[retour à un affichage normal]

Préface, Avertissement et table des matières du « Choix de Mazarinades » de Célestin Moreau, 1853

Dans cette rubrique de documents historiques relatifs aux Mazarinades, l’équipe des RIM propose à la lecture cette courte mais très intéressante préface ainsi que la table des matières de ce Choix rassemblant 95 titres chronologiques, rendue plus utile encore grâce aux liens hypertextuels – quand ils sont possibles. Cette sélection de libelles, parue au milieu du XIXe siècle, peut nous paraître anecdotique ou même obsolète à l’heure des bibliothèques numérisées mais nous devons garder à l’esprit que, selon Colin Jones, « la plupart des historiens de la Fronde ne se reportent qu’à un très mince échantillon de textes et de fragments de textes, tirés en grande partie du Choix de Mazarinades qu’a publié Célestin Moreau il y a plus d’un siècle » (Contre Retz : sept pamphlets du temps de la Fronde, University of Exeter Press, 1982, p. V).
[Patrick Rebollar, pour l’équipe des RIM, le 17/02/2019]

Préface, Avertissement et Table des matières du « Choix de Mazarinades, publié pour la Société de l’Histoire de France » par Célestin Moreau, Paris, Jules Renouard et Cie, 1853, 2 volumes.

PRÉFACE

Dans les troubles civils qui ont agité en ensanglanté la France depuis l’invention de l’imprimerie, on a beaucoup imprimé et encore plus écrit. On a combattu avec la parole et avec la plume autant qu’avec l’épée. Les sermons, les pamphlets, les batailles, tout cela c’était la guerre. C’est qu’il ne fallait pas seulement vaincre ; il fallait persuader et convertir. Il fallait prouver la pureté de sa cause, la droiture de ses intentions, la nécessité de son triomphe ; il fallait rallier à soi les passions et les intérêts ; il fallait agir sur les appétits et sur les intelligences. Dans les guerres civiles il en est toujours ainsi ; et la raison en est simple : ce sont les opinions qui font les partis ; c’est la prédication qui fait les opinions.

Les pamphlets importent donc à l’étude de l’histoire. Ils n’ont assurément pas la même valeur que les mémoires qu’ils complètent ou qu’ils contrôlent ; mais leurs discussions, leurs récits, les bruits qu’ils répètent, les jugements qu’ils propagent, les calomnies même qu’ils inventent, sont autant de témoignages des préoccupations de l’opinion publique. Les auteurs de mémoires ont été pour la plupart mêlés aux événements qu’ils racontent, soit qu’ils en aient profité, soit qu’ils en aient souffert. Ils en ont connu les causes, et ils ont pu en mesurer la portée ; mais [p. II] l’homme ne se dépouille jamais tout entier. Aux passions de son époque, il mêle ses propres passions. Il modifie au gré de ses opinions personnelles les opinions des partis. L’esprit public, au contraire, se révèle avec toute sa naïveté dans ces pamphlets qui préparaient ou achevaient les triomphes de l’arquebuse et de l’épée. Il s’y montre sans précaution, sans réserve, sans pudeur même, parfois libre jusqu’à la licence, hardi jusqu’au cynisme. Dans les mémoires l’intérêt personnel domine ; c’est la passion publique dans les pamphlets. Dans les premiers il y a plus de l’homme ; dans les seconds, plus du peuple, ou mieux, plus des partis.

il est d’ailleurs des faits que les mémoires n’ont pas pu développer dans toutes leurs circonstances. Des auteurs, les uns étaient placés trop haut, les autres trop loin pour bien voir et pour tout voir. Il y a des causes et des effets même qui leur ont échappé nécessairement. La multitude agissait ; ils ne savaient pas tout ce qui la faisait agir. Ils ne se rendaient pas un compte exact de ses sentiments et de ses pensées. Au contraire on pénètre dans les entrailles des partis et de la société à l’aide de ces pamphlets qui ont été rédigés par des hommes des partis et pour les partis, par des hommes du peuple et pour le peuple. L’auteur des mémoires se pose en face de la postérité ; il pense à l’avenir. Le pamphlétaire n’a de préoccupation que pour le présent. L’un écrit pour les passions contemporaines ; l’autre écrit, s’il faut ainsi parler, sous leur dictée. L’auteur de mémoires est toujours un avocat ; [p. III] le pamphlétaire est un témoin qui souvent dépose contre lui-même.

Cette utilité des pamphlets pour la critique historique a été sentie dès les premiers jours de leur apparition. Charles IX n’était pas à la moitié de son règne que déjà Pierre Estiart imprimait à Strasbourg le Recueil des choses mémorables faites et passées pour le faict de la religion et estat de ce royaume depuis la mort du roy Henry II jusqu’au commencement des troubles.

Quatre ans après, le protestant La Popelinière terminait au bruit des joyeuses acclamations de la paix de 1570 et publiait à La Rochelle l’Histoire de notre temps ou Recueil des choses mémorables passées en France depuis l’édit de mars 1568. Ce sont en quelque sorte les pièces justificatives de sa grande histoire des guerres de religion.

Puis vinrent les Mémoires de l’estat de France sous Charles neuvième en 1576 ; les Mémoires de la Ligue ; le Recueil des pièces les plus curieuses qui ont été faites pendant le règne du connestable M. de Luyne, dont la première édition est de 1622 ; en 1637, Diverses pièces pour la défense de la reyne mère et du roy très-chrétien Louis XIII, faictes et revues par Mathieu de Morgues ; enfin en 1640 le  Recueil de diverses pièces pour servir à l’histoire que Duchâtelet a publié pour la défense du cardinal de Richelieu.

Vers le milieu du XVIIIe siècle, le premier de tous ces recueils fut refondu et augmenté par Secousse, continué par Lenglet Dufresnoy sous le titre de [p. IV] Mémoires de Condé ; et les Mémoires de la Ligue reparurent avec des augmentations considérables de l’abbé Goujet.

Ainsi depuis Henri II jusqu’à Louis XIII inclusivement, nous avons une suite à peu près non interrompue de recueils de pamphlets qui touchent à tous les grands événements de ces règnes successifs. Sans doute ce n’est pas tout ce que la passion politique a écrit ou publié ; il y manque beaucoup de pièces et des meilleures. Pourtant les recueils sont à ceux qui veulent étudier sérieusement l’histoire, d’une très-réelle utilité.

Pour continuer à suivre l’ordre des temps, il y avait à recueillir dans la volumineuse collection des Mazarinades un certain nombre de pièces les plus curieuses par les faits qu’elles contiennent, les meilleures par l’habilité de la composition ou par l’éclat du style. C’est ce que j’ai essayé de faire.

Dès 1649, après la paix de Saint-Germain, des libraires réunirent sous un titre général les pamphlets que le public avait semblé recevoir avec le plus de faveur ; et on vit paraître presque en même temps le  Recueil de toutes les pièces faites contre le cardinal Mazarin sur l’enlèvement du roi, le Recueil de ce qui s’est passé contre le mauvais gouvernement de Jules Mazarin, le Recueil de plusieurs pièces curieuses tant en vers qu’en prose, le Recueil des pièces imprimées durant les mouvements de l’année 1649 et d’autres encore ; mais tous ces recueils ont été faits sans intelligence, sans critique ; ils ne comprennent guère d’ailleurs [p. V] que les trois premiers mois de la Fronde ; enfin ils sont très-rares.

Obligé de me renfermer dans un cadre assez étroit, j’ai d’abord écarté toutes les pièces officielles : arrêts, édits, ordonnances, déclarations. On les trouve dans l’Histoire du temps de Du Portail et dans le Journal du parlement. Je me suis ensuite attaché aux pamphlets qui font plus particulièrement connaître les opinions et les intérêts des partis, les caractères et les situations des personnages. Quand[,] à l’intérêt historique ou politique[,] ils n’ont pas joint un certain mérite littéraire, je me suis contenté de les publier par extraits.

C’est à l’année 1649 que j’ai emprunté le plus grand nombre de pièces par deux raisons : la première est que les griefs de l’opinion contre la personne et l’administration du cardinal Mazarin sont exposés d’une manière plus complète et plus détaillée dans les pamphlets de cette date ; la seconde que pendant le blocus de Paris les intérêts individuels se sont plus effacés devant les intérêts collectifs et que la fronde (sic) y a conservé mieux un caractère apparent d’unité. On sait comment les partis se sont divisés après la paix de Saint-Germain.

La Fronde n’a certes pas inventé le pamphlet en vers. Elle ne l’a pas même perfectionné ; il est constant qu’elle n’a rien de plus hardi, de meilleur, de plus fameux que la Miliade de 1638 ; mais elle lui a donné un développement qu’il n’avait pas eu auparavant, qu’il n’a plus eu après. Tout alors s’écrivait en vers : les controverses comme les récits. Il s’est rencontré [p. VI] des poëtes pour traduire en vers le Courrier françois et le Théologien d’estat. C’est le titre d’un pamphlet en vers (la Mazarinade) qui est devenu le nom générique de toutes les pièces qui pendant quatre ans ont été publiées pour et contre le cardinal Mazarin.

Cet usage, je dirais volontiers cet abus de la poésie, est un des caractères extérieurs de la Fronde ; et à son tour la poésie de la Fronde a un caractère propre : elle est burlesque. Par cette double raison j’ai cru que je devais donner aux vers burlesques une large place dans le recueil des Mazarinades.

J’ai la confiance que, même réduit aux proportions sur lesquelles j’ai dû le mesurer, ce recueil suffira. Après tout on pourra toujours recourir à la Bibliographie des Mazarinades où j’ai réuni tous les titres de ces pamphlets, autant que les recherches les plus patientes m’ont permis de le faire, et qui contient des citations plus courtes, il est vrai, mais plus nombreuses et plus variées. Je ne puis qu’y renvoyer le lecteur désireux de pénétrer plus avant dans les secrets de la Fronde. La Bibliographie des Mazarinades a été conçue de manière à suppléer au dépouillement des collections les plus volumineuses pour ceux qui n’ont pas besoin de se livrer à une étude approfondie de cette époque. Pour les travailleurs qui sont jaloux de remonter aux sources, elle sera un guide fidèle, je l’espère, nécessaire, j’en suis certain.

AVERTISSEMENT

Les numéros qui suivent les titres entre crochets, tant dans le texte que dans les notes, sont ceux des pamphlets dans la Bibliographie des Mazarinades.
Les dates exprimées à la suite des titres ne sont pas exactement celles des pièces. J’ai mieux aimé rappeler les dates des groupes dans lesquels les Mazarinades sont rangées dans la liste chronologique à la fin du troisième volume de la Bibliographie. Il m’a semblé qu’en renvoyant ainsi le lecteur à cette liste, je lui fournirais un moyen utile de diriger et de compléter ses recherches, s’il en avait le désir.

TABLE DES MATIÈRES

Premier volume

  1. Agréable récit de ce qui s’est passé aux dernières barricades de Paris, etc. [M0_56]
  2. Requeste des trois Estats présentée à Messieurs du Parlement. [M0_3494]
  3. Requeste burlesque des partisans au Parlement. (extrait) [M0_3466]
  4. Contract de mariage du Parlement avec la ville de Paris. [M0_783]
  5. Le passe-port et l’adieu de Mazarin, etc. [M0_2730]
  6. Raisons d’Estat contre le ministère estranger. [M0_2962]
  7. L’Anathème et l’excommunication d’vn ministre d’Estat estranger. [M0_81]
  8. Les souhaits de la France à monseigneur le duc d’Angoulesme. [M0_3700]
  9. Dialogue de deux Guépeins sur les affaires du temps. [M0_1078]
  10. Lettre d’vn religieux enuoyée à monseigneur le prince de Condé, etc. [M0_1895]
  11. Vers burlesques enuoyez à monsieur Scarron sur l’arriuée du convoy à Paris. [M0_4016]
  12. Catalogue des partisans, etc. [M0_646]
  13. Diuerses pièces sur les colonnes et piliers des maltôtiers, etc. (extrait) [M0_1161]
  14. Inuentaire des merueilles du monde rencontrées dans le palais du cardinal Mazarin. [M0_1729]
  15. Lettre du cheualier Georges de Paris à monseigneur le prince de Condé. [M0_2099]
  16. Les logemens de la Cour à Saint-Germain en Laye. [M0_2324]
  17. Coq à l’asne ou Lettre burlesque du sieur Voiture ressuscité au preux cheualier Guicheus, etc. [M0_797]
  18. Lis et fais. [M0_2304]
  19. A qui ayme la vérité. [M0_8]
  20. Le Roi veut que le Parlement sorte de Paris, etc. [M0_2762]
  21. Taxes faites des maisons sises aux enuirons de Paris et ailleurs, etc. [M0_3753]
  22. Ode sur dom Joseph de Illescas, prétendu enuoyé de l’archiduc Léopold. [M0_2582]
  23. Bandeau leué de dessus les yeux des Parisiens, etc. [M0_574]
  24. Décision de la question du temps, etc. [M0_871]
  25. Lettre du père Michel, religieux hermite de l’Ordre des Camaldoli près Grosbois, à monseigneur le duc d’Angoulesme, etc. (extrait) [M0_2128]
  26. Plainte du carnaual et de la foire Saint-Germain, etc. [M0_2794]
  27. Catéchisme des partisans, ou Résolutions théologiques touchant l’imposition, leuée et emploi des finances, etc. (extrait) [M0_652]
  28. Remercîment des imprimeurs à monseigneur le cardinal Mazarin. [M0_3280]
  29. Advis à la Reyne sur la conférence de Ruel. [M0_472]
  30. Lettre à monsieur le Cardinal, burlesque. [M0_1813]
  31. Sommaire de la doctrine curieuse du cardinal Mazarin, etc. [M0_3683]
  32. Lettre iouiale à monsieur le marquis de La Boulaye, etc. [M0_2245]
  33. Lettre d’avis à messieurs du Parlement de Paris, escrite par vn prouincial. [M0_1837]
  34. Lettre d’vn secrétaire de saint Innocent à Iules Mazarin. [M0_1896]
  35. Les Triolets du temps, etc. (extrait) [M0_3859]
  36. Sur la conférence de Ruel en mars, etc. [M0_3734]
  37. Maximes morales et chrestiennes pour le repos des consciences dans les affaires présentes, etc. (extrait) [M0_2427]
  38. Demandes des princes et seigneurs qui ont pris les armes auec le Parlement et peuple de Paris. [M0_997]
  39. Le Manuel du bon citoyen, etc. [M0_2406]
  40. La France parlant à monsieur le duc d’Orléans endormy. [M0_1435]
  41. Le Burlesque remercîment des imprimeurs et colporteurs aux auteurs de ce temps. [M0_613]
  42. Le Voyage des Iustes en Italie et autres lieux. [M0_4063]
  43. Discours sur la députation du Parlement à monsieur le prince de Condé. [M0_1147]
  44. La Nocturne chasse du lieutenant ciuil. [M0_2529]
  45. Requeste présentée à monseigneur le Prince par les vignerons de son gouuernement de Bourgogne, etc. (extrait) [M0_3501]
  46. Le Branle Mazarin dansé au souper de quelques-vns de ce parti là chez monsieur Renard, etc. [M0_605]
  47. Le Courrier du temps, etc. (extrait) [M0_825]
  48. Triolets de ioie chantez par Paris pour chasser la mélancolie. [M0_3850]
  49. Prompt et salutaire auis. Vive Jésus-Christ ! etc. (extrait) [M0_2903]
  50. L’Adieu et le désespoir des autheurs et escriuains de la guerre ciuile, etc. [M0_45]

Second volume

  1. Discours sur le gouvernement de la reine depuis sa régence. [M0_1149]
  2. Catéchisme des courtisans de la cour de Mazarin. [M0_651]
  3. Discours au parlement sur la détention des Princes. [M0_1102]
  4. Factum pour messieurs les Princes. (extrait) [M0_1367]
  5. L’Union ou Association des princes, etc. [M0_3914]
  6. Le Courrier burlesque de la guerre de Paris, etc. [M0_814]
  7. Manifeste de madame la duchesse de Longueville. [M0_2363]
  8. Apologie des Frondeurs. [M0_112]
  9. Le Frondeur désintéressé. (extrait) [M0_1452]
  10. Apologie pour Malefas. [M0_124]
  11. Le Temple de la déesse Borboni. [M0_3759]
  12. Apothéose de madame la duchesse de Longueville, etc. [M0_135]
  13. Remise de la bibliothèque de Mgr le cardinal Mazarin par le sieur Naudé entre les mains de M. Tubeuf. [M0_3289]
  14. La Juliade, etc. (extrait) [M0_1778]
  15. Requête de la noblesse pour l’assemblée des états généraux. [M0_3472]
  16. Déclaration des prétentions de la noblesse, etc. [M0_892]
  17. La Mazarinade. [M0_2436]
  18. Défense de l’ancienne et légitime Fronde. [M0_984]
  19. Avis désintéressé sur la conduite de Mgr le coadjuteur. [M0_510]
  20. Lettre d’un marguiller de Paris à son curé, etc. [M0_1885]
  21. La requête des trois Estats touchant le lieu et les personnes qu’on doit choisir pour l’assemblée des estats généraux, etc. [M0_3495]
  22. Les Particularités des cérémonies observées en la majorité du Roy, etc. [M0_2714]
  23. Les Sentiments d’un fidèle sujet du Roy sur l’arrêt du Parlement du 29e décembre. (extrait) [M0_3648]
  24. Ordre donné par le Mazarin à son maître d’hôtel pour un plat dont il veut que sa table particulière soit servie pendant tous les jours du mois de février, etc. [M0_2624]
  25. Le Secret de la Cour. [M0_3624]
  26. Croisade pour la conservation du Roy et du royaume. [M0_849]
  27. Les Intérêts du temps. [M0_1718]
  28. Statuts des chevaliers de la Paille, etc. [dans M0_2452]
  29. L’ordre et cérémonie qui se doit observer en la descente de la châsse de Sainte Geneviève, etc. [M0_2626]
  30. L’Esprit de paix. [M0_1284]
  31. Récit véritable de tout ce qui s’est passé à l’hôtel de ville touchant l’Union, etc. [M0_3028]
  32. Liste générale des morts et blessés… à la généreuse résolution faite à l’hôtel de ville, etc. [M0_2320]
  33. Le Vraisemblable sur la conduite de Mgr le cardinal de Retz. [M0_4081]
  34. Tarif du prix dont on est convenu… pour récompenser ceux qui délivreront la France de Mazarin, etc. [M0_3752]
  35. La Vérité toute nue, etc. [M0_4007]
  36. Satyre du parlement de Pontoise. [M0_3590]
  37. Les Justes plaintes de la Crosse et de la Mitre du coadjuteur de Paris, etc. [M0_1785]
  38. Le Raisonnable plaintif sur la dernière déclaration du Roy. [M0_2969]
  39. Requête des peuples de France… à Nos Seigneurs de la cour de parlement, etc. [M0_3490]
  40. Avis important et nécessaire aux corps de ville, bourgeois et citoyens de la ville de Paris sur la prochaine élection d’un prévôt des marchands, etc. [M0_522]
  41. La Vérité prononçant ses oracles sans flatterie. (extrait) [M0_3998]
  42. La Vérité continuant de prononcer ses oracles. (extrait) [M0_3998]
  43. Relation véritable de ce qui s’est passé à Pontoise en la réception des six corps des marchands, etc. [M0_3218]
  44. Virelay sur les vertus de sa faquinance. [M0_4030]
  45. Relation véritable des particularités observées en la réception du Roy dans sa bonne ville de Paris, etc. [M0_3260]

FIN.

Cette entrée a été publiée dans Documents, avec comme mot(s)-clef(s) , , , , . Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.


Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *