L’A SÇAVOIR SI NOVS AVRONS LA PAIX, ET SI NOSTRE GVERRE CIVILE s’acheuera bien-tost.

Auteur
Anonyme
Éditeur
[s. n.]
Date d'édition
1652
Lieu d'édtion
Paris
Langue
français
Nombre de pages
19
Référence Moreau
M0_9
Cote locale
B_14_20
Note
Voir aussi B_16_11
Dernière modification
2013-01-21 05:23:09
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Commentaires

Commentaire de : Patrick Rebollar, créé le 2013-01-21 05:23:09.
Notice Moreau : Il y a un mot de bon sens dans cette pièce qui d'ailleurs n'est pas commune. L'auteur dit de la Fronde que c'était « une affaire de rivalité de prétentions ». Aussi n'épargne-t-il personne, pas plus la reine que les princes, et le Mazarin que le parlement. Après la députation du clergé.

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