Dieu ; de façon que quiconque resiste
aux Puissances, resiste à l’ordre de Dieu. Et peu apres : Ne vous sousmettez
pas seulement par force, mais par vostre conscience, ce sont les
Ministres de Dieu. Rendez donc le tribut, & payez les imposts à ceux
à qui vous les deuez. Aux Colossiens : Obeyssez à vos Maistres charnels
en toutes choses, & non pas pour leur plaire, mais dans la simplicité
de cœur, & par la crainte de Dieu. Aux Ephesiens : Obeyssez auec
crainte &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 150. Anonyme. QVESTION, SI LA VOIX DV PEVPLE EST LA VOIX... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 34 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_6_76. Référence RIM : M0_2951 ; cote locale : A_7_14. le 2014-07-22 17:08:18.

qui sont establies
dans le monde, sont ordonnées de Dieu ; de façon que quiconque resiste
aux Puissances, resiste à l’ordre de Dieu. Et peu apres : Ne vous sousmettez
pas seulement par force, mais par vostre conscience, ce sont les
Ministres de Dieu. Rendez donc le tribut, & payez les imposts à ceux
à qui vous les deuez. Aux Colossiens : Obeyssez à vos Maistres charnels
en toutes choses, & non pas pour leur plaire, mais dans la simplicité
de cœur, & par la crainte de Dieu. Aux Ephesiens : Obeyssez auec
crainte &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 151. Anonyme. REGRETS HEROIQVES DV SOLDAT AMOVREVX, RESOLV... (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore) et Maucroy (Estienne) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission datée du 30 avril 1649 au colophon.. Référence RIM : M0_3089 ; cote locale : C_8_46. le 2014-08-12 04:23:46.

& ses regards timides,
Firent sur moy l’essay de leurs traits homicides ;
Ce fut dessus mon cœur qu’elle apprist à tirer,
Mon cœur fust le premier qu’elle fit souspirer ;
Et mes yeux arrousans ses belles mains de larmes,
Payerent les premiers le tribut à ses charmes :
Mais comme le premier entre tous les mortels,
Ie luy rendis des vœux, & bastis des Autels,
Aussi de tant d’Amans espris de cette gloire,
Amaranthe me crût digne de sa victoire,
Ma conqueste luy plust, & mon cœur

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 152. Anonyme. REGRETS HEROIQVES DV SOLDAT AMOVREVX, RESOLV... (1649) chez Pépingué (veuve de Théodore) et Maucroy (Estienne) à Paris , 12 pages. Langue : français. Avec permission datée du 30 avril 1649 au colophon.. Référence RIM : M0_3089 ; cote locale : C_8_46. le 2014-08-12 04:23:46.

rien icy bas qui ne soit perissable,
Les plus fermes rochers sont assis sur le sable,
Les throsnes, & les Roys sont rongez par les vers,
Et deux points sont l’appuy de ce grand Vniuers ;
Tout fleschit sous les lois des fieres destinées,
Tout paye le tribut au Tyran des années ;
Et nos peres ont veu son bras audacieux,
Renuerser leurs Autels, & foudroyer leurs Dieux.    
Amaranthe languit d’vne fatalle atteinte,
Sa constance à son mal veut desrober la pleinte,
Et comme dans vn fort

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 153. Anonyme. REMEDE AVX MAL-HEVRS DE L’ESTAT AV SVIET... (1652) chez [s. n.] à Paris , 30 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3270 ; cote locale : B_20_43. le 2014-08-16 03:21:28.

Les Rois regnent par moy, & les Princes
decernent la Iustice aux Prouerbes 8. vers. 15. Salomon
estant decedé au 3. liure des Rois chap. II. le peuple
d’Israël vint prier le Roy Roboam, fils & successeur
legitime des Estats de Salomon, composez des douze
Tributs, qu’il luy pleut diminuer les tailles ; le
conseil des Anciens fut donné à Roboam, que la demande
du peuple estoit legitime : mais Roboam
ayant preferé celuy des Ieunes, qu’il faloit plustost
surcharger se peuple de nouueaux imposts, perdit
dix tributs qui

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 154. Anonyme. REMEDE AVX MAL-HEVRS DE L’ESTAT AV SVIET... (1652) chez [s. n.] à Paris , 30 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3270 ; cote locale : B_20_43. le 2014-08-16 03:21:28.

douze
Tributs, qu’il luy pleut diminuer les tailles ; le
conseil des Anciens fut donné à Roboam, que la demande
du peuple estoit legitime : mais Roboam
ayant preferé celuy des Ieunes, qu’il faloit plustost
surcharger se peuple de nouueaux imposts, perdit
dix tributs qui se reuolterent, & qui esleurent Ieroboam
pour leur Roy. Or que ce ne fut la voix de Dieu & sa volonté, personne n’en peut douter, puis que Dieu l’auoit ainsi
predit & voulu par le Prophete Ahias au chap. II. V.
31. en punition de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 155. Anonyme. REMERCIMENT AV ROY, PAR MESSIERS LES... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 18 pages. Langue : français. Voir aussi A_8_80. Référence RIM : M0_3286 ; cote locale : C_9_35. le 2014-08-24 08:02:34.

& se nourrissent mieux, le long du fleuue Phaso, qu’en tout autre climat. Mais
quoy ? Il falloit que ce mal durast iusques à vous, pour
accroistre vos honneurs par le remede. Ie dy hardiment,
auec verité, que vous deschargez vostre peuple
d’vn gros tribut, & du pronosticq d’vn grand mal
que luy pourroit causer ce desordre. On a veu autrefois
arriuer de grandes choses par le moyen de petits
animaux, dont on ne tenoit compte. Marcus Varro,
dict que les Connils firent ruiner vne ville d’Espagne
par leurs

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 156. Anonyme. REMERCIMENT AV ROY, PAR MESSIERS LES... (1649) chez [s. n.] à [s. l.] , 18 pages. Langue : français. Voir aussi C_9_35. Référence RIM : M0_3286 ; cote locale : A_8_80. le 2014-08-24 08:06:12.

& se nourrissent mieux, le long du fleuue Phaso, qu’en tout autre climat. Mais
quoy? Il falloit que ce mal durast iusques à vous, pour
accroistre vos honneurs par le remede. Ie dy hardiment,
auec verité, que vous deschargez vostre peuple
d’vn gros tribut, & du pronosticq d’vn grand mal
que luy pourroit causer ce desordre. On a veu autrefois
arriuer de grandes choses par le moyen de petits
animaux, dont on ne tenoit compte. Marcus Varro,
dict que les Connils firent ruiner vne ville d’Espagne
par leurs

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 157. Anonyme. REMONSTRANCE AV PRETENDV PARLEMENT DE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3294 ; cote locale : B_15_24. le 2014-08-24 15:42:31.

vn changement
autant preiudiciable à vostre gloire, qu ennemy
de nostre bon heur, en ce qu’il fait voir que vous
craignez d’obtenir l’auantage que vous sembliés
souhaiter. Quoy donc, Messieurs, vous auriez animé
les peuples de l’esperance du soulagement
des tributs, en leurs donnan de faux auant gouts
de la liberté, vous auriez prouoqué contre eux
la haine de leurs tyrans : attiré sur leurs bras de
sanglantes guerres, cause des pillages & des
meurtres de toutes sortes, & loin de nous faire
quelque bien en

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 158. Anonyme. REMONSTRANCE AV PRETENDV PARLEMENT DE... (1652 [?]) chez [s. n.] à [s. l.] , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3294 ; cote locale : B_15_24. le 2014-08-24 15:42:31.

donné la iouyssance. N’aués vous pas élude toutes
leurs pretentions, & voit on vn Partizan puny
depuis que vous commançastes à les menasser ?
Qu aués vous fait que changer le ioug de leur
seruitude en vn cent fois plus cruel ? ils estoient
accablés de tributs & vous les aués tout à fait ruinés
par la guerre. Aussi les plus fins le sçauoient
bien coniecturer dés le commancement de vostre
entreprise, & nous rompoient la teste de ce
vers.   Parturient montes, nascetur ridiculus mus. Mais de quelle

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 159. Anonyme. REMONSTRANCES A LA REYNE REGENTE, SVR LE... (1649) chez Cotinet (Arnould) à Paris , 8 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3334 ; cote locale : C_9_45. le 2014-08-28 17:37:29.

qui luy seroient
necessaires pour la conduite de ses desseins, & pour se defendre du precipice
qu’il a preparé à de plus innocens & de moins passionnez que luy. Souuenez-vous,
MADAME, de ce Prince qui mist le Royaume d’Israël en proye,
& qui de douze Tributs, à peine s’en peût conseruer vne seule pour auoir
reiettée auec mespris les sages & les moderez conseils des plus anciens de sa
Noblesse & de son Estat, & s’estre laissé emporter aux conseils violens d’vne
jeunesse sans pieté, sans religion & sans

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 160. Anonyme. REMONSTRANCES TRES-HVMBLES A LA REYNE MERE... (1650) chez Dupont (Pierre) à Paris , 23 pages. Langue : français. Avec permission. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3343 ; cote locale : B_4_24. le 2014-08-28 17:45:10.

quelque attentat : chose que ie ne pense
deuoir aduenir, & supplie humblement Dieu qu’il n’aduienne.   Soulagement du commun peuple. A La suitte de cecy il faut pouruoir aux plaintes communes
& trop veritables de la vexation du peuple,
par noualitez, tributs, creations, d’offices, partis & autres
semblables maux, par lesquels en promettant de vouloir
reünir le domaine de la couronne, on aliene à bon escient
le cœur du peuple principale domaine du Roy. C’est pour
quoy par vostre sagesse & conduite, iugerez

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 161. Anonyme. REMONSTRANCES TRES-HVMBLES A LA REYNE MERE... (1650) chez Dupont (Pierre) à Paris , 23 pages. Langue : français. Avec permission. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3343 ; cote locale : B_4_24. le 2014-08-28 17:45:10.

la cire. Mais
pour l’entretenir tousiours en vne bonne volonté, luy faire
part du fruict de son labeur : Car c’est le nourrisier qui par
son penible exercice entretient & fait viure le reste du
Royaume en repos. De luy vient le trafic, les richesses, l’or,
le tribut. C’est vne source qui découle incessamment sans iamais tarir : Si le peuple cesse son trauail, tout le corps de
l’Estat perira. Si vous desirez contregarder le Royaume,
il est besoin de conseruer le peuple & l’accommoder. Chose
qui sera facile

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 162. Anonyme. REMONSTRANCES TRES-HVMBLES A LA REYNE MERE... (1650) chez Dupont (Pierre) à Paris , 23 pages. Langue : français. Avec permission. Informations éditoriales au colophon.. Référence RIM : M0_3343 ; cote locale : B_4_24. le 2014-08-28 17:45:10.

des deniers. Apres que vous aurez gratifié le peuple de toutes ces
superfluitez & surcroissances qui l’affligeoient : tenez
compte du nombre des Prouinces de ce Royaume, & de
la quantité que chacune contribue de Tailles, Impost,
Daces, Gabelles, Aydes, Tributs, & autres reuenus publics,
pour sçauoir certainement ce qui se leue sur le peuple
par chacun an, puis examinez à combien annuellement
peuuent reuenir les pensions, rentes, gaiges d’officiers
payemens de la gendarmerie & autre despence qu’il
faut faire,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 163. Anonyme. REQVESTE PRESENTEE A MONSEIGNEVR LE PRINCE... (1649) chez Bessin (Nicolas) à Paris , 12 pages. Langue : français. Dans Choix I de Moreau. Référence RIM : M0_3501 ; cote locale : C_8_55. le 2014-09-21 08:08:48.


Qui faisoient comme des cohortes ;
Et banny les rats des celiers,
Pires que les rats des greniers.
Que cette ville nous dedaigne
N’ayant plus nôtre jus de vigne,
Qu’enfin nous craignons son rebut,
Ne luy rendant plus ce tribut ;
Ce tribut pourtant volontaire,
Mais qui nous est si necessaire :
Que Bacchus fâché contre Vous
Nous fait ietter à vos genous ;
Qu’il dit que iamais vôtre Pere
Contre luy ne fut en colere,
Qu’il n’empeschoit point ses bateaux
De porter y-là

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 164. Anonyme. RESPONSE DV ROY LOVIS XIII. en Bronze, de la... (1649) chez Paslé (Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Daté du 26 mars 1649 et signé Louis de Bourbon en page 7. Voir aussi A_5_77. Référence RIM : M0_3440 ; cote locale : C_3_3. le 2014-09-28 09:09:38.

tâche de soüiller leur valeur Tous ces
sousleuemens ne tendent qu’à chasser vn Estranger
impudent, qui chargé des despoüilles de toutes nos
Prouinces, impose tous les iours encore des cruelles
charges à leurs habitans qu’il a reduis à la derniere calamité.
Ces tributs effroyables qu’on exige auec des
rigueurs incroyables de leur sang & de leur sueur, ne
sont point employez à quelque pressente necessité
des affaires, elles sont en vn estat assez fauorable pour
obliger les ennemis plustost à la recherche de la paix,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 165. Anonyme. RESPONSE DV ROY LOVIS XIII. en Bronze, de la... (1649) chez Paslé (Jean) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Daté du 26 mars 1649 et signé en page 7. Voir aussi C_3_3. Référence RIM : M0_3440 ; cote locale : A_5_77. le 2014-09-28 09:11:42.

tâche de soüiller leur valeur. Tous ces
sousleuemens ne tendent qu’à chasser vn Estranger
impudent, qui chargé des despoüilles de toutes nos
Prouinces, impose tous les iours encore des cruelles
charges à leurs habitans qu’il a reduis à la derniere calamité.
Ces tributs effroyables qu’on exige auec des
rigueurs incroyables de leur sang & de leur sueur, ne
sont point employez à quelque pressente necessité
des affaires, elles sont en vn estat assez fauorable pour
obliger les ennemis plustost à la recherche de la paix,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 166. Anonyme. TRAITTÉ DE L’ANCIENNE DIGNITÉ ROYALE, ET... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3796 ; cote locale : B_2_25. le 2014-10-12 05:25:13.

marque
de la grandeur des Roys, & de l’estime que cét illustre
Legislateur fait de leur personne. Cét admirable principe de
nostre salut fait bien voir dans Sainct Mathieu, en quelle consideration
il a cette grandeur Royale; puis qu’il paye aux
Roys luy mesme le tribut qu’il ne leur doit pas, de crainte de
les offencer, & de crainte de laisser vn mauuais exemple à
ceux qui doiuent viure sous la domination des Princes. Et
par la mesme bouche du mesme Oracle, ne dit il pas qu’il
faut rendre à Cesar ce qui est à Cesar, sur peine

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 167. Anonyme. TRAITTÉ DE L’ANCIENNE DIGNITÉ ROYALE, ET... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3796 ; cote locale : B_2_25. le 2014-10-12 05:25:13.

celestes; Enfin tous
ceux qui sont constituez en cette dignité Royale, son Lieutenans
de Dieu en terre. Et ce fut la raison pour laquelle Iesus
Christ voulut naistre lors que la computation vniuerselle du
monde fut faite par Auguste, afin que ses parens luy payassent
le tribut qui luy estoit deu, & qu’ils reconneussent le
Prince terrien, comme celuy qui representoit sa personne.
Sainct Mathieu escrit en faueur de la mesme chose estant arriué
en Capharnaum, ville scituée sur le Lac de Genezarets, au
pays de Galilée. Ceux qui receurent

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 168. Anonyme. TRAITTÉ DE L’ANCIENNE DIGNITÉ ROYALE, ET... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3796 ; cote locale : B_2_25. le 2014-10-12 05:25:13. es, & il leur respondit qu’ouy, & quand
il fut en la maison, Iesus-Christ luy vint au deuant; disant,
Simon que te semble; Les Roys de la terre de qui prennent-ils
les tributs ou les censiues, est-ce de leurs enfans ou des
estrangers, & sainct Pierre luy dit, des estrangers? Les enfans
sont donc francs respondit Iesus-Christ: Mais afin que
nous ne les offensions pas, va-t’en en la mer, & iette l’hameçon,
& le premier poisson

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 169. Anonyme. TRAITTÉ DE L’ANCIENNE DIGNITÉ ROYALE, ET... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3796 ; cote locale : B_2_25. le 2014-10-12 05:25:13.

estoit à Dieu. Sainct Paul écriuant aux Romains
nous apprend, que toute personne est sujette aux Puissances
superieures: car il n’est point de Puissance qui ne soit
establie de la main de ce diuin Sauueur de nos ames; Et puis
en concluant il nous commande de luy payer le tribut comme
à des Souuerains establis de cét adorable principe des
choses: Enfin passant plus outre, il dit, qu’il leur faut rendre
à tous ce qu’il leur appartient, à qui le tribut, le tribut, à qui
le peage, le peage, à qui l’honneur, l’honneur, & a qui

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 170. Anonyme. TRAITTÉ DE L’ANCIENNE DIGNITÉ ROYALE, ET... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3796 ; cote locale : B_2_25. le 2014-10-12 05:25:13.

main de ce diuin Sauueur de nos ames; Et puis
en concluant il nous commande de luy payer le tribut comme
à des Souuerains establis de cét adorable principe des
choses: Enfin passant plus outre, il dit, qu’il leur faut rendre
à tous ce qu’il leur appartient, à qui le tribut, le tribut, à qui
le peage, le peage, à qui l’honneur, l’honneur, & a qui la
crainte la crainte; & ne suffit pas à ce rare Apostre de l’auoir
redit en plusieurs endroicts de l’Escriture: mais pour l’imprimer
beaucoup mieux dans leur

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 171. Anonyme. TRAITTÉ DE L’ANCIENNE DIGNITÉ ROYALE, ET... ([s. d.]) chez [s. n.] à [s. l.] , 20 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3796 ; cote locale : B_2_25. le 2014-10-12 05:25:13.

diuin Sauueur de nos ames; Et puis
en concluant il nous commande de luy payer le tribut comme
à des Souuerains establis de cét adorable principe des
choses: Enfin passant plus outre, il dit, qu’il leur faut rendre
à tous ce qu’il leur appartient, à qui le tribut, le tribut, à qui
le peage, le peage, à qui l’honneur, l’honneur, & a qui la
crainte la crainte; & ne suffit pas à ce rare Apostre de l’auoir
redit en plusieurs endroicts de l’Escriture: mais pour l’imprimer
beaucoup mieux dans leur memoire, &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 172. Anonyme. TRES-HVMBLE ET CHRESTIENNE REMONSTRANCE A LA... (1649) chez Langlois (Jacques) à Paris , 14 pages. Langue : français. Avec permission.. Référence RIM : M0_3807 ; cote locale : D_2_6. le 2014-10-12 06:28:42.

qui luy seroient
necessaires pour la conduitte de ses desseins ; & pour se
deffendre du precipice qu’il a preparé a de plus innocens & de
moins passionez que luy. Souuenez-vous, MADAME, de ce Prince qui
mit le Royaume d’Israël en proye, & qui des douze Tributs
à peine s’en peût conseruer vne seule, pour auoir reietté
auec mespris les sages, & les moderez conseils des plus anciens de sa Noblesse & de son Estat, & s’estre laissé emporter
aux conseils violens d’vne jeunesse, sans pieté, sans

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 173. Anonyme. TRES-HVMBLE REMONSTRANCE FAITE AV ROY DANS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi B_16_68. Référence RIM : M0_3818 ; cote locale : B_16_47. le 2014-10-12 08:56:07.

endurent, les bons deplorent,
& les pierres racontent. Oû est le temps, SIRE, qu’on entendoit dire ces
belles paroles, qu’il falloit tondre le trouppeau, & ne
le pas écorcher, qu’vn corps trop chargé donnoit du
nez en terre, qu’il n’y auoit tribut comparable aux
precieuses commoditez qu’on tiroit de l’amour de ses
subiets, & maintenant toutes les villes & les campagnes
pleureut les rigoureuses concussions qu’elles ressentent
pour souler de leur fureur & de leur sang, l’auarice de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 174. Anonyme. TRES-HVMBLE REMONSTRANCE FAITE AV ROY DANS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 8 pages. Langue : français. Voir aussi B_16_47. Référence RIM : M0_3818 ; cote locale : B_16_68. le 2014-10-12 08:56:56.

endurent, les bons deplorent,
& les pierres racontent. Oû est le temps, SIRE, qu’on entendoit dire ces
belles paroles, qu’il falloit tondre le trouppeau, & ne
le pas écorcher, qu’vn corps trop chargé donnoit du
nez en terre, qu’il n’y auoit tribut comparable aux
precieuses commoditez qu’on tiroit de l’amour de ses
subiets, & maintenant toutes les villes & les campagnes
pleurent les rigoureuses concussions qu’elles ressentent
pour souler de leur fureur & de leur sang, l’auarice de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 175. Anonyme. TRES-HVMBLE REMONSTRANCE FAITE AV ROY, Par... (1652 [?]) chez [s. n.] à Paris , 15 pages. Langue : français. Référence RIM : M0_3823 ; cote locale : B_1_30. le 2014-10-12 09:09:19.

de vostre Majesté, la somme de
cent mille liures que V. Majesté a demandé à la
Ville, pour suruenir en partie aux despens de la
guerre ou de vos voyages vous a esté accordée
fort librement, non point comme vne amande
ou comme vne rançon, mais plustost comme vn
tribut legitime, où comme vn octroy de tous les
Citoyens, qui sont persuadez que leurs vie &
leurs biens sont deubs à leurs Princes pour le
maintien de son Estat, & pour le bien de sa patrie.
Apres cette reconciliation SIRE, il ne reste si
non qu’il y ait de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 176. Anonyme. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES DE LA PROVINCE DE... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_8_1. Référence RIM : M0_3828 ; cote locale : C_9_43. le 2014-10-12 09:27:27.

capitale
vn Concert general des cœurs & d’affections,
sans que i’y puisse rien contribuer. Vous auez receu
comme vne grande mer, iusques aux plus petits ruisseaux
de la mesme égalité que le Danube & le Gange ;
& lors que ie croyois d’y porter mon tribut comme
les autres, & d’y arriuer aussi claire & aussi nette
que dans ma source, i’y fais tomber seulement l’ordure
de mes crimes, & m’y rends auec toute l’écume
que iettent les plus furieux.   I’aduouë ma temerité le iour de vostre

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 177. Anonyme. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES DE LA PROVINCE DE... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_8_1. Référence RIM : M0_3828 ; cote locale : C_9_43. le 2014-10-12 09:27:27.

Il est vray qu’en choquant vostre dignité,
i’ay fait tous mes plus grands efforts, puisque cela ne
se pouuoit faire, sans rompre toutes les attaches qui
me retenoient à mon deuoir : mais Vostre Maiesté
en a-t’elle fait de moindres, lors que pour arrester
ces tributs que sa Iustice exigeoit d’elle, elle
s’est faite la plus grande violence qui sera iamais ? Ie
m’estois dérobée à vne Puissance legitime, par le crime,
lors qu’elle s’est arrachée à elle mesme par la compassion.
Elle m’a offert la grace que ie deuois

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 178. Anonyme. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES DE LA PROVINCE DE... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_9_43. Référence RIM : M0_3828 ; cote locale : A_8_1. le 2014-10-12 09:28:32.

Ville capitale
vn Concert general des cœurs & d’affections,
sans que i’y puisse rien contribuer. Vous auez receu
comme vne grande mer, iusques aux plus petits ruisseaux
de la mesme égalité que le Danube & le Gange;
& lors que ie croyois d’y porter mon tribut comme
les autres, & d’y arriuer aussi claire & aussi nette
que dans ma source, i’y fais tomber seulement l’ordure
de mes crimes, & m’y rends auec toute l’écume
que iettent les plus furieux.   I’aduouë ma temerité le iour de vostre

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 179. Anonyme. TRES-HVMBLES REMONSTRANCES DE LA PROVINCE DE... (1649) chez Variquet (Pierre) à Paris , 20 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_9_43. Référence RIM : M0_3828 ; cote locale : A_8_1. le 2014-10-12 09:28:32.

Il est vray qu’en choquant vostre dignité,
i’ay fait tous mes plus grands efforts, puisque cela ne
se pouuoit faire, sans rompre toutes les attaches qui
me retenoient à mon deuoir: mais Vostre Maiesté
en a-t’elle fait de moindres, lors que pour arrester
ces tributs que sa Iustice exigeoit d’elle, elle
s’est faite la plus grande violence qui sera iamais? Ie
m’estois dérobée à vne Puissance legitime, par le crime,
lors qu’elle s’est arrachée à elle mesme par la compassion.
Elle m’a offert la grace que ie deuois

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 180. Anonyme. VERITABLE CENSVRE DE LA LETTRE D’AVIS,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_34. Référence RIM : M0_3924 ; cote locale : A_7_63. le 2014-10-12 10:46:25.

aiguillon, pour ne pas viure dans ce desordre.
Les Perses se reduisent en cendre, touchez d’vne mesme aduenture.
Xenophon veut qu’il n’y ayt point d’animal au monde plus ingrat à
son Superieur que l’homme. Et nonobstant tout cela vous douterez
encore de la nature du tribut qu’on doit rendre à son Prince, puis qu’il
peut prendre tout ce que nous auons quand bon luy semble. De sorte
qui si nous sommes obligez de rendre au Roy ce que nous luy deuõs, ie ne croy pas que l’homme se puisse vanter d’auoir quelque chose à
soy

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 181. Anonyme. VERITABLE CENSVRE DE LA LETTRE D’AVIS,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Voir aussi C_3_34. Référence RIM : M0_3924 ; cote locale : A_7_63. le 2014-10-12 10:46:25.

prendre tout ce que nous auons quand bon luy semble. De sorte
qui si nous sommes obligez de rendre au Roy ce que nous luy deuõs, ie ne croy pas que l’homme se puisse vanter d’auoir quelque chose à
soy qui ne luy appartienne, & moins qu’il luy puisse payer le tribut
que vous voulez qu’il luy paye, que de son propre Domaine, puis que
nos biens & nos vies sont du nombre. Et c’est là veritablement la seule
raison par laquelle il se trouue inalienable, comme vous dites, veu
que Dieu veut qu’il soit vniuersellement affecté sur

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 182. Anonyme. VERITABLE CENSVRE DE LA LETTRE D’AVIS,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_7_63. Référence RIM : M0_3924 ; cote locale : C_3_34. le 2014-10-12 10:48:31.

aiguillon, pour ne pas viure dans ce desordre.
Les Perses se reduisent en cendre, touchez d’vne mesme aduenture.
Xenophon veut qu’il n’y ayt point d’animal au monde plus ingrat à
son Superieur que l’homme. Et nonobstant tout cela vous douterez
encore de la nature du tribut qu’on doit rendre à son Prince, puis qu’il
peut prendre tout ce que nous auons quand bon luy semble. De sorte
que si nous sommes obligez de rendre au Roy ce que nous luy deuõs, ie ne croy pas que l’homme se puisse vanter d’auoir quelque chose à
soy

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 183. Anonyme. VERITABLE CENSVRE DE LA LETTRE D’AVIS,... (1649) chez [s. n.] à Paris , 24 pages. Langue : français, latin. Voir aussi A_7_63. Référence RIM : M0_3924 ; cote locale : C_3_34. le 2014-10-12 10:48:31.

prendre tout ce que nous auons quand bon luy semble. De sorte
que si nous sommes obligez de rendre au Roy ce que nous luy deuõs, ie ne croy pas que l’homme se puisse vanter d’auoir quelque chose à
soy qui ne luy appartienne, & moins qu’il luy puisse payer le tribut
que vous voulez qu’il luy paye, que de son propre Domaine, puis que
nos biens & nos vies sont du nombre. Et c’est là veritablement la seule
raison par laquelle il se trouue inalienable, comme vous dites, veu
que Dieu veut qu’il soit vniuersellement affecté sur

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 184. B. P. D., H. de. LES VERITABLES SENTIMENS D’ESTAT POVR LA... (1652) chez [s. n.] à Paris , 32 pages. Langue : français, latin. Moreau mentionne: Paris (messire H. de Barroys, prêtre de Paris).. Référence RIM : M0_3979 ; cote locale : B_16_28. le 2014-10-16 08:12:27.

qui fit dire autresfois
à vn Pere du Peuple, qu’il gouuerneroit
la Republique d’vne telle façon qu’il apprendroit
que c’est le bien du public & non
pas le sien ; Aussi ses Subjets au jugement de l’Empereur Pertinax, refuserent de payer les
Tributs iustes & accoustumées, apres les auoir
chargez d’imposts excessifs, contenti estote stipendiis
vestris & neminem concusseritis. Vous espargnerez
donc, SIRE, non par vsurpation, n’empeschant
le cours de vos Finances, ne les employãt
qu’en vn bon &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 185. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE GAZETTIER DES-INTERESSÉ, ET LE TESTAMENT... (1649) chez Brunet (Jean); Morlot (Claude) à Paris , 20 pages. Langue : français. Sur l'imprimé à Paris. Signature en page 18. Autre édition que: A_3_72 (partie 1) et C_5_24 (partie 1).. Référence RIM : M0_1466 ; cote locale : E_1_58. le 2014-12-10 12:46:37.

la naissance Pour faciliter vn si haut dessein, il auoit
fait mettre des imposts sur toutes les marchandises : il auoit taté
pour leur mariage toutes les necessités de la vie, & peu s’en est
fallu qu’il n’ait en vn point resuscité Vespasian qui auoit imposé
des tributs sur les vrines. On s’est mis souuent en peine de le porter à de meilleurs sentimens,
on luy a representé les miseres & les cris du peuple, mais on
la tousiours trouué sourd, comme on l’auoit trouué aueugle, &
quoy qu’on ait peut faire pour le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 186. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE GAZETTIER DES-INTERRESSÉ. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 24 pages. Langue : français. Partie 1. Voir aussi A_3_72 (partie 1) et E_1_58 (autre édition).. Référence RIM : M0_1466 ; cote locale : C_5_24. le 2014-12-10 12:40:09.

la naissance. Pour faciliter vn si haut dessein, il auoit
fait mettre des imposts sur toutes les marchandises ; il
auoit taxé pour leur mariage toutes les necessités de la
vie, & peu s’en est fallu qu’il n’ait en vn point resuscité
Vespasian qui auoit imposé des tributs sur les vrines. On s’est mis souuent en peine de le porter à de
meilleurs sentimens, on luy a representé les miseres
& les cris du peuple, mais on la tousiours trouué
sourd, comme on l’auoit trouué aueugle, & quoy
qu’on ayt peu faire pour le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 187. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE GAZETTIER DES-INTERRESSÉ. (1649) chez Brunet (Jean) à Paris , 24 pages. Langue : français. Partie 1. Voir aussi C_5_24 (partie 1) et E_1_58 (autre édition).. Référence RIM : M0_1466 ; cote locale : A_3_72. le 2014-12-10 12:38:53.

la naissance. Pour faciliter vn si haut dessein, il auoit
fait mettre des imposts sur toutes les marchandises; il
auoit taxé pour leur mariage toutes les necessités de la
vie, & peu s’en est fallu qu’il n’ait en vn point resuscité
Vespasian qui auoit imposé des tributs sur les vrines. On s’est mis souuent en peine de le porter à de
meilleurs sentimens, on luy a representé les miseres
& les cris du peuple, mais on la tousiouts trouué
sourd, comme on l’auoit trouué aueugle, & quoy
qu’on ayt peu faire pour le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 188. D. B. [signé] / Cyrano de... . LE GENIE DEMASQVÉ ET LE TEMPS PASSÉ ET... (1649) chez Musnier (veuve d'André) à Paris , 24 pages. Langue : français. Signé D. B. au colophon.. Référence RIM : M0_1493 ; cote locale : C_5_31. le 2014-01-11 07:29:02.

la naissance. Pour faciliter vn si haut dessein, il auoit
fait mettre des imposts sur toutes les marchandises ; il
auoit taxé pour leur mariage toutes les necessités de la
vie, & peu s’en est fallu qu’il n’ait en vn point resuscité
Vespasian qui auoit imposé des tributs sur les vrines. On s’est mis souuent en peine de le porter à de
meilleurs sentimens, on luy a representé les miseres
& les cris du peuple, mais on la tousiours trouué
sourd, comme on l’auoit trouué aueugle, & quoy
qu’on ayt peu faire pour le

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 189. Du Pelletier, Pierre. LETTRE DV SIEVR DV PELLETIER à Monseigneur... (1649) chez Nicolas de la Vigne à Paris , 7 pages. Langue : français. Avec permission. Datée du 10 février 1649 dans le titre, signée au colophon.. Référence RIM : M0_2201 ; cote locale : C_3_53. le 2014-06-08 11:31:16.

fait lire de veritable, & que dans vn
siecle de fables elles passeroient pour les ieus d’vn esprit
qui segaye, & qui sur vn point de verité batticent
contes de Romant. Tout le monde est d’accord auec
moy qu’elles sont dignes d’vn culte religieux ; de ces
tributs legitimes que l’on rend à la vertu reconnuë, &
ie me fasche contre vostre modestie qui me deffend
de dire tout ce que ie pense. Mais apres tout, ce que
i’en concoy est infiniment au dessous du merite de ces
merueilles que Paris qui vous applaudit auec toute

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 190. Loret, Jean [?]. HVICTIESME GAZETTE DV TEMPS. EN VERS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 6 pages. Langue : français. Datée du 16 juin [1652] au colophon. Partie 8 sur 8. Ensemble de B_18_23 à B_18_30.. Référence RIM : M0_1471 ; cote locale : B_18_30. le 2014-07-21 15:00:48.

puis que le Ciel m’est auare
D’vn tallant si noble & si rare
Et qu’il ne m’en a donné qu’vn
Tres mediocre & tres-commun,
Acceptez comme de coustume
Ce nouueau trauail de ma plume,
Digne peut-estre du rebut
Que i’apporte comme tribut.    
L’vnziesme du mois ou nous sommes,
Vne grande quantité d’hommes
Pleins d’ardante deuotion
Allerent en Procession,
Qui fut tres-longue, & non briefue,
Au Temple Saincte Geneuiefue,
Psalmodiant, & priant

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 191. Loret, Jean [?]. SEPTIEŚME GAZETTE DV TEMPS. EN VERS... (1652) chez [s. n.] à Paris , 7 pages. Langue : français. Partie 7 sur 8. Ensemble de B_18_23 à B_18_30.. Référence RIM : M0_1471 ; cote locale : B_18_29. le 2014-07-21 15:00:08.

diuers,
Pour vous les rediger en Vers,
Mais ie sens pourtant dans mon ame
Que par vn manquement de flamme
Ie ne suis pas trop en humeur
De faire auiourd’huy le rimeur,
Toutesfois, ô Princesse Illustre
Il ne faut pas que ie vous frustre
Du tribut qui vous est acquis,
Quoy qu’il ne soit pas trop exquis
Ie veux donc suiure la coustume,
Et mettre la main à la plume,
Mais sans vn celeste secours
N’esperez pas vn long discours,
Car de moy ie ne puis promettre
Qu’vne courte &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 192. Magnien, Charles [signé]. REFLEXIONS CONSCIENCIEVSES des bons... (1649) chez Sassier (Guillaume) à Paris , 42 pages. Langue : français, latin. C'est la suite de C_9_18, où se trouvent la page de titre, la signature, la permission, l'adresse au lecteur, etc.. Référence RIM : M0_3061 ; cote locale : C_9_19. le 2014-08-11 16:23:37.

arriuer
au corps ciuil ; & si les membres inferieurs
reçoiuent du Chef la benigne influence de ses
Vertus, auec la mesme douceur qu’ils les luy
enuoye, & si mutuellement ils luy rendent la
soubmission & defference par obeïssance, honneur,
& tribut qu’ils luy doiuent.   Liberalité de
la Reine. Fecit Salomon
vt tanta abundantia
argenti
esset in Hierusalem,
quanta
& lapidum.
3. Reg. cap. 10. Tite Empereur. S. Leon Pape. Cleomenes &
Ptholomee.

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 193. Magnien, Charles [signé]. REFLEXIONS CONSCIENCIEVSES des bons... (1649) chez Sassier (Guillaume) à Paris , 42 pages. Langue : français, latin. C'est la suite de C_9_18, où se trouvent la page de titre, la signature, la permission, l'adresse au lecteur, etc.. Référence RIM : M0_3061 ; cote locale : C_9_19. le 2014-08-11 16:23:37.

qui thesaurisat,
ita qui
honorificat matrem,
Eccles. 3. Et erat subditus
illis, Luc. 2. De tout temps les Subjects ont rendu des
hommages aux Rois & Princes Souuerains, en
recognoissance de leurs Majestez & grandeurs,
& ont payé le tribut, pour marque de leur dependance ;
Dieu mesme, Roy des Rois, veut
en receuoir des creatures, ainsi qu’il appert
dans l’Exode, quoy toutefois qu’il n’en ait que
faire. Non apparebis
in conspectu
meo vacuus :
Exod. 23. Senecque écrit,

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 194. Magnien, Charles [signé]. REFLEXIONS CONSCIENCIEVSES des bons... (1649) chez Sassier (Guillaume) à Paris , 42 pages. Langue : français, latin. C'est la suite de C_9_18, où se trouvent la page de titre, la signature, la permission, l'adresse au lecteur, etc.. Référence RIM : M0_3061 ; cote locale : C_9_19. le 2014-08-11 16:23:37.

sa Personne, de sa
Cour, & de ses Estats : La raison naturelle dicte,
que celuy qui a la charge de tout vn peuple, &
la conduite de tout vn Royaume, en doit par
consequent auoir les moyens necessaires ; ce
qui ne peut estre que par la contribution & le
tribut des biens des Subjects, particulierement
lors que les dépens excedent les richesses
du Prince, comme en temps de guerre :
Outre qu’on ne doit faire aucune repugnance
de payer le tribut ; dautant qu’vne partie des
biens & thresors du Prince retourne par sa

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 195. Magnien, Charles [signé]. REFLEXIONS CONSCIENCIEVSES des bons... (1649) chez Sassier (Guillaume) à Paris , 42 pages. Langue : français, latin. C'est la suite de C_9_18, où se trouvent la page de titre, la signature, la permission, l'adresse au lecteur, etc.. Référence RIM : M0_3061 ; cote locale : C_9_19. le 2014-08-11 16:23:37.

des subjects ; & l’autre partie sert pour
les proteger & maintenir contre leurs ennemis,
ainsi que raisonne sainct Paul. Le Fils de Dieu
jugeant autre fois le different arriué entre les
Romains & les Hebreux ; sçauoir si on estoit
obligé de payer le tribut à Cesar ; les Adherants
d’Herode soustenoient l’affirmatiue, & les Hebreux
la negatiue ; sa resolution fut qu’on payât
à Cesar le tribut, dautant qu’il luy appartenoit :
De là il s’ensuit, que pour établir des imposts
raisonnables, le Prince

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 196. Magnien, Charles [signé]. REFLEXIONS CONSCIENCIEVSES des bons... (1649) chez Sassier (Guillaume) à Paris , 42 pages. Langue : français, latin. C'est la suite de C_9_18, où se trouvent la page de titre, la signature, la permission, l'adresse au lecteur, etc.. Référence RIM : M0_3061 ; cote locale : C_9_19. le 2014-08-11 16:23:37.

jugeant autre fois le different arriué entre les
Romains & les Hebreux ; sçauoir si on estoit
obligé de payer le tribut à Cesar ; les Adherants
d’Herode soustenoient l’affirmatiue, & les Hebreux
la negatiue ; sa resolution fut qu’on payât
à Cesar le tribut, dautant qu’il luy appartenoit :
De là il s’ensuit, que pour établir des imposts
raisonnables, le Prince souuerain n’a pas besoin
du consentement de ses Subjects, comme
ayant droit naturel diuin & humain : De fait,
Ioseph a remarqué, que Pompée &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 197. Magnien, Charles [signé]. REFLEXIONS CONSCIENCIEVSES des bons... (1649) chez Sassier (Guillaume) à Paris , 42 pages. Langue : français, latin. C'est la suite de C_9_18, où se trouvent la page de titre, la signature, la permission, l'adresse au lecteur, etc.. Référence RIM : M0_3061 ; cote locale : C_9_19. le 2014-08-11 16:23:37.

doit faire rentrer les bons François en eux-mesmes,
& recognoistre premierement que
les pechez en sont la cause, dit le sainct Esprit,
& chãger de vie, afin que Dieu cesse de chastier.
Secondement, ils doiuent considerer l’obeïssance,
l’honneur, & le tribut qu’ils doiuent au
Prince souuerain, & à sa digne & honorée Mere
la Reine Regente, à ce qu’ils leurs soient propices
& fauorables, & que de cette façon le
Corps Ciuil & Politique du Royaume se maintienne
& conserue paisible &

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 198. Mazarin, Jules [signé] [faux]. TESTAMENT SOLEMNEL DV CARDINAL MAZARIN PAR... (1649) chez Musnier (François) à Paris , 16 pages. Langue : français. Avec permission. Daté du 29 août 1648 et signé au colophon.. Référence RIM : M0_3766 ; cote locale : A_7_49. le 2014-10-12 04:57:52.

i’ay fait mention au seiziesme article,
qui est vne representation de Lucresse, ensemble
deux Tableaux, dans l’vn desquels est naiuement
representé par vn champ igné, la desolation
des Troyens, & en l’autre tableau enrichy
de plusieurs figures, representans les tributs d’Israël, & ce qui arriuera aux derniers siecles.   Et pour ne point oublier les œuures de charité,
d’vne pieuse affection, ie donne à chacun des
Conuens Mandians cent liures, moyennant vn
seruice de douze Messes, qui seront celebrées

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 199. Rantzau, Josias de [signé]. LETTRE DE MONSIEVR LE MARESCHAL DE RANZAV,... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Datée du 26 février 1649 et signée au colophon. Voir aussi A_5_6. Référence RIM : M0_2024 ; cote locale : C_3_30. le 2014-05-26 14:04:49.

traitté de paix qu’auec
des robbes de deüil ? Mais qu’elle difference peut-on faire du genie
& de la conduite de nostre Ministre auec celle du tyran Bazilide, qui
pour assouuir sa conuoitise barbare, vouloit que ses subjets les Moscouites
luy apportassent en forme de tribut des verres plein ; de
leurs propres sueurs ? Ie ne parle point, Monseigneur, de la perte publique
dõt la France vient d’estre affligée par la mort de Mr de Chastillon,
de qui la valeur m’estoit si conneuë&; la bien-veillance si chere ;
ie ne dis rien de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


Occurrence 200. Rantzau, Josias de [signé]. LETTRE DE MONSIEVR LE MARESCHAL DE RANZAV,... (1649) chez Haye (Rolin de La) à Paris , 8 pages. Langue : français. Avec permission. Datée du 26 février 1649 et signée au colophon. Voir aussi C_3_30. Référence RIM : M0_2024 ; cote locale : A_5_6. le 2014-05-26 14:07:46.

traitté de paix qu’auec
des robbes de deüil? Mais qu’elle difference peut-on faire du genie
& de la conduite de nostre Ministre auec celle du tyran Bazilide, qui
pour assouuir sa conuoitise barbare, vouloit que ses subjets les Moscouites
luy apportassent en forme de tribut des verres pleins de
leurs propres sueurs? Ie ne parle point, Monseigneur, de la perte publique
dõt la France vient d’estre affligée par la mort de Mr de Chastillon,
de qui la valeur m’estoit si conneuë & la bien-veillance si chere;
ie ne dis rien de celle de

=> Afficher la page
=> Afficher la notice


1 2 3