Saint-Amant, Marc-Antoine Girard (sieur de) [[s. d.]], LA ROME RIDICVLE, CAPRICE. , français, latin, italienRéférence RIM : Mx. Cote locale : B_18_36.
XIV.
Parbieu ? Ce n’est plus raillerie, Ie m’estomacque tout à bon : Mes doigts conduisons le charbon Auec vn peu moins de furie, Il m’est permis de lanterner, Il m’est permis de badiner, Iusqu’à faire peter de rire, Mais ie serois pis que Boucquin De desgainer l’aigre Satyre A la barbe du grand Pasquin.
XV.
Ma Muse, rendons quelque hõmage A ce bon museau vermoulu, Hurlons sur l’air de Lanturlu Vn Hymne aux pieds de son Image He ! Comment, elle n’en a point : Le Goinfre est reduit à tel point, Qu’il ne sçauroit dancer ny courre ; Et que son bras creu si puissant, Ne peut ny joüer à la Mourre, Ny faire la figue au passant.
Saint-Amant, Marc-Antoine Girard (sieur de) [[s. d.]], LA ROME RIDICVLE, CAPRICE. , français, latin, italienRéférence RIM : Mx. Cote locale : B_18_36. |