S. T. F. S. L. S. D. T. [1649], LE POLITIQVE BVRLESQVE DEDIÉ A AMARANTHE. Par S. T. F. S. L. S. D. T. , françaisRéférence RIM : M0_2810. Cote locale : C_8_31.
Aussi-tost que ie fus entré Dans ce grand Palais enchanté : Ainsi le peut-on appeller Puis qu’on n’y fait rien que chanter ; Soit à la mode, ou autrement, N’importe de sçauoir comment. Ie fus rauy en admiration, De voir cette confusion, d’Aduocats, & de gens d’affaires, De Procureurs, & de Notaires, Dans la grand’Salle aux pas perdus, Tenir des discours superflus. Estant sorty de cét estonnement, I’allay m’appuyer sur le banc, De mon agreable lingere, Qui cause mieux qu’vne harangere. Si tost, elle me demanda, Helas, Monsieur, d’où vient cela, Que l’on ne nous sçauroit plus voir Dans ce diuertissant manoir ? Ce miracle si fort m’estonne, Qu’on mesconnoit vostre personne. Alors, ie luy dis franchement, Que ie n’auois point de l’argent :
S. T. F. S. L. S. D. T. [1649], LE POLITIQVE BVRLESQVE DEDIÉ A AMARANTHE. Par S. T. F. S. L. S. D. T. , françaisRéférence RIM : M0_2810. Cote locale : C_8_31. |